L'invasion Ch. 12

Informations sur Récit
Arno subit ses trois jours de punition très sévère.
2.6k mots
4.57
6.7k
1

Partie 12 de la série de 14 pièces

Actualisé 06/08/2023
Créé 02/20/2018
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— Réveille-toi, me dit Ayesha.

J'ouvre difficilement les yeux. J'ai mal dormi. Ayesha est debout à côté de mon lit. Elle porte toujours une tenue de cuir noir, comme la veille. Elle est si magnifique.

— Tu as bien dormi? Me demande-t-elle.

— Non Ayesha, pas beaucoup.

— Le remords sans doute, tu dois te repentir de m'avoir déçue.

— Euh non Ayesha, c'est parce que je suis tendu.

— Tu ne te repens même pas? Pas de remords? Et bien je sais maintenant comment ta journée va se passer.

Elle se penche et frappe violemment mon sexe dressé. Je hurle de surprise et de douleur. Elle frappe encore une vingtaine de fois, j'ai très mal et pleure.

— Tu n'es pas encore prêt pour vivre comme il faut.

Elle détache mes mains et mes chevilles et me retourne sans ménagement.

— Tes fesses ont perdu leur ton rouge, il va falloir y remédier.

Elle empoigne mon sexe et me soulève. Je hurle encore, c'est trop douloureux. Elle s'assied sur le bord de mon lit et me place à nouveau en travers de ses genoux, le sexe coincé entre ses cuisses. Je me sens encore plus petit, encore plus humilié, effrayé dans l'attente de ce qu'elle va me faire. Cela ne traine pas. Je reçois une première claque puissante sur mes fesses qui étaient à peine reposées. Je crie, je supplie encore. Rien n'y fait, Ayesha poursuit sa fessée. Quand elle a jugé que c'était suffisant, elle me laisse souffler un moment.

— Même pas de repentir, souffle-t-elle.

— Je regrette Ayesha, je regrette, ce n'est pas ce que je voulais dire, je suis désolé.

— C'est un peu trop tard, vilain petit mâle.

Elle me pousse et je tombe par terre, elle se relève, impressionnante au dessus de moi. Alors, elle place sa botte sur ma poitrine et me toise de très haut.

— Tu vas filer droit, je vais t'éduquer, moi.

Elle appuie et j'ai encore plus mal. J'ai peur, je me sens si faible, si petit dans ce monde. Je pleure de désespoir, je n'ai absolument aucun choix, complètement à la merci de cette femme sublime.

Après un moment, elle me demande froidement

— Alors, tu vas bien te comporter?

— Oui Ayesha, je le promets, je ferai tout ce que vous voudrez.

— Je ne veux plus de désobéissance, tu feras toujours tout ce que je veux.

— Oui Ayesha.

Elle retire son pied.

— A genoux. Et baise mes pieds!

— Oui Ayesha.

Je change de position et à genoux je baise les pieds d'Ayesha.

— Dorénavant, ce sera ta première action quand tu me verras, tu arrêteras tout ce que tu seras occupé de faire pour venir te prosterner à mes pieds et les baiser. Si jamais tu ne le fais pas, ce sera une punition immédiate et exemplaire, compris?

— Oui Ayesha. Tout ce que vous voulez.

— Je serai impitoyable, je dois être très sévère avec toi, que tu comprennes qui commande.

— Oui Ayesha. Est-ce que je dois aussi me prosterner à vos pieds devant d'autres personnes? Dehors aussi?

— Je t'ai dit tout le temps, où que nous soyons. Ne commence pas à faire semblant que tu ne comprends pas. Debout!

Je me relève. A genoux, elle est impressionnante, mais le pire c'est quand je suis debout juste en face d'elle. Je prends alors vraiment conscience de notre différence de taille. Je me sens déjà petit dans ma propre maison dont tous les repaires ont changé. Mais maintenant je suis debout en face d'elle. Je lui arrive sous la taille, j'ai peur et j'aime cela en même temps. Je dois lever la tête pour voir ses énormes seins et son visage encore plus loin. C'est de plus en plus incroyable.

