Les malheurs de Clotilde Ch. 11

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Emma tout en ouvrant encore plus grand ses yeux pourtant exorbités, pousse un hurlement plus fort, étouffé par le bâillon, qui ravit son père. Vierge et comptant le rester encore longtemps, Emma ne prend pas la pilule. Elle sait les risques qu'elle encoure si il jouit dans son ventre. Emma ne veut déjà pas être enceinte, mais enceinte d'un viol perpétré par son propre père, elle n'y survivra pas.

Quelques instants plus tard, il met sa menace à exécution.

- Oh putain ! Oh putain !

L'instant d'après Jeff pousse un grand cri de plaisir.

- Prends ça salope ! Je te remplis, au putain, je te remplis!

En effet le géniteur d'Emma se déverse abondamment dans le ventre de son enfant. A dix-huit ans, la jeune fille reçoit son premier sperme. Une fois vidé, il s'écroule sur le corps de sa fille. Encore dur en elle. Alors il ne se retire pas. La jeune fille détruite, traumatisée, cherche à reprendre ses esprits. Pas facile avec une bite en soi, surtout si elle n'est pas désirée et que c'est celle de son géniteur. Il reste quelques instants immobile, avant de reprendre ses coups de reins, faisant de nouveau hurler Emma.

Moi :

Je ne peux pas vous dire combien de temps ils m'ont violée, tous les trois, mais cela a duré plusieurs heures. Je ne sais pas si je me suis endormie, ou si j'ai sombré dans l'inconscience. En tout cas, je sais comment je me réveille. Quand Greg lâche le frein de la poulie qui tient la chaîne me tenant droite. Tirée vers le bas par le poids, pourtant léger, de mon corps. Je m'éclate comme une merde sur le sol. La douleur me réveille. Ils sont tous les trois autour de moi. Mes violeurs du premier jour. Greg, Jérôme et Meyer.

- C'est l'heure de ton petit-déjeuner, la pute.

« La pute », je m'habitue à mon nouveau prénom. J'ouvre la bouche. Greg passe le premier, son urine ne tarde pas à jaillir. Une fois qu'il a fini, je le suce, jusque au bout. Puis je fais pareil avec les deux autres.

Une fois tous passer, Greg remet la chaîne en tension. Seul le bout de mes orteils touche le sol. Mais au lieu de me prendre comme je m'y attends, ils sortent. Je ne reste pas seule longtemps. Environs quinze minutes plus tard, ils reviennent. J'agrandis les yeux d'épouvante. D'abord Greg et Jérôme tiennent une cravache dans les mains. Mais le pire, une quinzaine d'hommes sont avec eux. Ça ne fait aucun doute, tous sont là pour moi. Je vais dérouiller. Greg s'approche, me caresse la joue.

- La pute, tu vas connaître ton premier gang-bang !

Je ne connais pas ce mot « gang-bang ». Mais je ne me fais aucun doute sur ce que c'est. Un viol collectif. Tous vont me prendre, alors j'ai peur pour mes orifices déjà vraiment malmené par tous ceux qui m'ont violée jusque ici.

Greg se met devant moi, Jérôme derrière moi. Alors la punition peut commencer. Ils me cravachent le corps. L'un à la suite de l'autre. Frappant surtout mes fesses, le creux de mes reins, mon ventre, mon sexe. Sur le devant, mais aussi entre les cuisses. Je hurlent comme une folle, me débat, tourne sur moi. Mais ils frappent méchamment. Faisant estafilade sur estafilade à mon corps parfait, faisant éclater ma peau si douce... Mais s'arrêtant juste avant que cela saigne. Il ne faudrait pas non plus m'abîmer durablement. Cette fois, quand je m'évanouis, ils me réveillent en badigeonnant mes blessures de vinaigre. Je hurle. Ils reprenne alors le cours de leurs coups de cravaches. Ne s'arrêtant que lorsque mon corps est couvert des épaules aux pieds de traits boursouflés. Finalement ils se sont lâchés, pour mon plus grand malheur, dépassant la limite qu'ils s'étaient fixé.

