L'invasion Ch. 11

BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

— Bien madame.

Elle va vers la porte.

— Suis-moi!

Je vais vers elle. Ma frustration est grande, elle a ôté ses mains de mon sexe. Même si la sensation était intolérable, quand elle m'a lâché, c'est devenu une frustration. Je déglutis mal d'excitation. Je me retrouve encore dans le couloir. La réceptionniste est toujours à sa place et regarde vers moi lorsque nous passons. Sandra va vers une autre porte et l'ouvre

— Oh excuse-moi Vania, je ne savais pas que tu utilisais cette salle.

— Ne t'en fais pas, répond une voix, j'ai presque fini.

Sandra referme la porte.

— Il va falloir attendre un peu. Viens!

Elle me prend la main et me tire derrière elle jusqu'à la réception.

— Candice, je te laisse Arno. Arno, va t'asseoir là.

Elle me désigne un des fauteuils en face du comptoir.

— Je viendrai te chercher dès que c'est libre.

Je reste là tout tremblant. Je n'en peux plus, la pression est trop forte.

— Allons, obéis.

La réceptionniste me regarde. Je suis tout nu dans cette salle de réception. N'importe qui peut passer. Sandra me pousse et m'assied de force.

— Je crois que je vais appeler Ayesha et lui parler de ton comportement. Cela devient intolérable.

— Non, s'il vous plait.

— Dans ce cas comporte-toi bien et obéis.

Je m'assieds et elle me laisse. Un peu plus tard, une grande noire entre et se dirige vers la réception. Elle me regarde tout nu. Sandra arrive.

— Entre, je vais te faire passer avant mon patient récalcitrant.

La femme la suit et je reste tout nu dans la pièce. C'est de plus en plus gênant. Je ne sais que faire assis dans ce grand fauteuil. Je ne peux même pas cacher mon sexe qui est trop grand pour que je puisse le dissimuler. Je n'ose pas lire les magazines. Un bruit de talons hauts qui martèle les dalles blanches me fait sursauter. Deux femmes sortent du couloir et vont vers la réception. L'une est en robe bleue, l'autre porte un tablier médical avec un stéthoscope autour du cou. Vania, sans doute. Elle me voit et me sourit. L'autre dame dit quelque chose à la réceptionniste, puis salue la doctoresse et s'en va vers la sortie tout en ne cessant de m'observer. La doctoresse vient vers moi.

— Tu dois être Arno. Sandra m'a parlé de toi.

— Oui madame, réponds-je toujours stressé.

— Viens.

Elle me tend la main et me tire à elle. Elle me garde par la main pour aller vers le couloir. Encore une nouvelle femme qui me voit tout nu, une femme qui considère que c'est normal. Elle me fait entrer dans son cabinet et me laisse debout devant son bureau. Elle ne va pas s'asseoir, mais se place devant moi pour me dominer de toute sa hauteur.

— Sandra m'a beaucoup parlé de toi, je ne croyais pas qu'il existait un petit mâle blanc aussi parfait qui aime vivre nu. C'est fantastique. Laisse-moi t'admirer.

Elle s'éloigne un peu puis revient et commence à me palper un peu partout.

— Et tu es si bien proportionné, tu as un corps de rêve, bien musclé, la taille adéquate, même ton sexe est très beau.

— Je me sens si petit, je vous arrive à peine à la taille.

— Tu as la taille adéquate, la taille maximum qu'un mâle doit avoir.

— Mais j'ai rapetissé, avant j'avais 1m80, maintenant, j'ai 1m60. Tout est trop grand autour de moi.

— Arno, pour moi, tu es parfait, tu peux demander à toutes celles que tu vas rencontrer. Je suis même certaine que de nombreuses femmes vont trouver que tu es trop grand.

— Trop grand?

— Certaines femmes préfèrent les mâles plus petits, jusque 1m20.

Je n'en reviens pas.

— Ne te pose pas de questions. Je te dis que tu as un corps parfait, une peau si douce, tu as un corps de rêve. C'est agréable pour quelqu'un qui veut vivre tout nu, non?

— Mais... tout nu? Je...

— Tu as dit que tu voulais vivre nu avec Ayesha. Moi aussi j'aime te voir complètement nu. Un mâle doit être nu, mais c'est mieux quand il est bien fait.

Elle se penche devant moi et j'entrevois le haut de ses seins. Je suis encore plus excité.

On frappe à la porte et Sandra entre.

— Ah, mon petit Arno, c'est ici que tu es. Viens terminer les tests.

