Les plaisirs d'Anna -- 07 (le club)

Informations sur Récit
Une soirée qui se termine dans un club échangiste.
5.2k mots
4.64
5.8k
3
0

Partie 7 de la série de 15 pièces

Actualisé 06/15/2023
Créé 04/26/2022
Partagez cette Récit

Taille de Police

Taille de Police par Défaut

Espacement des Polices

Espacement des Polices par Défaut

Face de Police

Face de Police par Défaut

Thème de Lecture

Thème par Défaut (Blanc)
Tu dois Connectez-Vous ou Inscrivez-Vous pour enregistrer votre personnalisation dans votre profil Literotica.
BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

-----------

Ce texte étant une fiction, les scènes décrites sont le fruit de l'imagination. Toute ressemblance avec des personnes existantes serait purement fortuite. Les personnages présentés sont tous majeurs.

-----------

Depuis des mois, malgré ses demandes incessantes, il n'a pu faire l'amour avec sa femme. Non, le terme n'est pas le bon, c'est plutôt la pénétration qu'Anna lui a toujours refusée. A chaque fois qu'il a essayé de la prendre, il a toujours eu la même réponse :

« Tu n'a plus droit qu'à une petite branlette, mon chéri. Je me réserve pour mes amants dont le gros sexe me fait tant de bien. Dès que tu m'auras fait jouir en suçant ma chatte, je branlerai ton petit zizi. Tu sais bien que je t'aime et que je ne veux pas te laisser en manque. »

C'est aujourd'hui l'anniversaire de Jules et il espère bien une 'dérogation' à la règle habituelle, aussi demande-t-il :

« Chérie, pour mon anniversaire, puis-je espérer un plaisir un peu plus... complet? »

Anna, avec un petit sourire charmeur, lui répond :

« Peut-être... on verra... »

Pour cette soirée de fête, le couple a choisi de commencer par un dîner dans un restaurant marocain, dans le centre de Paris.

En attendant leur table, ils prennent un apéritif. Anna est appuyée au bar, à demi assise sur un haut tabouret. Cette position fait ressortir le galbe de ses jambes gainées par un fin pantalon blanc.

"Tu est très belle, mon amour", lui dit Jules, la contemplant avec plaisir.

Il est évidemment content de sa tenue, car c'est lui qui l'a choisie avant de venir. Anna, vêtue tout de blanc, porte un fin chemisier arachnéen, sous lequel elle a mis un soutien-gorge de voile, aussi fin qu'un bas. Jules aime beaucoup ce sous-vêtement car, en plus de sa transparence, il se ferme devant, ce qui a parfois quelques avantages. Le pantalon est coupé dans un fin tissu blanc. Il est tellement ajusté qu'il aurait été impossible pour Anna de mettre quoi que se soit dessous. Ses fesses sont vraiment moulées par le vêtement sous lequel sa nudité est évidente.

Anna n'a pu que remarquer les regards des hommes, dès qu'elle est entrée dans le restaurant. Il faut dire que la vue de face n'est pas mal non plus. Avec ces transparences, les pointes des seins sont nettement visibles et un regard attentif permet de deviner, à travers le fin tissu du pantalon, une légère ombre au niveau du pubis.

Lorsque le maître d'hôtel les conduit à leur table, Anna sent bien sur elle le regard de l'homme où il lui semble que ce mêle à la fois de la désapprobation devant une telle exhibition et un certain désir.

Au cours du repas, Jules est très prévenant avec Anna, très attentionné, très amoureux. Il la trouve si désirable ce soir.

Au cours du repas, le patron vient les saluer en se présentant, Omar, et il échange avec eux quelques phrases de politesse. L'homme d'une quarantaine d'années, visiblement en bonne forme physique, parait sympathique à Anna. Disons qu'en fait elle est subjuguée par le regard pénétrant des yeux d'un vert très pale. Anna en est étonnée, car elle s'attendait à des yeux plutôt noirs chez un homme du sud. Elle sent bien qu'il la déshabille du regard sans se gêner et elle se sent rougir, alors que sa chatte se mouille. Anna en est vraiment confuse, craignant qu'une tache devienne visible sur son pantalon si fin et si moulant. Mais, le restaurateur les quitte rapidement pour les laisser profiter de leur repas et Anna se sent tout de suite plus à l'aise.

