Lucie, But Not Lucky (?) Ch. 17

BÊTA PUBLIQUE

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Après m'avoir copieusement défoncé le baigneur, il trouve un reste de galanterie caché dans les méandres de son esprit simplet et me transporte dans la salle de traite où Alexandre réclamait ma présence. Là je crois que je ne supporterais pas un seul instant une nouvelle succion de mes mamelles, je suis vidée du rythme trop soutenu à mon gré de cette journée ! Mais c'est juste sa queue que le patriarche du domaine souhaite offrir à ma bouche ! Je chope ce chibre d'une main à moitié gluante du foutre de Jules récupéré sur ma figure, il n'a pas su viser ce con ! Je suis pressée d'en finir, tendant l'oreille en suçant en espérant entendre le bruit de la voiture de Paul venant me sortir de ce guêpier campagnard.

- Garde-la en bouche, me recommande-t-il après avoir largué la purée.

Malgré une petite crampe qui m'a un peu handicapée au milieu de mon ouvrage, je suis venue à bout de cette érection assez aisément. Trois, quatre minutes après, alors que sa queue a en partie débandé, sa main vient écraser ma tête contre ses poils. Dans la foulée je sens un liquide chaud m'envahir le palais. Je percute de suite que ce porc est en train de me pisser dans la bouche ! Bloquée par sa poigne j'essaye de me débattre pour échapper aux giclées suivantes, donnant des coups de poing dans ses cuisses, grognant comme une vache, tentant de le repousser sans réelle efficacité .

Sans résultat après le troisième jet, j'emploie les grands moyens et donne un petit coup de canine sur la verge qui m'envahissait le bec. Les conséquences ne se font pas attendre. Il m'agrippe les cheveux, me tire en arrière et de sa main libre me colle une baffe !

- Je te laisse le choix petite conne, soit tu reprends ma queue dans ta bouche pour que je finisse de me vidanger, soit je t'installe pour une nouvelle traite. Une petite heure devrait te faire du bien et te remettre les idées en place ! Tu verras la seconde fois est encore meilleure !

Rien que l'idée me révulse et j'en ai les nénés qui claquent de trouille. Ce goût de pisse est infect, mais la torture de ce matin a été un véritable calvaire. Dans ce choix cornélien, j'opte pour la sauvegarde de l'un de mes plus beaux atouts lors de mes tentatives de séduction en me disant que ce choix sera déjà moins long à assumer. Je me résous à ré enfourner son chibre dans mon clapet. Sans véritable confiance dans mes capacités à garder la position, sa main vient retrouver sa place pour bloquer ma tête.

- Regarde-moi ... regarde-moi. Je te conseille de ne pas en laisser tomber une seule goutte si tu ne veux pas passer ta prochaine heure à couiner.

Un voui à peine audible sort de ma bouche remplie. Épuisée par cette journée démarrée aux aurores, je ne peux empêcher de chaudes larmes de couler en sentant un nouveau jet d'urine courir sur mon palais et ma gorge. Il prend son temps, distillant de petits jets, me laissant le temps d'avaler et entre chaque de bien profiter de l'inconfort de ma situation et du goût immonde de sa pisse. J'ai quand même parfois du mal à avaler correctement, toussotant jusqu'à faire ressortir quelques gouttes de l'infâme liquide par mes narines ! Alors qu'il se vide sans gène dans mon gosier, ce sont mes larmes qui coulent sur ma figure pendant toute cette épreuve.

Je ne sais pas si c'est cet infâme goût acide ou le fait de me dire que je viens d'avaler les déchets d'un homme qui m'écœure et me révulse le plus, toujours est-il que lorsque sa main libère ma tête pour le signifier la fin de mon supplice, je me précipite pour la mettre dans un seau à proximité et me vider la boyasse à grands coups de remugles nauséabonds !

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Paul nous retrouve juste avant le repas, il a insisté pour que nous le prenions avec eux alors que je le suppliais de m'accorder une fin de soirée au milieu des bulles du jacouzi. J'ai tout juste picoré dans les plats qui m'étaient proposés alors que mon estomac criait famine. La raideur du siège rustique m'a martyrisé les fesses, je ne tenais pas en place. Au terme du repas j'ai pu récupérer mes habits. Lorsque Brice m'a tendu mon soutif du bout des doigts, la forte odeur d'un foutre bien corsé m'a envahi les narines. J'ai constaté que ses bonnets contenaient une dose plutôt inhabituelle de cet immonde liquide et il a fallu les encouragements appuyés de Paul pour que j'accepte de mettre mes tétons dedans. Mon shorty n'a pas été en reste, pratiquement détrempé entièrement par la même substance, son contact sur ma peau et mon sexe en le mettant a été très pénible et écœurant.