Elle approche et emprisonne mon sexe entre ses cuisses, je suis collé à elle avec ma bouche contre l'endroit où se trouve son sexe derrière le vêtement de cuir noir.

Elle reste un moment comme ça. Je ne peux m'empêcher d'être excité. Tout ce qu'elle fait m'excite. Alors, elle m'ordonne de lever les bras et elle me prend les deux poignets de sa main gauche. Elle me soulève ainsi comme si je ne pesais rien. Cela tire sur mes bras et j'ai un peu mal. Ayesha me soulève jusqu'à ce que mon visage soit juste en face du sien. Elle me regarde sévèrement. Je ne parviens pas à me concentrer, mon sexe se retrouve contre sa grosse poitrine, elle me rapproche encore et il se retrouve entre ses deux gros seins recouverts de cuir noir. Je déglutis mal, ne parviens presque plus à respirer tellement la situation est intense.

— Qu'est-ce que tu as? Tu planifies encore quelque chose de mal? Tu veux te masturber?

— Non, réponds-je rapidement, pitié, je ne pense pas à cela.

Les picotements de plaisir augmentent encore dans mon sexe qui frotte contre sa poitrine. C'est la première fois que je touche cette partie de son corps.

— Alors quoi?

— Je ne sais pas, réponds-je sans oser dire plus.

— Trouve une réponse. Tu es très excité. Pourquoi?

Après tout, me dis-je autant me lancer.

— Parce que vous êtes très belle, et que je suis tout nu, et que vous me prenez contre vous.

— Ah? Tu me trouves belle?

— Oui, très belle.

— Tu trouves que les femmes comme moi sont belles?

— Oui, vous êtes parfaites, exactement mon type.

— Tu rêves de femmes noires?

— Oui

— Et tu rêves de femmes aussi grandes que moi?

— Oui. Même si je me sens si faible en face de vous. Je crois que je ne pourrai plus jamais vivre autre chose. Je veux vous connaître toujours.

Elle sourit.

— Je m'en doute bien. Allons commencer cette journée. Tu dois subir ta punition.

Elle continue de me porter par les bras en face d'elle. Je la vois de près, sa puissance et sa beauté me chavirent.

— Donc tu préfères vivre avec moi comme cela qu'avec des amis dans une vie que tu avais avant?

— Oh oui, réponds-je sincère, je ne veux que ça, plus jamais autre chose.

Elle me tient toujours par les deux poignets lorsque nous arrivons en bas. Elle me mène au salon où se trouve Marta, également vêtue comme la veille.

— Voici notre petit mâle à dresser, comment te portes-tu ce matin?

— Je vais bien Marta, réponds-je vite pour ne pas générer plus de problèmes.

— Bien, donc tu es prêt à poursuivre ce que nous avons commencé hier.

Ayesha me laisse sur le sol.

— Ce qui est valable pour moi est valable pour Marta. Arno, va la saluer correctement.

Je me jette à genoux et lui baise les pieds pendant trente secondes et me relève. Je me retrouve alors entre les deux corps de géantes.

— Je vois que tu as appris un peu de politesse, c'est déjà ça. Maintenant, continuons ton dressage. Tes fesses ne sont pas encore assez rouges.

Elle empoigne mon bras et me tire vers le divan.

— Non, s'il vous plait, pas encore me frapper.

— Ce sera le double, Arno. Tu vas accepter. La prochaine fois que tu voudras te masturber, tu penseras à cette journée.

Elle s'assied et me flanque en travers de ses genoux.

— Pitié, j'ai trop mal, pleurniché-je.

— Je ne t'ai même pas encore touché, répond Marta froidement.

Ayesha vient se placer devant nous. Je suis coincé sur Marta et Ayesha vient également, je me sens encore plus petit et misérable.

— Regarde, me dit Marta, voici mon outil de punition.

Elle me montre une sorte de raquette recouverte de cuir noir.

— C'est encore mieux pour les petits mâles récalcitrants.

Un premier coup. Je hurle. C'est encore plus fort et douloureux que les mains. Je tente de me relever, de me retirer de son étreinte, mais c'est impossible, je suis en travers de ses cuisses avec mon sexe serré et coincé. Je ne peux que me tortiller.

