Quatre à Quatre Ch. 03

Informations sur Récit
Les relations se mettent en place.
5.1k mots
4.75
2.3k
2
Récit n'a pas de balises

Partie 3 de la série de 3 pièces

Actualisé 05/07/2024
Créé 05/01/2024
Partagez cette Récit

Taille de Police

Taille de Police par Défaut

Espacement des Polices

Espacement des Polices par Défaut

Face de Police

Face de Police par Défaut

Thème de Lecture

Thème par Défaut (Blanc)
Tu dois Connectez-Vous ou Inscrivez-Vous pour enregistrer votre personnalisation dans votre profil Literotica.
BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

[Marie]

Je ne trouve pas le sommeil, je suis bien trop excitée par cette soirée, et les attouchements de Geoffroy. Et très troublée si je m'analyse un peu. L'épisode avec Geoffroy était terriblement érotique, mais somme toute très classique pour moi. J'ai vécu bien des expériences de ce type, avec ce genre d'homme. J'adore mais cela ne me trouble pas, même s'il m'a laissée terriblement frustrée. C'était tellement excitant de remonter avec mes seins déformant mon corsage moulant, les mamelons sans doute visibles au travers de l'étoffe étirée, et la jupe si légère que j'avais l'impression d'un coup d'être toute nue. D'ailleurs la jupe s'est plusieurs fois collée à mes cuisses inondées de mon excitation.

J'ai l'impression que tout sentait la luxure et la perversion dans cette maison incroyable. Peut-être son passé ressurgissait-il? Mais rien que la vision de la bonne était hallucinante. Cette vision m'a bien perturbée, car elle m'a profondément excitée, la trouvant magnifique, indécente, terriblement sexuelle. Je n'avais qu'une envie, mettre ma main à ses fesses, sachant que je suis certaine qu'elle n'avait rien en dessous. Ou caresser ses seins terriblement compressés, qui donnaient l'impression de vouloir éclater. Cette femme a mon âge, d'une certaine façon me ressemblait, et rien qu'à l'idée d'être à sa place, je tremble de tout mon corps, j'ai le ventre qui se tord, je n'ai jamais connu cela. Julien semble dormir, j'en profite pour me faire jouir, tant la tension est forte.

Quelle frustration de devoir retenir mes cris de jouissance, cela gâché la moitié du plaisir. Surtout je ne me sens pas plus calmée après, j'ai besoin de bien plus. Bizarrement j'ai envie d'une fessée. Comme si cela allait me soulager. Je tourne autour, j'essaie de ne pas y penser, mais la véritable origine de mon trouble est Alexandra. Si Julien et les enfants ne semblent avoir rien noté, elle a su tout de suite que j'étais seins nus et sans doute cul nu aussi.

Quand je suis remontée de la cave, elle m'a fait m'asseoir à côté d'elle, tandis que Julien lui racontait ma vie intime, j'étais tellement perturbée, que cela ne m'a même pas surprise! Mais en m'asseyant, Alexandra me recommande d'une voix ferme de soulever ma jupe, que ce sera plus confortable. Surtout bien plus excitant, avec mes fesses directement sur les coussins. Je suis juste inquiète de les tacher. Elle reluque mes seins avec un regard étincelant, que je connais bien chez les hommes. Elle en a envie. Tout en continuant à faire témoigner Julien de sa condition de cocu notoire et répétée, elle pose sa main sur ma cuisse, comme si de rien n'était, la faisant remonter et descendre, chaque fois un peu plus haut. J'étais tétanisée, résistant à l'envie terrible de prendre cette main et de la coller à mon sexe pour me faire hurler de plaisir. La caresse était douce, nonchalante, mais très présente. Plus d'une fois, sur un détail croustillant, Alexandra croisait mon regard, je le baissais un peu honteuse de tout ce que Julien déversait. Sans doute cela lui faisait du bien. Mais il était aussi excité, je voyais son sexe déformer son pantalon, s'humilier ainsi devant cette inconnue!

En face Geoffroy se régalait, à la fois des propos indécents de Julie, et de sa femme me caressant sans y penser. Ma jupe remontée, dévoilait toutes mes cuisses, que me fit écarter Alexandra en mettant une pression sur l'autre cuisse, qu'elle s'ouvre. Je m'exhibais à son mari, à l'insu de Julien perdu dans ses fantasmes masochistes. Lorsqu'Alexandra enleva sa main, je failli hurler de frustration, je me remettais présentable, les enfants descendaient. Ma vulve palpitait au bord d'un orgasme qui ne viendrait pas!

