Les plaisirs d'Anna -- 06 (Africain)

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Manipulation dangereuse après un rapport avec un africain.
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2

Partie 6 de la série de 15 pièces

Actualisé 06/15/2023
Créé 04/26/2022
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Les plaisirs d'Anna -- 06 (l'Africain)

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Ce texte étant une fiction, les scènes décrites sont le fruit de l'imagination. Toute ressemblance avec des personnes existantes serait purement fortuite. Les personnages présentés sont tous majeurs.

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Avec l'arrivée du printemps, Anna a commencé à penser aux prochaines vacances. Elles seront bien banales puisque le couple a prévu d'aller simplement passer quelques semaines sur la côte varoise. Jules pratique des sports nautiques, mais Anna préfère en général lézarder au soleil, un livre à la main. Elle aime parfaire ainsi son bronzage, qui ajoute encore à sa séduction naturelle.

Anna a l'intention de bien profiter de cet été qui permet des tenues dénudées, propices à la drague. Ce sera le moment de profiter de sa nouvelle liberté sexuelle à toutes les occasions possibles.

Dans l'hypothèse où elle multiplierait les relations avec des partenaires de rencontre, il était évident pour Anna que, malgré l'excitation que lui apporte toujours le risque de grossesse, un moyen de contraception serait indispensable. Son parcours dans ce domaine avait été assez compliqué. En effet, après les risques inconsidérés qu'elle avait pris lors d'une soirée avec ses collègues, elle s'était décidée à prendre la pilule. Elle s'était sentie ensuite protégée et avait pu, en particulier, profiter sereinement de sa rencontre au fitness, mais l'excitation supplémentaire liée au risque avait malheureusement disparu. Quelques légers effets secondaires avaient suffi pour convaincre Anna d'arrêter la pilule. Elle n'avait donc plus aucune contraception à l'aube de ses vacances d'été.

Anna avait exclu le préservatif à cause des sensations réduites et surtout car elle aime ressentir en elle une éjaculation. Elle était donc allée voir son gynécologue pour trouver une autre solution. Il lui avait proposé le stérilet, sûr à 99 % et à peine moins bon que la pilule, mais elle n'avait pu se résoudre à avoir quelque chose inséré aussi profondément en elle. Anna avait donc retenu le diaphragme. Le médecin ne lui avait pas caché l' inconvénient qu'est la pose avant un acte sexuel, ce qui peut couper l'envie. Il lui avait précisé que l'efficacité était seulement de 88 % et pouvait même tomber à 74 % si elle ne lui adjoignait pas un spermicide. Évidemment, cela posait le problème des rencontres imprévues, mais Anna s'était dit qu'elle le mettrait le plus souvent possible, par précaution, abandonnant toutefois l'idée de la crème spermicide, dont elle voyait vraiment la pose au dernier moment comme un 'tue l'amour'.

Malgré les séances de fitness auxquelles Anna s'était astreinte pendant l'hiver, l'inactivité de cette période avait eu un effet néfaste sur la ligne d'Anna, dont les courbes s'étaient un peu épaissies. Jules l'aime bien comme cela, mais elle n'est pas du même avis, car elle veut être à son avantage pour les vacances, qui lui donneront l'occasion de se dénuder largement, et même parfois complètement. En effet, le couple aime faire un peu de naturisme sauvage, qui peut apporter quelques situations érotiques et s'accorde à leur penchant commun pour l'exhibition.

Anna est donc à l'affût d'une méthode d'amaigrissement, dont elle puisse voir les effets rapidement. Aussi est-elle enthousiaste lorsque, lors d'un appel téléphonique de son amie Marina, celle-ci lui parle incidemment de la cure qu'elle vient de faire pour retrouver sa ligne.

« On m'avait conseillé un masseur guinéen qui utilise une méthode africaine très efficace », lui dit-elle, « J'ai essayé et, en quelques séances, il m'a vraiment remodelé le corps ».

« C'est génial », répond tout de suite Anna, « donne-moi vite ses coordonnées ».

Marina le fait évidemment, mais veut tout de même la mettre en garde :

« Le traitement est assez difficile à supporter, car les massages sont très appuyés. Quelques fois, il utilise un barre de fer qu'il fait rouler sur les hanches, et ce n'est pas vraiment agréable ».

