Une Famille Sous Influence

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Je rentre d'Australie pour retrouver ma famille bien changée.
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Depuis 18 mois que je suis partie en Australie, sur un coup de tête que je regrette aujourd'hui, je n'ai pas revu ma famille. J'ai été peinée qu'ils ne viennent pas me voir, mais je comprends que la distance a rendu les choses compliquées. Les appels se sont faits rares, alors que j'avais besoin d'eux, un peu déboussolée, et objectivement très déçue de cette expérience. Sport, nature, fitness, narcissisme, un cocktail qui n'est pas trop à mon goût, même si j'ai pu apprécier la plastique des mâles comme des femelles, je m'en suis vite lassée. Aucune cérébralité, ni imagination, ni perversité. L'ennui assuré. Je fuyais toutes ces idées décadentes qui m'assaillaient, sans que je n'en comprenne le sens, et ce n'est que l'ennui qui m'attendait.

Maman m'a prévenue que beaucoup de choses ont changé à la maison, sans vouloir m'en dire plus. Je ne sais quoi en penser, je suis heureuse de les retrouver avec papa et Tom mon petit frère. C'est la fin du printemps, il fait chaud, je les imagine autour de la piscine, même si maman m'a indiqué qu'ils ne pouvaient venir me chercher. Je me demande bien pourquoi, nous sommes samedi si je ne me trompe pas! C'est bizarre mais je suis stressée, et j'ai comme le sentiment qu'une catastrophe m'attend, tant il y a de mystères.

Ma mâchoire se décroche et j'en lâche ma valise lorsque maman m'ouvre la porte. Elle est presque totalement nue tandis que je la connais très pudique, à l'inverse de moi. Effectivement beaucoup de choses semblent avoir changé ici. Je suis sidérée de ce que je vois, je la sens gênée, la tête basse, mais venant me prendre dans ses bras avec des larmes de joie dans les yeux. Elle presse son corps nu contre moi et je referme machinalement mes mains sur son dos couvert d'un corset que je sens serré à craquer.

- Oh Isabelle, je suis tellement heureuse de te voir, tu ne peux pas imaginer, si tu savais comment tu nous as manqués. - Je... je suis heureuse d'être rentrée à la maison maman, mais... qu'est-ce-qui se passe? Pourquoi vous n'êtes pas venus me voir? Vous avez été si distants. - Ma pauvre chérie, je vais t'expliquer, je dois le faire. Tu veux boire quelque chose, nous pourrions discuter dehors autour de la piscine. - Où sont papa et Tom? - Ils vont arriver, ils sont aussi impatients que moi de te voir, mais c'est compliqué pour eux tu vas comprendre. - D'accord.

Maman se retourne et je ne peux réprimer un cri de surprise. Ses fesses et ses cuisses sont marquées de coups de cravache ou de fouet, je ne sais pas, qui semblent lui faire mal. Je n'arrive pas à enregistrer tout ce que je vois, rien ne ressemble à ce que je connais de ma mère, j'ai bien un mot en tête mais je n'arrive pas à l'associer à elle, tant il me hante depuis toujours. Avec horreur je réalise que je mouille et que sa vision a provoqué chez moi une excitation totalement déplacée. Ce n'est pas ma mère qui m'excite mais cette créature qui s'est présentée à moi.

Je monte mes bagages dans ma chambre, que je retrouve à l'identique. Elle est parfaitement propre, et rien ne semble avoir bougé. Je vérifie ma cachette et retrouve mon journal intime que j'avais oublié. Je l'ai continué sur un autre carnet. Allongée sur mon lit, je songe à cette arrivée totalement inattendue. Je fais le détail, les anneaux que j'ai vus en nombre, les tatouages obscènes et explicites, les objets inconnus qui semblent la remplir, le collier métallique et j'en oublie. Je n'arrive pas à me retenir, et ma main sous la culotte, je me donne rapidement du plaisir pour décharger la tension. Je n'entends rien en bas, le voyage m'a fatiguée, je m'assoupis, une main encore dans mon slip. L'émotion m'a ravagée.

En regardant par ma fenêtre, après un sommeil agité, je vois maman debout près d'une chaise longue, avec une citronnade posée sur une table. Elle est toujours aussi nue et provocante, les jambes écartées, les mains dans le dos, la tête baissée. Elle ne bouge pas d'un millimètre. Je n'ai donc pas rêvé! C'est tellement étrange. Maman est jeune, elle avait vingt ans quand je suis née, et a toujours eu un côté assez strict, pudique, réservé. Tout comme papa je dois dire. Nous ne nous sommes jamais beaucoup amusés à la maison. Et là de la voir dans une situation tellement perverse et provocante, cela créée en moi une dissonance qui vient vibrer sur des cordes secrètes que je connais que trop bien, et qui ont été la raison de mon départ en Australie.