Et maintenant dans ce lit, je repense à ce moment, à ces enchaînements torrides. Cette famille est fascinante, j'aurais envie de dire diabolique, mais ce n'est que du plaisir. Je réalise que perdue dans mon excitation, il faut que je demande aux enfants ce qu'ils en ont pensé, à Julien aussi. D'un coup je me rappelle qu'Alexandra m'a proposé un Hammam ensemble, mais je ne sais pas quand, c'est elle qui doit me rappeler. Je n'ai pas son numéro. A la perspective de la revoir bientôt, je me calme pour m'endormir, me promettant de me trouver un ou deux mecs bien membrés pour me soulager demain!

***

[Julien]

J'ai tellement envie de la toucher mais je n'ose pas. Je l'ai sentie jouir tout à l'heure, si elle savait comme je l'aime. Cela m'a fait tellement de bien de tout déballer à une inconnue, et quelle inconnue! Alexandra buvait toutes mes paroles ce soir. Je suis certain que je n'aurais pas dû, mais je n'arrivais pas à me retenir. C'était une soirée d'humiliation et d'excitation, entre la soubrette et Alexandra, elles savent tout de ma sexualité gravement défaillante. Je suis tellement complexé de mon petit sexe, que c'est un soulagement qu'elles le sachent, comme cela je n'ai pas l'impression de tromper mon monde. Et puis je suis tellement fier de Marie, de ses conquêtes, de son plaisir, c'est une femme extraordinaire, et je ne peux jamais le dire à personne. Et m'humilier ainsi publiquement m'a donné tant de plaisir!

Geoffroy est magnifique, il donne instinctivement confiance et je me sens apaisé avec lui, même si nous n'avons pas tant discuté que cela. J'ai été surpris qu'il me propose de venir à son club de polo, c'est ce qu'il y a de plus chic à Paris. Il n'y joue pas, mais il y a des cours de squash, il va me donner ma première leçon. C'est gentil à lui, alors que je les trouvais très distants. Mais sans doute c'est le prix à payer pour le succès. En tous cas Marie a bien fait avec cette invitation. Ils sont incroyables.

J'ai mon sexe encore tout dur, bien entendu je n'imagine pas pouvoir me soulager dans Marie, cette idée me fait sourire, je sais que je ne suis pas digne d'elle et déjà j'ai la chance de vivre avec elle. Ce qui n'est pas rien! La voir me comble et nourrit un certain nombre de mes fantasmes. J'en ai tellement, mon ordinateur est rempli de récits que j'ai téléchargés, divers et variés, j'avoue adorer la perversion et tout ce qui est bizarre, voire très bizarre. C'est bon aussi de se retenir de jouir, cela développe l'imaginaire, fait monter les envies à de nouveaux niveaux. Je me demande comment je vais pouvoir m'endormir. Souvent le soir j'ai pris l'habitude de mettre un plug, à l'insu de Marie bien entendu. Aucun risque qu'elle ne s'en aperçoive. Mais ce soir j'ai oublié, cela me manque. Comme elle ne dort pas, c'est compliqué à réparer. Je me promets demain de passer à la taille XL, pour être bien contraint, je ne sais pas si j'arriverai à tenir toute la nuit, mais il le faut absolument.

Je n'y tiens plus, Marie respire régulièrement, je vais dans la cave chercher mon nouveau gode, il est dans une malle où je cache des revues et des accessoires pour mon plaisir. J'en ai bien le droit, au vu de toutes les absences de Marie. Je remonte dans la salle de bain, Marie est assoupie. Je prends du lubrifiant, et j'écarte mes fesses en posant une jambe sur le rebord des WC. Mon cul est tout souple, depuis le temps, et s'ouvre facilement. Mais le plug est plus gros que d'habitude, j'y vais doucement pour ne pas me blesser, je retarde le moment où il va être aspiré, surtout pour en jouir pleinement. Il trouve naturellement sa place, je me sens complètement rempli, je caresse doucement mon sexe. Quelle sensation incroyable.

Je me retourne pour rentrer dans la chambre et me heurte à Marie qui a tout vu! Je suis paniqué, mais elle ne dit rien, me sourit, me pose un baiser sur la joue et va se soulager. Je me couche, la sensation est plus forte, moins agréable. En revenant, Marie pose une main entre mes fesses pour sentir le plug, sa fermeté, me souhaite bonne nuit, et me laisse ainsi fortement enculé pour la nuit. Je loue sa tolérance, mais me promet d'être le plus discret possible.