Plus tard, lorsque le serveur apporte le dessert, Anna pose sa main sur celle de Jules et lui dit:

« Tu m'excuseras. Je n'ai pas de cadeau d'anniversaire. Je n'avais pas d'idée, car tu as déjà tout. Dis-moi ce qui te ferait plaisir ».

« Je crois que j'ai une envie que tu connais déjà », lui répond Jules, « J'aimerais un cadeau très personnel, quelque chose que tu ferais toi-même, pour moi, pour mon plaisir ».

Et Jules poursuit:

« Je voudrais t'emmener ce soir dans un night-club, un endroit un peu spécial où tu pourrais voir ces scènes excitantes et où tu te sentirais dans une atmosphère érotique... du genre échangiste ».

« Non! Tu sais bien que je n'en ai pas envie », réplique Anna, « Cela me fait peur. J'ai l'impression que tout le monde va me regarder et même m'agresser ».

Jules se veut rassurant:

« Tu sais, tu m'as pris de court avec ton cadeau, alors je viens juste d'avoir cette idée. Je n'ai rien préparé du tout et je n'ai même pas une adresse. »

Anna n'a pas le temps de poursuivre leur échange car le restaurateur vient de les rejoindre pour leur offrir un thé très parfumé. Il s'assied à côté d'eux et leur fait la conversation. Il leur parle de son pays avec beaucoup d'enthousiasme. Il est assis à l'angle de la table, tout près d'Anna. Comme beaucoup d'hommes du sud, il parle beaucoup 'avec les mains et ses doigts se posent souvent sur le bras d'Anna, comme une façon de ponctuer ses phrases. Cela fait d'autant plus frissonner Anna qu'elle sent bien le regard de l'homme sur sa poitrine à peine couverte par le voile transparent de son chemisier. Elle est encore plus gênée car elle sent qu'à chaque fois qu'il la touche ses tétons se tendent encore plus. Dans cette situation, toute à ses sensations, elle n'est plus très attentive à la conversation, qui s'éternise car il sont les derniers clients. Le restaurateur leur parle de Paris et de sa vie nocturne qu'il apprécie et qui, selon lui, n'a pas d'équivalent ailleurs. Ce sujet ramène Jules à son idée première, aussi dit-il :

« Omar... je peux vous appeler Omar? Nous voudrions finir la nuit dans un night-club, mais, disons, un endroit pas trop banal... pourquoi pas... un peu, coquin, érotique... enfin... vous voyez. »

Entendant ça, Anna est surprise, voire un peu choquée. Elle dit à son mari :

« Jules... enfin... tu exagères de demander ça à ce monsieur... »

C'est Omar qui répond immédiatement à la place de Jules :

« Mais non, madame, ça ne me dérange pas du tout. Je renseigne souvent des clients de passage sur les nuits parisiennes. C'est bien normal. D'ailleurs, je connais très bien un très beau night-club qui est tenu par mon meilleur ami et où j'ai mes entrées. Je peux vous assurer que vous y trouverez tout ce que vous espérez. »

Anna, toujours aussi peu à l'aise, lui dit, sur un ton hésitant :

« Je... je ne suis pas sûre de m'y sentir très à l'aise, si des hommes m'abordent et sont trop... vous voyez. »

Omar se veut convainquant :

« Ne vous inquiétez pas. Je suis allé dans ce club de nombreuses fois et je n'ai jamais vu un homme insister lorsqu'une femme n'est pas consentante. Vous pouvez essayer, simplement pour voir. Personne ne vous obligera à rien. Vous déciderez sur place, selon vos envies. D'ailleurs, si vous le souhaitez, je peux vous guider en ces lieux. Je donnerai l'adresse du 'Night Out' à votre mari et je vous y rejoindrai plus tard, car j'ai encore quelques tâches avant de fermer cet établissement. Ce sera un plaisir de passer la soirée en compagnie d'une si jolie femme. »

Anna, indécise, s'apprête a discuter encore, mais l'homme est déjà reparti en cuisine. Pour Jules, c'est chose faite et il n'a plus qu'à continuer à encourager sa femme qui finit par lui dire :

« Bon. C'est bien pour te faire plaisir pour ton anniversaire, mais ne t'attend pas à des prouesses de ma part. Je ne ferai que regarder ».

Heureux, Jules passe sa main derrière le cou d'Anna pour rapprocher son visage, et l'embrasse longuement avant de se lever pour quitter le restaurant. Lorsqu'il paie l'addition à la caisse, Omar lui rend la note sur laquelle il a marqué l'adresse, tout en lui faisant un clin d'œil.

