Les plaisirs d'Anna -- 07 (le club)

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Pendant ce temps, Jules, qui s'est assis dans un fauteuil, se masturbe doucement. Il doit se faire discret. Il regarde le couple enlacé, debout au bord du lit, se caresser et il entend les murmures et les soupirs de son épouse adultère. Être là, si près d'eux, l'excite au plus haut point. Son sexe se tend en une forte érection, si forte qu'elle en est presque douloureuse.

Omar caresse les seins d'Anna, mais ses mains ne font qu'accompagner le travail des lèvres qui sucent les pointes tendues. Il les aspire dans sa bouche, provoquant ainsi chez sa partenaire de longs soupirs, qui se transforment presque en râles de plaisir lorsqu'il accroît sa succion. Anna apprécie ces caresses un peu trop fortes. Pourtant, quand l'homme, excité par les réactions qu'il voit, s'acharne sur un téton qu'il aspire de toutes ses forces, les sensations de Anna passent brusquement du plaisir à la douleur. Cela l'inquiète mais l'excite malgré tout. C'est seulement lorsque la limite du supportable est atteinte qu'elle lui demande de se calmer.

Anna se tient debout devant son partenaire d'un soir. Pour l'exciter, elle écarte un peu les jambes. Sensible à l'invite, Omar s'accroupit et vient poser sa bouche au bas du ventre qui s'offre à lui. Ses lèvres frôlent le pubis et sa langue se glisse dans la toison, pour descendre enfin vers le clitoris. Anna aime la caresse humide du bout de la langue qui titille longuement son bouton. Elle en soupire d'aise et sent que son sexe se mouille plus encore. Le contact se déplace. Omar suce maintenant les lèvres intimes, les aspire, les écarte pour venir lécher les parois de ce vagin odorant, dont les sécrétions nappent sa langue un peu plus à chaque fois. Lorsque sa bouche met fin à cette longue caresse, c'est pour ordonner:

« Couche-toi sur le lit ».

Obéissante, Anna s'allonge sur le dos. Pour elle, c'était un ordre et se sentir ainsi dominée l'a curieusement excitée, elle dont ce n'est pas la nature. Anna s'en étonne intérieurement mais elle sent bien qu'elle attend de nouveau un ordre de l'arabe. Son sexe se mouille encore plus lorsqu'elle entend :

« Ouvre bien tes cuisses ! »

Anna ose alors les écarter largement. Elle sait qu'elle se comporte comme une salope, mais elle a trop envie de cette exhibition. Elle veut lui offrir son sexe. Toute excitée par son indécence, elle ne quitte pas Omar des yeux. Elle regarde alors ce membre dont elle attend, espère la pénétration. Il est fin mais très long. L'homme se place alors au-dessus d'elle, tête-bêche, et pose de nouveau sa bouche sur cette vulve offerte. Ses mains se posent sur les cuisses d'Anna et les écartent au maximum. Sa langue caresse un court instant le clitoris tendu, puis s'enfonce entre les lèvres, forçant le vagin trempé. Elle passe et repasse, pénètre, suce, lape, sans cesse.

Dans son fauteuil, Jules se masturbe rapidement. La forte carrure d'Omar lui cache un peu la vue, mais n'en peut plus d'entendre ces bruits de succion et les soupirs de plaisir de sa femme.

Anna, quant à elle, profite de ce léchage qui dure longtemps et l'excite. L'homme se déplace pour être en position de 69, et reprend ses succions. Au-dessus de son visage, Anna voit le membre en érection du marocain qui lui donne tant de plaisir. Alors, pour lui rendre la pareille ou peut-être aussi satisfaire sa propre envie, elle passe le bout de sa langue sur le gland. Elle voit bien que l'homme, qui ne s'attendait pas à une telle initiative, est sensible à la caresse. Le sexe réagit et tressaute à chaque coup de langue. Anna, encouragée par ces réactions, absorbe goulûment le membre dans sa bouche, et le suce. Elle l'aspire et le pompe. Par moments, elle arrête sa succion et garde longuement le sexe de l'homme dans la chaleur de sa bouche. Elle sent alors un peu d'humidité au bout du gland, un peu de liquide annonciateur du plaisir couler du méat et se répandre lentement sur sa langue. Anna s'étonne de son propre comportement, car elle n'est pas habituellement une adepte de la fellation.

Omar pousse son sexe, l'enfonce dans la bouche accueillante, butant à chaque fois un peu plus durement au fond de la gorge d'Anna. Elle sent qu'il est très excité et qu'il va bientôt jouir dans sa bouche. Elle n'a pas envie de recevoir son éjaculation, de boire son sperme, car elle espère une autre pénétration, une autre jouissance. Le marocain, trop excité, se retire alors de la bouche d'Anna pour éviter une éjaculation prématurée.

Omar place alors ses mains vers le sexe de sa partenaire. Ses doigts se posent sur les lèvres et les écartent fortement, ouvrant ainsi un vagin béant. Réunissant en faisceau les doigts d'une main, il les pousse dans la vulve ouverte. Le sexe s'écarte mais résiste à la pénétration. L'homme accentue sa pression. Anna ressent douloureusement cette introduction, qu'elle ne refuse pas, bien au contraire. Elle aime être forcée ainsi. Elle a peur d'avoir trop mal et pourtant elle ne voudrait pour rien au monde que l'homme abandonne son projet pervers.

