Lucie, But Not Lucky (?) Ch. 17

Informations sur Récit
Lucie, une jeune femme de 25ans, découvre la soumission.
9.9k mots
4.79
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Partie 19 de la série de 20 pièces

Actualisé 06/09/2023
Créé 01/22/2020
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cinolas
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Chapitre 17 - Un séjour à la ferme

Acte 1 - Tout n'est pas forcément bon dans le cochon !

"Au village sans prétention j'avais mauvaise réputation" chantait Brassens en son temps. Je n'en suis pas encore arrivée là, mais avec la teinture que vient de me faire la coiffeuse je ne vais plus passer inaperçue. Cette blondeur bébé me donne l'air d'une pouffe ou d'une bimbo tout droit sortie du dernier épisode de télé-réalité en vogue ! Seul petit avantage, je peux maintenant ouvrir ma bouche pour dire n'importe quelle connerie cela n'étonnera plus personne ! Je n'avais pas idée de la teinte prévue en arrivant chez elle et lorsque j'ai découvert le résultat devant le miroir j'étais furax. Ma colère a dû se voir, car elle n'a pas fait de commentaires. Je me serai bien passée de cette touche de coquetterie déplacée, mais Paul a insisté pour que je passe la voir avant d'aller visiter la fromagerie en fin d'après-midi, arguant qu'il commençait à avoir un peu de laisser-aller dans ma coupe.

Cette visite a été décalée d'une semaine, ainsi que mon changement de tête d'ailleurs prévu à l'origine dans la foulée de mon rendez-vous chez le pierceur. Ce dernier ne s'est pas aussi bien passé que prévu. Enfin la pause de mon nouveau piercing sur la langue, une nouvelle lubie de Paul ceci dit en passant pour rendre mes pipes encore plus somptueuses (!), s'est bien déroulée et n'a été qu'à peine plus douloureuse que pour mes tétons. Les doigts de Christian sont toujours aussi habiles et délicats et je l'avais réglé cette fois d'avance d'une bouche gourmande devant les yeux ébahis de son nouvel apprenti.

Alors que j'y allais sans appréhension, j'ai eu cette fois du mal à m'habituer à ce nouveau corps étranger sur cette zone envahie de capteurs. J'ai été un peu vaseuse les deux jours suivants, zozotant à tout va ! Malgré l'impatience de Paul à tester ces nouvelles sensations, ma bouche a été tout naturellement mise au repos jusqu'au week-end suivant pour me permettre de l'apprivoiser. Pour l'anecdote, la photo de mes seins a été remplacée dans la vitrine de mon "Hell boy" personnel par celle d'une poitrine plus opulente et plantureuse ornée de deux anneaux forgés d'un motif très personnel relié par une chaînette, très certainement celle d'une soumise, mais je fais toujours la une de son comptoir !

C'est samedi, après le marché, que Paul a eu le droit de découvrir l'effet du piercing sous couvert du confessionnal ! J'ai dans la foulée reçu l'absolution de père Poljack qui m'a avoué ensuite d'un ton épanoui avoir vécu la meilleure confession de sa longue carrière. Même Emilie, la femme de ménage, s'est aperçue de cette nouveauté, il faut dire aussi que j'ai passé une bonne heure hier au milieu de sa broussaille. Elle était fatiguée et avait envie que je développe ma technique. J'ai visité, à petits coups de langue dégoûtée, son entre-jambes en long et en large. Ce n'est toujours pas mon truc les amours saphiques, je crois que cela va faire partie des heures sombres de mon séjour. Mais je crois que c'est Mike qui en est de suite tombé amoureux, il n'a pas quitté la maison du week-end et m'a même fait découvrir la gorge profonde.

Je fais un petit aparté, pas facile l'approche de cette pratique, vous avez déjà essayé les filles? Je ne m'étais pas encore penché dessus, l'appréhendant quelque peu surtout avec cette envie de vomir apparaissant à chaque gland frôlant ma luette. Quand MIke m'a proposé de me l'enseigner et de l'ajouter à ma panoplie de suceuse, j'avoue ne pas avoir sauté de joie malgré mon amour de la turlutte.

