L'invasion Ch. 11

BÊTA PUBLIQUE

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— Interdiction de te masturber. C'est criminel!

Elle frappe et frappe encore. Mon sexe est brûlant de douleur et pourtant je ne parviens pas à débander. Elle me frappe et me sermonne sur la masturbation.

— Je te faisais confiance, et toi tous les soirs, tu joues tout seul, tu touches ton sexe. Tu fais cela en cachette car tu sais que c'est interdit, tu es un criminel. Les mâles n'ont pas le droit de se toucher.

Et chaque fois ses deux mains se rejoignent pour frapper mon sexe tendu. Je n'arrête plus de pleurer, c'est de plus en plus douloureux.

— Je te ferai payer cela très cher! Tes fesses resteront rouges. Tu verras.

Après une centaine de coups, elle arrête. Je pensais souffler un peu, mais elle change juste de position, elle me couche sur ses genoux, sur le dos, les jambes relevées le plus possible pour me plier en deux et laisser mes fesses très tendues en l'air.

— Et tu n'es même pas assez souple! Tu iras chez Sadia pour qu'elle t'assouplisse. Tu dois pouvoir mettre tes jambes derrière ta nuque, que tu sois en bonne position pour les punitions.

Dès qu'elle m'a coincé, elle prend mon sexe pour le placer derrière mes cuisses. Alors, elle recommence à me frapper de sa main gantée de cuir noir. Elle frappe mes fesses et mon sexe déjà douloureux des précédentes fessées. Cela n'arrête pas, je hurle, je pleure, je supplie, je demande pitié, rien n'y fait.

— Que se passe-t-il? Entends-je la voix de Marta.

Sans s'arrêter, Ayesha lui répond.

— Arno a osé se masturber tous les soirs. Je le punis.

— Comment? Mais c'est inqualifiable, moi qui le prenais pour un brave garçon. Tu veux de l'aide?

— Prends-le et continue!

Je me suis senti soulevé. Marta a pris mon mollet gauche et m'a tiré en l'air, je pends dans les airs, la tête en bas. Quelle force! Et quel choc, Marta porte également une combinaison de cuir noir, la même que celle d'Ayesha.

Mon sexe et mes fesses me brûlent et malgré tout, je me sens hyper excité. Je n'en peux plus. Marta me secoue pendant qu'Ayesha se lève. Je suis nu à l'envers entre ces deux géantes noires vêtues de cuir noir.

— Il croit encore qu'il vit son ancienne vie, dit Ayesha. Il croit qu'il ne doit pas obéir. Il croit qu'il peut faire ce qu'il veut. Mais c'est fini tout cela.

Je commence à recevoir des coups de Marta, mais cela me fait balancer.

— Frappons-le ensemble.

Elles s'asseyent l'une à côté de l'autre et me coincent entre elles. Mon sexe est entre leurs deux cuisses, bien serré, et elles me placent les jambes écartées au maximum, une jambe sur chacune d'elle, ma tête en bas. Et elles me frappent toutes les deux à tour de rôle, en cadence. C'est très fort et je continue de hurler, de supplier.

— Cela ne sert à rien, me dit Ayesha, tu vas payer, tes fesses seront gardées toutes rouges pendant des semaines.

— Il vient d'éjaculer entre nos cuisses, lui annonce Marta.

Je ne m'en rends même pas compte, j'ai joui sans ressentir le plaisir, mais de toute façon, mon sexe reste dur.

— Encore? Sans autorisation? Tu le fais vraiment exprès.

— Non pitié, Ayesha, je ne l'ai pas voulu. Pitié.

Mes pleurs et supplications ne servent à rien. Elles continuent de me frapper, la douleur devient intolérable, je ne savais pas qu'on pouvait avoir si mal. Je me place dans un autre monde, j'évacue mon esprit de mon corps, et c'est comme si la douleur était lointaine.

Je me retrouve sur le sol.

— A genoux, crie Ayesha.

Tant bien que mal je me positionne. Mes fesses brûlent encore, rien n'apaise la douleur.

— Demande pardon, me dit-elle. Je veux que tu te rendes compte de tout le mal que nous nous donnons pour te faire plaisir, et toi tu gâches tout.

— Pardon, pleurniché-je, je ne le ferai plus, je serai très obéissant.

— J'y compte bien.

— Tout avait bien commencé, poursuit Marta plus doucement, tu venais tout nu chez nous, tu étais gentil, calme, et maintenant j'apprends que tu te masturbes. Pourquoi fais-tu cela?

— Pitié, c'est plus fort que moi.

— C'est pour cela qu'il faut une stricte surveillance, dit Ayesha.

— Oui, faites ce que vous voulez, je veux vous plaire. Je ne veux plus vous décevoir.