En sortant du restaurant, Jules, conscient que la soirée pourrait aller très loin, questionne Anna :

« As-tu ton diaphragme? Si non, on peut repasser chez nous pour le prendre, ça prendra peu de temps. »

« Non, je ne l'ai pas, mais ça n'a pas d'importance, car la période n'est pas dangereuse. De toutes façons, je n'y vais que pour regarder, alors... »

Lorsqu'ils poussent la porte du 'Night Out', Anna descend l'escalier et découvre en sous-sol un cadre qui ressemble à s'y méprendre à un night-club. Des canapés de velours rouge encadrent la piste de danse, dont un des côtés jouxte un grand miroir qui couvre tout le mur et renvoie les rayons de lumière des spots de couleur. La musique y est peut-être un peu moins forte, et il y a moins d'affluence. En dehors de cela, seule la tenue assez sexy de la serveuse du bar peut faire penser qu'il ne s'agit pas d'une boîte de nuit normale.

Puis Anna se rend compte de la proportion inhabituelle de femmes. Elles ne sont que trois, alors qu'il y a plusieurs dizaines d'hommes dans la salle. Elle s'en étonne auprès de Jules qui lui explique que certaines soirées sont parfois réservées aux couples, mais que, ce soir, les hommes seuls sont sûrement admis. Anna continue sa visite avec Jules. Elle découvre une petite salle, déserte actuellement, qui est complètement dans la pénombre. Elle y distingue un grand lit pour tout mobilier. Puis ils entrent dans une autre pièce, plus grande et bien éclairée. La salle est ceinturée de banquettes et comporte, en son centre, une sorte d'immense lit carré, assez surélevé, à peu près à la hauteur d'une table. Dans un angle, près du plafond, un téléviseur diffuse un film pornographique.

Jules et Anna s'installent sur la banquette et regardent le film pendant quelques minutes. La qualité n'est pas très bonne, mais Anna se sent cependant plutôt excitée par le spectacle. Jules a posé sa main assez haut sur la cuisse de son épouse, cherchant à lui caresser l'entrejambe à travers le pantalon. Mais elle retient fermement sa main en lui disant:

« Laisse-moi! Je ne suis pas tranquille. Laisse-moi m'habituer. »

Alors Jules, sentant que le moment n'est pas venu, la conduit vers la piste de danse.

Serrés l'un contre l'autre, leurs corps ondulent lentement au rythme de la musique. Jules se serre contre elle et plaque son ventre contre le sien. Son sexe est en érection et il a l'impression qu'elle est nue contre lui, tellement le tissu du pantalon de son épouse est fin. L'attention d'Anna est attirée par un couple qui danse à côté d'eux. Elles les trouve très mignons et en fait la remarque à Jules. La femme porte une robe noire, très courte et très moulante. Elle est bien faite et très mince. Elle a une coupe de cheveux très courte, à la garçonne, avec des mèches irrégulières, qui lui donne un petit air coquin. Mais c'est surtout sa façon de danser qui est surprenante. C'est un vrai spectacle.

Elle danse enlacée avec son ami, puis s'écarte de lui par moments et se met à tourner seule, de façon très suggestive, face à la glace, passant même ses mains partout sur son corps avec beaucoup de sensualité. Elle est la provocation personnifiée. Anna trouve cela très insolite et excitant. Elle a vu que certains hommes, en regardant la danseuse, ont enfoui une main dans leur poche et se masturbent certainement. Anna apprécie ce climat érotique et en est même plutôt rassurée, car elle craignait d'arriver en pleine orgie.

« C'est bien calme », chuchote-t-elle à l'oreille de son mari.

« Pour une fois, tu ne me parais pas très observatrice », lui rétorque Jules.

« Viens donc voir avec moi au bar!", ajoute-t-il.

Le couple s'installe sur des tabourets et commande des boissons.

« Regarde bien autour de toi », dit Jules sur le ton de la confidence.

