Les malheurs de Clotilde Ch. 10

Informations sur Récit
Deux nouvelles héroïnes arrivent.
4.2k mots
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7.4k
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Partie 10 de la série de 24 pièces

Actualisé 06/15/2023
Créé 12/19/2018
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Ailleurs en France :

Emma :

Il est seize heures, Emma se demande pourquoi le directeur la demande. Elle n'a pas fait de bêtise, n'a aucun problèmes, tout se passe bien jusque à présent. La jeune fille à dix-huit ans, elle est très peureuse, se faisant du souci pour rien, tout le portrait de sa mère. Arrivée devant la porte du boss, elle toque à la porte.

- Entrez !

Elle reconnaît sa voix grave. Emma entre dans le bureau, soudain la peur et la surprise l'envahisse. Il y a un homme dans le milieu de la trentaine, ainsi qu'une splendide femme brune d'environs vingt ans. La femme a un sac de voyage posé devant-elle.

- Papa ? Il est arrivé un truc grave ?

- Non, rassures-toi, non.

- Alors qu'est-ce que tu fais là ?

- Il faut que je te parle, c'est important et cela ne peut pas attendre.

- Mais je bosse.

- Je sais, mais c'est de ça dont j'ai besoin. Ma secrétaire est tombée malade, et j'ai besoin de quelqu'un de confiance. Je traite un sujet sensible. Alors je ne vois que toi. Bien entendu tu seras payée au même salaire que ma secrétaire, c'est-à-dire le triple d'ici.

- Mais papa, je ne peux pas les abandonner. Sinon cela aurait-été avec plaisir.

Le directeur intervient.

- Je me suis arrangé avec votre père. Son amie te remplacera.

Le père reprend.

- C'est Lydie, la sœur de ma secrétaire, elle est nulle en secrétariat, mais elle a de solide référence en matière de colonies de vacances. Elle a besoin d'argent, cela arrange tout le monde.

La jeune et magnifique Emma réfléchit.

- Dans ce cas j'accepte.

- Bien, va prendre tes affaires, et montre ta chambre à Lydie. Je t'attends à la voiture.

Emma et son père disent aurevoir au directeur. Emma sort du bureau avec son père et Lydie. Son père va à sa voiture, tandis que les deux femmes vont dans la chambre d'Emma. La jeune fille remballe ses affaires, tandis que Lydie déballe les siennes. Elle ne sait pas quoi, mais un truc la gêne chez Lydie. C'est diffus et elle n'arrive pas à identifier quoi, mais elle a un truc bizarre. Pas bizarre qui fait peur, non, plutôt bizarre qui fait de la peine. Peut-être ses problèmes d'argent.

Quand Emma à fini d'emballer ses affaires, elle fait la bise à Lydie pour lui dire également aurevoir. Cette dernière lui fait la bise en retour.

- Bon voyage Emma.

- Merci, bon courage, tu verras les gamins sont facile et le reste du personnel très sympa.

- Merci, une dernière chose, tu peux me ramener au bureau du directeur, dans la précipitation j'ai oublié mon téléphone.

- Bien sûr.

Emma laisse Lydie alors qu'elle tape à la porte du directeur. La jeune fille ne le sait pas, mais elles se reverront un jour.

Le directeur regarde Lydie entrer. Elle est vraiment belle. Il repense au père d'Emma, qu'il connaît vaguement par l'intermédiaire des parties fines qu'ils ont fait ensemble. C'est la première fois qu'on lui fait une telle proposition. Cela est déjà arrivé que des encadrants doivent rentrer chez eux, mais jamais avec une telle proposition. Dix mille euros en liquide, plus Lydie pour remplacer Emma. Mais là, en plus, l'homme lui a dit qu'il pourrait faire tout ce qu'il voulait à Lydie. Surtout sexuellement, que c'est une bonne fille. Quand la jeune femme a donné son accord sur le fait qu'il pourrait tout lui faire, il a accepté de suite. Quand la jeune femme nue, au courbes affriolante s'approche de lui, et débraguette son pantalon avant de le prendre en bouche, le directeur se dit qu'il a fait une superbe affaire. Même si physiquement Emma est la plus belle femelle qu'il est vu jusque ici. Le fait de pouvoir baiser Lydie à volonté, par tous les trous, fait que la fille qui le suce est sa meilleure recrue. Surtout qu'elle est quand même splendide.