J'enfile un maillot de bain, je ne porte plus que des microkinis tellement en vogue à Melbourne, malgré ma poitrine si lourde et qui ne chachent absolument rien, et descends pieds nus, maman ne bouge pas tandis que je m'allonge sur la chaise longue. Je la regarde longuement maintenant, l'émotion est toujours aussi vive, la surprise moins. Je peux la détailler, elle ne dit rien, ne bouge pas. Difficile de me dire ce qui me frappe le plus, c'est l'ensemble qui est stupéfiant. Ce collier métallique, plus lourd et épais que je n'avais réalisé, avec des anneaux aux quatre coins, il ne prête à aucune confusion. Il ne semble fermé par aucun mécanisme visible, le porte-t-elle dehors? Ce serait tellement... subversif! Et humiliant. Ou alors elle ne sort pas, et cela expliquerait qu'elle ne soit pas venue me chercher.

Car maman a tout d'une... esclave. J'arrive à penser le mot, gravé en grandes lettres rouge vif sur son sexe vierge de tout poil. Il est immanquable. Je l'avais occulté en le voyant tant il provoque en moi des décharges violentes, mon maillon est déjà trempé, il en devient parfaitement transparent. Un second tatouage sur le sein, montre une femme qui lui ressemble, à genoux, en train de boire la pisse d'une autre femme, sculpturale et impressionnante. Maman, une pissotière, c'est tellement dégradant. Excitant aussi. Moins que le tatouage qui lui fait face, où on voit la femme se faire monter par un chien tout en suçant un autre. Tatouages immanquables si elle porte un décolleté. Je n'ai plus de mot, mon esprit s'effondre, sans que je puisse faire la part des choses entre les émotions totalement contradictoires. Dieu sait comme j'ai pu fantasmer de telles situations d'esclavages, mais cela n'a rien à voir, c'est autrement plus dégradant.

Ses seins d'ailleurs, ils sont incroyablement distendus. J'ai une lourde poitrine comme elle, un bonne E, mais ils se tiennent autrement mieux chez moi. Là on dirait de vieilles chaussettes, qui pendent jusqu'à son nombril, tandis que les tétons sont démesurés, percés par un large anneau doré à la base, le diamètre doit être celui de mon petit doigt, et d'une barrette devant l'anneau, tout aussi épaisse. C'est très transgressif, et impossible à masquer sous des vêtements. De toute façon comment peut-elle s'habiller avec de tels seins qui pendent ainsi? Je commence à me dire que je comprends pourquoi maman n'est pas venue me chercher à l'aéroport. Elle est insortable.

Ces mêmes anneaux traversent son clitoris qui pointe comme un pénis minuscule, tandis que les lèvres, écartelées par ce qu'elle porte dans son vagin, sont percées à trois ou quatre reprises, j'ai du mal à compter. Je suis fascinée, excitée.

- Montre-moi ton dos

Ma voix est étonnamment ferme, et la phrase est sortie sans que je le réalise. Maman se tourne aussitôt, met les mains sur la tête pour que je la contemple. Je vois le même dispositif sortir entre ses fesses, que j'ai vues flagellées en arrivant comme ses cuisses. Je n'avais pas remarqué deux énormes lettres, une sur chaque fesse, comme gravées dans la peau. Un C et un E, comme les initiales inscrites sous son tatouage d'esclave sur le pubis. Je ne résiste pas et je passe la main pour sentir ces marques, qui sont incrustées profondément dans la peau, peut-être un dénivelé d'un demi-centimètre. Maman ne bouge pas, je la sens trembler. Je me demande ce qui a pu produire cela, une telle marque, légèrement violacée, et striées comme le reste de la fesse par des boursouflures franchement violettes celles-ci. Maman a été marquée comme du bétail, bien pire que du bétail.

Décidément beaucoup de choses ont changé, et les garçons qui ne sont pas là.

- Tu es heureuse ainsi?

Ce n'est pas du tout ce que je voulais dire, mais les mots se sont à nouveau échappés de ma bouche. Maman se retourne, je vois des larmes dans ses yeux.