— Puis-je me joindre à vous?

— Bien sûr, répond Sandra.

— Arno est très intéressant. C'est un plaisir de s'occuper de lui. Comme tu as dit, il adore vraiment vivre complètement nu avec des femmes comme nous.

Nous sortons dans le couloir. Je n'ose plus rien dire, je suis trop abasourdi par ce qu'il se passe. Dans la nouvelle salle, une nouvelle infirmière attend notre arrivée. Elle me fait asseoir sur un grand fauteuil médical et prépare la prise de sang.

— N'aie pas peur, me dit-elle.

— Je n'ai pas peur, réponds-je un peu vexé.

— Tu trembles pourquoi alors?

Elle pique et tire quelques fioles de sang.

— Il faudrait également un échantillon d'urine, dit l'infirmière, mais dans cet état, c'est impossible.

— Je sais. Nous ferons ce test une autre fois, répond Sandra.

— En tout cas, c'est un jeune homme en parfaite santé physique, bravo! S'exclame Vania.

— Il va falloir le rester, poursuit Sandra, et venir ici régulièrement.

— Nous devons également suivre son évolution CFNM, dit encore Vania. Il faudrait en parler à Ayesha ou à sa tutrice.

— C'est Ayesha sa tutrice maintenant. C'est avec elle que tu dois parler de tout.

— C'est quoi CFNM, osé-je demander.

— Cela veut dire que tu adores vivre tout nu avec des femmes habillées. Ton syndrome est très fort. Nous en parlerons à Ayesha alors.

— Est-ce qu'elle doit être mise au courant?

— C'est ta tutrice, elle doit tout savoir sur toi.

— Tu demanderas à Ayesha de m'appeler. Je veux lui parler de ton cas. Il semble que tu aies un sérieux problème de testicules gonflés, et surtout, tu te masturbes.

— Oh non, ne lui dites pas cela.

— Nous devons tout lui dire, me coupe Vania.

— Et tout compte fait, il vaut mieux que nous nous rencontrions, tu lui demanderas de venir nous voir aujourd'hui, si cela ne la dérange pas.

Nous sortons dans le couloir et allons vers la réception.

— Voilà, tu peux y aller, nous t'attendons dans l'après-midi.

— Puis-je récupérer mes vêtements?

— Ils t'attendent sur ton vélo, me dit la réceptionniste.

— Mais... c'est dehors.

— Oui, et alors?

— La prochaine fois, déclare Vania, dès que tu entres ici, tu les retires et les donnes à la réceptionniste. Compris?

— Oui madame.

Une des femmes assises dans le salon arrive.

— Mais quel charmant jeune homme. Que fais-tu ici?

— Il est venu pour des examens médicaux, bien sûr, répond Vania.

— Je suis Sadia, c'est moi qui ai le club de gym. Je ne t'y ai jamais vu.

— Euh, je ne savais pas qu'il y avait un club de gym.

— Il faudra que tu viennes faire un essai. Je m'occuperai bien de toi. Un beau mâle parfait.

Elle caresse mon visage et Vania l'emmène vers son cabinet.

— Tu vois, me dit Sandra, toutes les femmes te trouvent parfait.

Mort de honte, je sors de la clinique. J'aperçois mon vélo au bout du parking et cours pendant que des femmes arrivent encore. Tout le monde me voit tout nu, cela devient trop. En plus, maintenant je suis dehors. Mes affaires sont par terre, sales et chiffonnées. Je m'habille mais mon sexe dépasse toujours de mon bermuda. Je pédale vite pour retourner chez moi, je ne veux pas que toutes ces femmes me voient encore nu.

J'arrive et faillis entrer habillé. Je freine à temps et dépose mon vélo contre le muret. Deux femmes arrivent à ma rencontre. Je ne peux quand même pas retirer mes vêtements devant elles. J'attends un peu et elles arrivent à ma hauteur.

— Bonjour Arno, me dit la première, tu vas bien?

— Oui madame.

— Que fais-tu ici?

— J'allais rentrer chez moi.

— Et bien vas-y.

— Je ne suis pas pressé, réponds-je.

Marta arrive à ce moment.

— Arno, tu viens chez moi?

— Ayesha m'attend, je dois lui parler.

— Et tu disais que tu n'étais pas pressé, dit une femme, tu mentais?

— Non, non.

— Arno a demandé à vivre tout nu chez lui, et Ayesha a accepté. Il doit se déshabiller dehors.