La femme et les filles de Greg sont là. Elles sucent et branlent les spectateurs durant tout le spectacle de mon cravachage. Puis quand ils arrêtent enfin, elles vont sucer Jérôme, Meyer et Greg. Je remarque que elles aussi ont un collier de chien autour du cou, mais que surtout, comme moi, elles ne se déplace seulement qu'à quatre pattes. Mais déjà le premier de mes nouveaux violeur arrive. Lui est nu, je peux voir un sexe dur de taille normale. Il se colle contre moi, me remonte la jambe droite. Il me viole comme un lapin. Le second, se colle contre mon ventre, il me baise comme ça, m'écartant simplement les jambes pour pouvoir fourrer son sexe dans mon vagin. Puis un suivant, en pantalon et sexe à l'air arrive. Lui aussi me viole de la même façon et m'enfile aussi comme un lapin. Sans doute est-ce le spectacle que je leurs ai donner, en dansant sous la cravache, qui a mis le feu dans le sang des mâles y assistant ? En tout cas, lui non plus ne dure pas longtemps en moi. Vidant ses burettes en grognant.

Il se reboutonne en grognant, car son pantalon est plein du sperme qui sort de mon sexe. Greg, rigolant et violant en levrette, la plus jeune de ses filles, lui dit de s'approcher et que la jeune violée par lui va le lui dégraisser en le nettoyant de sa langue. Mon violeur ne se le fait pas répéter deux fois. Ensuite, Meyer me détache. Mes jambes flageolantes et faible ne me tiennent pas. Je m'écroule au sol, un autre spectateur se précipite alors sur moi. Pas pour m'aider, non, juste pour me violer. A peine m'a-t-il remplit, qu'un autre amateur est déjà à cheval sur moi. Je dois prendre des positions moins banales que celle du missionnaire. Lui s'agenouille derrière moi, enfin de contempler mon dos massacrer par le cuir, zébré de traces rouges, violettes, profondes, certaines ouvertes comme mon sexe et saignant.

La main d'un des violeurs suivant, réveille mes blessures, en me griffant. Tout en marmonnant et protestant que :«  Tu es une salope qui ne remue pas assez du cul quand on la saute. ».

La chair travaillée par les ongles long et aigus, je remue enfin comme il le souhaite, en sanglotant et hurlant de douleur. D'autres suivent, inépuisable, sans fin. Me défonçant uniquement le ventre. On me détache enfin, mais le flots de pénis qui pénètre ma vulve est sans fin. D'autres hommes sont arrivés, ils sont au moins trente autour de moi. Je suis prise dans toute les positions possible, souvent en levrette, c'est comme cela qu'ils vont le plus loin, me font le plus mal. Ils dégorgent des litres de spermes dans mon utérus. Même si certains ont éjaculés sur mon corps, ou pire, pour m'humilier, sur mon visage.

Un autre est plus exigeant encore. Il veut et me fait m'empaler sur son très long sexe. Couché sous moi, il se laisse faire. Je dois alors m'accroupir alors au-dessus du braquemart, dressé comme un mat. Je le guide de la main, afin que la grosse tête cramoisie du pénis glisse dans mon sexe. Dieu merci, mon ventre à été tant arrosé, qu'il pénètre mon vagin comme du beurre. Pour moi, le frottement dans mon sexe est moins irritant. Mais mon conduit étant trop lubrifié par la semence de mes trop nombreux violeurs, le frottement est moins fort dans mon sexe pourtant encore fort serré. Et mon violeur, comme ses successeurs, s'attardent. Sauf bien entendu, ceux que cela excite de forniquer dans le sperme d'inconnus. Après lui, beaucoup d'autres m'obligent à m'empaler sur eux. Si bien que je dois tout faire. Et les gestes de l'amour, ou plutôt dans mon cas, du viol me coûtent. Car une crampe serpente dans un mollet, tandis que la fatigue rend les flexions rend rythmées de mes cuisses difficiles. Une épaisse sueur mélangée au sperme, colle à ma peau. Des gouttes coulent de mon front, le long de mon nez, se mélangent à mes larmes, et se répandent sur la poitrine imberbe de ma monture mâle actuel. Il dure donc une éternité dans mon sexe, m'irritant atrocement. Je n'en peux plus, ma chatte me brûle, comment autant d'hommes peuvent prendre du plaisir à me torturer ???