Plus attentive, Anna voit alors une femme, assise à l'autre bout du bar, à côté de son mari qu'elle embrasse à pleine bouche. Puis, elle s'aperçoit que l'homme a passé la main sous la jupe courte de sa femme, entre ses cuisses, et la caresse. La jupe est très remontée et on voit distinctement qu'elle ne porte pas de slip. Sa toison et son sexe humide, dans lequel s'enfoncent les doigts de l'homme, sont bien visibles. Puis elle voit tout à coup le membre tendu du mari, dépassant de la braguette ouverte, en pleine lumière. Par moments, de sa main libre, l'homme fait coulisser lentement la peau du prépuce sur le gland rougi, dont le méat coule un peu. Enfin, Anna aperçoit la dizaine d'hommes qui sont assis sur les banquettes, le long du bar, dans une zone plus sombre. Ainsi les visages sont à la hauteur du vagin de la femme. Tous ont sorti leur sexe et se masturbent en la regardant.

Anna sent sa vulve se mouiller. Jules n'est pas non plus insensible à la scène. Il vient de libérer son membre tendu. Alors il guide la main de son épouse vers lui pour qu'elle le caresse. Anna se laisse faire et commence à le branler lentement, lui griffant un peu les bourses en même temps. Son manège a été repéré par les hommes qui, intéressés par un nouveau spectacle, se lèvent tous les uns après les autres, sexe en main, et viennent faire cercle autour d'eux. Ils sont tellement près d'elle qu'Anna a senti à un moment, dans son dos, un contact fugitif qui a laissé une petite trace humide sur son chemisier. Alors, inquiète, elle se penche vers son mari et lui dit tout bas :

« Rhabille-toi! Je ne suis pas tranquille. Retournons plutôt vers la piste de danse ».

A peine sont-ils assis sur la banquette près de la piste, que la jeune femme, qui dansait si bien tout à l'heure, s'approche d'Anna et l'invite à danser. Celle-ci hésite puis se lève. Elles commencent alors à danser sur une musique sud-américaine, pas très rapide mais bien rythmée. Elles sont seules sur la piste et tout le monde les regarde. La femme a pris Anna par la taille, la plaquant contre elle, pour entamer une danse ondulante. L'émoi d'Anna ne fait que grandir, lorsqu'elle sent le contact pressant du pubis contre le sien. L'autre main de la jeune femme lui caresse le cou, le dos, descendant parfois jusqu'aux fesses, qu'elle flatte sans se cacher. Anna se sent honteuse, mais n'ose pas rompre l'étreinte. A la fin de la danse, la jeune femme lui dit merci en lui posant un rapide baiser au coin des lèvres, puis revient s'asseoir à côté de son ami.

Anna vient juste de rejoindre sa place près de Jules lorsqu'elle voit la jeune femme se laisser dépouiller de sa robe en un instant par son ami. Elle est entièrement nue, offerte à tous les regards. Alors elle s'installe sur la banquette, à moitié couchée, cuisses largement écartées, et pose ses pieds aux deux coins d'une table basse. Son ami, avec ses doigts, écarte le plus possible les lèvres humides pour bien montrer le vagin ouvert, qui coule d'excitation. Instantanément, tous les hommes se sont rassemblés autour d'elle, membre à la main, se masturbant frénétiquement en la regardant. L'un s'est assis à côté d'elle et a investi son vagin avec ses doigts. De l'autre côté, un homme lui caresse un sein, dont il vient mordiller par moments le téton. Anna ne perd rien du spectacle, qui l'excite au plus haut point. Jules a de nouveau sorti son sexe, que son épouse masturbe sans se cacher, car elle sait qu'elle n'est plus maintenant au centre des regards.

A ce moment, la jeune femme, assaillie de toutes parts, se met à remuer convulsivement et crie :

« Venez ! Prenez-moi tous ! »

Son ami l'emmène alors dans la salle voisine tout en lui disant :

« Attend ! Pas trop vite ! Calme toi. Tu as tout le temps ».

Dans une grande confusion, tout le monde les suit, les hommes seuls comme quelques couples, ainsi que Jules et Anna, trop excités pour vouloir perdre une miette de la suite.

La femme se jette sur le grand lit, sur le dos, jambes ouvertes. Les hommes se bousculent pour la pénétrer. Son ami retient un instant le premier assaillant pour lui imposer le port du préservatif. Puis, l'homme s'enfonce brutalement en elle, jusqu'à la garde, et se met à la pilonner rapidement. La jeune femme hurle de plaisir, tournant très vite la tête de tous côtés. Des dizaines de mains sont partout sur son corps, lui caressant les seins, pinçant les pointes. Quelques fois, c'est une bouche qui s'empare d'un mamelon. Des doigts lui palpent les lèvres de la vulve et les étirent pendant que l'homme la baise violemment.