— Et bien fais-le!

Je n'ose pas. Marta vient et empoigne mon polo et mon short qui se déchirent.

— Cela t'apprendra à obéir, me dit-elle. J'espère qu'Ayesha te punira. Tu commences à vraiment devenir pénible.

— Oh non, mes vêtements, m'écrié-je.

— A la maison, crie Marta.

Je prends mon vélo et entre dans mon allée. Je le range au garage et entre dans la maison.

— Ah, te voilà, dit Ayesha en me voyant. Alors, comment c'était?

— Madame Sandra voudrait vous voir. Aujourd'hui si possible.

— Et bien allons-y. Tu as été sage?

— Oui Ayesha.

— Gare à toi si ce n'est pas vrai. Allons-y.

Elle ouvre la porte.

— Euh. Est-ce que je ne devrais pas porter des vêtements?

— Tu n'en as pas besoin.

Elle prend mon sexe en main, et je me sens si bien, encore plus excité. Nous rejoignons le trottoir où Marta et les deux femmes sont toujours occupées de discuter.

— Ayesha, lui dit Marta, j'ai dû retirer les vêtements d'Arno, il ne voulait pas les retirer pour entrer.

— Comment? Fait Ayesha en me regardant de haut? Tu vas le payer. Je ne veux plus entendre de mauvaises remarques à ton sujet.

Elle me coince contre sa hanche et commence à me frapper les fesses. Avec ses gants de cuir, c'est encore plus douloureux.

— Tu vas finir par obéir, misérable petit mâle, je suis bien trop indulgente avec toi. Tout le monde me le dit.

Je vois d'autres femmes arriver pour m'observer. La honte. Je pleure de peur, de douleur et de honte. Après une trentaine de coups, Ayesha me jette au sol.

— Ah, tu ne veux pas te montrer nu sur la route. Et bien tu n'auras plus de vêtements pendant trois jours. Je vais commencer la vraie discipline avec toi. Et maintenant, excuse-toi devant nous toutes.

Je veux me relever.

— Non, à genoux.

— Excusez-moi, pleurniché-je.

— Et maintenant allons-y. Et gare à toi si j'ai encore des remarques à ton sujet.

Elle prend mon épaule et me soulève rapidement pour me remettre debout.

— En avant. Et que je n'aie aucune remarque à te faire.

— C'est vrai, dit une des femmes. Il y a toujours des esclandres devant chez vous. Toujours à cause de lui et toujours pour une histoire de vêtements. Cela devient ennuyeux.

— Oui, qu'il soit nu une fois pour toute.

— En plus il adore cela.

— Il ne faut pas aller trop vite, tempère heureusement Ayesha. Je vais déjà l'emmener à la clinique et voir ce que la doctoresse Sandra a à me dire.

Je n'ose plus rien dire. Ayesha m'emmène dans sa voiture.

— Et que je ne t'entende pas faire une remarque, tu restes nu. Tu oses faire une seule remarque, et je te promène partout nu en te fessant, tu m'as bien comprise?

— Oui Ayesha, pardon, je ne le ferai plus.

En voiture, le chemin est beaucoup plus rapide. En quelques instants, nous sommes sur le parking de la clinique. Ayesha m'ordonne de descendre de la voiture et nous entrons dans l'endroit que je viens de quitter. Cette fois, pas de tergiversations, je suis déjà complètement nu. Mon sexe est toujours dressé, et la présence d'Ayesha à mes côtés, toujours vêtue de cuir noir, ne fait rien pour amenuiser l'effet, au contraire. Elle va tout de suite voir Candice.

— Bonsoir, je suis la tutrice d'Arno, il m'a dit que la doctoresse Sandra voulait me rencontrer.

— Effectivement madame, la doctoresse vous attend. Je vous y conduis.

Nous passons dans le couloir à la suite de Candice. Elle frappe et entre dans le bureau de Sandra.

— Ah, vous voilà déjà. Assieds-toi Ayesha.

Ma tutrice s'assied dans un délicieux crissement de sa combinaison de cuir noir.

— Toi, reste debout et fixe à côté de moi, m'ordonne Ayesha.

J'attends donc comme elle me l'ordonne.

— Ayesha, je t'ai fait venir pour te parler d'Arno. Tu es sa tutrice et tu dois tout savoir à son sujet.

— C'est un fait, laisse-t-elle tomber.

