Un Vieux Couple

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Un vieux couple séduit un étudiant naïf pour le plaisir.
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Eh oui!

C'était il y a longtemps et cela fait des mois que je n'avais pas eu le plaisir d'écrire pour vous!

Les aléas de la vie étant ce qu'ils sont, on n'a pas toujours le temps de faire ce que l'on veut quand on le veut.

J'espère vraiment que cette nouvelle aventure littéraire vous intéressera.

Bien évidemment, mes textes ne sont que des rêveries et fantasmes littéraires inspirés par les grands classiques du genre et je n'envisage pas la sexualité réelle qu'entre personnes adultes, libres, conscientes et pleinement consentantes!

Cela me parait évident, mais il est utile de le préciser en ces temps incertains!

Pour votre plaisir toujours

Caresses et Soumission

MS

********************************************

Lucas était un étudiant sérieux et appliqué en toutes choses. Il avait fêté ses 21 ans et la fin de son premier cycle d'études de trois ans bouclé par son diplôme avec succès. Il attaquait donc maintenant ses deux années de Master et la vingt-deuxième année de sa vie plein d'espoirs et de rêves de jeunesse.

Sauf que ses rêves de carrière universitaire se heurtaient à la réalité économique du moment et aux peu de moyens dont il disposait n'étant pas issu d'un milieu aisé.

En résumé, il lui fallait trouver un boulot! Comme de nombreux jeunes étudiants du quartier, il avait vu la pancarte sur la vitrine :

" Cherchons aide et salarié pour quelques heures de travail par jour. Aucune compétence nécessaire, formation assurée. Obéissance, respect et ponctualité seront vos atouts ".

La formule de l'annonce semblait bien laisser sa chance à tout le monde et ne demandait globalement que d'être un peu sérieux, bien élevé et pas trop bête se disait-il!

Au-dessus de la devanture, une ancienne inscription commerciale, presque effacée et un peu énigmatique, proclamait : " Droguerie & Bric-à-Brac (Cherchez, vous trouverez!) ".

Tout cela ne lui laissait absolument rien supposer de l'emploi qui serait proposé, mais alors que Lucas allait pénétrer dans le magasin pour y présenter sa candidature, il croisait les doigts pour réussir son entretien et décrocher ce petit job.

La vie d'un étudiant étant financièrement de plus en plus en difficile et ses parents ne pouvant encore plus le soutenir qu'ils ne le faisaient déjà, il s'était décidé à chercher un travail plus ou moins régulier. Pouvoir tout simplement manger correctement et s'assurer un peu d'argent pour les à-cotés de la vie étudiante étaient ses deux motivations principales.

Bien que timide et n'ayant jamais vraiment gagné sa vie en dehors de quelques heures de Baby Sitting quand il était ado, Lucas se savait bien élevé, polis, respectueux et absolument capable d'être à l'heure. La ponctualité n'avait jamais été un problème pour lui qui était souvent le premier à ouvrir la porte de l'amphi à la Fac.

Aussi se présentait-il plein d'espoirs devant la boutique pour soumettre sa candidature. Une fois franchi le seuil et avoir fait tinter une clochette comme il en restait peu en activité dans les commerces modernes, la semi obscurité des lieux l'assailli.

Après un court moment d'adaptation pour sa vision, il découvrit un capharnaüm d'affaires diverses et sans rapport les unes avec les autres. Empilements précaires de produits ménagers, livres, DVD, boites de conserves, bouteilles d'eau, caisses de vins, vieux meubles, un chaos total d'objets entassés et échappant à toutes les règles de sécurité s'offrait à ses yeux. Des piles sans fin et innombrables semblant à deux doigts de s'effondrer, mais figées en un équilibre précaire, encombraient presque tout l'espace.

Lucas était presque à deux doigts de ressortir, apeuré par l'état du magasin, lorsqu'une voix masculine et autoritaire retentit en face de lui :

- Si vous venez pour le boulot, c'est ma femme qui s'occupe de ça! Si vous cherchez quelque chose, dites-le moi et je devrais trouver votre bonheur dans les cinq minutes. Si vous croyez que j'ai du temps à perdre pour des blagues ou un sondage, vous pouvez ressortir!

Lucas déglutit avant de répondre :

- Je viens pour le travail, Monsieur.