— Si tu ne restes pas tranquille, me dit Ayesha, ce sera doublé! Reste immobile.

Je pleure. Je supplie. Mais les coups continuent. Je n'ai jamais eu aussi mal.

— Il a encore éjaculé, ce sale petit mâle, dit Ayesha en constatant mon sexe entre les jambes de son amie. Décidément il ne veut pas comprendre.

Les coups doublent d'intensité.

— S'il prend son pied en recevant une fessée, dit Marta, il va falloir lui apprendre à se contrôler.

— Il est trop obnubilé par nous, lui dit Ayesha. Il veut vivre nu avec nous, comme maintenant, son rêve ce sont des femmes comme nous. Ce sera difficile, mais il devra apprendre à contrôler cet organe.

— Comme ça tu rêves de femmes comme nous? Me demande Marta sans arrêter de me frapper. C'est bien ça, tu as bon goût. Surtout que nous sommes si différentes. La différence de taille ne te rebute pas?

— Au contraire, intervient Ayesha, c'est ce qu'il préfère, que nous soyons si grandes et si fortes pour être complètement dominé.

— Ah? Il aime les femmes fortes et autoritaires?

— Nous sommes son rêve. Il pleure mais en fait il a bien aimé la punition hier.

— Même comme ça, il continue d'éjaculer sur mes jambes.

Je me tape la honte la plus totale en même temps que la douleur. Je ne sais même plus hurler, maintenant, je ne fais que pleurer de douleur, je les supplie.

Tout à coup, les coups s'arrêtent. Ayesha me soulève par un bras et me tient en l'air.

— Je vais frotter ses déjections, dit Marta en se levant.

— Son sexe n'a pas changé.

— Il a l'air très résistant. Mais c'est normal, si nous sommes son fantasme, il est occupé de vivre très heureux.

Elle me tient en l'air, à nouveau à hauteur de son visage. Marta vient contre moi et prend mon sexe en main pendant qu'elle m'embrasse sur les lèvres.

— Maintenant, me dit Ayesha en me plaçant contre elle, tu vas nous servir le café au salon.

— J'ai mal, dis-je.

— Tes fesses ne sont pas encore assez rouges. Et cela ne sert à rien de te plaindre, c'est une journée de discipline et de punition.

Les deux femmes se retrouvent au salon et je leur prépare du café. Je viens le porter en tremblant, mon plateau à bout de bras. Tout est plus grand, les tasses, le plateau, j'ai des difficultés à servir. Je dépose le plateau sur une table basse et leur sers le café.

— Il va falloir t'améliorer, me dit Ayesha, ce n'est pas comme cela qu'on sert.

— Je veux entendre « voici votre café, madame », « s'il vous plait madame ». Et n'oublie jamais de baiser nos pieds!

Elle me sermonne encore un bon quart d'heure sur la manière de servir du café. Je dois écouter à genoux.

— Maintenant, me dit Marta, parle-nous encore de tes rêves, tu avais déjà rêvé de femmes comme nous avant?

— Non, réponds-je gêné. Pas vraiment, enfin si, depuis que quelques-unes d'entre vous quand vous avez commencé à arriver.

— Et comment fantasmes-tu? Tu rêves à des relations sexuelles?

Je me sens rougir très fort.

— Parfois. Mais rien que de m'imaginer vivre tout nu avec une femme comme vous, a été très fort. Rien que vous voir, et je me réveillais.

— Et maintenant, tu as la réalité.

— Oh oui, je ne voudrais plus jamais que cela s'arrête.

— Nous nous arrangerons pour que tu puisses toujours vivre nu avec nous. Ne t'en fais pas, tu es à nous maintenant, et cela ne s'arrêtera jamais.

— Merci, réponds-je sans savoir pourquoi.

— Il faudra que tu sois toujours très obéissant, et que tu fasses tout ce que nous exigeons.

— Oh oui, pour vivre avec vous comme cela, je suis prêt à tout.

— Et tu as rêvé de sexe avec nous?

