Lucie, But Not Lucky (?) Ch. 17

BÊTA PUBLIQUE

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- J'ai promis à Albert d'aller retourner un de ses champs ce matin, tu m'accompagnes, m'indique Alexandre alors que je finis mon café.

- C'est que j'aurai bien pris une douche moi, lui rétorqué-je afin de me débarrasser de toutes ces traces de semence qui me constellent les cuisses et qui m'obsèdent à moitié.

- T'auras droit au savon plus tard, faut pas m'mettre en r'tard.

Et c'est, debout à ses côtés, au son des vrombissements du moteur de son Massey Ferguson presque neuf que nous rejoignons ledit pâturage une vingtaine de minutes plus tard.

- Tu sais conduire au moins?

- Évidemment, c'est con comme question, ne puis-je m'empêcher de commenter !

- Alors prend l'volant, j'te dirais comment relever la charrue dans les virages.

Pourquoi pas, je ne suis pas adepte de conduites tout terrain, mais au moins je pourrai poser mes fesses ! Alors que j'attends qu'il libère le siège, il sort sa queue et se masturbe quelques instants, le temps de lui donner une forme acceptable.

- Qu'est-ce que t'attends, vient t'assoir, qu'elle cruche tu fais.

Dépitée, aussi peu excitée que la veille, j'enjambe les siennes pour venir poser mon sexe sur son gland. Sa tête a à peine franchi mes lèvres que les mains d'Alexandre appuient sur mes épaules pour finir d'un coup sec l'introduction. Après quelques secondes à serrer les dents pour laisser passer la vive brûlure qui vient de traverser mon vagin, j'attrape à sa demande le volant et tente de suivre ses instructions. Bon finalement c'est enfantin et je prends rapidement, et ce même dans les virages (!), la maîtrise de l'engin alors que le sien s'agite entre mes jambes. Son vi vit et vibre au rythme des soubresauts du tracteur et met mon sexe à l'épreuve.

Aussi pleinement occupé, ce salaud commence à réagir aux vibrations qui le secouent depuis un moment. Je reste concentrée, les mains crispées sur le volant, pour ne pas me laisser aller à des turpitudes de bas étage avec le paysan du coin. C'est son braquemard qui craque le premier et lâche sa purée après une demi-heure de labourage sans toutefois décliner le moins du monde. La répétition de ces petites secousses dans mon sous-sol permet à son foutre de se faire la belle discrètement. Elles ont aussi pour effet de m'agacer de plus en plus sérieusement, mon sexe est en train de prendre le dessus, j'ai de plus en plus envie que son chibre s'active plus amplement, de titiller mon clito qui est sorti faire la fête.

J'avais réussi, sans trop de difficulté, à me retenir avec les quatre queues d'hier soir, et cette cinquième, ce matin, me met la salle de jeu sens dessus dessous. Je n'ai aucune envie de m'abaisser à lui demander de me baiser plus "hard-ement". Mon popotin se trémousse cependant sur sa queue, il se soulève plus que de raison et sans vraiment m'en apercevoir, c'est moi qui finis par m'activer sans retenue sur son braquemart pour venir à bout de mes frustrations. Lorsque l'orgasme me traverse, je donne un grand coup de volant qui nous fait dévier. Impossible de cacher l'effet de cette queue. Je rattrape le coup comme je peux, rougis un bon coup et reprends mon souffle.

- Alors elle a bien joui la p'tite pute?

Sans répondre, énervée par mes faiblesses, peu envieuse de les reconnaître, mon côté parfois soupe au lait, je tente de le désarçonner. Ses mains ferment sur mes hanches m'empêchent tout mouvement et c'est seulement un quart plus tard, l'ouvrage terminé, qu'il me permet de quitter sa bite lorsqu'il coupe le tracteur au milieu de la cour d'Albert, le propriétaire du champ ! Les aboiements d'un dogue allemand nous accueillent. Je n'ai pas le temps de le voir arriver qu'il est déjà sur moi me plaquant contre le tracteur avec ses pattes sur mes épaules et me léchant la figure à grand coup de langue baveuse.

- T'inquiète pas, il est pas méchant, me rassure Alexandre, puis s'adressant au chien, Rocco laisse ma salope tranquille pour l'instant, viens me voir.

