Lucie, But Not Lucky (?) Ch. 18

Informations sur Récit
Lucie, une jeune femme de 25ans, découvre la soumission.
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Partie 20 de la série de 20 pièces

Actualisé 06/09/2023
Créé 01/22/2020
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cinolas
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On arrive au terme de l'histoire avec ce 18ème et dernier chapitre des aventures de Lucie. Cette première expérience d'écriture a été captivante, dévorante, excitante et extrêmement chronophage ... mais on a eu beaucoup de "temps libre" dernièrement ! J'ai pris beaucoup de plaisir à imaginer toutes ces péripéties, à les mettre sur papier, à les partager et à échanger avec certain-es lecteurs-trices et j'espère que ce plaisir aura été partagé.

Dans tous les cas merci d'avoir suivi jusqu'au bout ce feuilleton érotique et bon voyage pour ce dernier opus.

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Chapitre 18 - La fin des "vacances" !

Acte 1 - Une tonte mémorable !

Après cet épisode de la ferme à marquer d'une pierre noire, la suite des vacances a été beaucoup moins mouvementée. Sans être monotone, une certaine routine s'était instaurée. En particulier en fin de semaine avec pour débuter un marché haut perché sur des ballets boots assassins pour mes mollets où j'ai dégusté de nombreuses productions de miel avant d'aller au confessionnal recueillir une copieuse absolution du père Poljack, accompagnée parfois d'une ou deux autres de ses paroissiens ! Le dimanche est consacré à encourager et à savonner l'équipe d'O-Mondard et le lundi, à mon grand désespoir, j'ai la tête un bon moment au milieu de la broussaille hirsute à me débattre avec le clito de la femme de ménage. Instant cauchemardesque s'il en est, en particulier lorsque madame décide de visiter vigoureusement mon petit cul avec son gode ceinture quand elle en a marre de sentir ma langue se dépêtrer avec son sexe.

Pour l'anecdote, et revenir à des souvenirs agréables, nous avons conservé le trophée, « la chouette », pendant toutes les vacances à la maison. L'équipe de O-Mondard a, lors des trois matchs suivants, réalisé un nul et deux victoires ! Comme je n'ai jamais entendu Paul soumettre ma participation dans les vestiaires à une quelconque victoire, j'aime à me dire que j'y suis sûrement un peu pour quelque chose et qu'ils se sont surpassés pour faire plaisir à leur supportrice favorite ! La dernière douche en leur compagnie a pris des allures de récompense. Après les avoir savonnés un bon moment, et pris mon pied à l'occasion (!), l'œuf ayant participé lui aussi à toutes les rencontres (!), j'ai eu le droit, car je n'irai pas jusqu'à appeler cela de la chance, de découvrir à quoi correspondait le terme bukkake !

Étant toujours aussi peu amatrice de foutre, l'épreuve fut loin d'être aisée ! Agenouillée au milieu des douches, j'ai patiemment attendu que les 16 membres de l'équipe me fassent part de leur semence. Les premières ont presque été les plus dures, surtout après le largage de copieuses quantité de quelques célibataires endurcis qui avaient accumulé un peu de réserve. Et lorsque vous rouvrez les yeux et que votre vue est en partie brouillée par quelques filets de foutre qui pendouillent à vos sourcils, la vision est horrible ! Surtout qu'il y en a toujours un qui a la malencontreuse idée de se glisser sous vos paupières pour vous brûler les yeux.

Le surplus, lui, tombait gentiment sur ma poitrine. À la dixième, l'odeur commençait vraiment à être très forte, très prenante et j'ai dû combattre un début de nausée. À la dernière je ne devais plus avoir un centimètre carré de mon visage non recouvert, un véritable masque de beauté ! Paul a gentiment, mais fermement, empêché les flashs de quelques photos souvenirs de crépiter. Après avoir pleinement profité du spectacle et l'avoir commenté, c'est les joueurs qui se sont cette fois chargés de me nettoyer. Avec leurs doigts dans un premier temps pour récupérer le sperme agglutiné sur mon visage et me le faire avaler ... une longue et écœurante dégustation ! Puis, lorsque j'en ai eu ingurgité la grande majorité, j'ai eu le droit à la douche et leurs mains savonneuses qui se sont appliquées à me faire jouir à plusieurs reprises !