J'ai été plus que dubitative du contenu, non pas que je doutais que cela soit du sperme, l'odeur ne m'a laissé aucun doute, mais je les avais tous épongés à plusieurs reprises aujourd'hui et je les voyais mal avoir encore assez de réserve pour inonder à ce point mes sous-vêtements. Non je n'y croyais pas, je n'osais même pas imaginer ce que vous êtes en train de penser. J'ai dû lutter contre quelques remontées gastriques provoquées par cette idée.

Je n'ai pas non plus pu échapper en guise de digestif à sucer une dernière fois les quatre bouseux. Une heure à m'activer sur leur chibre les seins et le sexe pataugeant dans cette immonde semence qui séchait progressivement et me rentrait dans tous les pores de la peau ! Quelques commentaires des fils pendant que je les suçais, dits pourtant à mots couverts, m'ont fait comprendre ce que je redoutais. Mon soutif hébergeait le foutre de l'âne et mon shorty a recueilli celui de l'un des chevaux ! Autant dire que mes envies de renvoi sont remontées à toute vitesse !

En rentrant, et ce malgré ma fatigue, je me suis frottée pendant une bonne demi-heure sous la douche pour faire disparaître toutes les traces, même les plus infimes, de cette journée en enfer avant de m'écrouler sur la couette !

Acte 3 - Je jouis donc je suis !

Après ce court, mais intense, séjour à la ferme, j'ai interdit l'entrée de la salle de jeu ainsi que celui du passage des artistes pendant trois jours. C'était non négociable après la sauvagerie répétée des doubles pénétrations. Ma bouche a donc été mise à contribution pour combler les manques, le piercing a été fort apprécié ! Paul en a aussi profité pour me faire pratiquer plus intensément la gorge profonde pour que je me perfectionne. J'ai passé ces trois jours la poitrine maculée de bave en permanence, mais mes progrès ont été appréciés. J'ai même réussi à la fin à lui lécher les boules avec sa queue au plus profond de ma gorge, c'est vous dire ! Même si maintenant je peux cocher fièrement "maîtrise complète de toutes les techniques de turlutte", je ne courrai pas après, cette dernière. C'est technique, crevant, exigeant et vous finissez toujours la gorge irritée pour la journée ! Au terme de cette pause monacale, Paul s'inquiète de ma santé.

- Cela fait combien de temps que tu n'as pas joui?

- Cela fait quatre jours.

- Tu dois être en manque de ne plus avoir depuis quelque temps ton orgasme quotidien?

- il ne faut pas exagérer non plus, de toute façon ma libido était en grève, recluse et déprimée par mes dernières expériences.

- On va s'attacher à rattraper ça cette après-midi, va chercher ton aspirateur à clito et sort le transat sur la terrasse ... et prend ton oreiller également.

Sans sauter au plafond, l'idée de passer un petit moment en compagnie de ce gadget ne me déplait pas. Il est en général très efficace, mon clito en est d'ailleurs tombé amoureux dès notre première rencontre et il succombe à chaque fois à ses charmes.

- Tu as pris ce qu'il faut? Bien, allonge-toi dans le transat.

Je m'installe, nue comme à mon habitude chez Paul, la tête confortablement posée sur l'oreiller en attendant la suite de ses directives. Il attrape mes mains et les attache l'une à l'autre sous le dossier, puis il écarte mes jambes et replie mes genoux pour poser mes pieds sur la terrasse de part et d'autre du transat et les fixer à ceux de mon siège. Ainsi immobilisée j'offre une vue plongeante indécente au plus profond de mon intimité. Il caresse ensuite mon sexe et s'enquiert de son état d'un majeur explorateur qui prend bien soin de visiter tous les recoins de mon vagin. Lorsqu'il le porte à sa bouche, il peut constater au goût de mouille appuyé qu'il dégage que cette situation ne me laisse pas indifférente.