Cela n'inquiète par Anna outre mesure, qui lui répond :

« Il faut savoir ce que l'on veut, et souffrir pour être belle. »

Marina insiste pourtant :

« Je dois aussi te dire que tu seras complètement nue pendant les massages ».

Anna ne voit pas là un problème. Être nue sous les mains du masseur ne lui déplaît pas, bien au contraire, mais elle s'abstient toutefois d'en faire part à son amie. Elle appelle tout de suite le praticien pour un rendez-vous. Au téléphone sa voix lui parait chaude, chaleureuse. D'emblée il lui semble sympathique. De là à imaginer que les massages pourraient déboucher sur une relation sexuelle, il n'y a qu'un pas qu'Anna franchit allègrement dans son esprit. C'est d'autant plus tentant qu'elle n'a jamais eu l'occasion de faire l'amour avec des noirs et qu'elle est curieuse de vérifier ce qui se dit sur eux dans le domaine sexuel.

Quelques jours plus tard, avant d'aller à son rendez-vous, Anna met en place son diaphragme, après une courte hésitation car la période n'est pas la plus dangereuse.

Lorsqu'elle sonne à l'entrée d'un appartement dans un vieil immeuble du 20ème arrondissement de Paris, un homme râblé, bien bâti, l'accueille en souriant. Anna remarque en lui la bonne humeur et la joie de vivre propre aux africains. Le masseur est très typé. Ses cheveux sont crépus et sa peau est d'un noir d'ébène. Il porte une sorte de kimono et un pantalon bouffant. Sa tenue masque difficilement une silhouette athlétique et une musculation qui impressionnent Anna.

Le masseur lui demande alors de se déshabiller complètement et de s'allonger sur la table de massage. Anna s'exécute, mais est un peu gênée de se montrer ainsi. Aussi garde-t-elle les cuisses bien serrées. Pourtant, compte tenu de ce que lui avait dit son amie, Anna avait bien pensé que le masseur pourrait bien profiter de sa nudité pour abuser d'elle, ce dont elle se réjouissait même par avance.

L'homme commence son travail par un massage très appuyé. Longuement, ses mains pétrissent durement les hanches et le ventre. Puis ses doigts atteignent la poitrine d'Anna et lui malaxent les seins, sans ménagement, les massant vers le haut, comme s'il voulait les faire remonter. Dans d'autres conditions, Anna aurait certainement été sensible à ce contact des mains d'un homme sur son corps totalement nu. Mais, le traitement, désagréable, presque douloureux, est bien loin de ressembler à des caresses.

Pourtant, pendant le massage, Anna sent par moments une pression contre son bras. A chaque fois qu'il se penche, le ventre du masseur s'appuie contre elle, et c'est son sexe qu'elle sent à travers le fin tissu du pantalon. Elle se rend vite compte que les contacts répétés font grossir et durcir la bosse qu'elle a remarquée, déjà bien conséquente au début. En se déplaçant un peu, l'homme finit par toucher ainsi, non plus le bras, mais la main d'Anna, que, gênée, elle retire vivement. Malgré la rapidité du mouvement, ses doigts frôlant le tissu lui ont donné l'impression que le sexe tendu était libre sous le pantalon fin.

Mais elle n'a pas le temps de se laisser distraire par des pensées érotiques. En effet, le masseur la fait mettre sur le flanc et fait maintenant rouler ses hanches sous une barre de fer, qu'il presse sur elle de toutes ses forces. Elle supporte la douleur en serrant les dents et est à cent lieux de penser à un quelconque plaisir sexuel, attendant au contraire avec impatience la fin de la séance.

Le masseur interrompt alors son travail en force en lui disant :

« Maintenant, relaxez-vous. »

Il s'absente quelques minutes, puis revient, tenant une tasse de thé qu'il lui tend. Après ce qu'elle vient de subir, Anna apprécie ce moment de détente. Le guinéen s'assied sur le bord de la table et pose une main apaisante sur la cheville de sa patiente. Ils discutent un moment de choses et d'autres, sympathisant rapidement. Cependant, Anna ne se sent pas très à l'aise dans cette situation curieuse. Boire ainsi une tasse de thé, tout en devisant, alors qu'elle est nue en face d'un homme qui, d'où il se trouve, a une vue imprenable sur son intimité, lui parait déplacé, anormal. Elle pourrait en être excitée, mais c'est plutôt une impression de gêne qu'elle ressent à ce moment.

