Plaisirs d'Inès - 01 (Exhibition)

Informations sur Récit
Inès est encoragée à l'exhibition par son père puis son mari.
5.4k mots
4.67
4.9k
2

Partie 1 de la série de 5 pièces

Actualisé 03/24/2024
Créé 01/27/2024
Partagez cette Récit

Taille de Police

Taille de Police par Défaut

Espacement des Polices

Espacement des Polices par Défaut

Face de Police

Face de Police par Défaut

Thème de Lecture

Thème par Défaut (Blanc)
Tu dois Connectez-Vous ou Inscrivez-Vous pour enregistrer votre personnalisation dans votre profil Literotica.
BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

Plaisirs d'Inès - 1 (exhibition)

-----------

Ce texte étant une fiction, les scènes décrites sont le fruit de l'imagination. Toute ressemblance avec des personnes existantes serait purement fortuite. Les personnages présentés sont tous majeurs.

-----------

Inès se réveille au côté de son mari, Alex, qui dort encore profondément dans ce grand lit d'une suite réservée à l'hôtel pour leur nuit de noce. Peu avant ses 20 ans, cette nuit est sa première véritable expérience sexuelle avec un homme. Elle avait perdu sa virginité à 18 ans, alors qu'elle se caressait dans son lit. Inès avait voulu connaître l'expérience d'une pénétration sans oser s'offrir à un homme. Cela lui aurait pourtant été facile avec tant d'atouts.

De longues jambes, une minceur avec des courbes marquées aux bons endroits, des yeux couleur noisette et un regard coquin chez cette mignonne brunette ne pouvaient qu'attirer les hommes. Cependant sa timidité naturelle et surtout son éducation n'avaient pas rendu sa conquête possible.

Son père, militaire, avait conduit sa famille dans plusieurs pays d'Afrique où il participait à des opérations de sécurisation de zones en conflits ethniques. Considérant que les écoles locales n'apportaient pas le niveau souhaité, sa mère avait fait son enseignement à la maison. Son père, voulant protéger sa fille unique, l'avait mise en garde contre les hommes du lieu, qui, selon lui, ne voyaient la conquête d'une femme blanche que comme un trophée à arborer. Inès, admirative devant ce père au caractère bien trempé, ne s'était pas rebellée et avait vécu son adolescence sans la moindre crise, cloîtrée comme une nonne.

Évidemment, ses hormones avaient fini par la travailler. Elle s'était enfin permise, très tardivement, de tenter quelques caresses sur son clitoris. Son excitation l'avait alors surprise, son corps se mettant à trembler. Inès, innocente, ne s'était pas rendue compte qu'elle était aux limites de l'orgasme. Comme c'était bon, elle avait continué chaque soir, avant de s'endormir et de se laisser entraîner dans quelques rêves érotiques.

Un jour, alors qu'elle utilisait le PC portable de son père pour consulter sa messagerie, elle était tombée accidentellement sur une courte vidéo pornographique, qui l'avait profondément choquée mais aussi excitée, sans qu'elle sache bien pourquoi. Cette séquence, d'une grande banalité, montrait un couple faisant l'amour. On y voyait bien le sexe de l'homme pénétrant le vagin de sa compagne, alors que celle-ci y prenait visiblement beaucoup de plaisir. Alors Inès avait voulu connaître cette jouissance sans être obligée de rechercher un homme, aussi, le soir même, avait-elle subtilisé une longue carotte dans la cuisine pour l'emporter dans sa chambre. Elle avait alors tenté cette pénétration et y avait pris tant de plaisir qu'un mouvement trop violent l'avait déflorée. Voyant sur elle les conséquences, Inès s'était brutalement arrêtée, n'en gardant que le souvenir douloureux, sans savoir que la suite aurait pu lui donner bien du plaisir.

Avant son mariage, Inès, ne souhaitant pas se retrouver enceinte à son jeune âge, s'était faite prescrire la pilule. Sans inquiétude, elle aurait dû bien profiter de sa nuit de noce, mais elle était restée un peu sur sa faim.