Quand l'amateur de sport équestre à lâcher sa purée, la foule de violeurs m'est entièrement passée dessus. Mais les premiers reviennent à la charge, en voulant plus, beaucoup plus, toujours plus. Les deux suivants entreprennent de me prendre en sandwich. Je dois enjamber un type, une grosse queue s'enfonce alors dans mon vagin gluant jusque au joyeuses. Je sens et cela me désespère, un second nœud tâtonner dans la raie de mon cul, trouver ma rosette pas encore utiliser jusque-là, la forcer et s'enfoncer dans mes reins avec un élan implacable. Je gémit, je pleure encore plus fort, je hurle, je me plains, tandis que au travers des parois fine de mes muqueuses génitales et culière, les deux pénis se frottent, comme si ils se faisaient l'amour.

Un troisième trouve le moyen le plus pratique de me faire taire. Comme l'horrible douleur ouvre et tord mes lèvres, il presse au centre de celles-ci, en guise de bâillon, un gros pénis court mais de calibre imposant. Bon gré, mal gré, je dois avaler l'inconfortable sucette, et laisser traiter ma bouche, de la même façon que les deux autres s'occupent de mon vagin ou de mon anus. Avec violence et brutalité. Je suis prise par les trois en même temps, qui me défoncent, me massacrent de leurs engin devenus armes, non de destruction massive, mais de destruction massivement sexuel.

A trois, ils me possèdent ainsi, longuement, durement. Je dois subir successivement, leurs trois orgasmes, avalant leurs trois spermes, par les trois trous. Sans aucune pause, ils se succéderont en moi. D'abord par trois, puis par quatre, quand une bite de plus viendra se ficher, en plus de celle occupant déjà les lieux, soit dans mon vagin, soit dans mon anus. A des moment, il y en aura six, en branlant alors, deux de plus, un pour chaque main. Mais même après ça, je n'en ai pas fini. Mon viol à répétition dure toute la nuit, et tout le lendemain, jusque à tard le matin du surlendemain. Ces monstres se reposent à tour de rôle, pas moi. Je finis par tomber dans un état de total inconscience, qui ressemble aussi bien au coma qu'au sommeil. Par moment, je reviens à moi, avec toujours plusieurs sexes dans mon corps, pour replonger quelques instants plus tard dans le néant. Je ne suis plus vivante, je ne suis qu'une poupée gonflable sans conscience...

Quand j'ouvre, enfin, vraiment les yeux, je suis toujours étendue, sur le sol de la vaste salle. Toujours nue. Mon corps ruisselant de plusieurs centaines ou plus de sperme différents. Mes fesses baignant dans la semence masculine. J'en ai sur les seins, le ventre, le visage et même dans les cheveux. Je me sens sale, moche, mais je n'ai même plus le courage d'avoir honte. Sans parler de la douleur affreuse, qui pulse de mon anus, de mon vagin, de tout mon corps. Malgré mon épuisement, je reconnais le visage de Greg qui se penche sur moi. Un sourire affreux, empreint de cynisme se peint sur son visage. C'est lui qui m'a vendue, livrée, prostituée a tous ces hommes.

- J'espère que tu as apprécié ta punition numéro deux avec la cravache, et la punition numéro trois avec le gang bang. En route pour la punition quatre, la pute.

Je pleure, soûle de désespoir, me larmes se joignent, sur mon visage, aux spermes qu'elles délaient. Je n'aurais donc aucun répit, jamais de repos ?

Sans me nettoyer, mais avec des gants de plastique aux mains, Meyer et Jérôme apparaissent à ma vue, et ils me soulèvent de terre, en me tenant par les épaules. Avec horreur, je vois que la foule de mes violeurs est encore là. Mais vidés, ils n'ont pour l'instant aucune envie de viol sur moi. Greg et ses deux compagnons d'armes, me guident alors au coin gauche de l'immense pièce. Quatre arceau sortent de terre. Ils me font agenouiller, en passe un à chacune de mes chevilles. Puis je dois me mettre à quatre-pattes, mes poignets sont alors passé dans les arceaux. Je me retrouve donc prisonnières, en position de levrettes, sans possibilité de bouger. Me demandant qu'elle sera ma prochaine punition. Une chose est certaine, vu ma position, elle sera sexuelle.

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3 Commentaires
liviolheureliviolheureil y a plus d’un anAuteur

Merci pour vos commentaires. Darkangel73, je ne vais pas quand même te spolier le chapitre suivant ? Mais il ne devrait pas tarder à sortir, cela fais quelques jours que je l'ai envoyé.

Darkangel73Darkangel73il y a plus d’un an

Toujours aussi torride ! Quelle sera la dernière punition ? Un chien ?

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