L'invasion Ch. 11

Informations sur Récit
Arno passe un examen médical.
8.5k mots
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1

Partie 11 de la série de 14 pièces

Actualisé 06/08/2023
Créé 02/20/2018
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— Voici tes vêtements pour aller à la clinique, me dit Ayesha en me tendant toujours un bermuda et un polo que je n'avais jamais vus.

— Est-ce que je dois y aller? Je ne suis pas malade.

— Tu vas passer une visite médicale, pour voir si tout va bien. Donc oui, c'est obligatoire.

Ce matin, Ayesha est à nouveau vêtue de cuir noir. Ce matin, c'est une combinaison comme celle de Sonia, mais du cuir noir. Avec toujours des bottes hautes et des gants. Elle est arrivée comme cela dans ma chambre pour me faire lever, et elle a montré une cravache qui pend à sa ceinture.

— Si jamais je te vois habillé dans cette maison, me dit-elle sévèrement. Plus de fessée. La cravache!

Je ne voudrai jamais recevoir des coups de cravache. Elle m'a fait lever en me tenant le sexe et m'a emmené ainsi dans la cuisine. J'ai dû la servir et manger par terre, nettoyer la cuisine, me doucher et laver la salle de bains. Ce n'est jamais une routine. Toutes ces tâches effectuées alors qu'elle me supervise, surtout dans cette tenue, sont formidables. Je ne veux pas les échanger contre autre chose.

Je prends mes vêtements.

— Je les mettrai dehors, confirmé-je.

Ayesha prend alors mon sexe en main. Sa main est gantée de cuir noir, et j'ai un sursaut, c'est une trop grande excitation.

— Et bien, que t'arrive-t-il? Tu ne veux plus que je te tienne ainsi? Tu n'as pas le choix, tu sais, je le ferai comme je l'entends.

— Cela me fait sentir tout drôle.

— Comment?

— Je ne sais pas expliquer. C'est dur, c'est chaud et à la fin cela fait mal. Et quand vous le touchez, c'est pire et en même temps je ne veux pas que vous enleviez votre main.

— Quelles sensations bizarres tu as. Tu aimes toujours mes tenues en cuir noir?

— Oh oui Ayesha, vous êtes si belle.

— Tant mieux, moi je veux te voir nu. C'est beaucoup mieux, tu es nu avec moi, tout petit, soumis à ma volonté. Tu es toujours d'accord? Tu ne veux pas arrêter?

— Non, jamais. Je veux toujours vivre ainsi avec vous.

— Tant mieux. Maintenant, tu me l'as dit, et je te crois, mais j'aimerais que tu le répètes à une juge. Elle en prendra note.

— Oui, je le ferai. Je ferai tout ce qu'il faut pour vivre avec vous. Tout ce que vous voulez.

Je m'entends parler et promettre, sans comprendre, comme si ma volonté était partie et que je parlais sans m'en rendre compte. Ayesha maintient sa main sur mon sexe et me tire derrière elle.

— Allons chercher ton vélo. Il faudra que je trouve quelque chose pour te promener. Prendre ceci en main est un peu inconfortable, je dois me baisser. Je trouverai un moyen.

— Oui, Ayesha.

Elle me mène par le sexe jusque devant mon vélo. Je le prends, et elle est obligée de me lâcher. J'ouvre la porte et me retrouve dehors, encore sous le choc de sa main gainée de cuir noir sur mon sexe.

Ayesha marche à mes côtés en me regardant. Elle est gigantesque, et chaque fois je me sens plus petit, plus frêle auprès d'elle. Je n'ose rien dire parce que nous arrivons au bout de l'allée.

— C'est ici que je peux m'habiller? Demandé-je.

— Non, va plus loin. Hier, tu m'as excédée, et déçue. Tu mettras tes vêtements plus loin.

Marta sort de son jardin et vient à notre rencontre.

— Mais qui voilà qui obéit bien à ses instructions, s'exclame-t-elle en venant me prendre dans ses bras.

Je suis obligé de laisser tomber mon vélo lorsque je me sens soulevé. Je parviens quand même à garder mes vêtements dans les bras.

Elle m'embrasse sur les lèvres.

— C'est très bien, je suis fière de toi.

Elle me dépose.

— Il a été sage? Demande-t-elle ensuite à Ayesha.

— A part le non-respect de cette règle, il est très sage et très agréable. Tu connais la juge Selena?

— Oui, bien sûr.

