Quatre à Quatre Ch. 02

[Marie]

J'aurais dû y penser, que la maison avait un sous-sol, puisque nous avons des caves dans les autres bâtiments. L'escalier pour descendre est plus ordinaire, même s'il est en pierre. L'éclairage est doux, indirect, et je découvre avec stupeur une véritable installation balnéo avec un saune, un hammam, une piscine éclairée magnifique, une table de massage. Une douce musique baigne l'ensemble. Le reflet de la lumière dans l'eau est magique. L'atmosphère est un peu humide, la décoration est d'origine asiatique, tout sent le bien-être.

Je ne tressaille pas quand je sens Geoffroy se coller contre moi. A cet instant, c'est ce que je désire le plus, sentir sa virilité, ses bras autour de moi, sa puissance m'entourer. Ses mains me caressent le corps, soupèsent mes seins, massent mon ventre, soulèvent doucement ma robe pour dévoiler le haut de mes cuisses. Je ne suis pas en reste, quoique maladroite, mes mains dans le dos, pour sentir son pieu dur et tendu, ses cuisses musclées. J'ai envie de l'embrasser, mais il me maintient ainsi.

D'une main experte, il dégrafe mon soutien-gorge, le fait glisser par une manche, je me retrouve ainsi les deux seins déformant ma robe, pendant de façon provocante. Il reprend alors ses caresses sur mes seins, fait rouler mes tétons sous ses doigts avant de les pinces doucement, d'abord, moins doucement ensuite, j'adore, je gémis, cela me brûle, mais je m'offre. Il le sens, les pince plus fort encore, mon bassin roule, je coule. Comme s'il le sentait, sa main descend, s'immisce dans ma culotte trempée, caresse doucement mon clitoris, je me mords les lèvres.

Il fait glisser la culotte, je l'enjambe, je suis cul nu, toujours collée à lui, une poupée entre ses mains puissantes, complètement offerte. Il joue de mon clitoris, le pince lui aussi, je gémis, je tremble, pas un orgasme, quelque chose de différent, une boule dans le ventre. Il me fait lécher ses doigts collants de mon excitation, approche sa bouche de mon oreille, me murmure que nous devons remonter, avant de me prendre la main et de remonter l'escalier. J'ai envie de hurler ma frustration, mes cuisses sont couvertes de mon excitation, tandis que je dois laisser ma culotte et mon soutien-gorge à la cave. Il me sourit, pour la première fois, et je fonds, c'est les joues en feu que je regagne le petit salon.

Julien est en conversation intime avec Alexandra, il ne fait pas trop attention à mon retour heureusement. Quelle soirée!

***

[Lucie]

Les jumelles sont bien plus intéressantes que je ne pensais. Mais aussi très intimidantes, j'adorerais avoir leur assurance! Pas facile de les distinguer, mais je remarque que l'une a le visage plus dur que l'autre, Christelle, qui parle moins et nous regarde de façon prononcée. Elles sont plus grandes que moi, sans presque de poitrine, tandis que leur cou est mince, et leur taille affolante. Elles sont tellement plus féminines que je ne le serai jamais, comme quoi les hommes ne comprennent rien à être obsédés par les grosses poitrines! Kevin est déjà amoureux j'en suis certaine! Le pauvre, que peut-il espérer de deux créatures comme elles?

- Raconte nous Kevin, quelle est ta meilleure expérience sexuelle?

- Euh, je...

- Tu es timide? Je croyais que vous vous promeniez à poil chez vous, tu ne dois pas être pudique

- Ce n'est pas cela, c'est que... je n'ai jamais eu d'expérience sexuelle (Kevin est rouge de honte, j'aurais presque pitié de lui. Mais presque, il me pourrit assez la vie!)

- Jamais? (Les deux jumelles le regardent avec un sourire narquois) Pas même une fellation?

- Non

- Oh tu es un vrai puceau alors. Mais peut-être ce sont les hommes qui t'intéressent, te faire sodomiser?

- Non (Le pauvre ne sait pas trop où se mettre)

- Ça alors, il va falloir y remédier. (Estelle sourit de plus belle, je me dis qu'elle prépare un sale coup, je suis curieuse de voir)

Elle appuie sur une sonnette, et quelques instants après la bonne, Cila, apparaît.

- Mademoiselle Estelle?

- Cila, j'ai besoin de toi. Tu vois Kevin, là, eh bien il est totalement puceau. Il n'a même jamais senti la bouche d'une femme sur son sexe.