Pour me remercier de les avoir accompagnés tout l'été, j'ai eu droit de conserver la chouette ! J'étais toute gaite de penser que j'allais pouvoir ramener une des créations de Christophe chez moi. Bon j'ai forcement été obligé d'aller remercier l'artiste par une petite gâterie affectueuse effectuée avec application, délicatesse et ... gourmandise (!) que j'ai faite durée un long moment !

Nous sommes en ce moment en route pour la ferme d'Alexandre, le bienheureux si vous me permettez cette référence un peu ancienne. Paul m'a informé ce matin, à mon grand regret, qu'il avait pour clore ce bel été organisé un nouveau séjour de vacances chez ce rustre. Il me propose une sorte de club med campagnard dont les animations devraient, à ses dires, ne pas me laisser indifférente. Sans douter de sa qualité de GO, dont il a déjà fait preuve à de nombreuses reprises, cette précision ne me dit rien qui vaille et je subodore que le programme risque d'être chargé. Au cours du trajet Paul me surprend par ses questions.

- Dis-moi Lucie, comment définirais-tu une soumise? Qu'est-ce qui la caractériserait selon toi?

- Une soumise? ... C'est quelqu'un qui doit obéir à un maître forcément.

- Mais encore? Précise un peu ta pensée.

Qu'est-ce qu'il lui prend aujourd'hui de vouloir jouer les psy et de fouiller mon âme. Il veut me tester? Je n'ai pas râlé depuis un bon moment ça devrait lui suffire comme signe de bonne volonté.

- Je dirai que c'est quelqu'un qui doit exécuter du mieux possible ce que lui demande son maître, le satisfaire en quelque sorte.

- C'est un bon début, essayons d'aller un peu plus loin. Pourrait-on dire que la seule volonté d'une soumise doit être d'accomplir celles de son maître?

- C'est un peu restrictif vous ne trouvez pas? Elle doit aussi penser à s'occuper d'elle, non?

- Cela va sans dire, mais principalement dans l'objectif de plaire à son maître.

- Vous ramenez tout à lui, c'est nombriliste comme vision je trouve.

- Il doit être au centre de sa vie. Elle doit oublier ses goûts, ses valeurs, ses plaisirs, ses tabous et espérer voir le plaisir, la satisfaction et la fierté dans le regard de son maître. Qu'en penses-tu?

- C'est carrément extrême là ! Elle devient transparente, il faut qu'elle garde son identité, sa personnalité, sinon elle devient juste un objet pour son maître. Ça ne doit pas être très agréable pour lui.

- Les deux sont-ils vraiment incompatibles? Tu as souvent râlé, mais tu as fait, cela t'a-t-il rendu transparent? Tu t'exprimes, tu commentes et revendiques, mais tu réalises, as-tu perdus ta personnalité au cours de toutes ces expériences? Tu es toi, mais tu acceptes ...

Ça y est on est passé au cours de philo ! Je réprime mon envie de rire, car malgré tout je ne trouve pas d'argument dans mon comportement de ces derniers mois pour le contredire. Notre arrivée dans la grande cour de la ferme me sauve un peu la mise, perdue que je suis dans cette conversation où je m'apprête à sortir mes pancartes féministes pour sauver la face. Paul coupe le moteur et avant de descendre du véhicule se tourne vers moi et me demande.

- Tu penses pouvoir être une bonne soumise pendant tout le séjour?

Et là, comme si je voulais faire honneur à ma nouvelle teinte de blondasse décolorée, comme une conne donc (!), je m'entends répondre bêtement d'une toute petite voix sans prendre un minimum de temps pour réfléchir !

- ... je vais essayer ... no coment !!

Lorsque nous entrons dans le séjour, l'équipe de bras cassés est attablée en compagnie de quatre autres jeunes, âgés au plus d'une trentaine d'années, et en pleine discussion sur l'organisation de l'après-midi.

- Messieurs v'la notre invitée de marque, s'exclame Alexandre en profitant du récent silence qu'a provoqué notre apparition dans l'encadrement de la porte, j'vous avais parlé d'une surprise sans vous en préciser les tenants, c't'année la tonte va prendre une saveur toute particulière, moi j'vous l'dis !

