Les plaisirs d'Anna -- 06 (Africain)

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«C'est curieux, je n'ai jamais senti ton vagin aussi large, aussi dilaté », pour l'entendre répondre :

« C'est normal, il m'a complètement déformée avec son gros engin. Ce n'est pas toi qui aurait pu le faire avec ta petite chose. C'est pour ça que je n'ai pas voulu que tu me baises. Tu n'aurais rien senti et... moi non plus. »

Jules ne sait que répliquer à cela. Il reprend alors ses caresses, enfonçant ses doigts dans le vagin de sa femme pour en extraire le sperme. A chaque fois qu'il voit des coulées blanches ressortir sous l'action de ses doigts, cela l'excite et il ne peut se retenir d'y passer sa langue pour s'en délecter. Au bout d'un moment, ses doigts ne ramènent plus rien. Il en est presque déçu. Puis il pense qu'à aucun moment il n'a pu toucher le fond du vagin de sa femme. Il a envie d'aller plus loin et, pour ce faire, il lui faut y faire pénétrer toute sa main. Elle est tellement dilatée qu'il y arrive sans forcer. Le vagin, bien lubrifié par ce qui reste de sperme et les sécrétions qu'ont provoqué ses caresses précédentes, avale toute sa main. En détendant ses doigts, Jules s'attend au contact du col de l'utérus, mais, dans une flaque de sperme profonde et encore très conséquente, il sent comme une barrière souple. Il questionne alors Anna :

« Tu avais mis ton diaphragme? Est-ce ça que je touche du bout des doigts? »

« Bien sûr ! Et heureusement, vu comment il m'a inondée », lui répond-elle, avant d'ajouter :

« J'aime bien les risques que je prend, ou plutôt que tu me fais prendre, mais là, avec un noir, cela aurait été trop loin. Tu imagines la situation si il m'avait mise enceinte? Comment expliquer? Et l'accouchement... tu y penses? »

En disant cela, Anna s'étonne de l'excitation qui monte en elle et se sent proche d'un orgasme purement cérébral. Ce n'est pas possible, pense-t-elle, ça ne peut pas m'exciter comme ça. Alors, cherchant à redevenir raisonnable, elle demande à son mari :

« Jules, vérifie si mon diaphragme n'a pas bougé. »

« Il m'a paru bien en place », lui répond-il.

Il faudra qu'elle le retire, mais elle ne sait pas si le moment convient ou si elle doit attendre encore, d'où une question de plus :

« Il y a-t-il encore un peu de sperme dessus? Dis-moi. »

Cette conversation a fait monter d'un cran l'excitation de Jules, qui, depuis un moment, branle doucement son sexe de sa main gauche restée libre. Il a un peu honte d'être excité ainsi et, pour répondre à sa femme, il essaye d'avoir une voix normale, pour lui cacher son état :

« Ma chérie, il y en a plein, dessus et tout autour. Il baigne vraiment dedans. »

« Alors, ce n'est pas vraiment le moment que je le retire, n'est-pas? »

Entendant ça, Jules se dit que, contrairement à lui, Anna n'a pas réussi à cacher son excitation, tant sa voix est tremblante. Se pourrait-il que l'idée du risque puisse l'amener à cette folie pour un instant de plaisir? Ce n'est pas possible ! Cependant, ce n'est pas aussi incroyable que ça, car le corps de Jules est, à cette pensée, pris de tremblements et son sexe, plus dur qu'il ne l'a jamais été, bande douloureusement. Alors, sa main enfouie au fond du vagin d'Anna bouge un peu, comme si elle prenait vie indépendamment de la volonté de Jules. Un doigt vient suivre doucement le contour du diaphragme, s'y arrête par instants, l'accroche du bout d'un ongle, comme s'il voulait le décoller. Anna s'en émeut :

« Mais que fais-tu, Jules? », lui dit-elle d'une voix tremblante et cassée.

Il n'ose pas lui dire ce qu'il commençait à faire. Il en a trop honte. C'est comme si sa main n'était plus contrôlée par son cerveau mais uniquement par son sexe. Alors il s'en sort par un mensonge :

« Je vérifie qu'il est bien positionné. »

« Ah bon? », répond Anna.

Dans le ton de sa voix, il n'y a pas que de la surprise. On y sent surtout de la déception, comme si Jules venait de lui refuser un plaisir tant espéré, et il s'en est bien rendu compte.