- Ah ok, c'est bien, reprit la voix masculine d'un ton plus calme avant de se remettre à crier.

- Germaine, c'est pour toi!

Ces derniers mots avaient presque été hurlés et avaient fait sursauter Lucas, complètement perturbé par la situation. Une voix féminine bien plus douce et calme répondit à l'appel tonitruant.

- Robert j'arrive! Et arrête de faire peur aux gens. Tu fais fuir les clients depuis cinquante ans et tous les jeunes qui se présentent depuis une semaine!

Précédée d'une odeur entêtante qu'il ne reconnaissait pas, une femme sortit d'on ne sait où et vint à la rencontre de Lucas en lui lançant :

- Avancez mon petit, avancez! N'ayez pas peur, personne ne va vous manger ici! Mon époux fait le méchant, mais c'est un gentil qui s'ignore!

Lucas découvrit complètement la fameuse Germaine dans l'instant ; une femme plutôt corpulente et aussi grande que lui, visiblement dotée d'une belle énergie et d'attributs féminins tout aussi affirmés. Malgré les années qui avait défilé sur son corps, elle arrivait à grande vitesse vers lui avec un franc sourire rassurant à son attention.

Une robe-chemise à fleurs lui rappelant celles qu'adoraient porter sa mère, boutonnée de haut en bas sur le devant, descendait à mi-cuisses et la moulait franchement. Serrée, beaucoup trop serrée, Lucas perçut la pression des seins qui tiraient sur le tissu ainsi que celle d'un ventre rebondi réclamant un peu d'espace. Ce n'était pas que la robe lui allait mal, elle était même plutôt jolie et accordée à son teint laiteux, mais on se demandait en voyant Germaine si un mouvement malencontreux n'allait tout simplement pas faire exploser tous les boutons et les transformer en projectiles dangereux projetées à grande vitesse. Bizarrement, l'effet n'était pas comique, mais plutôt sexy... On espérait presque que l'incident se produise!

Cheveux longs et gris, visage ovale, lèvres rondes et encore pulpeuses, poitrine plus que volumineuse, hanches larges, rondeurs très conséquentes sur l'ensemble de son corps, elle l'entoura de ses bras sans lui demander son avis, pressant ses chairs contre les siennes et envahissant ses narines de son parfum entêtant, le marquant olfactivement de sa présence.

Lucas ressentit un trouble plus qu'évident quand il se sentit quasiment aplati contre le ventre et les seins volumineux de la fameuse Germaine. Chacun d'eux s'étala contre sa poittine tels des airbags protecteurs lui donnant l'impression qu'ils pourraient aussi l'étouffer par leur simple présence oppressante. Germaine était sans aucun doute proche des soixante-dix ans, mais lui imposait une féminité toujours assumée qui perturbait Lucas. Elle le fixa de ses yeux d'un bleu assez envoutant tout en marquant un temps d'arrêt et lui déclara à quelques centimètres de son visage :

- Si nous devons travailler ensemble mon petit, on ne va pas faire de chichis entre nous, on se fait la bise!

Les lèvres de Germaine se posèrent immédiatement et d'autorité sur ses deux joues y laissant une trace humide que Lucas n'osa pas sécher de sa main tellement il était pétrifié par un tel comportement.

Lui saisissant le bras, Germaine l'entraîna à sa suite.

- Allez, suis-moi. Je sens que tu vas faire l'affaire et obtenir le boulot, mais je dois quand même en savoir plus sur toi et t'expliquer ce que l'on attend de notre futur employé!

Lucas suivit donc l'imposante matrone sans se poser de questions. En avait-il eu l'opportunité d'ailleurs? Tout en avançant, il fixa aussi son regard sur le popotin conséquent qui ondulait devant lui. Germaine n'était vraiment pas toute jeune, mais il dut reconnaitre qu'elle avait aussi un très beau cul qui bougeait très sensuellement sous ses yeux. Quasi hypnotisé par les deux fesses, Lucas ne vit pas arriver le fameux Robert et faillit avoir une crise cardiaque quand il l'entendit parler à quelques centimètres de lui de sa voix de stentor :

- Tu l'amènes dans l'arrière-boutique pour lui expliquer le topo? Je passerai plus tard voir s'il fait l'affaire et si vous avez trouvé un terrain d'entente!