- Bien Mademoiselle

Et sans plus de détails, elle se met à genoux, défait la braguette de Kevin qui esquisse un mouvement de recul, vite réprimé. Je la vois sortir le petit sexe de mon frérot, déjà dur. Chaque fois je suis surprise comme il est petit! Elle le prend en bouche sans un mot, et commence à le sucer tout doucement.

Je n'ai aucune attirance pour mon frère, mais la situation est très excitante. Je vois Christelle soulever sa robe sous laquelle elle est nue, parfaitement épilée, et se caresser! L'alcool aidant, je fais de même. Chaque fois que Kevin est au bord de l'explosion, Cila se retire, lui caresse les couilles, lui mordille la queue puis reprend sa succion. Il devient fou, il la supplie, il implore, mais rien n'y fait. Sa frustration est encore plus excitante, j'avoue être toute chamboulée.

- Retire-lui son pantalon, et son slip (C'est Christelle qui a pris le commandement)

A son grand regret, Kevin voit la bouche de Cila disparaître, et se retrouver presque nu.

- Déjà tu as découvert le plaisir d'une bouche sur ton sexe, cela t'a plus?

- Oh oui, c'est... divin, mais pourquoi ne pas me laisser jouir?

- Mais parce que je veux te savoir bien excité pour ta première vraie expérience sexuelle

- Oh! (Kevin est complètement perdu), moi je me caresse et avec ces deux déesses, c'est très excitant, j'évite de me faire jouir pour que ce soit meilleur)

Mets-toi à genoux, les fesses tournées vers moi, laisse-toi faire, fais-moi confiance, tu te souviendras toute ta vie de ta première expérience!

Kevin ne comprend pas, moi si, car j'ai vu Estelle se munir d'une culotte avec un petit gode, à peine plus gros que son pénis, venir se positionner contre lui. Les deux filles lui demandent de se laisser faire, et j'ajoute ma voix aux leurs, en lui disant qu'il va adorer. Moi j'adore en tous cas les sodomies.

Estelle y va très doucement, le gode est enduit de lubrifiant, il est petit, et rentre facilement. Après un moment de crispation, Kevin se laisse aller et se met à gémir. Christelle lui fait dire à quel point il aime cela, que c'est bon d'être enculé. Les deux jumelles se sourient. Je suis certaine qu'elles n'en sont pas à leur coup d'essai.

Christelle enfile à son tour une culotte gode, mais celui-ci est d'un tout autre calibre. Je ne suis pas certaine d'avoir vu un sexe d'homme aussi gros, il me semble énorme et long. Elle l'enduit de crème puis vient prendre la place de sa sœur. Kevin n'a rien vu et pense que c'est Estelle qui revient. Il comprend vite son erreur, mais ne bouge pas, suivant les injonctions de Christelle, qui lui annonce qu'il se fait prendre comme une vraie femelle, qu'il pourra revendiquer s'être fait déflorer en beauté. Sa voix est pleine d'excitation, et elle regarde intensément sa sœur en souriant.

Elle est douce avec lui, rentre puis sort le gode, qui s'enfonce néanmoins inexorablement. Kevin a la bouche ouverte, je le sens tressaillir, du sperme coule de son sexe, c'est amusant. Les mouvements sont plus amples, plus rapides, il halète, il gémit, Christelle lui demande de s'offrir, il se détend, elle le prend complètement, il couine comme une truie, moi je me fais jouir, enfin, comme jamais, c'est tellement torride. Estelle me regarde amusée.

Le bruit des chairs qui se heurtent est de plus en plus fort, et Kevin crie son orgasme inattendu, tandis qu'un flot de sperme s'épanche sur les draps. Mais Christelle n'en a pas fini et continue de le prendre encore et encore, jusqu'à ce qu'il l'implore, lui disant qu'il n'en peut plus. Le gode immense, ressort luisant du lubrifiant, son cul est bien ouvert, quelle décadence! Kevin s'effondre, épuisé. Les jumelles rient.

- Je crois qu'on a bien cerné ton petit frère, tu ne crois pas?

- J'avoue, je ne m'attendais pas à cela, mais oui, finalement cela lui correspond bien!

- Comment le décrirais tu?

- Mmmhhh je ne sais pas et vous?

- Une lopette? (Christelle propose)

- Oui une lopette (Estelle approuve)

- Une lopette! (Je renchéris et nous rions toutes les trois)

- Et toi alors Lucie, toi tu es quoi à ton avis?

- Je suis censée être quoi?