Vers dix-huit heures, Emma et son père s'arrêtent pour dîner. A la fin du repas, le père demande au serveur si il y a un hôtel dans le coin. Il lui indique le plus proche qui se trouve à une heure de route. Ils s'y rendent donc. Arrivé devant, le père laisse Emma dans la voiture, le temps qu'il aille voir si il reste des chambre dispos. Il revient voir Emma dix minutes plus tard.

- Il ne reste qu'une chambre avec un lit deux place. Cela ne te dérange pas de dormir avec ton vieux père ?

- Papa, tu n'es pas vieux !

- Mince, j'oublie toujours que je t'ai eus vraiment très jeune. Mais tu n'as pas répondu à ma question.

- Non, ça ne me dérange pas, cela me rappelleras quand j'étais petite.

- Bien, reste là, je vais régler et je reviens garer la voiture.

Une heure plus tard, vers vingt-deux heures, dans la chambre le père est déjà couché, quand Emma sort de la douche. Son père l'a prise en premier, l'eau lui faisant du bien. Emma est en short et tee-shirt. Son père se dit que sa fille est encore plus belle que sa femme. La jeune fille prend un léger somnifère fait de plantes pour s'aider à dormir, puis se couche. Moins de dix minutes plus tard, Emma dort, tandis que son père bouquine encore. L'homme est fier de sa fille, c'est une bonne gamine. Douce, gentille, un peu naïve, très sensible. Elle ne boit pas, ne se drogue pas, sort peu. D'ailleurs, elle n'a toujours pas eus de petit-ami, ses études prévalant sur le reste. Puis elle a adhéré à ce nouveau mouvement, très en vogue chez les jeunes, surtout ceux de bonnes familles : « vierge jusque au mariage. ». Un mouvement qui va contre la dissolution des mœurs, qui veut que les filles couchent de plus en plus jeune.

Ninon :

Pendant ce temps en Italie.

Il est dix heures du matin quand Ninon se réveille. Comme à son habitude depuis deux ans, la première chose qu'elle fait, c'est pleurer. Ninon, n'a que vingt-trois ans, mais elle est en pleine dépression. Depuis le départ de Vladimir, que tous ses intimes dont elle, appellent Vlado, son grand amour. Dire qu'il l'a quitté pour une autre, plus vieille et moins jolie, mais surtout beaucoup plus salope qu'elle. Pourtant ils s'aimaient depuis leurs douze ans. Le seul homme qu'elle n'est jamais connu, celui qui a fait d'elle une femme. Sexuellement, elle ne lui a jamais rien refusé, ni sa bouche, si son sexe, ni son anus. Mais si lui ne l'aime plus, elle en est encore folle. Trop Même aujourd'hui, deux ans après leurs séparation. Dire qu'en plus il s'est marié avec cette putain, elle l'a appris d'un ami en commun, il y a seulement quelques jours de ça. Ce qui a relancé sa dépression. Même si elle n'a pas encore fait de tentatives, plusieurs fois elle a pensée au suicide. Pour faire bonne figure, auprès de ses proches, elle raconte avoir eu plusieurs amants, voir des tas de coups d'un soir. Mais il n'en ai rien, aucun homme a part son grand amour ne l'a jamais touché.

Pourtant en plus de son cœur, elle lui a tout donné. Son corps, en totalité, acceptant les situations les plus dégradantes au lit. Sodomie, même si elles étaient rare, elle les a acceptée pour lui. Éjaculation faciale, avaler son sperme, gorge profonde, même un plan à trois, une fois, avec une autre femme. Rien, elle ne lui a jamais dit non, pour rien. Certes, elle l'a harcelée après la rupture. Au téléphone, allant le voir de partout. Il a eu besoin d'une ordonnance d'éloignement pour qu'elle le laisse enfin en paix, enfin plutôt elle, le nom de Vlado n'apparaissant nul part. Sans jamais l'oublier. D'ailleurs, elle les harcèlent toujours, mais plus malignement. Avec des téléphones à cartes, qu'elle change souvent. En abîmant leurs voitures, faisant courir des bruits les plus infâmes sur eux, à travers les réseaux sociaux.

Alors, suivant les conseils de son médecin-psychiatre, elle a louée une maison, la plus isolée possible. Pour couper court à ses habitudes, et vivre dans le calme de la nature. Pour être isolée, elle l'est. Cette maison est la seule à des kilomètres à la ronde. Située sur l'île de Sardaigne, la location ne lui a pas coûtée grand-chose. Deux mois de nourriture, et la location d'un 4X4. 3000 euros en tout, pour deux mois. C'est vrai que même si elle pleure souvent, en trois semaines, le fait d'être seule lui a fait du bien. Bon, cela lui a aussi laissé le temps de réfléchir, de trouver pas mal de trucs à faire à son retour pour se venger encore plus de son ex, mais surtout de la pute qui le lui a volé.