***

[Marie]

Passé la porte, j'entre dans un univers hors du temps et de l'espace. L'espace est couvert de marbre, il fait sombre, chaud et humide, la lumière est indirecte, il y a des plantes partout, c'est très luxuriant. Les femmes sont le plus souvent nues, papotent, se font masser, déjeunent ou bien nagent dans la grande piscine vert clair. C'est incroyablement apaisé, l'absence d'homme y est sans doute pour beaucoup, nous sommes entre nous.

Alexandra m'a emmenée dans sa Porsche, première fois que je monte dans un tel bolide. C'est très classe, j'étais tout excitée. A peine partie, elle m'a posé la main sur la cuisse, comme si c'était naturel, tout en discutant, comme si de rien n'était, avec moi. Il fait si chaud que je n'avais qu'une jupe légère, un polo et des sandales assorties. Alexandra portait une robe ultra courte en coton, et des sandales à lanières superbes. Avec ses lunettes noires, elle avait tout d'une star. Le contact de sa main sur ma cuisse m'a électrisée et c'est pantelante que je découvre l'endroit.

Lorsque je sors de la cabine, Alexandra ne se gêne pas pour me mater en détail. Elle me fait tourner sur moi-même, me fait des compliments sur ma taille resserrée qu'elle caresse d'une main, mon ventre plat, mes cuisses fermes. Je lui confirme qu'effectivement j'ai fait une épilation intégrale du maillot, des jambes et des aisselles, un cadeau de Noël de Julien. C'est fou qu'elle s'intéresse à moi ainsi, alors qu'elle est sublime. Certes elle a un petit bonnet A, mais cela n'enlève rien à sa féminité. Elle a tellement de grâce et de charme! Elle semble fascinée par mes seins, les caresse, les soupèse, je ne dis rien, je m'offre avec bonheur à ses attouchements.

Nous commençons par nous baigner doucement, l'eau est chaude et c'est divin, je me détends, me laisse porter, je la remercie de son invitation, c'est quelque chose de nouveau pour moi et je me promets d'y revenir, peut-être avec Lucie. Après nous être allongées quelques minutes, nous sommes appelées pour notre massage, dans une pièce fermée avec deux tables qui nous attendent.

Les deux jeunes filles qui nous massent son adorables, la musique est douce, je somnole tandis qu'elle me masse la tête, la nuque et les épaules. Cela aussi je devrais le faire plus souvent. Alexandra a la tête tournée vers moi, me regardant intensément, je me sens envoutée par elle. La masseuse me masse maintenant les fesses, je me détends, je m'ouvre. Elle pose un doigt sur mon anus, je suis certaine qu'il est propre après le bain pris, aussi je ne réagis pas. Sinon par des frissons de plaisir. Le doigt se fait plus pressant, masse mon cul par des mouvements circulaires, Alexandra me regarde toujours, je ferme les yeux sur ces sensations délicieuses, des ondes de plaisir traversent tout mon corps.

Un deuxième doigt vient rejoindre le premier, je comprends que ce n'est pas un incident, mais que cela fait partie du massage. Loin d'être prude, et adorant le sexe anal, comme Julien a dû l'expliquer longuement à Alexandra, je me laisse faire. Ce serait dommage d'interrompre, tant c'est délicieux. Les deux doigts ont bien ouvert mon cul, je le sens totalement détendu, c'est une telle sensation, je soupire d'aise. Un troisième doigt arrive sans surprise, avec, cette fois-ci, du lubrifiant et plus de l'huile de massage, j'en suis certaine. Je creuse un peu mes reins, pour faciliter le passage et aussi faire passer le message que je suis connectée, consentante, et que j'en ai très envie.

Les trois doigts entrent maintenant profondément en moi, je me fais sodomiser ainsi, en public ou presque, et sous les yeux de ma voisine, et je n'en ai cure. Les mouvements sont amples, comme si elle n'était pas satisfaite de l'élasticité de mon trou! C'est sans surprise que je sens un quatrième doigt venir s'engouffrer en moi. Je ne peux retenir un gémissement continu. Je pivote un peu sur la table pour remonter mes genoux, soulager la tension qui reste forte. Le bruit de succion couvre la musique, et entre mes paupières je vois la masseuse d'Alexandra qui a cessé son massage pour me regarder me faire ouvrir en deux. Heureusement que je suis expérimentée en sodomie, et que sa main semble quand même très fine. Ses mouvements sont parfois lents et doux, mais d'un coup elle semble s'animer et je suis complètement défoncée, avant de se calmer à nouveau. J'alterne des gémissements de plaisir, de frustration, de désir, j'ai envie de hurler.