Alex l'avait bien caressée et sa langue sur les lèvres de sa chatte l'avait faite vibrer. Lorsqu'elle s'était sentie envahie par des frissons plus forts que ceux qu'elle avait connu pendant ses plaisirs solitaires, Inès s'était bloquée avec l'impression de faire quelque chose de mal. Puis, lorsque son mari l'avait pénétrée, elle avait enfin apprécié la caresse interne de son sexe par ce membre bien dur et les mouvements de coït, s'amplifiant en force et en vitesse, avaient fini par lui faire un bien fou, mais cet orgasme, qu'elle n'avait jamais connu, n'avait pu être atteint, car son mari avait joui très vite dans un mouvement de retrait. Inès ne savait pas qu'elle venait de se marier à un éjaculateur précoce. Elle s'était alors caressée le clitoris avec son index qui venait chercher un peu de sperme sur sa toison engluée, alors que son mari était déjà plongé dans un profond sommeil.

Inès aurait pu être frustrée dans sa relation avec un tel mari, mais elle avait pour Alex non pas un amour passionné mais une totale reconnaissance. En effet, il y un an, son père avait pris sa retraite et ils étaient rentrés en métropole. Elle avait été bientôt privée de ses parents par un accident de voiture. En plus de son chagrin, Inès s'était sentie désemparée devant les difficultés à venir, alors qu'elle était encore très dépendante d'eux. Alex, ami de son père, s'était proposé pour l'aider. Il avait géré toutes les démarches administratives qui lui paraissaient insurmontables. Pendant toute cette période difficile, cet homme, dans une cinquantaine bien avancée, avait été un soutien total pour elle et d'une extrême gentillesse. Elle avait eu l'impression de retrouver ce père qui lui manquait tant. Inès s'était plusieurs fois serrée dans ses bras, comme elle l'aurait fait avec son père, puis elle avait accepté quelques petits baisers pour enfin offrir sa bouche. Elle avait apprécié ses caresses jusqu'à le laisser découvrir ses seins et en sucer les pointes.

Ils avaient bien vite voulu se marier, alors même qu'ils n'avaient pas encore vraiment fait l'amour. Pour Alex, convoler avec une si belle jeunette était une chance à ne pas laisser passer et, pour Inès, c'était un avenir assuré avec un mari attentionné, bien qu'il ne soit pas l'Apollon qu'elle aurait pu désirer. Dans ces circonstances, le mariage s'était tenu dans la plus stricte intimité et le voyage de noces avait été remis à plus tard.

Quand Alex se réveille, il est émerveillé par sa jeune épouse dont le corps, complètement découvert par les draps repoussés, l'excite d'autant plus qu'il découvre sa femme se caressant. Il se penche alors sur elle et, repoussant sa main, se met à passer sa langue sur la vulve couverte de son sperme. Inès le repousse en disant :

« Non ! Arrête ! C'est dégoûtant ! »

« Laisse-toi faire, ma chérie. Je t'aime », répond-il en continuant ses caresses buccales.

Inès ne peut résister car cela lui fait beaucoup de bien, beaucoup plus que son doigt. Lorsqu'il se place mieux au-dessus d'elle pour pousser sa langue entre les lèvres vulvaires, Inès ose prendre en bouche le sexe qui pend au-dessus de son visage. Elle a l'impression de sucer un gros sucre d'orge. Ce n'est pas désagréable et le liquide pré-séminal qui coule un peu sur sa langue ne lui déplaît pas.

Au bout d'un moment, Alex, qui n'ose pas éjaculer dans la bouche de sa femme si novice, se recule et arrête ainsi ses succions. Il se redresse et s'assied à côté d'elle. Il ne veut que la regarder pour se délecter de la beauté de cette si jeune femme. Alors, Inès, qui se sent un peu frustrée, recommence ses caresses sur son clitoris, puis ses lèvres. Elle finit, tout en écartant plus largement ses cuisses, par faire entrer un doigt puis deux dans son vagin. Elle les fait coulisser lentement en elle. Inès est si excitée, si mouillée qu'un très excitant bruit de chuintement accompagne chaque mouvement. Son mari ne quitte pas des yeux l'entre-cuisses d'Inès, tout en se branlant ouvertement. C'est alors le début d'échanges érotiques entre eux :

Inès : « On dirait que ça te plaît de me regarder, n'est-ce pas? »

Alex : « C'est certain », puis ajoutant, moqueur , « mais t'exhiber devant moi paraît t'exciter beaucoup, semble-t-il? Serais-tu un peu exhibitionniste?»