Lucas voyait le fameux Robert pour la première fois. Lui aussi n'était plus tout jeune et n'impressionnait guère si ce n'était sa voix qui perturbait Lucas pour une raison qu'il n'arrivait pas à comprendre. Plus petit que Germaine d'une bonne dizaine de centimètres, quasiment chauve et doté d'un embonpoint conséquent, le Robert avait tout du petit vieux que l'on s'attendait à voir faire la sieste sur les bancs d'un parc. Pourtant de ce corps et de ce visage sans intérêt s'extirpait un regard étrangement perçant et inquiétant qui fixait Lucas d'un air... gourmand! Oui, gourmand, c'était le bon mot! Lucas avait l'impression que Robert se léchait intérieurement les babines en le contemplant. Il eut un frisson.

Lucas se disait qu'il lui faudrait un certain temps pour accepter de rester seul avec Robert s'il obtenait le job. Ce gars avait quelque chose en lui qui vous mettait mal à l'aise sans que vous ne puissiez comprendre pourquoi... Germaine choisit ce moment pour se retourner et lui offrir un beau sourire.

- Suivez-moi jeune homme, ne faites pas attention à mon Robert! C'est un bon gars, mais il ne sait pas s'arrêter, c'est son problème...

Lucas, persuadé que Robert l'avait clairement vu mater les fesses de sa Germaine, considérablement gêné par cette sensation d'être pris sur le fait, accéléra le pas et suivit d'encore plus près la femme qui le précédait dans la relative pénombre du magasin.

Ils débouchèrent dans une pièce à peine mieux rangée, mais parfaitement éclairée et nettement moins encombrée que la première salle traversée à l'instant. Une sensation de désordre régnait toujours, mais il y avait au moins un peu d'espace libre où respirer sans être oppressé. Un bureau envahi de papiers figurait au centre des lieux, avec pour étrange voisinage un lit d'une place qui était installé contre un des murs. Lucas bloqua un peu son regard sur ce mobilier incongru. Germaine le nota et lui indiqua aussitôt :

- Oui je sais, un lit dans un bureau c'est bizarre, sauf qu'à nos âges, un vieux couple comme nous a besoin de se reposer et rien de mieux qu'une petite sieste pour tenir au boulot. On peut y faire aussi d'autres choses, mais ça, ça ne te regarde pas!

Lucas se demanda s'il avait bien compris ce que Germaine avait voulu dire et lorsqu'il en fut persuadé en observant le sourire coquin qu'elle affichait, il se mit à rougir immédiatement, baissant les yeux vers le sol.

Germaine s'était assise accompagnée du petit rire moqueur qu'elle avait lancé à sa bonne blague et surtout à la réaction de Lucas. Elle lui indiqua une chaise libre sur laquelle il s'installa aussitôt. Elle attaqua gentiment son interrogatoire.

- Tu t'appelles comment mon petit?

- Lucas Madame.

- Bon Lucas, je suppose que tu as vu la pancarte en vitrine et que tu as besoin de gagner un peu d'argent alors je vais aller directement au but.

Germaine le fixait intensément dans les yeux ce qui fit penser à Lucas que sans être d'une beauté incroyable, la fameuse Germaine avait dû être une jeune femme plutôt... charmante dans sa lointaine jeunesse car son regard séduisait encore.

- Comme tu l'as vu, Robert et moi ne sommes plus tout jeunes. On a donc besoin d'un peu d'aide en fin de journée de 18h à 21h du lundi au samedi. Question boulot, c'est très simple. Robert et moi t'apprendrons tout ce que tu dois savoir, mais il s'agira en gros de faire tout ce que l'on ne peut plus faire : attraper des choses sur les étagères du haut où ne voulons plus risquer notre peau. Soulever des objets trop lourds pour nous. Donner un petit coup de main pour ranger et nettoyer tout ce fatras. Tu vois, pas besoin d'avoir fait des grandes études comme tu l'entreprends sans doute! Tu seras payé au salaire minimum légal pour débuter et si tout se passe bien, on t'augmentera généreusement de cinq pour cent par mois sur les six mois à venir. Bien sûr, tu seras déclaré. Hors de question pour nous de risquer une amende ou un contrôle de l'Urssaf à nos âges!