— J'aimerais un rendez-vous avec elle. Arno veut changer de tutrice définitivement, et il veut vivre avec moi nu même après sa majorité. J'aimerais que cela soit acté légalement, afin qu'il ne puisse jamais changer d'avis.

— C'est une excellente initiative, je vais la contacter ce soir. Tu es d'accord avec cela Arno?

— Oui, réponds-je, je ne veux plus vivre sans vous.

— Tu es très mignon. Nous allons bien nous entendre.

— Euh Ayesha, puis-je m'habiller? Je voudrais aller à la clinique.

— Bien sûr, mais hors de ma vue. Je n'ai pas envie de te voir autrement que tout nu.

— Mais où? La rue est en ligne droite.

— Je ne veux pas le savoir.

Je tremble encore de honte. Comment faire? Je ne peux pas partir tout nu et aller au bout de la rue. Heureusement, Marta l'invite à prendre un café et elles s'éloignent vers la maison. Je m'habille en vitesse, toujours avec le même problème de sexe qui dépasse de mon short. Je me demande comment je pourrai encore porter un pantalon, un jean, quelque chose qui n'est pas large. C'est devenu difficile de pédaler, mais heureusement la route est assez longue. J'ai presque cinq kilomètres pour arriver au bourg du port et encore la même distance vers le sud pour la petite clinique. Je n'ai jamais été beaucoup malade, et le docteur venait à la maison. Je n'ai jamais eu d'accident, et j'ai eu bien sur toutes les maladies d'enfant. Quand j'allais encore à l'école, je passais au moins deux fois par an pour la visite médicale, mais j'avais toujours une santé éclatante.

J'arrive au bout de la route. La route du sud tourne vers l'est avant le lagon du sud, et la clinique se situe au fond d'un chemin de trois cents mètres, au milieu des bois, sur une surface plane de la clairière. Au lieu de l'endroit vétuste que je connaissais, une bâtisse du XVIIIe siècle, il y a maintenant un beau bâtiment tout blanc ultra-moderne. A une trentaine de mètres de l'entrée se trouve le rack pour laisser les vélos. Je marche vers l'entrée. C'est très beau. Comment a-t-on pu démolir et reconstruire aussi vite?

Le bâtiment est futuriste, il se marie bien avec la forêt, au contraire de l'ancien. Il y a de larges baies vitrées qui illuminent la clinique, mais il est impossible de voir à l'intérieur. Ce sont comme des miroirs. J'ouvre la porte de verre et me trouve dans une spacieuse salle de réception, plus luxueuse que ce à quoi je m'attendais. Des plantes vertes inconnues, une fontaine, des tableaux, et des fauteuils d'attente. Enfin, sur la droite, un bureau de réception, en hauteur, avec derrière une très belle réceptionniste. Une jeune fille noire, géante bien sûr, vêtue d'une petite robe blanche d'infirmière. Elle me sourit de toute sa hauteur, lorsque j'arrive à elle, je suis juste sous le niveau de sa table.

— Bonjour, dis-je, j'ai rendez-vous avec la doctoresse Sandra.

— Oui, effectivement. Arno, c'est cela? Tu es en retard.

— Je suis désolé, on ne m'avait pas spécifié d'heure.

— Nous nous arrangerons, mais il ne faut pas arriver en retard, compris?

— Oui mademoiselle.

— Enregistre-toi.

— Il doit y avoir un dossier à mon nom, je viens ici depuis que je suis tout petit, je suis même né ici.

— Nous n'avons pas gardé les anciens dossiers. Tout le monde est parti et nous avons construit ce nouveau bâtiment, beaucoup mieux. Alors, il faut que tu t'inscrives.

— D'accord, je vais le faire.

Une femme géante noire sort d'un couloir et salue la réceptionniste avant de sortir.

— Viens, me dit la réceptionniste.

Elle me montre une petite pièce avec un grand écran.

— C'est tactile, tu vas répondre à toutes les questions. Tu peux aussi dire les réponses.

Elle me laisse seul face à l'écran. Une voix féminine ressemblant à celle de la réceptionniste me demande mon nom, et ensuite toutes mes coordonnées. Mon profil se remplit au fur et à mesure. Je dois laisser mes empreintes de tous les doigts, y compris les pieds, les oreilles, les rétines, et enfin mon ADN. C'est vraiment complet. Quand j'ai fini, je retourne auprès de la réceptionniste. Sandra arrive à ce moment, ravissante dans une tenue blanche de médecin.

— Mon beau petit Arno, viens.