Rocco, en bon toutou, finit de me nettoyer la figure avant de me rendre ma liberté de mouvement. Mon petit coup de speed passé après ma rencontre avec ce molosse gigantesque, nous retrouvons Albert dans sa cuisine. Le fumet d'un café titille mes narines, trois grandes tassent remplis à raz bord nous attendent. Mais que je vous décrive notre hôte : il est tout en couleur l'Albert, dans sa côte au bleu passé par le temps, la bedaine saillante sans être vraiment grasse, un front dégarni halé par des années de soleil, le teint coupe rosé de l'amateur de bons (?) vins, le visage jovial, voir un peu simplet, tout en chair qui respire la santé, une vraie caricature paysanne !

- J'ai hérité d'une nouvelle commis, une amie de Paul qui vient découvrir les joies de la campagne. J'espère que son odeur de foutre ne t'gène pas?

Comme présentation j'ai vu mieux ! Je pique un fard, dis bonjour au monsieur pour faire preuve de bonne manière et me précipite sur la tasse qu'il nous propose pour me donner une contenance ! C'est un véritable café de cow-boy son breuvage et il me faut vider la moitié de la boite de sucre pour qu'il commence à être buvable. Je ne capte pas trop leur conversation, j'ai l'impression d'en être le sujet central sans réellement cerner l'objet des propos. Il parle à mots couverts, évoque rencontre, animaux ... je les laisse à leurs élucubrations et finis avec difficulté ma tasse pour rester poli.

Pour la rincer, il nous sert une rasade de gnôle. Devant ma tête dubitative, il insiste. Son ton impératif en me tendant la tasse que je venais de repousser ne me laisse pas trop le choix. Il ne sait pas préciser la teneur en alcool de sa préparation locale, mais m'affirme que "c'est d'la bonne !". Devant cette affirmation pleine de bon sens (?), je trempe légèrement les lèvres dans le breuvage.

- Allez cul sexe, m'encourage-t-il.

D'un trait je la vide, les premières sensations sont agréables et encourageantes. Mais après cette phase en trompe-l'œil c'est une autre histoire ! J'ai rapidement les oreilles qui me chauffent, la gorge qui rend l'âme et les yeux qui coulent toutes les larmes de mon corps ! C'est du brutal, plutôt une boisson d'homme comme l'aurait nommé monsieur Fernand dans ces délicieux "Tontons flingueurs". Albert impose une seconde tournée, il ne faut pas repartir sur une jambe affirme-t-il. Les miennes sont un peu en coton lorsque nous retournons au tracteur. J'ai la tête en feu et je m'avachis dans la cabine pour le chemin du retour, j'ai besoin de récupérer !

C'est sans compter sur la perversité d'Alexandre, qui me voyant à sa hauteur m'offre sa queue à sucer tout au long du trajet sans jouir pour autant. Insatiable le bougre, il ne se l'est pourtant pas mise sur l'oreille depuis le départ de sa femme. J'ai cru comprendre que quelques pouliches passaient lui dégorger le poireau de temps en temps.

Les garçons sont déjà attablés lorsque nous arrivons, attendant le patriarche pour entamer le repas. Le couvert est installé, la victuaille appétissante et les bolées de cidre prêtes à rafraîchir les papilles. Je tente de faire en partie l'impasse sur le vin pendant ce déjeuner, non pas que cela soit un trois étoiles prêt à vous arracher les dents du fond à chaque gorgée, mais je risque fort de ne plus être d'attaque si j'écluse trop. Surtout que, comme je le prévoyais, le pousse-café est inévitable et qu'il se comporte comme le petit frère de celui d'Albert !

Ce petit repas me requinque sans vraiment toutefois me remettre les idées bien en place et c'est plus que guillerette que j'accompagne les jumeaux inspecter les biquettes. Une dizaine de minutes sont nécessaires pour atteindre le pâturage situé à flanc de coteau. Le troupeau est bien plus impressionnant en liberté, les deux boucs ne doivent plus savoir où donner de la queue au milieu de ce harem ! Leur chien, un Patou d'une belle robe blanche, va faire un tour de propriétaire pour voir si tout va bien. Il se comporte en familier avec les chèvres et les brebis et est bien accepté par la communauté.