Les yeux exorbités des quatre énergumènes me dévorent. Mon paréo rouge carmin à fleurs blanches qui moule généreusement ma poitrine nue fait un malheur ! Je les détaille à mon tour. Ils ne sont pas moches, mais pas beaux non plus, du tout-venant aux allures souvent négligées et à la mine déjà légèrement burinée pour certains. L'embonpoint crasseux et l'imposante barbe hirsute où tout ciseau est depuis longtemps le malvenu de l'un d'eux contrastent avec le catogan parfaitement tiré et le collier de barbe finement dessiné de son voisin. J'en aurai bien fait mon quatre heures de celui-là dans une autre situation.

Le front bas du troisième le ferait presque passer pour un proche cousin de Régis, même s'il n'a pas encore ouvert la bouche pour sortir la moindre connerie ! Je catalogue vite parfois, mais je ne pense pas être très loin de la vérité pour celui-là ! Les 3 autres semblent "normaux", malgré une attitude un peu gauche due, je l'espère, à ma présence. Le dernier semble plus réservé, des lunettes mal ajustées, une longue mèche de cheveux rebelle, une tête aux traits encore enfantins et un regard qui a du mal à supporter le mien, un grand dadais en fait !

Un bonjour collectif qu'accompagne une bolée de cidre nous permet d'être vite intégrés dans le groupe. Alexandre fait les présentations et décline dans le détail les pedigrees des quatre inconnus, tout juste s'il ne précise pas la taille de leur engin ! En dépit de l'accueil chaleureux et de l'ambiance conviviale qui règne dans les lieux, je suis loin d'être détendue. Paul, comme d'habitude, ne m'a rien précisé sur ce séjour et les souvenirs encore bien présents de ma dernière venue sont plutôt sombres !

Comme souvent je fais l'objet de toutes les attentions, perturbant ces jeunes mâles par mes charmes sulfureux, mais je pérore, je pérore ! Ceci dit, Régis, situé pratiquement en face de moi, a réellement du mal à se détacher de ma personne. Il n'est plus avec nous, comme envoûté. Dans les limites de ses connexions neuronales, son esprit vagabonde. J'en aperçois presque sa queue dans ses yeux ! Alexandre doit y revenir à plusieurs reprises pour lui faire entendre les consignes de l'après-midi.

- Régis ... Régissss, accompagne Lucie pour s'changer. Elle sait p'tète plus où s'trouve la chambre.

Ça, Régis ne se le fait pas répéter et je n'ai pas le temps de lui préciser que ma mémoire ne souffre d'aucun Alzheimer que monsieur muscle m'attrape le bras et m'y emmène sans réel ménagement. Dans un reste de galanterie, il se tient dans l'encadrement de la porte, un petit filet de bave au coin de la lèvre, pendant que je me change. Je quitte mon paréo et mon string ficelle, dont je n'arrive toujours pas à m'habituer, cette cordelette de tissu entre les fesses m'agace (!) et enfile l'horrible blouse qu'Alexandre avait déposée sur le lit. Elle sent la lessive, c'est déjà ça ! Affublée de la paire de bottes, nous redescendons retrouver le reste du groupe.

Dès mon retour la procession vers la grange s'organise et se met en branle. Régis ne me quitte pas d'une semelle, un véritable toutou, j'ai trouvé mon ange gardien ! Le troupeau lui y a déjà été regroupé dans la matinée. Cinq postes de tonte ont été installés dans l'entrée du bâtiment avec, pour chacun, une potence, maintenue par une petite plaque de fonte, où est accroché un baudrier un peu en forme de cercle. Comme la tonte s'effectue debout, cette ceinture de soutien, composée d'une large bande de cuir ou de tissu sur lequel vient reposer le torse, permet de soulager le dos des tondeurs.

- Pose ta blouse, j'vais t'montrer où tu t'installes, m'ordonne le patriarche.

L'équipe, qui est accaparée à déballer son matériel, marque un temps de pause en voyant mon rapide strip-tease. Même si je n'ai pas de tondeuse en main, je vais moi aussi avoir droit à mon poste de travail ! Alexandre me positionne sur l'un des baudriers et pour m'éviter toute envie de le quitter prématurément, il m'attache les mains aux genoux. Penchée vers l'avant, en soutien sur cette épaisse bande de tissus molletonné, j'écarte légèrement les jambes pour trouver mon équilibre offrant pour la plus grande joie des ouvriers une vue sur mon centre à plaisir.