Lorsqu'elle a fini de boire, le masseur lui dit alors :

« Reprenons maintenant les massages ».

L'homme ne peut ignorer la grimace de sa patiente, aussi ajoute-t-il tout de suite :

« Ne craignez rien. Le plus dur est fait. La seconde partie du traitement est plus facile à supporter ».

Pour la relaxer, le guinéen, se plaçant au bout de la table, prend les pieds d'Anna dans ses mains et commence un lent massage. Ses pouces remontent doucement sous la plante des pieds, à l'endroit où la peau est douce. Le mouvement s'apparente plus à une caresse qu'à un massage. Anna frissonne à chaque mouvement des doigts qui la chatouillent presque. Ce traitement la détendrait vraiment si, du fait de la posture que l'homme lui fait prendre, elle n'était un peu crispée. En effet, le masseur, lui tenant les pieds, les a peu à peu écartés. Elle sait qu'ainsi placé il voit bien son sexe, qu'il ne se gêne d'ailleurs pas pour regarder. Anna sent bien ce regard posé sur sa vulve et ne peut empêcher une certaine humidité de s'y installer.

Enfin, le masseur la lâche pour prendre un flacon sur une tablette. Il verse alors une huile onctueuse sur ses mains, qu'il applique sur le cou d'Anna. Il étale lentement le liquide sur son buste, s'attardant sur les seins, dont ils palpe longuement les globes. Il rajoute un peu d'huile et n'épargne pas les tétons qu'il fait rouler doucement entre ses doigts. Les mains passent sur son ventre, pour venir ensuite enduire ses hanches. Anna apprécie ce traitement dont la douceur atténue la douleur aux endroits où la barre de fer a laissé des bleus bien marqués. Le masseur recouvre d'huile tout son corps, nappant les cuisses, remontant entre elles jusqu'à l'aine.

La peau d'Anna brille et la rend ainsi plus belle encore, plus excitante. Le masseur n'y est pas insensible et ses doigts se font plus légers. Le massage se transforme progressivement en caresse. Les mains glissent, frôlent, effleurent, laissant sur leur trajet le souvenir éphémère d'un frisson de plaisir. Peu à peu, Anna se laisse prendre au jeu et réagit aux attouchements par de discrets mais perceptibles soupirs.

Alors, tout en poursuivant ses caresses humides, l'homme fourrage dans son pantalon et sort son sexe. Anna, surprise, ne sait que faire. Elle ne peut pourtant détacher son regard de ce membre d'une longueur peu ordinaire. Elle ne peut éviter de faire la comparaison avec le sexe de son mari. Le membre du masseur est plus de deux fois plus long. Avant qu'elle n'ait le temps de choisir une contenance, le masseur lui prend la main et la pose sur son sexe tendu. Anna, n'osant pas le caresser, laisse retomber sa main. Mais l'homme, insistant sans mot dire, reprend son geste. La scène se répète plusieurs fois ainsi. Anna finit alors par laisser ses doigts un peu serrés autour du membre, avant de se décider enfin à commencer une lente masturbation.

Excité, le masseur grimpe sur la table et vient se coucher sur Anna, qui sent alors sur elle le poids de ce corps musclé. Le sexe tendu et chaud repose sur son pubis. Anna jette un coup d'œil furtif vers son ventre pour s'apercevoir que le gland repose sur elle bien plus haut que son nombril, atteignant presque sa taille. Elle se demande comment elle pourrait accueillir un tel mandrin en elle. C'est juste impossible, pense-t-elle.

Puis l'homme recule et son gland vient glisser en haut de la vulve d'Anna, passant et repassant lentement sur son clitoris. L'huile dont elle est couverte rend le contact exceptionnel, beaucoup plus excitant, amplifiant les sensations qui la traversent. C'est si bon que cela devient presque insupportable, quand enfin le sexe se pose sur les lèvres engluées d'huile, ce qui doit faciliter la pénétration. Pourtant, seul l'énorme gland réussit à entrer, d'un coup, arrachant un cri de surprise à Anna. La pénétration lui a coupé le souffle. Son vagin n'a jamais été écarté comme ça par un sexe. Anna ne peut que se remémorer la seule fois où son mari avait voulu lui enfoncer toute sa main dans le vagin, alors qu'ils avaient eu envie de goûter un peu aux plaisirs du sado-masochisme. Il avait même fini par replier son poing en elle. A cet instant, la sensation est la même, voire plus forte. Anna se sent tendue et son front se couvre de sueur, sans qu'elle n'ait fait le moindre mouvement.