La première tentative n'a pas vraiment été concluante. Il a pourtant pris le temps, pendant une bonne vingtaine de minutes, à juste venir toucher le fond de ma gorge avec son gland pour que je m'habitue au contact et que je combatte ces reflux intempestifs. Je commençais presque à arriver à les contrôler à la fin. Malgré mes progrès, Il avait beau me dire déglutit, déglutit, déglutit ... impossible de passer le cap, elle est restée à la porte !

Mike, les batteries à nouveau pleines, est revenu à la charge un peu plus tard. Révisant son guide pédagogique, il n'a pas hésité cette fois à pousser son chibre lorsque je déglutissais à tout va pour m'aider à le gober. Et c'est rentré ! Ensuite à chaque déglutition sa verge progressait dans ma gorge. Je me suis vite retrouvée avec le nez dans ses poils, la tête un peu penchée en arrière pour pouvoir accueillir toute la longueur de son braquemart dans mon gosier. Je n'ai tenu que quelques secondes, perturbée par la sensation d'étouffement qui montait à toute vitesse avec cette masse qui bloquait le conduit.

Et là c'est chaud, car il faut refaire tout le travail en se disant ça va passer, ça va passer, ça va passer ! Et c'est passé, à de nombreuses reprises même, Mike la laissant bien au fond un peu plus longtemps à chaque fois pour m'habituer à sa présence. Merci la piscine pour ma résistance pulmonaire ! Par contre j'en ai pleuré et bavé comme le dernier rejeton de votre voisine qui ne sait pas encore marcher. C'est normal, le corps vie et réagit m'a-t-il rassuré. Il faut juste accepter d'avoir la poitrine pleine de bave !! Je crois que ce qui m'a le plus surprise c'est de sentir son sperme couler directement dans ma gorge lorsqu'il a éjaculé. Sans passer par la case bouche et les papilles de votre palais, cette sensation est vraiment particulière, voire un peu inquiétante la première fois.

Je vous raconte mes aléas de suceuse en devenir, car nous roulons depuis une vingtaine de minutes pour nous rendre à la ferme d'Alexandre, le producteur de fromages de chèvre et c'est, je pense, plus intéressant que de vous décrire le paysage, même s'il vaut le détour. Son exploitation est perdue en pleine campagne au milieu d'une petite vallée entourée de grande prairie et d'une petite forêt de pin. Le décor d'une belle carte postale, je m'attends presque à voir sortir la marmotte comme dans la pub ! Le braiment répété d'un âne annonce notre arrivée. Alexandre nous accueille au milieu de la cour de son imposant corps de ferme.

Je me rends rapidement compte que, même si elles sont bien en harmonie avec ma robe légère, mes stilettos ne vont pas être réellement adaptées à la visite des lieux. Je joue à la marelle pour éviter quelques bouses de vaches et reprends mon équilibre sur un sol chaotique garni de piège en tout genre ! En arrivant à proximité de l'étable, notre hôte nous présente l'un de ses commis.

- C'ui-là c'est Régis, il ne sait ni lire ni écrire, mais il bosse bien, c'est une véritable bête de somme. On doit s'entraider à la campagne, se croit-il nécessaire de préciser pour justifier sa présence, et j'dois dire que sa mère à des arguments non négligeables !

Sa trogne ne m'est pas inconnue ... ça y est j'y suis, purée c'est l'hydrocéphale qui m'a baisé lors de ma première sortie au bar d'Antoine ! Je lui tends la main pour faire preuve d'un peu de sociabilité ... elle disparaît dans une paluche énorme qui pourrait presque servir de battoir à linge. Il me mate, ma tête doit lui dire quelque chose également, mais on sent bien qu'il n'a pas toute la lumière au cerveau. Pourtant au bout de quelques instants, son visage s'éclaire, deux fils ont dû se toucher par inadvertance !

- Elle baise bien elle, informe-t-il d'un ton loquace à son boss !

C'est bien ce que je pensais, c'est le simplet, l'idiot du village, celui qui n'a pas eu le pacte complet à la naissance, celui que l'on berçait trop prêt du mur diront certains en se rappelant la poigne de la Denise, sa mère, quand elle les branlait discrètement entre deux meules de foin !

- On verra ça plus tard, retourne t'occuper des vaches, y en a une qui boitait un peu ce matin, va voir ce qu'il en est, lui retourne son patron, sans toutefois cacher un léger sourire.