Anna, le souffle court, regarde la scène. Elle est si tendue qu'elle serait incapable de dire un mot. Jules s'est plaqué contre son dos, pressant son sexe contre ses fesses à travers le pantalon fin qu'il souille de son gland mouillé. En même temps, il a refermé ses mains sur la poitrine d'Anna. Alors ses doigts ouvrent le chemisier et dégrafent le soutien-gorge, libérant les seins qu'il pétrit fortement. D'une main, Jules ouvre le pantalon de sa femme. Ses doigts fourragent dans les poils du pubis, puis viennent caresser le clitoris. Puis, cassant son poignet, il finit par enfoncer ses doigts dans la grotte trempée de jouissance, qu'il ramone rapidement. Anna est trop excitée, trop envoûtée par la scène qu'elle regarde, pour refuser ces caresses qui lui font un bien fou.

Sur le lit, la jeune femme est assaillie de tous côtés. Les sexes se succèdent dans son vagin ouvert. Dès qu'un homme a joui, un autre le remplace. Cette noria érotique est seulement parfois interrompue par une bouche qui vient lécher la chatte odorante. La jeune femme branle un sexe dans chaque main. Là aussi, les hommes se relaient et ses mains sont poisseuses des éjaculations répétées. Un homme est venu se mettre à genoux sur le lit, près de la tête de la jeune femme, et a forcé sa bouche, y enfonçant un énorme mandrin, qu'elle suce goulûment. Puis un autre homme se place entre ses cuisses et la pénètre, sans protection. C'est son ami qui vient chercher en elle une jouissance, comme à l'unisson.

Tous les hommes sont maintenant autour d'elle, certains debout au bord du lit, d'autres à genoux, pantalon baissé, tout près d'elle. Le ventre de la femme ondule à l'approche du plaisir, et, tout à coup, les deux hommes giclent en même temps, l'un au fond de son vagin et l'autre dans sa bouche. Sous la violence de l'éjaculation, la jeune femme s'étrangle et n'arrive pas à tout avaler. Des coulées de sperme ressortent entre ses lèvres et coulent sur son menton, alors qu'elle part dans un orgasme foudroyant. Cette vision porte à son maximum l'excitation de tous les hommes, qui éjaculent alors ensemble, arrosant la femme, lui couvrant les seins, le ventre, le pubis, et le visage d'un sperme abondant, dont les filets blancs s'accrochent même dans ses cheveux.

Alors, n'y tenant plus, Jules renverse Anna sur le dos, sur le lit, à côté de la femme. Il fait glisser le pantalon, lui relève les jambes et, debout, la pénètre à fond. La maintenant par les hanches, il commence à la limer violemment. Il repousse d'un signe les hommes qui approchent leurs mains, car il craint que Anna ne se bloque tout à coup s'ils la touchent. Le jus de la jouissance de sa femme coule abondamment sur ses bourses, preuve, s'il en était besoin, de son intense excitation.

Soudain, alors qu'elle se redresse, Anna sent une grosse main se poser sur son sein et lui caresser le mamelon. Tournant vivement la tête, elle s'aperçoit que c'est le restaurateur, Omar, qui vient de les rejoindre. Leurs regards s'accrochent et Anna, excitée comme elle l'est, a tout de suite envie de cet homme. Elle est à peine étonnée de voir qu'il est entièrement nu. Elle voit bien le sexe tendu et elle apprécie sa taille, surtout sa longueur. Il bande tellement que le sexe est quasiment vertical, plaqué contre son ventre. Omar la pousse, cherchant à la recoucher, mais Anna résiste, lui disant :

« Non, pas ici, il y a trop de monde ! »

« Alors allons dans les appartements privés du patron, c'est un copain », lui dit-il en l'entraînant.

Jules, qui ne prend même pas le temps de se rhabiller, les suit immédiatement et se sent instantanément dans un rôle de voyeur qui l'excite.

Dès la porte refermée, Omar plaque ses lèvres sur celles d'Anna dans un baiser fougueux auquel elle répond. Omar l'embrasse partout, sur le visage, sur le nez, et même dans les oreilles. Il a soif d'elle. Il lui caresse les seins. Anna est sensible à cette fièvre qu'elle sent chez cet homme qui la désire. Puis, se baissant un peu, il y pose sa bouche sur un sein et en suce la pointe.

12