Les mouvements sont maintenant à peine perceptibles, le pouce s'insère à son tour, elle pousse tout en tournant légèrement la main, j'ai le souffle coupé. Je n'arrive pas à penser, je suis envahie, défoncée, violée par cette main inconnue, mais je ne me débats pas, au contraire, je m'offre. Instinctivement je prends le rythme de respiration de l'accouchement, la main progresse, je gémis, mais je m'ouvre, je le sens. La douleur est fulgurante mais disparaît aussitôt, la main s'est enfoncée en moi, elle est toute au fond. Incrédule je touche le poignet dont l'extrémité disparaît en moi. C'est tellement fort, mais l'excitation est différente, elle est complètement dans ma tête. Je sens la main qui progresse dans mon ventre, le poignet est lui aussi inséré, je tremble de tout mon corps, c'est une sensation incroyable. Je la touche pour réaliser comme elle est enfoncée profondément, je sens son coude tout près de mon trou! J'en tremble d'émotion.

La jeune femme me fait pivoter, j'ai les yeux fermés, je suis sur le dos, les jambes écartées et relevées, son bras sortant d'entre mes cuisses. L'image est torride, me fait jouir dans ma tête. Je sens une autre main sur mon sexe, c'est l'autre masseuse qui est venue contre moi, elle me murmure des mots rassurants et doux, caresse autour de mon clitoris, vérifie la lubrification de mon vagin avant d'y plonger deux doigts. Je sursaute, il est écrasé par l'avant-bras de sa collègue, mais le reste de la main est plus loin et ne bloque pas le passage.

A nouveau le même processus, mais là je n'y crois pas. Je ne peux rien faire, je tremble de tout mon corps, le bras dans mon cul me fait vibrer comme jamais, elle me caresse de l'intérieur avec ses doigts. L'autre joue de mon col, de mes points sensibles, rit de mes gémissements continus tandis qu'elle continue d'insérer les doigts. Mon vagin se distend naturellement, et quand elle commence à pousser vraiment fort, je pense que je vais être déchirée, mais je ne dis rien, je ne fais que gémir, les yeux clos pour me concentrer, me détendre, m'offrir.

Je n'ai pas le temps de réaliser que la main de la seconde masseuse a trouvé sa place au fond de moi, qu'une bouche avide m'embrasse profondément. Alexandra est penchée sur moi, ses petits seins pointant sur les miens, qu'elle se met à malaxer, pincer et faire valser. Elle me murmure que j'ai une poitrine bien trop jolie, un drôle de compliment. J'ouvre les yeux, les trois femmes autour de moi, les sens complètement chavirés. Tandis que ma nouvelle amie empoigne douloureusement mes seins, me faisant gémir de plus belle, les deux masseuses animent leur main en moi, j'ai les yeux révulsés. Quand je sens une bouche sur mon clitoris, aucune idée d'à qui elle appartient, je pars dans un orgasme qui me fait craindre l'avc. Tout mon corps est tendu, je hurle tant que je peux, j'expulse d'un coup la main dans mon vagin accompagnée d'un jet d'eau à la quantité impressionnante. Je hurle mon plaisir, la douleur dans les seins est terrible et m'excite prodigieusement, parce qu'elle vient d'Alexandra!

Je suis hagarde, le cul toujours fisté, Alexandra contre moi, me caressant tout le corps. La seconde masseuse m'essuie partout, tandis que la première a repris ses mouvements de va et vient, sans doute pour me libérer. J'essaie de me détendre, craignant une nouvelle souffrance quand elle va sortir. Alexandra lâche un de mes seins, sur lequel ses doigts restent marqués, et me caresse doucement mon clitoris ultra-sensible. Malgré la proximité du dernier orgasme, je sens le plaisir monter, tandis que les coups de boutoir dans mon cul sont de plus en plus fort. Au moment où je jouis à nouveau, la masseuse retire son poing, décuplant la sensation. Sans que je ne puisse rien contrôler, je jouis et je crie mon plaisir pendant de longues minutes. C'est long pour un orgasme! Je n'arrive pas à m'arrêter, je suis hystérique.

Je suis anéantie de plaisir. Le corps complètement endolori. Pour un massage le résultat est un peu douteux. Mais je me doute qu'il n'a jamais été question d'un massage classique, et je ne le regrette pas. Alexandra m'emmène manger dans la partie restaurant, toujours nues, et me complimente pour ma performance.