- On a parlé du pauvre Kevin, mais toi ta sexualité c'est comment?

- Nettement plus riche (je ris), j'ai commencé tôt, et je serais incapable de compter mes mecs.

- Des histoires sérieuses?

- Non pas vraiment, les jeunes sont cons, les vieux sont... vieux

- Nous confirmons! Et avec des femmes?

- Avec des copines, plus jeune, mais rien depuis

- Et tu pratiques quoi?

- J'adore tout, mais surtout la sodomie je dois avouer!

- Intéressant, et si nous testions cela comme avec ton frère?

- Euh, je ne sais pas, je ne suis pas trop chauffée là?

- Je parie que ta culotte est trempée (Estelle soulève ma robe pendant que Christèle soulève ma culotte, je ne me défends pas, je trouve cela très excitant de les sentir me tenir ainsi)

- Oui elle est dégoulinante.

- Allez prend la position, tu connais!

Christelle n'a pas enlevé sa culotte, et c'est en direct du cul de mon frère qu'elle vient s'appuyer contre ma rondelle. Je tremble d'excitation et de fébrilité, je ne me souviens pas d'avoir vécu une scène aussi torride et délirante. Le gode est à peine lubrifiée, mais Estelle lui dit qu'avec une salope comme moi, c'est à sec qu'il faut me prendre. Les mots m'excitent encore plus, j'imagine la vision qu'elles ont toutes les deux et je ne dis rien. Le pieu positionné, elle l'enfonce d'un coup, m'arrachant un cri strident, la douleur est intense, mais elle n'en a cure, et je ne fais rien pour me dérober. Aussitôt elle prend le rythme et le va et vient est rapide, profond et violent. La douleur disparait aussi vite qu'elle est venue, j'en ai l'habitude, je crie toujours mais de plaisir, elle me défonce comme jamais je n'ai été défoncée, rien à voir avec ce qu'elle a fait vivre à Kevin! Je sens tout mon ventre se tordre, mes jambes trembler, et mon sexe littéralement couler sur les draps. Estelle le fait remarquer à sa sœur qui redouble de violence, avant de venir jouer avec mon anus, en l'ouvrant et le fermant à toute vitesse, m'épuisant, me brisant, m'amenant au firmament. C'est aussi bien insupportable qu'extatique, je veux que cela s'arrête, mais l'arrêt serait insupportable.

Je ne peux plus me retenir, et je colle ma main contre mon clitoris. Je n'en reviens pas de sentir toute la zone inondée.

- Tu jouis seulement quand je te le dis!

La voix d'Estelle me surprend, je gémis de frustration, me cambrant encore plus, espérant que la violence des coups de boutoir de Christelle qui ont repris, me fasse partir. Quelle énergie elle doit avoir, c'est fou. Enfin elle annonce à sa sœur qu'elle fatigue, j'ai alors l'autorisation de me faire jouir. Rien que de recevoir cet ordre me fait partir, et je hurle un orgasme qui fait tressaillir tous mes muscles. Je m'effondre aux côtés de Kevin qui n'en a pas perdu une miette et caresse son tuyau en me regardant. Quel pervers!

- Tu vois ce n'était pas difficile

- Qu'est-ce qui n'était pas difficile (J'ai repris mes esprits)

- De savoir ce que tu étais, Christelle?

- Pain Slut (Christelle le dit en rigolant)

- Pain Slut je confirme (Estelle me sourit)

- Pain Slut? (Je demande)

- Tu parles anglais? Tu dois comprendre ce que cela veut dire.

- Oui mais pourquoi vous dites cela?

- Tu es une salope, cela ne se discute pas, tu es d'accord.

- Oui...

- Et tu adores la douleur, cela te fait partir. Regarde comme Christelle t'a prise, pas une seconde tu n'as demandé moins fort, au contraire, et tu as joui comme jamais j'en suis certaine.

- C'est vrai.

- Tu es une pain slut!

- C'est grave? (Je leur souris)

- Cela ne se soigne pas, mais nous pouvons t'aider à aller très bien! Au contraire, tu éprouves tellement de plaisir à découvrir, si tu savais.

- Je m'en fais une joie.

Nous rions toutes les trois, mais je ne suis pas certaine que cela signe une quelconque complicité!