- Oh ma chérie, plus que jamais. Si tu savais! - Si je savais? Peut-être que tu peux me raconter pour que je sache justement. - Tu n'es pas choquée? - Je... (Je prends mon temps pour répondre, cherchant ce que je ressens vraiment et ce que je peux lui dire), non, secouée, surprise, décontenancée, mais choquée, finalement non. - Oh ma chérie, tu es merveilleuse. - Assieds-toi pour m'expliquer. - Je peux me mettre à genoux plutôt, tu comprends que je ne peux m'asseoir avec ce que je porte. (Effectivement, je vois mal comment elle pourrait faire) - Oui, très bien, tu ne veux pas de coussin? - Oh non, merci, cela me va très bien ainsi.

Voici maman à genoux à côté de moi, les mains à nouveau dans le dos, et de façon incongrue pour moi, rayonnante, les jambes écartées.

- Par quoi veux-tu que je commence? - Le commencement peut-être, mais avant peux-tu m'expliquer ce que tu as dans tes... enfin bon tu comprends? - Dans mes trous? Je comprends que venant de ta mère cela te choque. - Oui dans tes trous (Dieu que cela m'excite de dire cela, j'ai du mal à retenir une envie de me caresser et me faire jouir. J'hésite, car vu l'état de ma mère, elle serait gonflée d'être choquée) Attends comme tu es nue, je vais me mettre nue aussi. - Oh ma chérie, tu es si belle. Est-ce que tu es excitée, je te trouve toute mouillée.

Je regarde maman presque choquée de m'avoir ainsi reluquée à cet endroit. Cet endroit est devenu maléfique et hautement érotique. Je réalise la signification profonde du mot sur son sexe et, provoquant un nouveau spasme d'excitation dans mon ventre, je décide d'en abuser.

- Je ne te permets pas de me parler ainsi, ni même de me reluquer. - Pardon ma chérie. Tu as raison, je te demande humblement de m'excuser (Maman a vivement baissé la tête, un regard de panique dans les yeux, comme c'est délicieux).

Je passe une main sur son sein droit distendu, c'est incroyable comme il tombe. Et comme il est lourd, je suis surprise qu'il reste quand même dense. Les tétons, au contraire, sont très durs et saillants. Je les tripote sans rien dire, la regardant réagir, elle avance le buste sans chercher à fuir au contraire, je comprends bien qu'elle s'offre. Je lui pince le téton, elle tressaille à peine, je serre plus fort, j'entends un léger souffle, je le tourne, le malaxe, elle ne cesse de s'offrir, ce n'est pas ma mère qu j'ai là, mais une esclave dévouée et apparemment très bien dressée. Je suis prise d'une fièvre d'excitation, et je me caresse tout en la torturant de son téton droit, que j'étire et pince violemment.

Je craque avant elle, d'un orgasme puissant et profond, venant du fond de mon ventre. Je gicle sur la serviette, un peu honteuse, mais maman ne dit rien. Je reprends mon souffle, elle attend passivement.

- Je t'écoute (Je bois la citronnade pour reprendre un peu mes esprits) - Les dispositifs que tu vois là sont des cylindres en acier qui sont profondément insérés avec une tige qui ressort. Quand la tige est tirée vers l'extérieur, le cylindre s'écarte, dilatant le trou et surtout l'empêchant de ressortir. Il est solidement enfiché en moi, et avec un cadenas ce qui ne me permet pas de l'ôter. - Et cela te plaît? - Je... oui, c'est devenu normal pour moi. - Cela fait combien de temps que tu es comme cela? - Un peu plus d'un an maintenant - Un an! Cela t'excite? - Oui c'est vrai. Je me sens à ma place, enfin comme je dois être. Et je suis toujours terriblement excitée, alors que je n'avais jamais connu d'excitation sexuelle avant. - Esclave? (Incroyable comme ce mot provoque d'ondes en moi) - Oui c'est cela. Je me sens à ma place, cela a toujours été la mienne, je suis heureuse d'avoir pu sauter le pas et me laisser aller pleinement. Et assumer devant tout le monde. - Oui je vois cela - Et que tu ne sois pas choquée est un beau cadeau, même si tu as beaucoup de questions, bien entendu. - Et c'est papa qui t'a installé cela. - Oh non! C'est ma Propriétaire. - Ta propriétaire? - Je ... oui, tu veux que je t'explique tout? - Je crois qu'il faut, il me semble qu'il y a beaucoup de choses à m'expliquer.