Lucas essayait de comprendre tout ce qui venait de lui être présenté et surtout de faire les calculs pour lesquels sa génération n'était pas préparée. Il chercha machinalement son mobile de sa main droite dans les poches de sa veste quand Germaine interrompit sa quête technologique en lui précisant :

- Lucas, en gros, tu vas gagner plus ou moins 160 Euros net par semaine le premier mois, puis 170 par semaine le deuxième mois, 180 le troisième et ainsi de suite. Je ne te fais pas les calculs à l'Euro près, mais c'est pour te donner une idée. Si tu es sérieux, on te donnera à terme pas loin de 800 Euros par mois pour nous aider trois heures par jour et six jours sur sept. Tu as compris? Ça t'intéresse ou pas?

Le ton de Germaine était devenu plus ferme et autoritaire tout d'un coup, attendant une réponse claire et rapide.

- Euh oui, Madame, parfaitement. J'ai compris, ça m'intéresse beaucoup même et je suis d'accord pour tout ce que vous dites et tout ce que vous attendez de moi. Je commence quand?

Lucas n'en espérait honnêtement pas tant et la somme annoncée mettrait suffisamment de beurre dans sa vie pour la rendre plus agréable. D'autre part, les horaires indiquées lui convenaient parfaitement. Ses cours étaient finis en fin de journée et il serait donc à l'heure sans aucun problème.

- Tu es étudiant, c'est bien ça? Les horaires ne posent pas de problèmes pour tes études?

- Non Madame, mes cours sont finis à ces heures et je pourrais réviser et travailler mes leçons ensuite sans aucun problème, Madame.

Germaine lui sourit et se détendit sur sa chaise, dégageant franchement sa poitrine qu'elle avait masqué de ses bras croisés devant elle, comme pour se libérer d'un poids. Lucas nota que Germaine avait du coup légèrement soulevé ses deux seins pour les laisser retomber nonchalamment, les rendant encore plus imposants et omniprésents à ses yeux.

Un silence s'installa et Lucas se mit à rougir à nouveau en constatant que Germaine le fixait clairement en train de mater ses seins. Lucas s'attendit à une remarque acide, voire à une engueulade assez ferme, mais Germaine le surprit encore.

- Dis-moi mon petit Lucas, tu as une copine... ou un copain peut-être?

- Euh, non pas de copine, Madame. Pas actuellement, je n'ai personne, les études me prennent beaucoup de temps et... Lucas se demandait pourquoi il commençait à lui raconter sa vie alors qu'il aurait du juste s'excuser, mais Germaine l'interrompit à nouveau.

- C'est bien, c'est bien, je savais que tu étais un gamin sérieux. Et aussi très timide, cela se voit tout de suite. Je vais t'aider mon petit Lucas.

Germaine attaquait la phase deux de son plan et se levant, elle vint se positionner presque contre le jeune étudiant.

- Tu crois que je n'ai pas vu que tu regardais mes fesses dans le magasin et mes seins à ce bureau, mon petit?

- Euh non, vous vous trompez Madame! Lucas se mettait à nier et à balbutier comme un enfant, mais Germaine n'en avait cure

- Ce n'est pas grave mon petit, tu sais, c'est même flatteur pour moi à mon âge. Dis-moi, tu as déjà touché beaucoup de nénés? Tu as envie de toucher les miens petit coquin?

Lucas était bouche bée ne sachant que répondre.

- Mais votre mari... bredouillait-il.

- Ne t'inquiète pas mon chou, ne t'inquiète pas. Mais c'est bien, tu es prudent et tu es bien gentil de t'inquiéter mon petit Lucas, mais mon Robert... Comment dire... Si tu savais comme recruter un salarié et faire des papiers ne l'intéresse pas. Il n'est pas près de venir nous déranger, tu vois... Alors mon petit Lucas, mes nichons, tu veux les toucher, tu veux les caresser, tu veux les embrasser ou pas?

Disant cela, Germaine tout en se rapprochant encore avait commencé à déboutonner le haut de sa robe dévoilant peu à peu ce qui était en dessous. À quelques centimètres de ses yeux Lucas découvrait une combinaison couleur peau, gonflée elle aussi par la pression qu'exerçaient les seins de Germaine comme s'ils voulaient s'échapper de leur prison de tissu. Germaine avait bloqué son regard sur Lucas tout en se pressant maintenant contre lui, empêchant tout mouvement de fuite du jeune homme.