La fixation du baudrier à la potence permet de le faire tourner à loisir. Alexandre en profite pour me faire faire un ou deux tours afin d'offrir à chacun une vue complète de ma personne. Il m'arrête ensuite lorsque je fais face au reste de l'équipe et me présente un gros pot qui contient une graisse blanche à moitié translucide. Il m'en beurre copieusement le sexe, s'appliquant à en enduire le moindre recoin de mes lèvres et de mon vagin et s'arrêtant pour finir sur mon clito pour le décalotter en plein et lui donner sa dose de produit.

Puis je sens sa main remonter pour m'en enduire également la corolle. Son gros pouce m'extirpe un petit cri quand il va la visiter pour vérifier le bon effet de ce lubrifiant campagnard. J'ai carrément zappé de mettre le rosebud, quelle conne ! J'y ai pensé en plus la semaine dernière lorsque je suis allée faire un dernier petit extra dans le bar d'Antoine. C'est vrai que c'est devenu un réflexe lorsque je vais chez lui ! Ne croyez pas que je suis devenue une adepte inconditionnelle de ce petit plug, il reste très désagréable à porter, mais c'est un mal pour un bien, car il m'évite au moins de me faire empapaouter le baigneur lors de la soirée et ça, ça n'a pas de prix !

- Tu vois j'prends soin d'toi, c'est d'la graisse à traire, cé très bon pour la peau. T'as apprécié la douceur de mes mains. J'espère t'voir prend ton pied comme sur ton transat ma salope. Ca m'frait vraiment plaisir. On va t'aider et bien s'occuper de toi, fé moi confiance !

Je n'ai aucun doute sur le traitement qu'il me prévoit et malgré ma posture de tondeur je crois que je vais jouer le rôle de la chèvre ! La présence de Paul me rassure. Quelle que soit la situation vécue cette année il a toujours été là pour garantir ma sécurité et mon bien-être. Le terme peut paraître un peu contradictoire au regard des difficultés ou de la rudesse de certaines situations, mais il n'a pas dérogé du cadre qu'il a fixé au début de notre relation et je lui suis reconnaissante d'avoir tenu parole. Je pense même que parfois son côté protecteur m'a aidé à prendre mon pied ! On se lâche plus aisément lorsque l'on se sent en sécurité.

Satisfait par sa méticuleuse préparation, Alexandre pose le pot de graisse sur un petit tabouret à mes côtés et y ajoute un bol contenant une vingtaine de capotes. J'ai la nette impression que cette après-midi va être très longue ! Alors que je le sentais impatient de profiter de mon centre à bonheur lorsqu'il a posé l'un des morceaux de plastique sur mon dos, il se contente pour l'instant de me caresser les fesses. Dégoûtée au départ par cette épaisse graisse visqueuse, j'en reconnais rapidement les bienfaits. Je me demande cependant si c'est bien celle qu'il utilise pour ses vaches, car les effets sont particuliers. Il a certainement dû la coupler avec autre chose, un baume peut être, car j'ai l'entre jambes qui s'enflamme très rapidement alors que ma libido est restée au point mort dans cette situation !

La douce chaleur qui parcourt les contours de mon sexe et qui a envahi la totalité de mon vagin se transforme progressivement en fournaise. Elle finit par me faire tortiller vulgairement des fesses et m'oblige à me pincer fortement les lèvres, celles de ma bouche pas les autres (!) (qui elles auraient plus tendance à faire le grand écart sous l'effet du baume), pour ne pas laisser échapper quelques gémissements déplacés. Je n'ai pas envie de passer pour une dévergondée et me comporter pour une fieffée salope en me trémoussant du cul à la moindre queue en approche, on a son honneur (!), mais je n'ai pas envie non plus de dresser les barricades et de sortir toutes les pancartes revendicatives ... surtout que je suis déjà en train de perdre la partie vue comment mon corps réagit. Aussi décidai-je de mettre mon cerveau en veille et de laisser faire la nature !