Inès : « Je ne sais pas ... mais il y a eu ... quelque chose comme ça ... »

Alex : « Oui, raconte-moi ! »

Inès : « C'est ... c'est ... délicat ... »

Alex : « Lance-toi ! Tu peux tout dire à un mari qui t'aime. »

Inès : « Bon ... mais promet-moi de ne pas me juger. »

Alex : « C'est promis, mon amour. »

Inès : « C'était après mes 18 ans. J'étais dans le cabinet de toilette et je sortais de ma douche. J'allais m'essuyer avant de me faire belle, mais, en me voyant nue et toute mouillée, dans la glace de la salle de bain, j'ai eu envie de me caresser et de me regarder faire. Alors, j'ai posé un pied sur le bord du lavabo. Dans cette position, tournée face à la glace, ma chatte était bien ouverte, bien visible. C'était comme si on ne voyait que ça. Je me suis fouillée avec mes doigts. Je me regardais faire ... et ... oh, non, je n'ose pas ... »

Alex : « Continue ! C'est si excitant ! »

Inès : « Tout à coup, la porte que j'avais oublié de fermer s'est ouverte. C'était mon père qui ne me savait pas là. Il ne portait qu'un peignoir de bain, même pas fermé. De stupeur, je me suis bloquée, comme paralysée, sans même retirer mes doigts de mon sexe. Mon père n'a pas dit un mot, mais j'ai vu son membre se dresser d'un coup ... »

Alex : « Qu'as-tu fait alors?

Inès : « Je suis restée face à la glace et mes doigts ont repris leurs mouvements, comme avant. C'était comme si ma main avait décidé elle-même, en dehors de ma volonté. Dans la glace, je voyais mon père derrière-moi, un peu décalé sur le côté. Il s'est mis à se branler. L'image devant mes yeux était incroyable : mes doigts coulissant dans mon vagin ouvert et sa main astiquant violemment son gros membre tout dur ! J'ai pris un plaisir très fort et je n'ai pas pu retenir un cri. Je l'ai alors vu jouir dans sa main, un peu de sperme tombant même sur le tapis de bain. J'ai retiré mes doigts de ma chatte mais je suis restée avec mon pied sur le bord du lavabo, dans cette position obscène, incapable de bouger et ... il s'est approché ... »

Alex : « Que ... que ... qu'a-t-il fait? »

Inès : « Oh ! ... Tu veux vraiment savoir? »

Alex : « Oui, oui ! Dis-moi ! »

Inès : « Mon père a plaqué sa main pleine de sperme sur mon pubis, l'essuyant complètement sur moi à cet endroit. Puis il m'a embrassée dans le cou et s'est enfui comme un voleur. »

Alex : « Comment as-tu réagi? »

Inès : « Je suis restée un bon moment sans bouger, regardant dans la glace ma entre tout souillé. J'ai alors passé mon index dans la flaque de sperme qui recouvrait mon pubis, puis j'ai caressé mon clitoris avec mon doigt. Avec ce lubrifiant naturel, c'était encore meilleur ! Puis j'ai fait glisser mon index un peu plus bas pour caresser mes lèvres. C'était si bon que je suis revenue plusieurs fois rechercher du sperme sur mon pubis pour l'étaler avec mon doigt sur l'extérieur des lèvres. Tout a fini par se retrouver sur ma chatte. La regarder ainsi complètement recouverte m'a fait trembler d'excitation. Oh, j'ai honte de t'avouer ça ! Je suis une mauvaise fille, n'est-ce pas? »

Alex : « Mais non, ma chérie, tu étais juste une jeune femme qui découvrait le plaisir. Il n'y a rien de mal. Regarde comme mon sexe est tendu dans ma main. Ton récit m'excite. Qu'as-tu fait ensuite? »

Inès : « Oh, plus grand-chose. Je me suis vite arrêtée... En fait, non, j'ai juste un peu continué... Tu veux savoir? »

Alex : « Évidemment ! »

Inès : « Du bout de mon index, j'ai de nouveau caressé mon bouton. Je laissais par moments mon doigt redescendre sur ma chatte pour reprendre un peu de ce lubrifiant si excitant. Dans ce mouvement, mon index séparait naturellement mes lèvres et un peu de sperme venait couler entre elles, remplissant leur sillon. En faisant ça plusieurs fois, j'ai senti que ce passage superficiel entre mes lèves engluées me faisait encore plus de bien que la caresse de mon clitoris. Alors mon index n'est plus resté qu'à cet endroit avec de lents mouvements de plus en plus appuyés, jusqu'au moment où je l'ai replié, l'enfonçant dans ma chatte... »

Alex : « N'étais-ce pas dangereux pour toi? »