La suite de la visite n'a que peu d'intérêt jusqu'à l'atelier de fabrication des fromages, même si le troupeau d'une centaine de chèvres et d'environ deux cents brebis reste impressionnant. Nous y retrouvons ses deux fils, deux vrais jumeaux, dans mes âges, Jules et Brice. Comment peut-on être aussi mal fringué en portant de tels prénoms? Une véritable énigme ! Ils sont tout le portrait de leur père, assez grand, plutôt longiligne sans être maigre, un peu voûté sans toutefois postulé dans le rôle du bossu de notre dame, mais à l'instar du personnage, un visage assez ingrat, aux courbures saillantes, aux orbites enfoncées, aux oreilles de choux que leur crâne tondu de prêt laisse apparaître au grand jour !

Blouses blanches et charlottes de rigueur et nous voilà parties pour une heure de confection fromagère. Je vous passe les détails techniques, mais l'expérience est très intéressante. On les sent vraiment passionnés par leur sujet les deux frangins. Nous enchaînons par la dégustation. Alexandre, qui nous avait abandonnés en cours de route, nous a dressé une belle table dans sa salle à manger avec toutes les nouveautés de leur production. Elles sont complétées par quelques encas, qui, dans cette fin d'après-midi très tardive, tiennent lieu de repas.

Ça papote, ça papote, sauf simplet qui n'a d'yeux que pour blanche neige ! Je suis prise à partie sur mon manque de sensibilité campagnarde et ma méconnaissance de leurs us et coutume. Étant une citadine pure et dure, je reconnais volontiers être inculte dans tout ce qui touche au mode de vie paysan. Alexandre saute sur l'occasion pour me proposer de passer une journée à la ferme et de vivre pendant 24 heures au rythme de la nature. Rien de tel pour en apprécier tous les bienfaits. Malgré mon regard désespéré traduisant bien mon peu de motivation de passer une journée parmi les bouseux, Paul trouve l'idée excellente. Vendu, il passera me récupérer demain en début de soirée !

-----

Ma chambre, située au bout de cette grande longère, est sobre, à la déco d'un autre temps, à cent mille lieux d'une possible reconversion en chambre d'hôte ! Je ne suis pas couchée depuis 5mn que la porte s'ouvre et que la silhouette d'Alexandre apparaît dans l'entrebâillement. Il n'est habillé que d'une liquette à carreaux présentant une légère bosse au niveau de l'entre-jambes. Je me disais bien que c'était trop facile, il ne s'était rien passé dans la soirée, j'avais presque trouvé ça louche. Surtout après la remarque de Paul avant de partir, "tu te comportes avec tes hôtes comme avec moi", m'avait-il ordonné. Comme maintenant je parle le Paul dans le texte couramment, ça voulait toi ma fille tu écartes les jambes à leur bon vouloir ! Bon là côté libido ça ne va pas être gagné par contre !

- Vous ne venez pas dormir avec moi quand même? lui demandé-je d'un ton naïf histoire de lui faire comprendre mon peu d'entrain pour la bête à deux dos ce soir.

- Non, j'viens juste t'faire un p'tit câlin. J'suis sure que t'attendais qu'ça, me précise-t-il en venant se glisser sous les draps à mes côtés. Je dois bien ça à mon invité !

Je me serais bien passée de cette délicate attention. Je ne les savais pas aussi à cheval sur les principes et sur les conditions d'accueil à la campagne. Sans attendre une quelconque acceptation de ma part à son projet, il vient sur moi m'écraser de tout son poids. Il sent le savon c'est déjà ça ! Ses gros doigts se frayent un chemin jusqu'aux portes de mon sexe. Il ne frapper pas avant d'entrer et vient prendre possession des lieux. Ils sont rugueux, indélicats, presque brutaux en me fouillant l'intimité. Je suis sèche et ai du mal à monter dans les tours pour éviter une introduction douloureuse, ça va être un mauvais moment à passer !

Son haleine fétide envahit mes narines quand sa langue tente de se frayer un passage entre mes lèvres. Il a déjà pris possession des autres, je ne lui laisserais pas celle-là. Je tourne la tête pour éviter ce palot qui me ferait sans nul doute défaillir. Il me pénètre violement, sa chipolata n'est pas très grande, mais assez épaisse, petit, mais costaud quoi. Un peu plus d'attentions préalables m'auraient évité de grimacer de douleur ! Au terme de cette missionnaire sans âme ni couleur, après avoir déposé son bulletin dans l'urne, sans se soucier un seul instant de mon plaisir, il s'en va en me précisant simplement que demain la journée débute tôt !