— Je l'ai examiné aujourd'hui. Je dois dire qu'il est en parfaite santé. Tous ses indicateurs sont les meilleurs qu'on puisse trouver. J'attends les résultats des analyses de sang, mais je suis certaine que tout sera parfait. Maintenant, tu dois savoir qu'il a le plus fort syndrome CFNM qui existe. Il a un constant besoin de vivre nu avec des femmes habillées, et le mieux c'est de se retrouver avec des femmes comme nous. C'est son grand fantasme.

Ayesha me regarde en souriant et je me sens encore rougir de honte. On parle de moi comme d'un sujet d'analyse. En plus ce sont des paroles qui m'embarrassent. Je sens la honte et les larmes me monter aux yeux.

— Tu vois l'état de son sexe? Beaucoup trop grand pour un jeune garçon de sa taille, à peine 1m60 et un sexe de trente centimètres. Selon nos critères, il est parfait, très beau, une peau douce et sans aucun poil, et ce sexe démesuré plus adapté à un mâle de 2m50 qu'à un d'1m60. Regarde son sexe. Il a mal. Ses testicules sont gonflés, mais pas trop, tout cela parce qu'il se masturbe tous les jours.

— Comment? Fait Ayesha en se tournant vers moi? Tu oses te masturber? Quand? Où?

Je ne sais plus où me mettre.

— Ay-ay-ayesha, je-je-je...

— Tu quoi? Parle!

— Il se masturbe le soir, dit Sandra à ma place.

— Tous les soirs?

— Oui, il me l'a dit ce matin.

— Tu as osé faire cela dans la maison? Tu as osé faire cela tout court? C'est interdit!

Ayesha crie.

— Calme-toi, tempère Sandra. C'est de son âge. Nous l'avons découvert à temps. C'est un jeune mâle, ce qu'il aime le plus au monde c'est vivre tout nu avec de puissantes femmes noires comme nous. Regarde son sexe en constante érection, c'est normal.

— Je me fiche que ce soit normal, c'est interdit.

— Je sais. Il ne le fera plus.

— Ca c'est certain, il va porter une ceinture de chasteté à vie. Il ne se masturbera plus jamais.

— Ce n'est pas la solution. Je te propose plutôt de le surveiller, et de le garder en érection, c'est d'abord beaucoup plus beau, et ensuite, tu le contrôleras beaucoup mieux ainsi.

— C'est vrai.

— Il existe des solutions, un anneau spécial pour la journée, cela tient son sexe et ses testicules, il est en constante érection mais il est incapable de se masturber.

— Ca j'aime bien, dit Ayesha en me regardant sarcastiquement.

— Et pour la nuit, une vraie cage, pour qu'il puisse se reposer. Mais il faudra quand même que je te parle de la masturbation des mâles. Une fois de temps en temps, à cet âge, il faut faire lâcher la pression.

— Et lui donner du plaisir? Certes non.

— Il y a plein de moyens de le masturber sans qu'il n'en retire du plaisir. Tu pourras l'envoyer ici pour cela, et ensuite, quand tu pourras le faire, à moins que tu n'engages quelqu'un pour le faire, tu pourras le masturber à la maison.

— Oui, cela me semble une bonne solution. Je vais prendre rendez-vous dès que je peux. Quelle est la fréquence?

— C'est comme tu veux, une fois par semaine c'est bien. Maintenant, tu peux utiliser cela comme récompense et punition.

— Quelle est la durée maximum que l'on peut attendre?

— Il n'y a pas de durée, tu n'es pas obligée de le faire, mais c'est mieux. S'il est vraiment indiscipliné et que tu veux le punir, tu peux le laisser des mois.

— Cela me semble parfait. Arno, je ne veux plus que tu te touches, tu as compris? Si jamais cela arrive encore, je te fais arrêter par Sonia et juger comme un criminel. La masturbation mâle est interdite!

— Oui Ayesha, réponds-je penaud.

— Y a-t-il autre chose?

— Non. Je lui ai juste signalé qu'il ne peut plus s'habiller dans toute la propriété de la clinique. Il doit se déshabiller avant d'entrer. Il est encore assez difficile quand il doit retirer ses vêtements.

— Tu as tout à fait raison. Merci Sandra, je vais y aller, et je te contacte rapidement pour la prochaine visite.

— Il devra rester en bonne santé, donc des visites régulières sont à prendre, il faudra que tu me donnes ta décision concernant sa masturbation.

— Sans faute. Viens Arno, nous rentrons.