Maman se met à m'expliquer son parcours, qui commence en fait dès mon départ. Machinalement je me caresse encore, je me sens dans cette fièvre de plus en plus aigue, perdant tous mes repères d'un coup.

Peu après mon départ, donc, maman s'est sentie très déprimée, sans trop savoir quoi faire pour sortir d'une apathie et d'une tristesse grandissante. Dans un dîner avec des amis, elle a croisé une femme, psychiatre, qui l'a fascinée et attirée. Pas tant physiquement, mais surtout elle dégageait une aura, une assurance et une force qui a rempli maman d'énergie pendant quelques jours, rien qu'au souvenir de ce dîner.

Prenant son courage à deux mains, elle a décidé d'aller la consulter, dépassant ses réticences à un tel travail sur soi, craignant de développer un narcissisme allant à l'encontre de ses convictions. Victoire, la psychiatre, l'a reçue avec gentillesse et fermeté, ayant remarqué son état de détresse déjà pendant le dîner de leur rencontre. Maman a été troublée que cette détresse soit si visible, et a ressenti une force d'attraction terrible pour Victoire, comme celle d'une mère pour se réfugier dans ses bras, mais aussi sexuel, ce qui était une première pour elle.

Ce ne pouvait être le transfert puisqu'aucun travail n'avait été entamé. L'emprise de Victoire était très forte, maman ne pouvait qu'acquiescer à l'analyse qu'elle entendait d'elle, qui résonnait de façon incroyable, alors que tout était en contradiction avec tout ce qu'elle avait toujours cru et vécu. Ainsi Victoire lui expliqua que maman était une personne qui était faite pour se mettre au service des autres, que son égo et ses désirs ne devaient pas compter, qu'elle devait les combattre pour se mettre pleinement à la disposition de ceux qui étaient autour d'elle, et les servir.

Cela allait bien plus loin que le fait de nous élever, et que, son environnement actuel, mon père et mon frère, ne lui permettaient pas de trouver cet épanouissement dans la servitude et l'abandon. Maman buvait ses paroles, lui renvoyant parfois à quel point tout cela lui parlait et devenait une évidence pour elle.

Lorsque Victoire eut fini de lui décrire quelle était sa personnalité réelle, maman était au bord de l'orgasme tellement tout ceci avait un écho avec sa sexualité, que la psy lui fit décrire. Honteuse maman a dû avouer qu'elle n'avait jamais connu que papa, qu'ils ne faisaient presque plus l'amour, et qu'elle avait toujours été passive et à sa disposition quand il le voulait, mais que cela n'arrivait plus. Que sa libido s'était alors éteinte.

C'est à ce moment que Victoire lui demande si elle mouillait à cet instant, d'une voix très directive, faisant sursauter maman. Incapable de mentir, elle répondit que oui. Et à la question suivante également, qu'elle était effectivement très excitée. Et enfin que c'était bien la psychiatre et ce qu'elle décrivait qui l'excitait. Cette dernière lui indiqua alors que la voie qu'elle devait suivre n'était pas celle d'une thérapie quelconque, mais une autre voie, s'en remettre à une personne qui la fasse évoluer sur son chemin et qu'elle devait alors subir un dressage pour devenir et se comporter comme elle le devait.

A ce moment du récit, je jouis à nouveau à ces mots magiques qui ont toujours déclenché chez moi des torrents d'images et de sensations. Maman se tord les mains dans le dos, je la sens elle aussi très excitée, mais ne faisant rien pour se caresser. Je m'enhardis, je tire sur l'anneau de son clitoris que j'enroule, tordant la chair si sensible comme un sucre d'orge, elle halète, mais je ne faiblis pas, au contraire, je tourne encore plus fort, la tension est vraiment très forte, les larmes coulent, moi je me caresse en même temps.

- Ainsi tu es dressée et tu es une esclave, une chienne à tout faire à ce que je vois sur tes seins. Tu n'as pas honte, devant ta propre fille? (Les cris de mamans sont différents, mon excitation est terrifiante, je plante mes doigts dans son clitoris, la faisant hurler, et me faisant jouir à nouveau.)

C'est trop d'émotion pour moi, je n'en peux plus, je me sens saturée. Mais en même temps j'aimerais avoir la suite de l'histoire, même si j'ai déjà le résultat, je me doute de ce qu'il s'est passé.