Elle fait une heure de jogging, plus des randonnées de cinq heures minimum chaque jour. Pour elle c'est le paradis. Son moral remonte. Déjà, Ninon ne pense plus au suicide, si cela continue ainsi, bientôt elle ne pleurera plus le matin. La jeune femme sort du lit, elle est nue, direction la douche. Ici il y a l'eau courante et l'électricité. Tout fonctionne grâce à une petit rivière souterraine, assez rapide pour produire l'électricité, et assez pleine pour fournir l'eau. Un truc hydraulique, même si elle ne sait pas vraiment comment cela fonctionne. Les panneaux solaires, produisent même un surplus d'électricité qu'elle n'utilise jamais.

L'eau chaude lui fait du bien. Quand elle sort, Ninon décide de ne mettre aucun sous-vêtements, elle préfère pour courir. Elle enfile juste un short et un soutiff de sport rose vif. Elle met ses basket et part courir sur la petite route. Une route qui mène au village le plus proche, à cent kilomètres d'ici. Ninon, court au milieu de la route, en trois semaines elle n'a croisée aucune voiture. Ni aucun autre humain, randonneur, chasseur ou quoique ce soit d'autres.

Aussi quand un moteur de voiture retentit, Ninon est étonnée. Le véhicule à l'air puissant. Elle se retourne, il est encore loin, mais il arrive vite. La jeune femme, qui est une splendide créature, se met sur la bas-côté. Ce serait idiot de mourir écrasée. Elle se dit que ce doit-être des gens du coin, à part les deux villages avant et après sa maison, il n'y a rien. Sûrement des gens du premier village qui vont au second.

Elle se met donc sur le côté de la route, à l'abri, mais visible. Le véhicule se rapproche rapidement. Il freine brutalement devant-elle. Ninon se demande ce qu'il se passe. Elle n'a pas le temps de bouger que les deux portières devant-elle s'ouvrent brutalement. Ninon se retrouve prise entre deux géants. Sans tenir compte des mots qui sortent des jolis lèvres de la jeune femme, le premier homme lui saisit les poignets, paralysant tout volonté offensive. Tandis que la voûte céleste s'effondre sur la jeune femme. Ninon vient de tomber dans un guet-apens. Le second de ses agresseurs a profité de ce que son compère l'immobilise, pour lui assener sur la nuque un violent coup de goumi.

Ninon comme un pantin dont on vient de trancher la ficelle, s'effondre instantanément. Ce fut son premier agresseur, qui est aussi le chef des assaillants qui la reçoit dans ses bras. Sans éprouver aucun désagréments, ni déplaisirs, bien au contraire, tant la fille est magnifique et son corps pulpeux est excitant.

Moi  :

Tout en faisant coulisser son sexe dans ma bouche, Pierre me gifle, tandis que mon père me donne une fessée tout en me sodomisant. Le tout dans le but réussit de me sortir de mon évanouissement. Je reviens à mon cauchemar qu'est ce double viol incestueux. Se faire violer par son père, par derrière qui plus est, le pire cauchemar de toute fille. Cet homme qui doit être votre premier protecteur, vous faisant subir la pire des agressions pour une femme. Plus que mon frère, mon père me tue de son engin. Si quand il me viole, mon frère me tue en me laissant en vie, ce que je ressens avec mon géniteur est pire, bien pire. Il brise la figure mythique de tout fille, celui avec qui on veut se marier en étant enfant. Il s'introduit en vous, l'endroit par où on est sorti quand il a éjaculé dans votre maman. Même si notre mère nous porte pendant neuf mois, jamais on oublie, que l'on provient aussi des couilles de son père. Et lui, se sert de ce qui m'a aidé à naître, pour me tuer, pour me l'enfoncer en moi. La pire des tortures, il n'existe pire violeur qu'un père. En plus de nous rabaisser à l'état de jouet sexuelle, il nous rabaisse aussi à l'état de simple machine à plaisir. Un frère vous transforme en animal, un père en rien. Je ne sais pas si toutes les femmes victimes d'inceste ressentent cela, mais moi, je le vie comme ça. Je n'ai ni haine, ni colère, je ne ressens plus rien, plus aucune émotion tandis que le monstre que j'ai tant aimé me viole. Il était mon prince, il était un exemple, je l'ai tant aimé, de la meilleure façon dont une fille doit aimer son père. Pour finir par se faire violer par lui. Par se faire aimer de la pire des façons dont un père doit aimer sa fille. En la forçant sexuellement, en l'enculant, en la détruisant de son pieu...