Mon sexe me chauffe grave, je n'ai même pas le courage d'aller errer dans la maison à la recherche de la salle de bain. Et mal m'en prend, car à peine quelques minutes après son départ, ma porte s'ouvre de nouveau. C'est un véritable hall de gare cette chambre ! C'est un des jumeaux qui pointe le bout de son nez, avec celui de sa queue ! Il est juste en liquette, comme son père, la même, ils ont dû avoir un lot avec un prix de gros. Il a le chibre prêt à l'emploi, aux dimensions plus proportionnées, à la courbure légèrement prononcée. Il est plutôt bien équipé, comme quoi il n'a pas tout récupéré de son paternel !

Mon mutisme et mon inertie doivent l'encourager, car sans mot dire il vient me chevaucher et me prendre sans aucune autre sorte de préliminaire qu'un pelotage virulent de ma poitrine. Moins endurant le fiston en tout cas, comme quoi l'âge, l'expérience, tout ça, cela sert parfois ! Son frangin devait attendre le top départ derrière la porte, car il me saute sur le paletot dans la foulée. Ils sont semblables jusque dans leur bite les frangins !A un grain de beauté prêt ! Ce qui n'est pas le détail qui vous aide à les reconnaître lorsque vous les croisez à la boulangerie ! Par contre ils sont de caractère bien différent, bien moins introverti le second m'insulte à tout va, il est plus imaginatif dans les positions et bien plus long à la détente que sa pale copie !

C'est Régis qui clôt cette ribambelle de queues, lui aussi aucunement dégoûté de venir plonger son chibre dans mon sexe dégorgeant du foutre de mes trois premiers partenaires. Il me laisse également vierge de toute jouissance ce soir malgré un coup de reins endurant et un chibre de belle facture. Le bruit d'une clé dans la serrure retentit après son départ. Ils ont peur que je les quitte en pleine nuit? Moi qui aie une envie folle de me laver le sexe et de me frotter la couenne pour me débarrasser de l'odeur de tous ces rustres, je vais être bonne pour passer la nuit l'entrejambe toute poisseuse d'un foutre abondant. J'ai horreur de ça ! Ce sentiment de leur avoir servi de poupée gonflable pendant une heure est révoltant, cela en est plus avilissant et me donne presque envie de pleurer. C'est à moitié prostrée sous mes draps que je tente de trouver le sommeil.

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C'est une main ferme qui me secoue l'épaule et me réveil. Un petit gland, situé à seulement quelques centimètres de mes lèvres, attend impatiemment l'ouverture de mon service à délice. Ce que je fais, par réflexe, sans vraiment réfléchir. Après quelques aller-retour dans ma bouche servile, sans avoir éjaculé, la voie d'Alexandre résonne dans la chambre.

- Allez lève toi les vaches n'attendent pas.

6h du mat, il est 6h du mat quand, assise sur le lit encore dans le brouillard, j'arrive à capter les chiffres de mon smartphone qui s'affichent dans la pénombre. C'est inhumain de se lever aussi tôt, surtout que j'ai eu du mal à m'endormir après la visite de la famille hier soir. La nuit a été courte !

- Enfile ça, c'était à ma femme, ça doit t'aller, me demande-t-il en me tendant une blouse et une paire de bottes, tu ne mets rien d'sous.

La blouse rose pale à manche courte est en partie défraîchi par le temps, seuls deux boutons au centre ont résisté, je suppose, aux coups de ciseaux d'Alexandre. Ils donnent à ma poitrine un décolleté vertigineux et laissent entrevoir les contours lisses de mon sexe lorsque, à chaque pas, mes cuisses en écartent les pans. A une pointure prête, les bottes me conviennent, mais je ne flotte pas trop dedans.

Le jour se lève à peine lorsque nous traversons la cour de la ferme pour nous rendre à la salle de traite. Plutôt empotée dans mes godillots, j'ai du mal à suivre le rythme. Un peu de brume, une petite rosée, cette fraîcheur machinale me donne la chair de poule dans ma tenue minimaliste. Le débilos est déjà sur place en train de driver d'une main de maître la douzaine de vaches dans leur box de traite. Une petite lumière s'allume dans son plafonnier en me voyant entrée. Je crois que j'ai accroché son cœur, ou tout au moins son chibre ! Alexandre me demande de prendre place dans un des compartiments laissés vides.