— Pas avec vous spécialement, mais... enfin, avec une femme comme vous.

— Tu as déjà fait l'amour?

— Non Marta

— Et vu un corps de femme nue?

— Non Ayesha. Jamais, il n'y a plus personne ici.

— Et tu penses que tu pourras un jour faire l'amour?

— Oui.

— En tout cas, tu es mineur. Il faudra attendre. Cela se mérite. Et certainement pas un mâle qui se masturbe.

— Je ne le ferai plus, promets-je.

Elles boivent leur café. Après, je dois encore nettoyer le salon et la cuisine. Je meurs de faim, mais je ne sais pas si je peux leur demander. Toutes les heures, elles me prennent et me fessent, soit à la main soit avec la raquette. Elles adorent le faire à deux, et s'occuper de toutes les parties. Elles me fessent et me donnent des gifles sur le sexe tendu. Je dois dire combien je regrette de m'être masturbé et promettre que je ne le ferai plus. En fin de journée, je n'en peux plus. Je suis occupé de baiser leurs pieds alors qu'elles parlent.

— Sandra m'a parlé d'un anneau pour le sexe, pour la journée, il serre son sexe et il ne peut se toucher.

— Je connais, répond Marta, le premier anneau serre son sexe à la base et le deuxième se place entre le scrotum et les testicules. Cela pousse tout vers l'avant, c'est un bel effet. Mais il ne peut plus s'habiller.

— Il ne doit pas beaucoup s'habiller, répond Ayesha.

— Et l'avantage c'est que tu peux accrocher une laisse, ainsi tu le promènes en laisse, sinon son sexe est trop bas.

— Oui, je m'en suis fait la réflexion. C'est bon Arno, tu peux arrêter de baiser nos pieds.

— Il faudra lui enseigner les massages de pieds, suggère Marta, qu'il puisse bien nous servir.

— Ce sera fait, il apprendra tout.

Je n'ai pas encore mangé. Je meurs de faim.

— S'il vous plait Ayesha, puis-je avoir quelque chose à manger.

— Pourquoi?

— J'ai très faim.

— Tu crois que tu le mérites?

— Non Ayesha, mais sinon je n'aurai plus de force.

Ayesha me prend par le poignet et me soulève. Les deux femmes vont en cuisine et je me retrouve sur les genoux de Marta.

Ayesha prend quelque chose dans le frigo et me donne un morceau dans la bouche. Elle me nourrit comme un chien, et après un moment, je dois faire le beau et sauter pour les boulettes qu'elle m'envoie. Je peux boire de l'eau dans un bol par terre, à leur pied.

— Les mâles ne mangent pas à table, me dit Ayesha. Cela fait partie de ta vie maintenant, tu mangeras seul par terre.

— Oui Ayesha.

Elles me promènent ensuite dans le jardin.

— Nous allons dans le parc, je ne veux entendre aucune remarque.

Heureusement, nous ne rencontrons personne. J'adore cette promenade tout nu avec deux superbes femmes vêtues de cuir noir.

Elles vont me mettre au lit de la même manière qu'hier et une nouvelle fois, je passe une mauvaise nuit à rêver d'elles sans pouvoir me soulager.

Je passe encore deux journées ainsi. Je reçois des fessées tout le temps, je suis humilié en permanence, une fessée toutes les heures. Mes fesses sont rouges voire bleues de coups. J'ai mal, mon sexe est douloureux à la fois de coups et de plaisir. Plusieurs fois par jour, j'éjacule alors qu'on me fesse.

— Ta punition est finie, me dit Ayesha le 11 juillet. Demain, nous allons tous les deux à la plage, comme promis.

Elle m'attache néanmoins pour la nuit. Ne pas pouvoir me soulager est horrible. Même si cela doit me valoir des punitions, il faut que je le fasse. Impossible, toujours attaché et sous surveillance.

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2 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a environ 6 ans

La punition terminée, Arno va pouvoir vivre sa nouvelle vie ... avec son anneau la journée ....

Rudy

AnonymousAnonymeil y a environ 6 ans

Une belle punition! Comme j'aimerais être à la place d'Arnaud.

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