L'homme attend qu'elle s'habitue à la taille de son membre, puis il entame un coït lent et puissant, ne gagnant que quelques centimètres à chaque poussée vers elle. Anna se sent forcée presque au-delà du possible. Il accélère ses mouvements, puis les ralentit, pour les reprendre plus rapidement de nouveau, dans un bruit de clapotis qu'Anna ne sait attribuer à l'huile, dont le membre qui la perce est recouvert, ou à ses propres sécrétions, fruits de son excitation. En même temps, il lui caresse le cou, les seins, ou lui pose de petits baisers sur la bouche. Anna commence à prendre beaucoup de plaisir à ce coït qui n'en finit plus, car l'homme sait se retenir longtemps. Toujours planté en elle, le masseur se redresse. Il la regarde tout en continuant à la besogner lentement mais avec la force d'un bûcheron.

Elle se sent complètement dilatée tout au long de son vagin et pourtant elle voit bien que tout le sexe n'est pas encore en elle. Anna se dit que, pour son plaisir, l'épaisseur du sexe compte plus que sa longueur. Au mouvement suivant, Anna sent le gland buter violemment contre sa matrice, pour relâcher sa pression avant d'y revenir encore. Le cri de plaisir qui lui échappe démontre à Anna que la longueur compte au moins autant. C'est d'autant plus vrai que le coït devient encore plus rapide, plus violent, plus dur. Le gland force sur le col de son utérus, comme s'il cherchait à le retourner comme un gant pour envahir sa matrice. Son diaphragme l'en empêche évidemment, mais Anna se met à craindre qu'il soit délogé, voire rompu par les coups violents du gland tout au fond d'elle. Elle se rassure en pensant qu'elle est à le fin de la première semaine de son cycle et que le danger ne devrait être là que dans quelques jours. Toutefois les doutes d'Anna amplifient encore ses sensations et ses cris s'enchaînent alors en une litanie sans fin.

L'homme s'immobilise, sans jamais relâcher la forte pression de son membre au fond du vagin. D'un doigt, il lui caresse le clitoris, sur lequel il étend un film d'huile. Les ondes de plaisir courent du bouton excité jusqu'au fond du sexe d'Anna. Il glisse en même temps ses mains sous son dos et la serre fortement contre lui, gardant son membre bien planté en elle. Alors Anna sent le sperme du guinéen jaillir au fond de son sexe, accompagné d'un long râle, alors qu'elle jouit au même instant, son corps pris de convulsions.

Anna se rend compte que jamais elle n'a eu un tel orgasme, aussi violent. Elle s'est sentie proche de l'évanouissement. Elle devrait être comblée, mais elle ressent une incompréhensible frustration, non pas pour l'instant présent, mais pour l'avenir. Retrouvera-t-elle cet incroyable plaisir? Quand? En fait c'était si bon qu'elle aurait voulu que cela ne s'arrête jamais, non pas pour que leur coït soit plus long, mais pour qu'elle jouisse, jouisse, jouisse encore... sans fin. Anna se dit qu'elle est folle d'avoir cette envie impossible.

Alors qu'elle s'attend à ce que le sexe se ramollisse lentement dans son vagin, il n'en est rien. Le pieu enfoncé en elle garde toute sa raideur, et l'homme commence à reprendre ses mouvements, coulissant facilement dans ce mélange d'huile, de sécrétions féminines et de sperme. Lorsqu'il se retire, c'est pour faire mettre Anna à genoux sur la table, fesses relevées, et la prendre encore. Le masseur la baise maintenant très vite, très fortement, frappant le fond de son sexe du bout de son membre. Chaque coup apporte à Anna une sensation mélangée de douleur et d'excitation. Pourtant, loin de refuser cette pénétration brutale, elle pousse d'elle-même ses fesses, son vagin ouvert, à la rencontre de ce pieu qui la force, pour qu'il la défonce bien plus encore. Enfin, l'homme, dans un cri, éjacule une seconde fois, la remplissant de nouveau, alors qu'elle atteint encore l'orgasme.