Après une seconde d'hésitation, Jules se décide, comme on se jette à l'eau. Dans un mouvement de pince, ses doigts pressent les bord du diaphragme, qui se replie d'un coup et se décolle. Le fond du vagin d'Anna baigne dans le sperme, sans plus aucune protection. Alors que Jules fait immédiatement ressortir sa main avec l'objet entre ses doigts, Anna se met à hurler, dans une indescriptible jouissance.

Jules regarde sa femme vibrer dans un incroyable orgasme qui dure un bon moment. L'avait-il déjà vue comme ça? Non ! Quand elle semble se calmer un peu, Jules pose ses deux mains sur le ventre d'Anna, qui recommence alors à vibrer de plus belle à ce simple contact. Il la trouve incroyable et la voir ainsi fait remonter sa propre excitation, alors qu'il ne touche même plus son membre douloureux.

Alors la main de Jules plonge de nouveau dans le vagin. Anna n'a réagi qu'avec un sursaut de surprise, sans chercher à le repousser. Elle accompagne les mouvements de la main de son mari d'un ronronnement ininterrompu. Le bout de l'index mouillé vient se poser juste sur l'ouverture du col de l'utérus. Anna sent bien, sous cette pression, que le col est très ouvert, résultat de l'orgasme qu'elle vient d'avoir. Puis elle sent l'index de Jules quitter un instant cette place pour aller chercher la semence du noir et la pousser juste sur l'ouverture. Alors que son mari répète inlassablement ce mouvement, Anna atteint un second orgasme, presque aussi fort que le premier, mais surtout bien plus long, interminable.

Jules, à demi couché sur sa femme, qui se calme lentement, profite d'un vrai moment de tendresse dans la complicité naturelle d'un couple qui s'aime et partage tout.

Lorsqu'il se redresse enfin, Jules voit une grosse tache blanche sur le sol et se rend compte qu'il avait éjaculé sans même se toucher.

Après ces plaisirs intenses vient naturellement le moment des confidences. Jules ne peut résister à l'envie de questionner sa femme sur cette expérience :

« Etait-ce vraiment meilleur avec ce masseur? Dis-moi, mon amour. »

Anna ne veut rien lui cacher, aussi lui répond-elle :

« Oui, c'était bien meilleur que tout ce que j'avais connu avant. Même avant de te connaître, je n'avais jamais fait l'amour avec un noir. Non, avec lui, ce n'était pas faire l'amour, c'était vraiment 'baiser'. Si j'en crois ce que j'ai vu et ressenti avec lui, ce que l'on dit sur les noirs est vrai : la taille du sexe, la force, l'endurance, le savoir-faire... »

Jules l'interrompt pour dire :

« Tu as l'air accrochée, dirait-on? Deviendrais-tu accro? »

Anna ne peut que le reconnaître :

« Oui, tu vois, je sais qu'il y a des femmes qui n'ont plus de relations sexuelles qu'avec des noirs. Je les comprend. Si je me laissais aller, c'est ce que je ferais, mais je vais y résister. »

Jules ne peut s'empêcher de la questionner, tout en sachant qu'il aurait mieux fait de s'abstenir :

« Et pourquoi donc? »

« Je ne sais pas vraiment, mais c'est probablement parce que je ne veux pas passer à côté d'autres plaisirs, avec des hommes différents. Et puis il y aussi ce risque que j'aime... que nous aimons tant, qui serait bien trop dangereux, tu le sais. Aujourd'hui, à quelques jours près, j'aurais pu être très fertile. Je craindrais aussi que la dilatation de mon vagin soit définitive... »

Anna termine sa phrase avec un sourie moqueur, avant d'ajouter :

« Tu te rends compte, tu ne sentirais plus rien en me pénétrant ! »

Elle se reprend tout suite en riant et en lui en disant :

« Mais non, je plaisante. Tu sais bien que n'as maintenant plus droit, de ma part, qu'à une branlette. »

Pour Jules, c'est une désagréable surprise. Jamais ils n'avaient parlé de ça avant, d'où sa question, d'une voix qui trahit son angoisse :

« Tu... tu... es certaine? »

Le réponse est immédiate et cinglante :

« Mais oui, évidemment, et estime-toi heureux d'avoir ça..., 'petite bite' ! »

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... à suivre ...

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2 Commentaires
ZachariasvarZachariasvaril y a presque 2 ans

Quelle adorable perversité !

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