Je vais vers elle. Alors, elle se penche et m'embrasse.

— Tu es toujours aussi séduisant.

Nous allons dans le couloir du fond de la pièce et entrons dans son cabinet, au fond de ce couloir. Tout est aussi beau et luxueux que dans la réception.

— Ne perdons pas de temps, commence-t-elle sans être même entrée dans la pièce, retire tes vêtements.

— Mais, je ne suis pas malade.

— C'est pour un examen médical, un examen médical c'est toujours tout nu. Allons.

— Avant, je ne devais pas me mettre nu.

— Et bien maintenant, oui. Obéis, sinon j'appelle Ayesha.

— Oui madame, fais-je impressionné, je vais me déshabiller, n'appelez pas Ayesha.

J'aime de plus de plus ces grandes femmes noires autoritaires. Ayesha va au-delà de mes espérances, j'ai même peur d'elle maintenant. Quand elle est fâchée, je me sens tétanisé, j'ai envie que tout s'arrête et que je puisse avoir une vie plus calme. Mais dès que la tension est partie, je ne veux plus qu'elle. Il ne faut donc pas la fâcher. J'adore me retrouver tout nu en face d'elle, et je suis prêt à tout pour vivre cela, même si je suis embarrassé de l'admettre. Fébrilement, je retire mon polo. Mon sexe dépasse de la ceinture. La doctoresse me regarde toujours, mais ne dit rien. Je dépose mon polo sur une chaise et retire mes sandales. Alors, je retire doucement mon short pendant que mon sexe jaillit, libéré de son emprise vestimentaire.

— Voilà qui est mieux, dit-elle en approchant encore de moi. Tu es vraiment splendide, un vrai régal pour la vue, ce sera un plaisir de t'examiner aujourd'hui. Je comprends qu'Ayesha te fasse vivre tout nu. Tu aimes cela, n'est-ce pas?

Je me sens rougir, j'ai envie de m'enfouir dans le sol.

— Allons, allons, il n'y a rien de mal à cela, au contraire, m'apaise-t-elle en prenant mon menton pour que je la regarde dans les yeux. Tu peux me le dire, en plus je suis médecin.

— C'est vrai, j'aime vivre tout nu à la maison avec Ayesha.

— Mais pas qu'avec Ayesha, n'est-ce pas? Tu as demandé à Marta la même chose?

Je me sens encore rougir. Je dois être écarlate.

— Arno, fait Sandra doucement, tu peux me parler, je suis là pour cela.

— Oui, Marta est ma voisine, alors c'est la même chose.

— Et que ressens-tu lorsque tu es nu? En face d'Ayesha ou de Marta?

— J'aime bien.

— Tu aimerais vivre nu?

— Ce n'est pas possible. Juste à la maison, ou alors dans un endroit isolé.

— Pourtant je t'ai rencontré en dehors de la maison.

— Oui, mais je connais bien Marta. La semaine passée, j'ai plongé dans sa piscine et mon maillot s'est retiré puis a été aspiré par la pompe. J'ai été nu longtemps. Alors, je suis un peu habitué.

— Donc, cela ne te dérange pas d'être tout nu, même avec des femmes habillées?

— Non, dis-je, excité.

Elle me regarde un moment.

— En fait, c'est cela que tu aimes, te retrouver tout nu avec une femme habillée.

Je frémis d'excitation.

— Allons, tu peux me le dire, je suis médecin, cela reste entre nous.

— Oui, finis-je par avouer, j'aime me retrouver tout nu avec une femme habillée, spécialement une grande femme noire.

— Cela tombe bien, n'est-ce pas, tu es entouré de grandes femmes noires.

— Oui.

Je me sens à la fois excité et honteux, embarrassé d'être là à avouer mes fantasmes les plus secrets. Mais à la fois, c'est comme un soulagement.

— Et devant moi? Tu aimes être nu?

— Oui, soufflé-je embarrassé de devoir l'avouer.

— Finalement, ce n'est pas qu'à la maison ou devant Ayesha et Marta, c'est devant moi, c'est devant toutes les femmes? N'est-ce pas? Insiste-t-elle.

— Oui, réponds-je tout bas.

— Mmh. C'est intéressant, très intéressant. Finalement, tu pourrais être tout le temps tout nu, dans ton quartier par exemple, il n'y a que des femmes.

— Oh non, je ne pourrais pas aller dehors comme ça. Rien qu'à la maison.

— Et ici?

— Ici, vous m'avez dit que c'était obligatoire pour les examens médicaux.