Lorsqu'elle récupère lentement, Anna pense à la quantité de sperme qui a inondé son vagin. Il y en avait même peut-être encore plus la seconde fois. Cela n'a aucun rapport avec les petites éjaculations de son mari. Tout est petit, chez lui, se dit-elle, moqueuse.

Pourtant, de retour chez elle, Anna est détendue, heureuse. Profitant de cette excitation qu'elle a emmagasinée, de ces sensations qui vivent encore en elle, elle a envie de monter les dernières marches du plaisir avec Jules, pour lui plus que pour elle, car elle aime son 'petit' mari. Anna se dit alors que ce n'est pas très gentil de penser à lui comme ça. C'est vraiment humiliant pour lui, même si ce n'est qu'en pensée. Ce serait encore pire si cette appellation lui échappait.

A cette pensée, sa chatte se mouille et Anna s'en étonne. Humilier son mari l'exciterait-elle? Elle se rend compte que c'est le cas et elle se traite intérieurement de salope, alors qu'elle sent ses sécrétions intimes couler en haut de ses cuisses. Jules supporterait-il qu'elle l'humilie? Ou même aimerait-il ça? Elle ne le sait pas, mais elle a si envie d'essayer qu'elle commence à chercher comment l'appeler. Pourquoi pas 'petit cocu'? Ou même 'petite bite'? Il faudra qu'elle essaye, c'est trop bon ! Évidemment elle le fera dans l'intimité... d'abord...

Pour attendre son mari, Anna vient de se coucher nue, sur le lit, tournée vers la porte, cuisses largement écartées. Son vagin est bien ouvert, en pleine lumière. Elle ne s'est pas lavée pour garder en elle tout le foutre du noir. Elle sait que Jules va la caresser, toucher sa vulve odorante, la sucer peut-être. Elle sait qu'il va la fouiller de ses doigts et découvrir le sperme dont elle est pleine. Anna, avant de partir à son rendez-vous, avait bien dit à son mari par qui elle allait se faire masser, mentionnant qu'elle serait intégralement nue, ajoutant qu'elle n'était pas certaine de rester sage si son masseur lui plaisait.

Lorsque Jules la découvre dans cette position obscène, il s'écrie :

« Oh, la salope ! »

Voyant la grosse flaque blanche entre les lèvres vulvaires, il ajoute :

« C'est le sperme du noir? », pour entendre Anna répondre :

« Évidemment ! Et il y en a beaucoup ! J'en suis pleine... pour toi ».

Alors Jules, sans se déshabiller, sort par se braguette son sexe déjà bien dur et se jette sur sa femme, qui l'arrête instantanément d'un ton sans appel :

« Pas de ça ! Tu peux sucer, caresser, et c'est tout ! »

Jules réagit :

« Mais... », coupé sèchement par son épouse :

« Il n'y a pas de mais ! »

Puis elle se radoucit en lui disant :

« Pendant que tu me caresseras, je te raconterai... tout... en détail. Tu verras, ce sera bon pour toi... mon petit cocu. »

S'entendre appeler ainsi pour la première fois fait monter d'un cran encore l'excitation de Jules et Anna le voit dans les yeux de son mari. Elle est heureuse de voir sa réaction positive et elle se dit que l'humiliation de son mari pourra leur apporter de nouveaux plaisirs.

Jules s'agenouille entre les cuisses de sa femme et se penche pour poser sa bouche sur la vulve ouverte. Il passe sa langue entre les lèvres intimes, pendant qu'Anna commence son récit. Tout en suçant, Jules ne peut s'empêcher de branler son sexe d'une main. Sa langue rentre facilement dans l'entrée du vagin, vraiment très ouverte. Il suce et aspire en même temps dans sa bouche tout le sperme qui inondait l'ouverture. Puis, tout en écoutant le récit excitant de sa femme adultère, il enfonce deux doigts dans le vagin accueillant, deux doigts qu'il referme et retire pour faire ressortir du foutre, encore et encore, qu'il vient aspirer dans sa bouche et avaler goulûment. C'est avec le mouvement de ses doigts qu'il ressent une impression bizarre, dont il fait part à Anna :

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