Elle se pencha et sans que Lucas ne sente rien venir, saisit ses deux mains et les amena sous l'échancrure de sa robe directement sur le tissu de son sous vêtement. Lucas, le souffle coupé par tant d'audace, sentit la chaleur des deux masses de chair rondes et fermes et le moelleux de ces formes opulentes. Il serra ses doigts instinctivement et perçut la dureté excitante des tétons sur ses paumes de mains. Lucas comprit que Germaine ne portait pas de soutien-gorge!

Non seulement cette femme avait une poitrine plus que conséquente, mais malgré son physique et ses kilos en trop, ses seins tenaient incontestablement le choc sans aucune aide. Lucas prisonnier sous l'étreinte ne savait plus quoi faire les deux mains figées sur elle.

- Tu n'as pas beaucoup d'expérience mon petit, hein?

Sans lui laisser le temps de répondre, Germaine continuait tranquillement et habilement de défaire les boutons de sa robe pour finir par la faire glisser au sol, se dévoilant tout entière face à lui. Elle était toujours debout, Lucas assis sur sa chaise, jambes écartés et Germaine se collant maintenant contre ses cuisses. À peine vêtue de sa jolie combinaison et de ses chaussures, elle semblait s'amuser de la situation.

Tout en regardant toujours Lucas dans les yeux, elle se mit alors à onduler lentement et saisit les deux bretelles de ce dernier vêtement. Elle darda une langue rose et humide vers lui en souriant par simple provocation et fit glisser ces derniers remparts protecteurs de ses épaules puis les lâcha. La gravité fit le reste et dévoila sans honte son corps nue au jeune homme qui enleva ses mains de surprise quand il sentit le tissu glisser.

Lucas était pétrifié, convaincu qu'il allait passer à la casserole! Ni plus ni moins! Il aurait dû se lever et partir en courant, mais du coup, fini la promesse de boulot et de tranquillité matérielle...

Se faire baiser par la patronne... ou rien, en résumé, là était son choix. Tout en se dégoutant pour son absence de courage, Lucas reconnaissait aussi que quelque chose d'inconnu en lui, une sensation qu'il ne comprenait pas, lui criait "Mais baise-la cette salope qui ne demande que ça, baise-la!!!". Lucas pouvait toujours s'enfuir, mais chose incroyable, il commençait aussi à bander!

Ni soutif, ni culotte, sa future patronne était bien à poil devant lui. Elle reprit ses mains et les reposa grandes ouvertes sur ses deux seins dont les bouts devenus très durs émergeaient d'aréoles d'un rouge carmin. La taille de sa poitrine, la forme de ses seins telles deux poiures géantes attendant d'être savourées, la douceur de la peau autour des mamelons, leur dureté, tout cela commençait sérieusement à enflammer les sens de Lucas qui ne pensait plus du tout à quitter les lieux.

Germaine l'incita à promener ses doigts autour de ses seins, lui indiquant les mouvements qu'elle attendait de son nouvel employé.

- Hum... Oui, c'est bien, comme ça. Hum... Voilà. Presse-les doucement, soulève-les, caresse-les partout. Hum, tu es doué mon petit murmura Germaine, continue, continue comme ça.

Lucas ne savait plus ce qu'il lui arrivait. Peloter les seins d'une femme aussi âgée aurait dû le dégoutter, mais non. Au contraire, cette situation le retenait prisonnier et il sentait son sexe tendu comme jamais il ne l'avait été. Il entrouvrit les lèvres, cherchant son souffle. La séance de pelotage s'éternisait pour son plus grand plaisir.

Germaine qui l'observait attentivement enleva sa main de son sein gauche et présenta le mamelon endurci à la bouche du jeune homme.

- Lèche-moi, mords-le gentiment, lui ordonna-t-elle.

Lucas ne se fit pas prier et accueillit le bouton pas si petit que ça entre ses lèvres avant de le mordiller et de glisser sa langue sur cette peau toujours douce et peu ridée. Ses mains se perdaient presque dans le volume sensuel de la poitrine qui l'entourait presque totalement, l'empêchant presque de respirer.