Inès : « Bien sûr ! C'était après que je me sois déflorée avec une carotte ! De plus, je n'avais même pas pensé à la date, au moment dans mon cycle. En fait, c'était au début d'une période dangereuse. Alors que je commençais à faire bouger mon doigt en moi, je me suis rendue compte du risque que je prenais inconsciemment. Je me suis tout de suite arrêtée mais j'ai été prise de tremblements dans tout le corps. J'ai eu honte parce que ce n'était pas une réaction de peur mais de plaisir. J'ai dû attendre d'avoir retrouvé mon calme avant de passer un gant de toilette entre mes jambes pour essuyer le plus gros, superficiellement. J'aurais dû faire au moins une toilette intime, interne, mais je n'ai pu m'y résoudre. Je ne pouvais pas détruire en moi le cadeau de mon papa chéri. J'ai été très inquiète dans les semaines suivantes mais mes règles sont heureusement revenues. »

Alex : « Et bien, dis-donc ! »

Inès : « Je te fais honte, n'est-ce pas? »

Alex : « Pas du tout ! Tu n'es peut-être qu'une adorable cochonne? En tous cas, je sais maintenant d'où te vient ta tendance exhibitionniste ! J'ai vu aussi que le risque peut t'apporter beaucoup de plaisir. Tu pourras peut-être faire d'autres expériences dans ces deux domaines? »

Inès : « Pour ce qui est des risques, sûrement pas ! J'aurais trop peur ! L'exhibition... je ne sais pas. Je crois que j'aurais honte. Il faudrait que personne ne puisse me reconnaître. Bon, alors, peut-être ... ou peut-être pas? On verra. »

Les jours passent mais paraissent longs à Inès. Alex, PDG d'une grande banque est très pris par ses affaires. Lorsqu'il rentre le soir, il est un peu fatigué et, au lit, la situation est encore moins bonne qu'au début. Parfois l'érection n'est pas au rendez-vous et, quand c'est le cas, une éjaculation trop rapide gâche le peu de plaisir qu'Inès attendait. Cependant le cunnilingus qu'Alex maîtrise bien amène Inès proche de la jouissance à chaque fois. La frustration est moindre mais bien réelle.

De plus, pendant les longues journées de solitude d'Inès, les quelques caresses qu'elle s'offre chaque jour ne suffisent ni à atteindre le plaisir ni à occuper ses journées, aussi Inès dit-elle à son mari qu'elle aimerait travailler. Alex lui propose immédiatement un poste d'hôtesse d'accueil au siège de sa banque.

Ce soir, veille de la première journée de travail d'Inès, Alex, rentre du bureau avec un paquet contenant un ensemble d'un grand couturier. Il la veut magnifique. Inès lui fait l'essayage attendu. La jupe, bleu marine, descend jusqu'aux genoux, mais une fente bien haute sur le côté dévoile une jambe presque jusqu'à la limite d'un porte-jarretelles. Les jambes gaînées de bas sont rehaussées par des chaussures à talons hauts. Une veste très cintrée s'ouvre sur un fin chemisier blanc, à la limite de la transparence. Alex lui conseille de ne pas porter de soutien-gorge, car elle n'en a pas besoin, ce qui fait dire à Inès :

« N'est-ce pas un peu trop osé pour l'hôtesse d'accueil d'une banque? »

« Mes clients s'attendent à voir une belle femme très chic, très classe, c'est vrai ... mais la plupart sont des hommes, donc ils ne seront que trop contents de te voir si excitante. Et puis, n'aimes-tu pas t'exhiber un peu? »

Inès en convient mais lui rappelle que tout doit rester bien raisonnable.

Dans les jours qui suivent, Alex questionne sa femme à propos de son nouveau travail. Elle apprécie bien car elle accueille beaucoup de clients et en accompagne certains, importants, jusqu'au bureau de dirigeants, voire même dans celui de son président de mari.

« Je vois que ce travail te plaît », lui dit Alex, « mais as-tu pu ... te montrer un peu, ma petite exhibitionniste? »

« Comme tu y vas ! », répond Inès, « Il y a bien eu quelques regards dans mon décolleté, mais rien de plus. J'ai bien vu que certains devaient se demander si je portais ou non un soutien-gorge, mais la veste cachait un peu trop pour qu'ils puissent savoir. »

« N'as-tu pas été excitée, ma chérie? », dit Alex, d'où la réponse de sa femme :

« J'ai bien aimé les regards sur moi, mais c'est tout ... enfin, sauf quand ... »

« Raconte-moi », demande son mari, très intéressé.