- Vous voulez me traire également, rigolé-je, vous n'allez pas faire fortune avec mon lait ..., je n'ai pas le temps de finir ma phrase qu'une baffe vient mettre un terme à mes railleries.

- Dépêche-toi de t'installer connasse, j'suis pas d'humeur ce matin.

Devant son regard bovin, en harmonie avec les habitantes du lieu, je me plie à sa requête pour éviter dans prendre une autre et m'installe à quatre pattes dans le box. Je ne le sens pas diplomate pour un sou ! Il me fixe les poignets avec une petite sangle de chaque côté du box, déboutonne ma blouse et enduit mes seins d'une graisse épaisse et translucide.

- J'prépare toujours correctement les débutantes, m'explique-t-il en me massant longuement la poitrine. Tu sais qu'on peut avec pas mal d'entraînement arriver à déclencher des montées de lait,

le corps se laisse abuser par ces succions à répétition ! Une fois l'effet réussi, on a moins d'mal à le reproduire si l'on pratique régulièrement. Tu deviens une donneuse, une bonne laitière. J'ai une amie que j'entraîne souvent, ces mamelles sont bien développées grâce à ça, ses embouts ont triplé de volume depuis le début.

C'est qu'il va réellement le faire ce barge ! Je me décompose au fur et à mesure de ses commentaires. Je n'ose même pas réagir. Ma marge de manœuvre est limitée attachée comme je suis. Satisfait, il attrape deux faisceaux pour la traite dont les embouts comportent un adaptateur pour se rapprocher de la taille d'un tire-lait et les fixe sur mes seins tels des ventouses. Dès leur mise en route, j'ai l'impression que le vide se fait et que mes mamelons sont aspirés. Au début les sensations sont surprenantes, pas désagréables, un effet chatouillis, celui d'une succion, mais bien plus forte que la bouche de mon dernier amant !

Après quelques minutes, la surprise passée, cette aspiration répétitive des tétons devient gênante, agaçante, énervante. La traction de la trayeuse se fait plus forte, plus présente et j'ai vite les embouts douloureux. Je l'interpelle, gueule à tout va le pensant parti, mais il est resté dans les parages et vient rapidement s'enquérir de mes revendications. Mais au lieu d'arrêter la machine, c'est sa queue qu'il offre à ma bouche pour faire taire mes jérémiades. J'ai beau essayer de me concentrer sur son chibre rien à faire la trayeuse continue de me martyriser la poitrine et m'obnubile. Mes lèvres restent cependant efficaces et viennent à bout de son engin ... toujours aussi difficile le foutre au petit-déjeuner !

Soulagé, Alexandre me laisse seule avec mon désarroi. Je ne la supporte plus cette foutue machine et comme je ne sais pas souffrir en silence, j'exprime pleinement ma détresse. Mais j'ai beau beugler à tue-tête il ne réapparaît qu'un bon quart d'heure plus tard, à la fin de la traite, pour arrêter les sévices, enlever les faisceaux et me soulager ! J'ai pris ma suée, j'ai même failli me pisser dessus à un moment donné ! Mes embouts ont pris une forme légèrement oblongue, mes tétons ont triplé de volume et sont extrêmement tendus, deux cercles formés par les "ventouses" marquent mes seins. De retour sur le plancher des vaches, il donne une petite chiquenaude sur mon téton droit qui électrise tout mon mamelon et lorsqu'il pince le droit la décharge se propage dans tout mon corps me faisant couiner derechef !

- Tu vas rester sensible toute la journée, tu vas voir un vrai bonheur !

J'en frémis d'avance, rien que le contact de ma blouse en la refermant me hérisse les poils. Avant d'aller enfin prendre un véritable petit déjeuner, nous passons voir où en sont les jumeaux avec la traite des chèvres. Elle en est presque à son terme et une petite demi-heure plus tard nous nous retrouvons attablés devant un copieux encas matinal. Le grand dadais enfile les calories sans toutefois quitter ma carcasse des yeux. J'ai un peu l'impression que depuis qu'il m'a vu hier, sa queue a pris toute la place libre dans son cerveau et régit ses faits et gestes.

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