***

[Kevin]

Ce que je viens de vivre dépasse largement tout ce que j'ai pu fantasmer ou voir sur Internet, je suis incroyablement bouleversé. Me faire prendre comme cela est vraiment divin, je dois l'avouer, et cela me manque déjà. Et Julie... Oui c'est vraiment une salope, je le savais, mais pas à ce point. Et puis il y a Cila, elle me fascine vraiment. Je ressens à la fois une personnalité très forte, mais complètement soumise aux ordres des jumelles. C'est un drôle de mélange, et une plastique proprement idéale. Je vais pouvoir me branler pendant des mois rien qu'en pensant à elle!

- Et Cila? (J'ai à peine chuchoté, je ne résiste pas au regard des jumelles qui m'impressionnent)

- Cila? Que veux-tu savoir? C'est notre soubrette

- Euh, un peu plus non? Elle semble vous obéir et comment elle est habillée!

- Tu aimes?

- Oh oui c'est très sexy

- Plus que cela! Tu as raison, c'est plus que notre soubrette, notre esclave!

- Oh l'esclave de papa et maman, nous on n'a pas encore notre esclave! (Christelle la reprend)

- Quoi!!! (Julie a bondi en entendant cela, ses joues sont rouges) Mais cela n'existe pas, ou plus, c'est interdit.

- Bien entendu, mais c'est une esclave volontaire, et surtout une esclave sexuelle.

- Une esclave sexuelle?

- Oui elle ne vit que par et pour le sexe, elle s'est livrée à nos parents pour qu'ils en fassent une esclave sexuelle, dressée et pour tous services. Et sévices. Tu as pu le tester Kevin!

- Oh par exemple (Julie semble terriblement excitée d'un coup, je la vois croiser ses jambes comme si elle cherchait à se caresser)

- Plein de choses, elle est à notre service permanent nuit et jour, elle fait tout ce que nous lui disons de faire. Si j'ai envie d'un cuni, je l'appelle et elle vient me lécher. Si Christelle a envie de se défouler et la fouetter jusqu'au sang aussi. Souvent nous jouons avec ses trous, à la remplir ou la défoncer, à l'origine les gode ceintures c'était pour elle. J'adore la dilater et la fister. C'est quelque chose d'incroyable je trouve, enfoncer tout mon bras en elle!

- Papa et maman l'ont marquée, posé des anneaux, elle n'existe plus que par et pour eux. Ils l'utilisent en toilette par exemple.

- En toilette, cela veut dire quoi? (Julie s'étrangle, ses yeux brillent follement)

- Eh bien en urinoir, elle les boit. C'est super pratique, surtout la nuit, et j'aimerais avoir une truie pour cela moi aussi.

- Et surtout on s'amuse beaucoup sexuellement avec elle, on l'humilie, on la rabaisse, elle rampe et plus on la bat et on l'humilie, plus elle mouille, tu verrais ce qu'elle est capable de subir, c'est génial.

- Vous l'humiliez comment?

- Ah, ah! cela semble d'intéresser, par exemple en public, en la tirant en laisse, en lui faisant faire ses besoins entre deux voitures, en la faisant lécher un sdf, c'est infini.

- Oh mon dieu (Julie serre les cuisses de façon tellement évidente, mais elle ne le réalise pas, elle ne tient pas en place)

- Et si j'ai envie de lui faire l'amour? (Je demande un peu gauchement)

- On ne fait pas l'amour à une esclave, on l'utilise, quelle idée! Mais non, elle ne t'obéira pas.

- Mais vous pourriez lui demander

- Oui mais nous avons d'autres plans

- D'autres plans?

- Oui pour toi tu verras.

- Mais, mais, qu'est-ce que vous voulez dire?

- Tu verras elle te dit. (Estelle est irritée, je rougis de l'avoir énervée)

Je suis décontenancé, mais au fond un peu flatté que Christelle m'ai dit qu'elle avait des plans pour moi. Je suis encore ivre, je sens mon cul et je dois avouer que c'est très agréable. Les jumelles semblent se désintéresser de nous, Julie a les yeux perdus dans le vague, quelle soirée étonnante. Il est temps de rejoindre les parents.

Nous sommes tous les quatre bien trop perplexes pour se rendre compte de l'état des autres. Nous ne sortons pas de cette soirée totalement indemnes. Pourtant nous sommes riches d'invitation pour la suite. Papa doit aller au club de sport avec Geoffroy, c'est un club très privé. Maman va dans un sauna hammam réservé aux femmes avec Alexandra. Julie doit revenir passer une soirée avec les jumelles, et quant à moi, elles ont un plan, je n'ai plus qu'à attendre. De toute façon, je n'ai pas d'autres choses à faire.