La doctoresse sourit et me lâche le menton en se relevant. A nouveau elle me toise de toute sa hauteur.

— Viens, allons dans la salle d'examen, une infirmière va prendre toutes tes mesures.

Sandra va vers la porte et je retourne à la chaise pour prendre mes vêtements.

— Que fais-tu? Demande-t-elle sèchement.

— Je veux m'habiller pour sortir.

— Pas question, je t'ai dit que les examens se passaient tout nu. Laisse tes affaires où elles sont. Et puisque tu ne sais pas obéir, tu passeras toute la journée tout nu! En avant.

Son ton péremptoire m'impressionne. Je n'ose rien faire d'autre que d'aller vers elle.

— Excusez-moi, madame Sandra.

— Ce n'est rien, se radoucit-elle un peu. Mais fais attention à toujours bien obéir. Dans cette clinique, tu es sous ma responsabilité. Tu dois aller d'un endroit à l'autre et chaque fois te mettre tout nu. Tu ne vas quand même pas perdre de temps à t'habiller et te déshabiller toutes les dix minutes?

— Non madame, réponds-je bêtement.

Nous sommes dans le couloir qui fait face à la réception.

— Candice, appelle-t-elle la réceptionniste, va prendre les affaires d'Arno dans mon bureau et garde-les jusque ce soir.

— Oui Doctoresse, répond la fille en venant vers nous.

— Comme ça, il n'y a plus de tentation, tu sais que tu vas rester nu toute la journée.

La fille de la réception passe devant moi dans le bureau en me regardant, un sourire en coin. Pendant que nous allons au fond du couloir, je me retourne et la vois sortir avec mes affaires.

Sandra me fait entrer dans une pièce typique d'une clinique. Avant, c'était le même genre d'endroit, une pièce avec tous les instruments de mesure et de contrôle pour les infirmières. Seulement aujourd'hui, c'est beaucoup plus moderne. D'abord c'est plus spacieux et lumineux. Tout le mur extérieur est en fait une grande baie vitrée. Les instruments pour les examens sont partout dans la pièce.

Une infirmière est occupée de taper des données sur un ordinateur.

— Jenny, voici Arno, comme je te l'avais annoncé, il est ici pour des examens complets.

— Bien doctoresse. Je suis prête. Je l'attendais plus tôt.

— Je sais, ce n'est pas très poli. La prochaine fois, il arrivera à l'heure, n'est-ce pas? Insiste-t-elle en se tournant vers moi?

— Oui madame, réponds-je sans vouloir discuter.

L'infirmière se lève, c'est bien évidement une femme noire géante. Je le savais puisque tout le mobilier est à la taille de ces femmes, comme partout.

Elle apporte un stéthoscope et l'appareil qui mesure la tension artérielle. Après m'avoir assis sur la table d'examen, elle me passe le mousse autour du bras gauche et l'appareil commence à se serrer.

— Excellente tension, m'annonce-t-elle, et ton rythme cardiaque est celui d'un champion. Descends et va sur la balance.

Je dois sauter. La tablette est trop haute. Je vais me placer sur la balance et elle place en même temps la tige pour prendre mes mesures.

— 1m60, 50 kg.

— Mais je mesure 1m80, dis-je.

— Non, regarde.

Je constate que ma mesure est bien 1m60. Je regarde de tous les côtés, utilisent-elles des autres types de mesure? Je sais que je mesure 1m80.

— Ce n'est pas possible, paniqué-je, on ne peut pas rétrécir. J'avais 1m80.

— Tu ne dois pas t'en faire pour cela, me console Sandra, tu as la taille parfaite. 1m60, c'est ce que j'aime, n'est-ce pas Jenny?

— Absolument, Arno, tu es un très beau mâle, le plus beau que je n'aie jamais vu. Et ta taille est parfaite.

— C'est facile pour vous, vous avez 2m50 au moins. Moi je suis tout petit.

— C'est comme cela que nous aimons les mâles. Qu'est-ce que cela change pour toi? 1m80 ou 1m60 par rapport à nous?

— Oui, mais pour le reste, j'étais un des plus grands de mes amis, maintenant je vais être plus petit d'une fille. Je vais être ridicule.

— Tu te sens ridicule parce que tu es plus petit que nous? Il me semblait que tu aimais bien. Tu as déjà dit que tu aimais vivre nu avec Ayesha, et que tu adorais que nous soyons si grandes. Tu te contredis.

— Non. Non, me lamenté-je. Avec vous c'est bien, mais avec les autres.