Elle se lève et prend ma main pour me tirer derrière elle. Elle semble fâchée et marche vite, je peine à suivre avec mes jambes beaucoup plus petites. Dans la voiture, elle commence déjà.

— Je crois que j'ai été trop indulgente avec toi. Arno, tu m'as dit que tu voulais vivre avec moi, tu as dit que tu voulais vivre tout nu avec moi, tu as dit que tu voulais que je sois très sévère avec toi. Tu as donc menti?

— Non Ayesha, je le veux vraiment.

— Alors pourquoi ne fais-tu pas ce qu'il faut?

— Mais je le veux Ayesha, mais c'est parfois trop dur, j'ai besoin de m'habituer.

— Tu vas t'habituer dès ce soir et demain. Nous allons faire quelques temps de discipline extrême. Je vais voir si tu es vraiment motivé.

— Je suis très motivé, je vous le promets.

— Nous verrons.

Nous arrivons à la maison. Elle se gare dans le garage et me dit d'aller fermer la barrière sur le devant de la maison. Quand je l'ai fait, je le rejoins au salon.

Elle m'attend debout, superbe dans sa tenue de cuir noir. Je n'ai jamais rien vu d'aussi beau, il n'y a rien de mieux que ce paroxysme de la féminité. J'approche fébrilement, j'ai vraiment peur de son air hautain et sévère. Que va-t-elle me faire?

— Approche!

Je vais jusqu'à trois mètres d'elle.

— Encore, tout près, ici!

J'avance encore, prêt à tout.

— Aux pieds! A genoux!

Je viens contre elle et me place sur mes genoux, sans cesser de la regarder. J'ai peur anticipativement des coups qu'elle va me donner, et pourtant, j'ai tellement envie d'être avec elle.

— Arno, je vais te le demander encore une fois, désires-tu vivre avec moi tout nu?

— Oui Ayesha.

Son ton est un peu plus doux, je reprends espoir.

— Tu sais ce que ça veut dire? Je te l'ai dit, tu dois m'obéir, faire ce que je veux, tout le temps et en toutes circonstances.

— Oui Ayesha, je le sais, c'est ce que je veux.

— Dans ce cas, comme je te l'ai dit, nous allons faire un essai, encore une fois. Je te signale qu'il t'est désormais interdit de te masturber. Je ne veux plus jamais que tu touches ton sexe et que tu te donnes du plaisir.

— Oui Ayesha.

— C'est un crime puni par la loi. Les mâles ne peuvent jamais se masturber. Moi, je peux te contrôler, mais si jamais je dois t'emmener à Sonia, tu ne peux imaginer les terribles punitions que tu risques d'avoir.

— Oui Ayesha, je ne le ferai plus.

— Dans ce cas, je veux que tu me le prouves. Je vais te dresser pour voir si tu tiens vraiment à vivre nu avec moi. Et ensuite, je ne veux pas que tu deviennes majeur, je veux que tu sois en mon pouvoir, est-ce que tu peux accepter cela pour me prouver ta dévotion?

— Oui Ayesha, je n'ai pas besoin d'être majeur, je peux rester sous votre commandement pour toujours.

— C'est bon à entendre, nous irons certifier cela devant la juge. Et tu le diras à Nathalie. J'exige maintenant que tu lui dises toi-même que tu veux que je reste ta tutrice et qu'elle doit s'en aller.

— Oui Ayesha, je ferai tout ce que vous voulez, par pitié, je veux rester toujours avec vous, rien qu'avec vous.

— Dans ce cas, ta punition et la discipline commencent maintenant. Debout!

Je me relève et elle se penche pour empoigner sexe. Elle tire et je me sens suspendu par le sexe. Je hurle de douleur. Elle me porte comme un sac, par le sexe. Elle va s'asseoir sur le divan et me flanque de nouveau sur ses genoux avec le sexe coincé dans ses jambes gainées de cuir noir. J'ai mal. Ayesha commence les fessées. Elle me frappe et frappe encore.

— Tu apprendras la discipline, me dit-elle très fort. Tu apprendras à ne jamais me contredire, à toujours obéir au doigt et à l'œil.

Elle me frappe cent fois, je n'en peux plus, je hurle et pleure, j'ai mal, encore plus mal que les autres fois. Mais elle n'arrête pas. Elle me prend et me retourne sur ses genoux. Cette fois, elle me coince entre ses cuisses, ma tête en bas. Elle me serre au niveau du ventre et frappe de ses deux mains mon sexe dressé en l'air. Elle applaudit sur mon sexe. Je hurle.