Il s'empare alors du vibro pour ne pas laisser mon sexe esseulé. Cet intraitable aspirateur à clito est celui qui comporte aussi un petit plug sur la partie basse qui s'insère dans votre puits d'amour et vient prendre position en toute liberté contre votre point G. Il décalotte ensuite délicatement mon clito et vient y ajuster la bouche de l'appareil. Ce modèle est doté d'un petit anneau à son extrémité dans lequel est passé une fine cordelette qui m'entoure le bassin empêchant ainsi tout mouvement brusque de le déloger. Ainsi bien en place, en pleine possession de mes points stratégiques, il vérifie que la télécommande fonctionne et passant en revue une partie des programmes ! Je gémis lorsqu'il arrive aux aspirations les plus puissantes et ne peux retenir quelques petits coups de bassin impatients.

Pour compléter mon harnachement, il propose à ma bouche un bâillon pour ne pas perturber la quiétude du lieu en cette belle journée ensoleillée. Ce n'est pas celui avec la boule cette fois, il a trouvé un autre spécimen. Sur celui-là, c'est un petit plug en forme de sexe qui tient lieu de bâillon. Pas très long, mais suffisamment large pour me remplir le bec et m'empêcher d'émettre le moindre son tangible autre que des grognements de bas étage ! Ce que je m'empresse d'exprimer gênée par l'inconfort de cet envahisseur. Paul se recule alors pour constater l'effet du tableau, actionne à nouveau un court instant le gadget pour me titiller l'entrejambe, puis craignant les résultats désastreux d'une exposition trop prolongée au soleil de mon intimité, il déplie le parasol. Il termine en me posant un bandeau sur les yeux pour me plonger dans le noir et m'offrir un tête-à-tête sans perturbation extérieure avec mes plaisirs !

- Je me demande combien de fois ce petit gadget peut te faire jouir cette après-midi?

Annoncée comme cela, la perspective me fait frémir, je n'étais pas partie pour un marathon de l'orgasme, mais plus pour une petite pause détente agréable ! Sans me laisser plus que ça mijoter sur l'étendue des perspectives de ses paroles, il ouvre les hostilités en allumant les deux parties du gadget. Vous vous souvenez des effets? Ça aspire, ça pulse, ça aspire, ça pulse, ça aspire, ça pulse des ondes bienfaisantes à travers mon clito jusqu'à sa racine, tandis que mon point G se gorge tranquillement de désirs sous les petites vibrations du plug ! Les deux éléments fonctionnent indépendamment et Paul en joue pour alterner les rythmes et les modes de vibration, diversifiant l'intensité sur les deux zones.

Ainsi mis à l'épreuve mon sexe ne résiste pas longtemps à l'appel des sirènes et s'exprime en plein. J'ai les lèvres qui tremblent, et pas que celles de ma case trésor, je suinte de partout, une douce chaleur m'envahit, mon clito tout gonflé trépigne sous les assauts de l'aspirateur. Il ne me faut pas longtemps pour entr'apercevoir au loin une jouissance arriver à la vitesse d'un cheval au galop. Mais, alors que fière sur cet étrier racé, elle fondait sur moi pour me transporter, un coup de sonnette inopportun vient briser cette course effrénée et la renvoyer en claudiquant dans l'écurie !

J'aurai du m'en douter que ce salaud aurait invité du monde à passer comme la fois où il m'avait attachée chez lui les fesses bien en vues et exposée à ses visiteurs de passage. C'est dans cette posture obscène et indécente que je reconnais la voix caractéristique d'un terroir campagnard familier, Alexandre vient d'arriver et s'extasie devant le spectacle offert ! Je ne peux empêcher une bouffée de chaleur en imaginant son regard parcourir mon corps et se délecter de cette exposition si particulière, cela ne me quittera jamais, je pense, cette réaction pudique, c'est en moi !

Après un mois passé à me balader à poil chez Paul, j'ai pris de l'assurance avec mon corps et l'exposer ne me pose plus de problème. Du moins dans une position décente, car là c'est une autre histoire. Les jambes écartées en grand, le sexe occupé par le jouet, mon bassin remuant au rythme de ses vibrations, il m'est difficile de faire plus obscène ! Un sentiment de honte m'envahit. Il ne met cependant pas un terme aux plaisirs ressentis, j'ai même l'impression, à mon grand désarroi, qu'il les alimente par moment !

Pour ajouter à mon embarras, Alexandre lui raconte les détails scabreux de ma journée en leur compagnie. En l'écoutant, j'en revis certains et cela me fait frissonner malgré l'étuve de cette journée d'été. Je perds un peu le fil de leur conversation lorsque Paul remet en route le bousin, cette fois c'est sûr mon canasson va passer la ligne d'arrivée !