Inès se lance dans son récit :

« Hier, en fin de matinée, un homme, très playboy, s'est présenté à l'accueil. Il avait un rendez-vous dans l'après-midi et voulait savoir s'il pouvait le décaler d'une heure. Quand je me suis penchée pour regarder l'agenda sur l'écran, ma veste s'est accrochée dans le coin d'un tiroir que j'avais laissé ouvert. Cela a découvert complètement mon chemisier et j'ai bien vu le regard de l'homme qui est resté rivé à cet endroit pendant ma recherche. Lorsqu'il est revenu l'après-midi pour son nouveau rendez-vous, dès qu'il a passé la porte du hall, j'ai laissé ma veste ouverte et j'ai déboutonné deux boutons de mon chemisier. Te rends-tu compte de ce que j'ai fait volontairement? J'ai honte de me comporter comme une cochonne ... surtout en plein travail, dans ta banque ... mais c'était plus fort que moi ! »

« Cela pouvait passer pour quelque chose d'accidentel. Tu n'as rien fait de mal », la conforte Alex.

Inès poursuit alors :

« Lorsque l'homme s'est présenté de nouveau, j'ai bien vu où allait son regard, d'autant plus que ma veste n'était pas bien fermée. J'ai tenu à l'accompagner jusqu'au bureau de son rendez-vous. Dans l'ascenseur, nous nous sommes retrouvés seuls, alors j'ai fait tomber le stylo qui était dans la poche de ma veste et me suis baissée pour le ramasser, en restant jambes tendues et pliant complètement le buste. Dans cette position, il est certain qu'il pouvait voir mes seins nus jusqu'aux pointes. J'ai instantanément mouillé ma petite culotte, d'autant plus que, lorsque qu'il m'a remerciée pour l'avoir si bien guidée, j'ai vu la grosse bosse qui déformait son pantalon. C'est tout ce qui s'est passé. »

Puis, après un moment d'hésitation, elle ajoute :

« En fait, ça ne s'est pas arrêté là, car il est revenu aujourd'hui pour un autre rendez-vous. Compte tenu de ce qui s'était passé la veille, j'ai piqué un fard dès qu'il s'est présenté, alors que j'étais cette fois habillée comme il convient, avec mon chemisier bien boutonné et couvert par ma veste fermée. Il m'a demandé de l'accompagner et m'a tenu la main. J'ai été surprise lorsqu'il a pris la mienne et m'a entraînée dans le couloir. C'était lui qui me guidait. C'était me monde à l'envers ! Au lieu d'aller vers l'ascenseur, c'est vers les toilettes qu'il m'a guidée. Nous sommes entrés du côté des femmes, peut-être parce que moins nombreuses donc pour avoir moins de risques d'être dérangés ... »

« Tu m'intrigues ! Qu'a-t-il fait? », l'interrompt son mari.

« Voilà », poursuit-elle, « il m'a demandé de soulever ma robe jusqu'à la taille. J'aurais dû refuser mais je l'ai fait, lui montrant ainsi ma petite culotte qui s'est tout de suite trempée. Puis il m'a demandé de la retirer. Comme je ne le faisais pas, j'ai vu sa main se tendre vers moi, alors j'ai pris peur et lui ai obéis. Je lui ai même tendu ma culotte qu'il a prise et mise dans sa poche. Je ne sais pas pourquoi j'ai fait ça. C'était idiot ! Pour lui cela a dû être un signal montrant que j'avais envie de plus. Il a alors sorti son smartphone et a pris des photos au-dessous de ma taille. J'étais presque contente qu'il cadre comme ça. J'ai instantanément pensé que ce cadrage préservait mon anonymat, sans penser à l'érotisme de ces photos. Ce ne devait pas être son cas, car il m'a demandé de m'asseoir sur la cuvette des WC et d'écarter mes jambes au maximum. J'en ai honte maintenant, mais, sur le moment, j'ai obéi sans réfléchir. Il s'est baissé et s'est placé entre mes genoux pour prendre des photos de tout près. Il m'a même demandé, pour prendre encore d'autres clichés en gros plan, d'écarter les lèvres de ma chatte avec mes doigts. Encore une fois, j'ai obéi. Il était si près que j'ai eu peur qu'il me touche, car je n'aurais pas su comment réagir. J'ai été sauvée par un bruit de talons hauts sur le sol du couloir. Je me suis relevée, laissant retomber ma jupe, et nous sommes précipitamment sortis avant que la femme n'arrive. Il s'est précipité vers l'ascenseur et il ne s'est rien passé de plus. »

« Ah, bon? », lui dit Alex.

12