En plus ce monstre est gros, très gros, trop gros, son pénis me déchire l'anus, pire que tous les sexes qui m'ont forcé jusque à présent. Il est plus long, plus épais, plus gros que Greg même. Un engin d'acteur X, enfin je suppose, je n'en ai jamais vu. Tout en m'enculant mon père parle à mon frère. Qui lui répond tout en me violant la bouche.

- Tu lui a pris la chatte ?

- Putain, oui. La pute est vraiment serrée par-là, moins que par son cul, mais néanmoins c'est un délice.

- Meilleur que le cul ?

- Oui, franchement, oui.

Il parle de moi, de ce qu'il ressent à me violer comme si je n'étais pas là. J'ai envie de hurler, de leur dire que je suis là, que j'existe, que je suis un être humain, un être vivant, avec une pensée, des sensations, des sentiments. Que je suis leur fille, leur sœur, pas une vulgaire poupée gonflable, que l'on utilise, dans laquelle on se vide avant de la ranger dans un coin. Après je vais continuer à vivre. Avec ça, avec ce traumatisme. Alors que eux, ne penseront qu'au bon moment qu'ils viennent de passer avec moi. À la bonne baise qu'ils viennent de vivre...

Mon père accélère ses coups de reins, tout comme Pierre. Ils jouissent en moi, en criant de plaisir. Puis ils échangent leurs place. Pierre vient dans mes reins, alors que mon père enfonce son truc au goût de sperme et de caca dans ma gorge.

- Papa, tu peux pisser si tu as envie. Elle boit cela comme un délicieux nectar.

Un délicieux nectar, tu parles, c'est un supplice pour moi de boire ça. Mais je le fais car je n'ai pas le choix, et que c'est moins dur que les coups ou pire, la cravache.

Mais déjà, je sens l'urine de mon père envahir ma bouche, alors j'avale et j'avale le liquide salé. Pour que une fois fini, il reprenne le cours de son viol buccal.

Une fois de plus, ils sont synchrone pour jouir en moi. Lançant la purée simultanément. Tandis que Pierre remplace mon père dans ma bouche et ma gorge, il arrête mon père avant qu'il me pénètre.

- Il y a des pilules sexe-dure sur la table de chevet. J'en ai pris, on pourra la baiser toute la journée comme ça.

Dans ma tête, je me dis pitié, pas ça. Je ne vais pas supporter de me faire prendre toute la journée par mon père et mon frère. J'en suis tellement traumatisée, que pour le coup, je regrette les viols de Meyer, Jérôme et Greg.

Mais c'est trop tard, mon père avale une pilule, je ne le vois pas, mais je l'entends.

- Nickel ce truc, avec ça on va pouvoir lui faire sa fête tout le temps que l'on veut !

Ma fête, tu parles, mon enfer.

Quand mon père au lieu de reprendre le chemin de mes intestins, choisit d'entrer dans ma vulve, je hurle comme une démente. Hurlement que même le pénis de Pierre, faisant office de bâillon de chair ne peut stopper. Le viol vaginal par un père est encore plus difficile pour une fille féconde que le viol anal. Moins douloureux, certes, mais plus dur psychologiquement. Avoir un enfant de son père, le pire du pire du pire. J'en arrive à espérer que Jérôme, Greg ou Meyer, voir Pierre m'ait déjà mise enceinte. Puis je me dis que de toute façon je ne le saurais jamais, jamais je ne pourrais dire, à moins d'un test ADN improbable qui sera le père de l'enfant que je vais mettre au monde. Car il n'y a aucune alternative, avec tous les viols que j'ai subis, avec toutes les éjaculations qui ont éclatées dans mon ventre, il n'y a qu'une issue, je suis fécondée... pour mon plus grand malheur.