- Tu es comme ta fille!

- C'est-à-dire?

- Elle ne t'a pas raconté sa soirée avec les jumelles?

- Nous n'avons pas eu trop le temps de discuter en fait.

- Tu devrais lui demander. Et lui dire que tu es une pain slut comme elle

- Une quoi?

- Pain Slut

- Cela veut dire quoi?

- Tu lui demanderas (Je n'ose pas insister avec Alexandra, je sens qu'elle se bloque facilement, et puis je vois bien ce qu'elle veut dire, et je comprends bien pourquoi elle le dit)

- D'accord, en tous cas merci pour l'expérience

- Nous pourrons en faire d'autres si tu veux?

- Vous avez l'habitude?

- Des femmes somme toi, oui bien entendu.

- Oui je veux bien, et toi tu as envie (Je me sens un peu fébrile vis-à-vis d'Alexandra, je crois que je commence à sérieusement être attirée)

Je n'ose pas trop la questionner, elle sait très bien faire comprendre que c'est elle qui mène les débats. Dans la voiture au retour, sa main sur ma cuisse est autrement plus insistante. Elle a voulu garder ma culotte en souvenir de la journée, aussi mon sexe est-il à sa disposition. Provocante, j'ai écarté les cuisses et avancé le bassin, pour voir ce qu'elle allait faire. Et j'ai vu. Sa main n'est pas restée longtemps sur la cuisse, est remontée, a bloqué ma jupe dégageant mon pubis, se mettant alors à caresser puis pincer mes lèvres. Je creuse mes reins pour lui faciliter la tâche. Elle glisse un doigt le long de ma fente, le recourbe pour qu'une phalange entre, j'ai le souffle court. Dans le parking, elle me prend par la taille et m'embrasse, avant de me murmurer qu'elle me veut. Je suis toute chancelante, peu habituée à être aussi passive, perdue d'être ainsi attirée par une femme, sans comprendre ce qu'elle désire de moi.

***

[Kevin]

La soirée m'a laissé un mélange de honte et d'excitation. Cela reste flou pour moi comment j'ai pu me laisser faire, devant Julie en plus! Evidemment en rentrant je me suis masturbé, deux fois, sans que l'excitation ne se calme, comme si elle était plus forte que tout! Je crois que, bizarrement, la honte nourrissait aussi cette excitation, être à genoux ainsi devant ces filles, et voir Julie de masturber et jouir, le souvenir me bouleverse.

Je ne pensais pas avoir des nouvelles des jumelles, et pourtant dès le matin je reçois un premier message.

- Coucou Kevin, tu vas bien?

- Bonjour les filles, oui je te remercie

- Tu n'as pas trop mal aux fesses?

- Non ça va, je sens mon cul, mais cela me permet de me rappeler la soirée

- Tu as aimé alors, tu ne nous en veux pas?

- Oh non. Oui j'ai aimé, même si vous ne m'avez pas permis de jouir.

- Nous sommes certaines que tu t'es rattrapé en rentrant

- Oui c'est vrai!

- Tssst, tssst, ce n'est pas bien

- Pourquoi?

- Tu ne dois jouir que quand on te le permet

- Mais pourquoi?

- Si tu as envie de nous revoir et de jouer avec nous

- Vous voudriez?

- Et toi? Tu aimerais recommencer?

- Oh oui bien entendu

- Et tu aimerais plus?

- Oui

- Sans même savoir ce que c'est plus?

- Je vous fais confiance, moi je n'y connais rien

- Oh nous sommes certaines que tu regardes des vidéos, ou que tu lis des textes

- Pas trop les vidéos, je n'aime pas

- Tu sais ce que tu pourrais faire? Nous envoyer les textes qui te font triper, comme cela on saura ce que tu aimes

- Oh... oui c'est une bonne idée

Après la soirée d'hier, je n'ai pas grand-chose à sauver. Elles savent que je suis puceau, que j'ai un petit zizi, et elles m'ont enculé. Et elles m'excitent beaucoup, jamais je n'aurais pensé pouvoir intéresser des filles comme cela, c'est fou! Les jours suivants, je leur envoie des textes, en y allant crescendo sur mes récits préférés. Elles sont toujours très positives, trouvant cela à la fois excitant et intéressant, me disant bien cerner mon caractère, me demande si je me sens vraiment de vivre cela. Je crois oui, mais impossible de dire avant.

12