A chaque nouvelle pression de cette main, qui s'enfonce à chaque fois un peu plus loin, elle laisse échapper un soupir de plaisir, ponctué d'un petit cri de douleur. Ses lèvres intimes sont tirées douloureusement vers l'intérieur et refusent le passage de la dernière articulation, au plus large de la main. Alors Omar s'aide de son autre main pour tirer sur les lèvres, pour les faire bouger et épouser les dernières phalanges. Lorsqu'elles lui paraissent bien entourer sa main, il l'enfonce violemment. Anna, qui attendait cet instant, pousse un cri strident lorsque la main disparaît complètement dans son vagin, dont les lèvres se referment sur le poignet de l'homme, comme une bouche gourmande.

Elle se sent écartée, remplie, distendue, et cette pensée, jointe à la fabuleuse sensation qui l'habite, la fait déjà vibrer de plaisir. Anna profite intensément de ces instants, mais l'homme ne veut pas en rester là. Il commence à faire bouger sa main. Il la fait tourner en elle, comme pour prendre totalement possession de ce vagin conquis. Dans ce mouvement, les ongles un peu trop longs meurtrissent les chairs sensibles. Malgré la douleur, le vagin maltraité dégouline, facilitant les mouvements des doigts. L'homme en profite alors pour faire coulisser sa main dans un va et vient de plus en plus rapide et ample. Il ressort même parfois sa main complètement pour l'enfoncer tout de suite au plus profond du sexe, sans ménagement, son poing fermé.

Jules est toujours mal placé pour voir ce qui se passe entre les cuisses écartées de sa femme, gêné par le dos de l'arabe. De peur de les déranger, il n'a voulu ni déplacer son fauteuil ni se lever. Cependant, Jules entend distinctement les bruits de clapotis significatifs de la pénétration et il voit bien, par derrière, les forts mouvements du coude de l'homme. Il devine ce que l'homme fait subir à sa femme et il ne peut ignorer que cela doit être très dur, s'il en croit les cris de son épouse. Il se caresse sans arrêt et retient difficilement une éjaculation. Serrant fortement son sexe à sa base, il laisse un peu de sperme couler le long de la hampe, sur ses doigts, et s'en sert pour amplifier encore les sensations de sa masturbation. Tout à coup, il entend sa femme jouir et crier son plaisir dans un long hurlement.

Alors qu'Anna n'a pas encore récupéré de ce moment intense, Omar se couche sur elle et la pénètre de son sexe tendu. Si ce n'était la sensibilité due aux griffures internes encore bien présentes, elle sentirait à peine ce membre en elle, tant son vagin reste ouvert et distendu. L'homme doit sentir également que cette pénétration n'est pas idéale, car il se retire et se renverse en arrière. Alors, Anna se place au-dessus du sexe et s'y empale. Ainsi, même si son vagin n'enserre pas bien le membre, elle en sent le gland appuyé contre sa matrice. Elle aime ce contact profond. Alors, son partenaire, qui l'a certainement compris, se met à se cambrer violemment sous elle, plantant à chaque fois plus loin sa pointe très longue et dure. Anna est de nouveau à la limite de la jouissance, lorsque ces coups violents la soulèvent et manquent de lui faire perdre l'équilibre. Avant qu'elle n'atteigne le plaisir, l'homme se retire.

Il lui écarte de nouveau fortement les cuisses et lui enfonce d'un seul coup sa main complète dans le vagin. Anna est au plus fort de l'excitation, lorsqu'elle sent les doigts la ramoner sans ménagement. Pourtant c'est elle qui lui demande d'arrêter, car la douleur est maintenant trop forte dans son sexe irrité.

« Mets-toi à quatre pattes sur le lit », lui dit alors son amant d'un soir.

Lorsqu'elle est en position, l'arabe lui plante son membre et commence à la besogner. Jules ne perd rien du spectacle. Il voit les mouvements violents de l'homme et entend sa femme soupirer, râler, rythmant ainsi chaque coup au fond de son sexe. Les soupirs se font plaintes, puis cris et, tout à coup, Anna se met à jouir pour la seconde fois, encore plus violemment ! Anna hurle de plaisir lorsque le sperme gicle en elle et elle fait entendre sa jouissance dans tout le club. Alors Jules l'accompagne en arrosant sa main et éclaboussant ses vêtements d'un sperme qui n'en finit pas de jaillir, sans qu'il ne puisse le contrôler.

Après un moment de récupération, Anna remet rapidement ses vêtements froissés et souillés. Elle se sent épuisée et surtout honteuse, aussi souhaite-t-elle partir rapidement. Après un rapide petit baiser sur la bouche d'Omar, elle attrape par la main son mari, qui a tout juste le temps de réajuster sa tenue, et ils quittent précipitamment le club.

Plus tard, quand le couple se retrouve dans leur chambre, Jules voudrait bien prendre encore un peu de plaisir avec sa femme, mais Anna ne supporte plus la moindre caresse sur ses seins endoloris. Son vagin meurtri refuse toute pénétration et est vraiment douloureux. Son cou porte la marque d'un gros suçon. Des traces de morsures s'étalent tout au long de son épaule et son dos est bien griffé.

Malgré l'intense plaisir qu'elle a pris et l'envie de son mari, Anna décide de ne plus revoir l'arabe, craignant, lors d'une prochaine rencontre, une escalade trop dangereuse pour elle.

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... à suivre ...

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