Mon hurlement qui envahit la pièce produit un effet incroyable sur mon père. Il éjacule en moi, alors que seul son gland est dans ma vulve. Il ne faut pas être devin pour comprendre alors que ma souffrance n'existe pas vraiment, que cela ne fait que l'exciter. Que mon martyr est un plaisir pour lui. Que mon viol est donc un de ses vieux fantasme. Il a cinquante ans, j'en ai trente-deux, je vois enfin le vrai visage de mon géniteur. Celui d'un sadique-sexuel, celui d'un monstre. Tout ce que je savais sur lui est brutalement détruit d'une seule éjaculation dans mon ventre. Le ventre de sa propre fille, le ventre de son enfant. Le ventre du sang de son sang, de la chair de sa chair. Mais grâce aux pilules il bande encore, alors il reprend sa pénétration. S'enfonçant à fond dans mon corps. Sa bite est si longue qu'il franchit, tel un cycliste, sur le tour de France, mon col de l'utérus. Pour installer son pénis bien au chaud dans mon utérus.

Malheureusement pour moi, j'ai un petit vagin, un petit utérus, ce qui fait que mon père, avec son pénis digne du plus gros sexe d'acteur noir de l'univers du X arrive au bout. Quand il se met à aller-et-venir en moi, son gland frappe contre le fond de mon utérus, m'envoyant dans tout le corps des ondes électrique, comme si on enfonçait dans mes chairs intimes des milliers de grosses aiguilles chauffées à blanc. La douleur est infernale. Contrairement à ma mère qui d'abord était normale sur le plan de ses organes féminin, et avec qui mon père n'allait pas à fond, en moi, il enfonce la totalité de son sexe. Une torture monstrueuse. Surtout qu'il me viole longtemps, très longtemps. Quand mon frère se vide dans ma bouche en criant, mon père lance immédiatement sa purée. Je reçois une nouvelle fois la semence paternelle incestueuse dans mon corps. Mais cette fois après un viol complet. L'acte le plus monstrueux qui soit. Alors, pour la troisième fois en une heure, je m'évanouis. Mes bourreaux se retirent de mon corps. Ils profiteront de mon évanouissement pour me raser intégralement la chatte. Quand je me réveille, je découvre avec épouvante que mon sexe est lisse comme celui d'un bébé. Mais pire, je verrais encore mieux leur pénis entrer et sortir de moi quand ils me violeront. Ce qu'il ne tarde pas à faire. Mais cette fois, ils changent de position. Mon père s'allonge sur le lit, et je dois empaler mon vagin sur son sexe. Tandis que quelques secondes après que je sois totalement assise dessus, Pierre me sodomise. Vu la taille du sexe de mon père, cette double-pénétration est la pire de toutes.

Emma :

Emma dort profondément, son père le vérifie en lui pinçant le bras, elle n'a aucun réaction. Elle est sur le ventre, vu la position de ses seins, assez gros, il devine qu'elle ne porte aucun soutien-gorge. Il se lève, prend une paire de chaussettes appartenant à sa fille, qu'il pose près de l'oreiller de son enfant. L'homme se recouche. Il se colle contre Emma. Il attrape le short de sa fille. Il le tire vers le bas, il vient facilement. Il le fait glisser sur les jambes de sa fille, avant de le retirer par les pieds. Il le balance en bas du lit. Ses yeux remontent la peau bronzée de sa fille. Il sait que c'est une vraie blonde, heureusement car elle est parfaitement rasée. Il glisse un doigt entre ses cuisses. Il joue avec son clito, sa fente. Elle mouille, mais ne se réveille pas. Il enfonce alors doucement son doigt en elle. Sa fille pousse un petit gémissement de plaisir. Mais il arrête son geste quand il rencontre l'hymen. Il n'en revient pas, elle s'habille en putain, trémousse de partout son petit cul dans tout l'appartement, mais cette chienne est encore vierge. Alors, avant de lui retirer son haut, il se met nu, son sexe est au garde-à-vous. Les choses intéressantes vont bientôt commencer.

Ninon :

Quand Ninon revient à elle, la jeune femme ignore combien d'heures ou de minutes se sont passées. Elle se trouve étendue à l'arrière du véhicule de ses agresseurs, dont elle n'a pas reconnu la marque. Tout juste sait-elle que c'est un gros tous-terrains. Ninon est sur la moquette, et quatre pieds chaussés de mocassins l'utilisent comme un tapis brosse. Bêtement, elle pense que c'est encore heureux qu'aucune chaussures n'est traînée auparavant sur une merde de chien ! Ninon ignore où on l'emmène et ses ravisseurs demeurent obstinément silencieux. Elle se demande pourquoi, elle, simple petite professeure dans un lycée se fait enlever. Sûrement pas pour une rançon, si sa famille a, certes de l'argent, pas de quoi payer des millions d'euros comme rançon.

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