Quelques meules de foin garnissent le haut du pré. Pendant que Brice vaque à ses occupations, Jules me prend par la main et m'entraîne vers elles. Je ne sais pas si c'est ce côté nature, les effets de l'alcool, la douceur de ses mains ou encore son sourire calimero, toujours est-il que je sens se pointer un début d'excitation ! J'écarte ses mains de ma poitrine encore bien trop sensible pour supporter le moindre attouchement, le pousse à la renverse et viens me mettre à califourchon sur sa poitrine. Quitte à jouer, je préfère mener les opérations, j'ai besoin de douceur en ce moment. Je caresse son chibre délicatement à travers la toile de son jean et quand je le sens à l'étroit, je le libère de son carcan.

Je m'amuse encore un peu avec, espérant que l'action de mes mains ne l'amène pas trop précipitamment au bord du gouffre, j'ai un peu envie d'en profiter. Lorsqu'il est frémissant, je recule mes fesses, le frotte avec mon sexe, lui fais partager une partie de ma mouille puis le considérant suffisamment bien huilé, je m'empale dessus jusqu'à la garde. Il donne de petits coups de bassin alors que j'essaie de contrôler le rythme de la danse.

Encore en partie ensuquée par les vapeurs d'alcool, je ne saisis pas de suite l'intention de Brice qui vient de se placer dans mon dos sans que j'y prête attention trop occupée à dandiner sur la verge de Jules. Lorsque je réalise, Jules me tient fermement allongé contre le lui, ses bras m'entourant sans me laisser un espoir d'échappatoire. Un crachat vient inonder ma rondelle que deux doigts étalent dans la foulée avant de s'insinuer dans mon fondement. Le doute n'est plus permis. Je tente vainement de me débattre et de sortir de cette emprise, mais c'est peine perdue, Jules ne lâche rien et Brice s'allonge sur mon dos coupant tout espoir.

- Pas comme ça bordel, pas les deux en même temps, vous aller me déchirer, mais j'ai beau couiner à tout va, queue affamée n'a pas d'oreille !

- Tu peux gueuler à ton gré, y a personne dans les environs, me prévient-il alors que son gland vient tâter la souplesse de mon anneau.

Jules bien ancré dans mon sexe prend déjà, à mon sens, toute la place. L'autre ne rentrera jamais dans mes fesses où alors dans la douleur. Ce taré va me déchirer j'en suis sure. Le gland prend son temps, appuyant doucement, mais sans relâche sur ma corolle. Brice m'encourage à me détendre pour limiter l'inconfort, mais je ne m'y résous pas. C'est une torsion bien placée de mon téton gauche qui vient à bout de mes défenses en détournant mon attention. Le gland une fois entré est sûr de ne plus rencontrer de grandes difficultés. Il s'insinue tranquillement, progresse, caressant au passage la verge de Jules, m'élargissant sans ambages le conduit.

- P'pa m'avait dit que t'avais le cul accueillant et cé bien vrai, commente-t-il une fois enfoncé entièrement. Bien serré, juste ce qu'il faut, j'vais en tomber amoureux ma salope.

Je sanglote à moitié et n'ose plus bouger d'un pouce de peur de craquer de partout. Déjà que j'ai horreur de la sodo, mais là ! Ces deux queues me remplissent et la fine paroi qui les sépare me semble si fragile qu'une petite crise d'angoisse me submerge lorsque Brice commence à remuer dans mes fesses. La douleur de cet enculage viril s'ajoute à mes craintes et me fait gueuler de plus belle. Quand Jules se met en action à son tour, alternant avec celle de Brice, je ne retiens plus mes larmes. Ces deux chibres se croisent sans retenue, frottant l'une contre l'autre à chaque passage, sollicitant à l'extrême l'élasticité de mes orifices, testant sans relâche la solidité de ma paroi dont je crains à chaque instant la rupture. Mais la nature est bien faite et le corps possède des souplesses parfois insoupçonnées.

- Regarde Jules lorsque je lui pince un téton elle serre les fesses ! C'est super agréable. Sa chatte aussi réagit?

- Vas y réessaye ... oui pareil ... c'est divin, ne t'arrête pas !