Maman reprend son récit. C'est à ce moment que Victoire s'est levée et a surplombé maman de toute sa stature. Elle lui a demandé si elle voulait que Victoire soit sa Propriétaire, qu'elle la dresse en esclave et en fasse un objet sexuel et docile pour son plaisir et son service. Maman a été incapable de répondre autre chose que oui, lui demandant si elle voulait bien la prendre et la posséder. Victoire l'a alors giflée, une fois, deux fois avant de lui intimer l'ordre de se déshabiller, ce que maman a fait en se précipitant, les larmes aux yeux, fébrile et paniquée. Je veux bien la croire!

Elle s'est retrouvée à genoux, nue, dans le cabinet de Victoire, tremblante comme une feuille, prête à tout pour elle, ne l'ayant pourtant rencontrée que quelques jours plus tôt. C'est alors que Victoire lui a présenté ce qu'allait être sa vie, les règles qu'elle devait suivre, les punitions qu'elle recevrait, sachant que dorénavant chaque seconde, chaque souffle de maman lui appartenait. Maman pleurait de joie, comme si d'un seul coup, sa vie s'éclairait.

Les étapes et l'évolution ne m'intéressant pas trop, je la coupe pour la suite, même si j'ai de nombreuses questions, la tension sexuelle est trop forte pour l'entendre continuer ainsi.

- Qu'est ce qui est arrivé à tes fesses? - Les lettres tu veux dire? - Oui, les marques je me doute que c'est le fouet. - Tu ne sembles pas découvrir ce milieu, je me trompe? - Je t'ai posé une question! (Je la coupe d'une voix ferme), réponds-moi - C'est un branding, un marquage si tu veux, qui est fait avec de l'acide et de la soude sur les fesses, c'est évidemment indélébile, et cela marque sa pleine propriété, comme le tatouage sur mon sexe. - Cela a été douloureux? - Oui très, mais j'étais tellement heureuse de m'offrir ainsi. Maîtresse marque tous ses esclaves ainsi. - Il y a en a beaucoup d'autres? - Non deux seulement. Enfin je crois. - C'est quand même une histoire de dingue, du coup c'est Victoire ta Maîtresse? - Ma Maîtresse, ma Déesse, ma Propriétaire - Cela fait très secte quand même? - Je ne sais pas, mais si tu imaginais le plaisir sexuel que je prends à chaque instant. Elle érotise tout, toutes les humiliations, toutes les corvées, toutes les souffrances, tout est sujet à orgasme. - Les souffrances? - Oui j'ai appris à les recevoir, les accepter comme autant de cadeaux. Elle exige que je sois contrainte et torturée en permanence, ce qui me fait vivre, me permet de m'ancrer, de ne jamais m'éloigner d'elle. Jamais je n'ai été aussi vivante, et depuis ce premier jour, je suis en permanence contrainte et torturée, et j'aime cela, je la supplie souvent d'aller encore plus loin, même si c'est souvent insupportable. Son imagination est folle, surtout pour les humiliations. Tu imagines ces tatouages visibles de tous? - Tu sors ainsi? Maman! - Oui, je n'ai pas le choix, je dois lui obéir, et offrir à la vue de tous ma déchéance. Evidemment tous nos amis ont disparu, même nos connaissances, nous sommes ostracisés, enfin pas par tout le monde. - Non, pourquoi? - Disons que nous sommes entrés dans un monde de perversion extrême, avons retrouvé quelques connaissances, et je suis très souvent exploitée et utilisée sexuellement. - Mais papa dans tout cela? Et Tom? - Oui effectivement...

Maman se redresse et reprend son récit. Dès qu'elle a été prise en main par Victoire, maman est allée tout expliquer aux deux hommes qui l'ont retrouvée nue dès le premier jour. En effet Victoire a intimé l'ordre à maman de ne vivre que nue sauf ordre de sa part. Les deux hommes ont été évidemment très troublés, et maman a été surprise de voir le regard concupiscent de Tom sur elle. Ils sont allés voir séparément Victoire, dans le but qu'elle leur explique ce qui allait se passer à la maison. Quand ils sont rentrés et se sont mis nus à leur tout, j'ai compris que Victoire avait déployé les mêmes arguments et que les deux avaient craqués à son service. Nous en avons beaucoup discuté, refait le fil de notre vie avec ton père, et sommes tombés d'accord que nous avions beaucoup de chance de nous être trouvés avec Victoire, mais que l'un vis-à-vis de l'autre, étant tous les deux d'une nature d'esclave, nous ne pouvions pas nous épanouir.

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