— Quels autres?

— Les autres que je connais.

— Tu ne les vois plus.

— Par exemple, lorsque j'irai sur le continent, je serai plus petit que les gens que je rencontrerai. Je serai ridicule, un homme de seulement 1m60.

— D'abord, tu n'es pas un homme, tu es un adolescent. Tu es encore sous tutelle d'Ayesha, tu es mineur. Ensuite, n'as-tu pas dit que tu voulais rester ici? Donc cela n'a plus d'importance. Nous en discuterons une autre fois, maintenant, continue tes examens.

Jenny me fait aller devant un appareil pour tester ma vue, puis elle teste mon ouïe dans un caisson d'isolation. Tous mes tests sont parfaits. Chaque fois l'infirmière note les résultats directement sur une tablette qui va compléter mon profil.

Sandra vient ensuite en face de moi pour me dominer de toute sa hauteur. Elle se penche et regarde mon sexe de près. Il est devenu si énorme, de même que mes testicules, comme s'il était adapté pour des femmes géantes. Mon sexe doit faire trente centimètres et je n'ai plus qu'un mètre soixante. Il dépasse mon nombril. C'est même bizarre, trop gros et pas très confortable, surtout lorsque je porte des vêtements.

Soudain, Sandra prend mon sexe en mains, les deux mains commencent à palper partout, passent sur les testicules. Je sursaute.

— Et bien, laisse-toi faire, ne sois pas si émotif.

Elle continue sur mes testicules, je n'en peux plus, je sens que je suffoque de plaisir.

— Tu n'as pas trop mal? Me demande-t-elle.

— Un peu, réponds-je du bout des lèvres.

— Tes testicules sont très gonflés. Te font-ils mal?

— Juste un peu, pas trop. C'est au-dessus, là j'ai mal.

— Ici? Demande-t-elle en touchant mon sexe tout dur.

— Oui, réponds-je en sursautant.

— Ca c'est bizarre. Est-ce que tu te masturbes?

Je me sens devenir tout rouge, je sue de honte, j'ai trop chaud. Elle a toutes les paroles pour m'humilier davantage.

— Allons, réponds-moi!

— C'est arrivé.

— Quand était la dernière fois?

— H-h-h-h-hier, suffoqué-je.

— Il me semblait bien. Tes testicules sont gonflés, mais pas beaucoup et pas assez pour être douloureux. Tu te masturbes souvent?

— J-j-j-j-j-je ne s-s-s-sais pas, réponds-je bêtement.

— Mais oui, tu le sais. Avant hier, quelle était la fois d'avant?

— A-a-a-avant-h-h-h-hier, réponds-je en me sentant de plus en plus mal.

— Donc, tu te masturbes tous les jours. Est-ce qu'Ayesha est au courant?

— Oh non, jamais je ne pourrai dire cela.

— Tu ne dois pas te toucher ainsi, ce n'est pas bon. Tu devrais lui en parler, elle pourrait t'aider.

— Oh non, je n'oserai jamais.

— Ce n'est pas bien de se toucher ainsi, les mâles doivent être mieux surveillés. Il faudra que tu lui en parles. Je comprends que tu aies mal, si tu vis nu toute la journée en érection, à la fin, cela doit être pénible. Mais tu ne peux pas le faire tout seul, tu as compris?

— Oui madame, réponds-je mort de honte.

— Il faudra étudier ton cas, et voir le meilleur moyen de gérer ce stress. Tu es toujours en érection, la première fois que je t'ai vu, et aujourd'hui. Cela n'arrête pas. Je comprends que tu aimes te retrouver tout nu face à des femmes comme nous, mais c'est quand même très long, si tu vis tout nu avec Ayesha, c'est toute la journée?

— Oui, réponds-je.

— Je comprends la douleur. Mais ce n'est pas une raison. Tu ne le feras plus?

— Non, promets-je en ne sachant pas comment je vais tenir cette promesse. J'ai déjà envie maintenant d'aller m'isoler. Je me sens exploser, surtout avec les mains de Sandra sur moi et son souffle pendant qu'elle examine.

— Bien, allons dans l'autre salle d'examen, nous devons faire une prise de sang et collecter un échantillon d'urine. Tu n'as jamais pris de drogue?

— Oh non, jamais.

— Et de l'alcool?

— J'ai déjà bu quelques bières.

— Pas de boissons alcoolisées, me sermonne-t-elle. Tu es mineur, on ne boit pas à ton âge.

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