- Laissez ma poitrine tranquille bordel, cela me fait mal.

- Que non, c'est trop bon, continue de crisper ton cul ma salope, me rétorque-t-il en s'attaquant à mon sein gauche.

Le jeu les amuse un bon moment, pour varier ils passent parfois de l'alternance à la simultanée, ces deux chibres qui me pénètrent en même temps me provoquent de nouvelles sensations. Cette double pénétration me semble interminable et c'est avec soulagement que j'accueille, malgré son côté double peine, le chibre de Brice lorsqu'il me le présente à ma bouche pour le nettoyer après avoir inondé mes boyaux. Jules ne tarde pas à me donner à son tour son présent. Je reste ensuite un bon moment allongée sur l'herbe, récupérant difficilement de cette chevauchée inhumaine, les trous béants vibrants encore malgré leur libération.

Acte 2 - A4 en D7, le fou prend la reine !

J'ai la démarche bien moins alerte en retournant à la ferme et seul Jules a la patience de me tenir compagnie. La fin de journée n'est pas de tout repos également et est l'occasion de tester différentes combinaisons. Où comment un plus un font parfois trois ou quatre, moi qui n'est jamais apprécié les math ! Nous retrouvons Régis à l'étable et après que Brice lui ait relaté leur dernier exploit, il n'a plus qu'une seule idée en tête ... celle de me baiser ! L'idiot du village m'agrippe par les hanches, me soulève comme un fétu de paille et vient me coller à son entrejambe. J'enroule mes jambes autour de sa taille pour plus de confort après que son sexe soit entré sans encombre dans mon vagin.

Il me balade un peu dans l'étable, donnant quelques coups de reins au passage, soulève parfois l'arrière de ma blouse pour permettre à une ou deux langues bovines de me lécher le postérieur. Brice, touché par le tableau, ne peut se retenir de venir y jouer un rôle et viens visiter mes fesses à nouveau. Une fois bien ancré dans mon fondement il détache mes jambes des hanches de Brice alors que celui-ci enlève mes mains de son cou et les tiens en l'air. J'ai beau gigoter des guibolles, mes pieds ne touchent pas terre, je ne tiens entre ces deux paysans que par leur queue ! Je suis empalée de tout mon poids sur ces chibres qui me dilatent douloureusement les orifices. Après m'avoir fait couiner un bon moment, Brice me permet de agripper à nouveau à Régis et en profite pour finir cette seconde sodomie avec vigueur !

Après avoir accueilli à nouveau leur semence, j'ai le droit à une courte pause assise sur un petit tas de paille dans un coin de l'étable. Je n'ai même pas pris la peine de reboutonner la blouse, l'esprit encore trop accaparé par mon anus tourmenté qui résonne sans discontinuer. Je ne me suis jamais senti aussi crade, j'ai le goût de mon prose encore bien présent dans ma bouche, les fesses toutes collantes, l'entre jambe poisseuse, les cuisses maculées de trace de foutre, je donnerai cher pour un bon bain chaud parfumé d'un petit sel de bain à la lavande. Ne croyez pas que j'ai des goûts de luxe, c'est un petit plaisir que je m'autorise parfois et qui agrémente ce moment de détente.

Brice est en train de jouer à d'Artagnan avec un objet à longe tige dont je ne devine pas trop l'utilisation. Il écarte avec le pan gauche de ma blouse, le promène sur mon sein, redessine les contours de mon néné, ...

- C'est un aiguillon électrique pour diriger les bovins, est-ce que tu crois qu'ça marche aussi sur les p'tites chiennes? me demande-t-il en souriant.

Je le subodorais pervers lorsque je l'ai vu la première, mais je ne l'imaginais pas sadique à ce point. Il est un peu dérangé le garçon. Mon mouvement de recul est vite endigué par le mur. Coincée je le regarde jouer avec mon sein craignant à tout moment qu'il actionne son taser des campagnes. Il en profite, se délecte de mes angoisses, il a le regard bizarre, celui d'une lubricité dérangeante et malsaine, celui du satyre qui prend son pied à voir souffrir ses partenaires. L'embout de l'aiguillon descend parfois jusqu'à mon sexe caresser mon clitoris, écarter légèrement mes lèvres et me faire frissonner plus encore. Mais c'est sur mon téton droit qu'il actionne son engin et qu'une décharge me traverse le mamelon.