Alexandre reste muet à mes questionnements sur son produit miracle et devant mes dandinements répétés vient, en maître des lieux, donner l'exemple et présenter son chibre à l'entrée du volcan. C'en est presque un soulagement de sentir son sexe s'introduire pour apaiser un tant soit peu cette fournaise incessante. Je crois qu'il aurait aimé être le premier à m'envoyer sur la lune, mais malgré tous ces efforts, son application et ses doigts qui ne lâchent pas mon clito (qui au passage n'a toujours pas l'âme d'un résistant et est toujours faible et soumis aux caprices des visiteurs surtout s'ils sont synonymes de plaisir !), c'est encore un peu tôt pour que je ne lâche prise.

Il craque avant moi ! Après avoir rempli son préservatif d'une bonne dose de foutre et mis une petite claque en guise de satisfaction sur ma fesse droite qu'il interpelle le reste du groupe qui s'était rassemblé devant nous pour profiter du spectacle !

- Les gars pour avoir droit à vo'te pause et profiter des charmes de la d'moizelle va falloir usiner ! Allez bouger vous le cul et faites valser les biquettes avant de vous occuper de celui de Lucie.

L'équipe se met en action, les tondeurs prennent place tandis que Jules et Brice amènent les chèvres sous l'œil attentif du patriarche qui drive son monde d'une main de maître. Régis, qui lui est chargé de stocker la laine, attend les premiers résultats. Ceux-ci ne tardent pas à venir, sous les doigts agiles des quatre jeunes gens les tondeuses s'agitent dans tous les sens et viennent à bout de leur fourrure en 5 ou 6 minutes tout au plus sans aucune égratignure sur leurs anciennes propriétaires qui repartent mise à nue. Le ballet est bien huilé et se déroule sans accroc.

Brice profite de ce lancement réussi pour s'octroyer sa première pause et venir visiter mes fesses. Il ne veut laisser à personne le soin d'ouvrir cette voie et souhaite profiter de mon petit cul encore bien serré. Jules ne l'entend pas ainsi et voudrait avoir cet honneur. Ces deux trous du cul sont en train de se chamailler pour savoir qui va s'occuper du mien ! Je m'abstiens de leur dire que quand il y en a pour un ... C'est Brice qui s'impose dans ce combat de bouc et enfourne fièrement et sans détour son vit dans mes entrailles me déclenchant couinements et sourds grognements. Il vante les mérites de mes fesses pendant presque tout son enculage !

- Je l'aime ton cul Lucie, j'en suis tombé amoureux dès la première minute où je l'ai vu, j'en rêve même la nuit à en tacher parfois les draps. Je crois que je ne peux plus m'en passer ! Je veux l'épouser !!!

Cette déclaration d'amour en plein ramonage de conduit me laisse de marbre, bien plus préoccupé par l'état de mes fesses que par celui de ses états d'âme ! Cette première sodomie, plutôt fougueuse, se déroule sans écueil grâce aux effets dévastateurs de ce lubrifiant artisanal qui n'a de cesse de rendre mes chairs accueillantes. Elle a par contre fait fuir à grande enjambée le début d'excitation provoquée par le petit braquemart d'Alexandre ! Chez moi Sodo ne rime toujours pas avec libido ! Cela ne dérange en rien mon partenaire pour qui l'orgasme féminin passe généralement en second plan ! Il clôture son récital par un long hurlement provoquant un début de panique dans le troupeau de biquettes !

C'est ensuite l'un des tondeurs, le grand dadais, qui prend le relais sous les encouragements du big boss. Plutôt réservé au début, ce grand bêta, au demeurant plutôt bien équipé, trouve un rythme de croisière assez agréable qui me redonnerait goût à la chose. Malheureusement cet échalas, probablement perturbé par la situation, ne parvient pas à retenir très longtemps ses émotions et me laisse en plan. Je suis bonne à me débattre avec une nouvelle frustration que mes mains donneraient chère pour la soulager ! C'est Régis qui a finalement gagné le pompon. Je ne sais pas si ce sont ses interminables chevauchées qui me mettent en émois ou le résultat des précédentes mains baladeuses sur mon clito, toujours est-il que ce con vient une nouvelle fois de me faire jouir, et ce toujours sans s'en rendre compte ! Comme quoi avoir se servir de sa queue relève bien plus souvent de l'instinct que de la réflexion ! Messieurs, je vous laisse réfléchir là-dessus !

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