— Nous allons devoir changer certaines choses, poursuit Ayesha, tu dormiras dans une cage, attaché. Et tu porteras ton anneau de chasteté la journée. Ce sera mieux pour nous toutes, comme ça, au lieu de te promener par le sexe, nous y attacherons une laisse et ne devrons pas nous courber.

— Tu veux toujours vivre nu avec nous? Demande Marta.

— Oui Marta, plus que jamais.

— Tu aimes que nous te punissions?

— Non Marta. Mais cela me rend meilleur pour vous.

— Donc tu ne nous en veux pas pour ta punition?

— Pas du tout, réponds-je en pensant à ma grande douleur.

— Ta punition n'est pas terminée. Tu auras une fessée toutes les heures demain et après-demain. Et tu vas commencer à vraiment servir des femmes supérieures. Tu aimes nous servir nu?

— Oui Ayesha, oui, j'aime beaucoup.

— Même pendant tes vacances?

— Ce sont les meilleures vacances de ma vie, je n'ai pas envie qu'elles finissent.

— Elles ne sont pas prêtes de finir, ne t'en fais pas.

Commence alors mon service. Je dois leur préparer à manger et les servir, puis manger à leurs pieds. Deux femmes qui me font cela, c'est encore plus humiliant. Elles me font baiser et lécher leurs bottes de cuir noir pour les faire briller, et continuent leurs nombreuses fessées pendant toute la soirée. Tard, les deux géantes noires me montent dans ma chambre. La pièce est changée. Plus aucun meuble, juste un lit de métal au milieu de la pièce. Elles m'étendent sur le dos et attachent mes poignets et mes chevilles aux quatre coins du lit. Incapable de bouger.

— Comme cela, je suis certaine que tu ne te masturberas plus. C'est ainsi que tu dormiras désormais.

Après toute cette rudesse, les deux femmes deviennent soudain tendres. Ayesha se penche sur moi et m'embrasse tendrement sur les lèvres.

— Dors bien. Quand tu es bien soumis comme cela tu es très mignon.

— Absolument, reprend Marta de l'autre côté en prenant mon sexe en main. Nous allons bien te dresser, tu seras un petit mâle nu parfait. Physiquement, tu l'es déjà, mais tu dois encore te perfectionner pour vivre avec nous comme il se doit. Tu veux te perfectionner? Ajoute-t-elle tendrement.

— Oui Marta.

— Il me semblait bien.

— Je crois que nous pouvons compter sur toi, me dit Ayesha. Mais plus de masturbation, n'est-ce pas.

— Il faudra le prendre en main, conseille quand même Marta. Il a un sexe qui ne servira jamais. Il faut bien une petite compensation.

— Certes, mais le plus rarement possible. Ce sont des récompenses pour les mâles qui sont parfaits.

Elles m'embrassent sur les lèvres et me laissent seul dans la pièce. Je souffre encore plus que d'habitude. D'abord mes fesses me font très mal. La douleur sur mon sexe est forte aussi, mais compensée par l'érection. Le plus gros problème c'est que je ne sais plus bouger, je ne sais absolument rien faire pour me masturber. Je suis complètement bloqué. Et autour de moi, ces images de belles géantes noires ne font rien pour ma calmer.

Je repense aux fessées, et malgré la douleur, je me rends compte que j'aimais cela, Ayesha et Marta en grandes femmes vêtues de cuir noir, impressionnantes, insinuant la peur en moi, me rendant complètement à leur merci, me frappant, mais me cajolant juste après.

Je repense à Sonia, mon désir de me retrouver complètement nu devant elle, dans ses bras alors qu'elle porte cette tenue fantastique. Et même Sandra et Vania dans la clinique. Je ne vis plus que pour être avec ces femmes, sans me rendre compte du reste. J'entends du bruit dans la maison, parfois dehors. Rien ne me distrait vraiment de mes pensées et de mes rêves éveillés. Si j'ouvre les yeux, j'aperçois les hologrammes de plusieurs géantes noires. Tout est fait pour complètement m'enfermer dans ce monde où toutes les femmes sont tellement grandes que le sommet de mon crâne doit arriver à peine à leur nombril. Lorsqu'elles portent des talons hauts, ce qui est presque toujours le cas, ma bouche est au niveau de leur entrejambe alors que la base de mon sexe est à peine au niveau du bas de leurs cuisses.

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Anonymous
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2 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a environ 6 ans

La nouvelle vie d'Arno commence à bien prendre forme.

Quelle chance il a !

Et avoir un sexe tellement démesuré par rapport à sa taille !

Rudy

AnonymousAnonymeil y a environ 6 ans
De mieux en mieux

Je voudrais tant être Arno.

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