- T'inquiètes j'l'ai mis au minimum, tu d'vrais pas trop douiller.

Purée pas trop douiller, il en a de bonne lui, la traite à côté c'est presque rien, quel taré. La douleur me réveille. Je l'insulte, l'invective, le traite de tous les noms, je lui aurais bien mis des baffes, mais il me tient en joue avec son instrument de torture et je n'ai pas les bras assez longs !

- Ton p'tit cul n'aurait pas besoin d'une autre queue? me demande-t-il sans se préoccuper de ma montée dans les tours.

- Mon cul aimerait bien faire une pause, il est fermaga, forbidden, en vacances !

- T'es sure? Demande-lui voir, insiste-t-il en faisant profiter mon mamelon droit d'une nouvelle secousse électrique. T'as besoin d'être motivée toi, précise-t-il en faisant descendre cette tige métallique jusqu'à mon sexe.

- Oui, oui, il en a envie, concédé-je peu envieuse de sentir les effets d'une secousse sur mon sexe.

- Régis ramène toi notre p'tite salope à encore envie de ta queue, gueule-t-il à travers l'étable.

Régis ne se le fait pas répéter, il pose sa fourche et nous rejoint sans attendre, comme quoi on peut manquer de neurones et réagir rapidement lorsque les bas instincts sont sollicités !

- Allonge-toi, elle va venir s'empaler sur ta bite.

La vue de ce chibre qui prend du volume sous ses doigts me coupe dans mon élan. Il est bien monté le Régis, une version xxl que j'arrivais à accueillir dans ma chatte, mais qui va être beaucoup moins bien acceptée par mes sphincters. Devant ma réticence bien visible, Brice n'hésite pas à lâcher une petite décharge sur mon clito ! La vache dans un endroit aussi sensible ce n'est pas tenable, j'ai failli me faire dessus. Elle m'a traversé de part en part celle-là.

- J'y vais, j'y vais, lui affirmé-je en me précipitant pour m'asseoir sur le braquemart.

L'introduction redoutée n'est pas aussi difficile qu'imaginée, mes fesses encore bien lubrifiées par la dernière visite ne résistent pas longtemps à mes poussées pour l'accueillir. Régis relève et écarte ensuite mes cuisses pour que sa queue s'enfonce au plus profond de mon popotin. Alors que Brice me demande si mon sexe est encore en manque en le caressant avec son engin, c'est Jules, arrivé dans l'entrefaite, qui, après avoir écarté l'aiguillon, s'installe dans mon centre à plaisirs. Il n'a pas l'air d'apprécier les débordements de son frère, qui frustré de voir son jeu interrompu vient me remplir la bouche de sa queue.

Trois chibres vibrant en moi en même temps est une première, sans pour autant m'exciter. Je me sens pleine, c'est très particulier, j'ai l'impression d'être utilisée, de ne plus m'appartenir, de ne plus rien maitriser. Comme hier, le sentiment d'être une poupée gonflable refait son apparition et me débecte. Brice, encore en partie frustré par l'intervention de son frère, s'amuse à utiliser son taser sur l'une de mes cuisses pour me faire vibrer et contracter mes orifices pour le plus grand bonheur de Régis ! Il n'a pas peur, car il pourrait bien se prendre un coup de dent. Je ne suis pas sûr de me maîtriser avec toutes ces décharges répétées et sa queue qui encombre ma bouche pourrait en faire les frais !

Il finit par prendre la place de son frère dans le confort de mon sexe. Ce dernier vient rapidement lâcher sa semence dans ma bouche. Il devance Brice d'une courte tête, qui n'a pas résisté longtemps à l'accueil de mon vagin. Régis par contre reste inébranlable. Profitant du départ de Brice, il plaque ses mains sous mes fesses et me fait rebondir sur toute la longueur de son chibre. Je ne suis qu'un vulgaire pantin entre ses mains. Lorsqu'enfin je le sens inonder mes entrailles, j'ai les fesses qui réclament d'urgence une prise en charge médicale. L'endroit est tellement dévasté que je n'aurai surement aucun mal à faire jouer l'assurance !