- Eh bé j'me rappelle pas l'avoir vu jouir comme ça la petite salope l'aute jour. Elle m'en a caché des choses, faudré qu'elle revienne faire un p'tit stage à la ferme, suis sur d'la faire monter au fade la prochaine fois. T'en dis quoi Paul?

- Pourquoi pas, ça peut s'organiser, en fin de vacances cela t'irait?

- Cé parfait, on a la tonte des chèvres fin aout et j'ai toujours trois ou quatre gars qui viennent nous donner un coup de main. Ils vont adorer de pouvoir prendre un peu de détente ! Faudré au moins qu'elle soit là quelques jours, y'auré de quoi l'occuper sans problème.

- On réfléchira au programme possible. Je serai des vôtres cette fois, je crois que ton fils Brice à quelques tendances un peu trop déviantes à mon goût.

- Ouais, tu parles de l'aiguillon. Il a ce petit côté sadique qui me fait peur défois chez lui, tout l'opposé d'son frangin ce bourricot. En plus quand il a quelque chose dans l'crâne, pas facile de l'y déloger ! Mé j'y veilleré, tu peux compter sur moi.

- Parfait, on est sur la même longueur d'onde.

Alexandre est parti lorsque je me remets de cet orgasme ravageur et Paul semble au téléphone avec Mike qui l'informe d'un visiteur supplémentaire. Puis le ballet des vibrations reprend, ce salaud en joue merveilleusement bien en me laissant parfois au bord de la crise de nerfs lorsqu'il arrête ce satané aspirateur alors que mon clito gorgé de plaisir à raz bord est sur le point d'exploser. Il me laisse, profitant du spectacle quelque instant, m'agiter, les narines dilatées, soufflant comme un bœuf à travers mon bâillon, le bassin donnant des petits coups vers l'avant à la recherche désespérée d'une main secourable ou de quelques doigts salvateurs. Pas beaucoup, un seul serait suffisant, qui, pris de pitié devant tant de désespoir exprimé viendrait soulager ce besoin orgasmique intenable.

Il profite de l'arrivée d'un nouvel invité pour remettre en branle le vibro, me faisant rapidement exploser d'un plaisir bien plus intense sous les yeux avides de ce spectateur. J'ai vite perdu le compte de mes panards, comme celui du temps d'ailleurs et des visiteurs. Mon sexe a envahi mon cerveau, je crois même qu'il en a pris toute la place, je ne vis plus qu'à travers ses plaisirs

bouillonnant, parcouru d'ondes en tous genres, de petites décharges électriques qui se faufilent jusqu'au plus profond de mon intimité, rappelant à mon souvenir quelques endroits inconnus découverts lors de mon gang-bang et des orgasmes à répétition ! J'en perçois tous les capteurs, ressent la moindre secousse, frémit au moindre changement de rythme, gémit à chaque aspiration. J'ai perdu le fil de la réalité, je suis sur mon nuage, dans une bulle toute douce, captivante, envoutante, enivrante ..., de celle qui vous amène dans des contrées lointaines et que vous voudriez interminable tant vous êtes bien égaré dans les limbes de vos plaisirs.

Lorsqu'il m'enlève le bandeau, j'ai un peu de mal à me réhabituer à la lumière, j'ai les yeux cernés et le regard hagard vidé par tant de jouissance. Il me détache et masse un peu mes genoux après les avoir dépliés. Mike, qui est toujours là, fait de même avec mes poignets.

- Je crois en avoir compté 14 durant ces trois heures, belle perf ! Mais tu sais un record est toujours établi pour être battu !

Je suis encore ensuqué et Paul est à moitié flou, ses paroles aussi d'ailleurs, et c'est finalement tout le décor qui s'estompe lorsque, toujours allongée dans le transat, j'enserre à pleins bras le coussin qui me servait d'oreiller en me tournant sur le côté !

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3 Commentaires
cinolascinolasil y a plus de 2 ansAuteur

Merci Trouchard pour ce retour, oui l'histoire arrive à son terme et effectivement Lucie devient de plus en plus docile lors de ces péripéties !

Ce plaisir fait plaisir à lire Charlotte !

charlottelovesexeardbdsmcharlottelovesexeardbdsmil y a plus de 2 ans

Je viens de finir ton roman, cela m’a prise une semaine, mais que de jouissance en te lisant, continue

trouchardtrouchardil y a presque 3 ans

j'adore cette façon de raconter : le vocabulaire, les anecdotes. Et même si je trouve que ton héroïne se soumet bien trop facilement, je prend du plaisir à lire ton récit. Merci, et bien sûr, continue.

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