Les malheurs de Clotilde Ch. 11

Informations sur Récit
Clotilde, Ninon et Emma souffrent de plus en plus.
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Partie 11 de la série de 24 pièces

Actualisé 06/15/2023
Créé 12/19/2018
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Cette histoire est basée sur la déchéance d'une femme. C'est violent et difficile à lire pour une âme sensible. Si vous n'aimez pas le genre, vous n'aimerez pas cette histoire, alors inutile de la lire. Ce serait comme commander un gratin aux aubergines dans un restaurant, alors que vous détestez l'aubergine. Vous trouverez le plat dégueulasse, mais ça vous le saviez avant, ben pour cette histoire, c'est pareil. Pour les autres, bonne lecture, car je pense que c'est mon meilleur texte écrit jusque à présent.

Sinon, étant Italien, et arrivé à vingt ans en France, j'ai appris le français parlé, auprès de ma mère qui est française. Par contre pour ce qui est de l'écrit, je l'ai appris à l'école, en Italie, ce qui explique que j'ai pas mal de lacunes. Malgré les correcteurs d'orthographe et les petits trucs de quelques lecteurs, mes textes sont truffés de fautes de grammaires et d'accords, notamment sur le pluriel des verbes, mais aussi de fautes conjugaison. Veuillez m'excuser pour ce souci, que j'améliore à chaque texte. Pour ce que cela rebute, évitez de le lire, si pour vous les accords, la grammaire, la conjugaison, sont plus important que le texte. Je remercie pour leur courage ceux qui me pardonne ces fautes, et me lise quand même. Bonne lecture à vous.

Pour finir, les quatre premiers chapitre de cette histoire sont parus entre décembre 2018 et mai 2019. Si vous voulez vous rafraichir la mémoire...

Moi :

Ils m'ont violée toute la journée. M'arrachant hurlement sur hurlement. Me torturant de leurs engins, même si celui de mon père fut le pire des deux. À deux dans ma bouche, à deux dans mon vagin, à deux dans mon anus. Je n'ai été qu'un jouet sexuel pour eux. Mon père lui, ne m'a pratiquement pris que par la chatte, me sodomisant rarement... mais le faisant quand même. Ils m'ont remplis de semence, sans aucune pause. L'un profitant de ma bouche pour uriner, tandis que l'autre me viole. A la fin, anéantie par le viol commis par mon père, ainsi que par mon frère, je n'ai plus la force de hurler, ou de pleurer. Je me contente de les subir en silence, inerte. Aussi quand Greg revient me chercher vers vingt-deux heures, j'accueille son arrivée comme une libération. Même si je sais que cinq punition m'attendent, même si je sais que je serais violée encore et encore. Au moins ce ne sera pas par les sexes de mon frère et de mon propre père. Ce ne sera plus un viol incestueux...

Greg revient accompagné d'une rousse splendide d'environs vingt-cinq ans. Il sourit en voyant mon frangin et mon paternel me violer, à deux. L'un dans la bouche et l'autre dans l'anus. Mais surtout moi me laissant faire.

- Je vois que la petite famille est presque au complet, et que surtout on s'amuse bien. Je comprends surtout que si la pute ne crie pas, c'est qu'elle aime.

Je pense : Non, connard, la pute n'aime pas, elle est trop anéantie pour hurler sa douleur ou même juste pleurer. Alors la pute fais la seule chose qu'elle peut faire, elle subit en silence, détruite, anéantie, atomisée.

Greg attend sagement que ma « famille » en est fini avec moi. Puis il pousse la rousse vers eux.

- Tenez, c'est pour remplacer la pute, le temps que vous vous retrouviez. Tout est permis sur elle, même la mort.

- Merci Greg, prends soin de ma fille.

On est pas encore partie, que déjà la rousse se fait déshabillé par les deux monstres. Le regard résignée, elle se laisse faire, sachant parfaitement ce qui l'attend. Greg me met la laisse au collier de chien qui ne m'a pas quittée. Je descends de chez mon frère à quatre pattes, nue. Je monte dans sa voiture, place passager et on repart. Tout le long du chemin, je dois me pencher et le sucer. Avalant plusieurs fois sa semence. Quand la voiture se gare, je suis en court de fellation. Il attend que j'ai fini, il me fait tout avaler, pour la cinquième fois. On descend de voiture. On est dans une maison que je ne connais pas. Une sorte de manoir, valant au moins une quinzaine de million d'euros. Je dois faire le chemin de la voiture à la porte d'entrée à quatre-pattes. Le sol de terre du parking, puis celui de gravier du chemin menant à la porte, me blesse et me coupe genoux et pieds. Devant la porte, Greg m'enlève ma laisse et me fait relever.

- C'est juste que plus poli debout.

Greg sonne. Deux minutes plus tard, une jeune fille d'environs dix-huit ans, environs le même âge que ma fille nous ouvrent. Elle est de type hispanique. Brune à la peau bronzée. Mais surtout elle est complètement nue, et enceinte de plusieurs mois. Au moins sept ou huit, elle doit être proche du terme. Elle baisse le regard et s'agenouille dans le coin de la porte, nous laissant le passage. On entre, Greg referme la porte.

- Vous allez bien maître ?

Maître, je ne suis donc pas la seule. D'ailleurs deux autre femmes arrivent. Nue elles aussi, enceinte également de sept ou huit mois. Toutes deux sont de type hispanique aussi. L'une doit avoir la petite quarantaine, l'autre entre vingt et vingt-cinq ans. Jérôme et Meyer arrivent à leurs suites. Les deux femmes s'agenouillent aussi.

- Je vais faire les présentations. Les chienne, la pute blonde, c'est Clotilde. La pute blonde, je te présente les chiennes.

On se regardent, sachant intrinsèquement que nous vivons la même chose.

La plus jeune, celle qui nous a ouvert entreprend de débraguetter Greg et le suce. La plus vieille fait pareil avec Meyer, tandis que la dernière entreprend de sucer Jérôme. Tout en appréciant sa fellation, Greg me parle.

- La plus vieille c'est mon épouse officielle.

Je le regarde surprise, ainsi donc il est marié.

-Elle va avoir quarante ans. On est marié depuis qu'elle a dix-huit ans, elle m'a donné ma première fille à dix-neuf. Elle attend notre vingt-deuxième enfants.

Je suis choquée par ce qu'il me dit. Donc elle lui donne un enfant par an.

- C'est une bonne pondeuse, elle ne me donne que des filles.

Donc je ne suis pas la première. Cet aveu m'enlève encore plus d'espoirs de libération.

- Celle qui suce Meyer, à vingt-deux ans, c'est ma fille aînée. Elle attend notre quatrième enfant.

Je manque m'évanouir, il a fait des enfants avec sa propre fille. Mais quel monstre est-il donc ? Puis je me rappelle que mon père et mon frère viennent de me violer sans fin...

- Quand à celle qui me suce, c'est aussi ma fille. Elle a vingt ans, attend notre troisième enfant. Mes deux chienne de filles sont aussi de bonne pondeuses, elles ne m'ont données que des femelles. Quoique maintenant que l'on peut choisir le sexe de son enfant, c'est plus facile.

Je suis abasourdie par ces révélations. C'est monstrueux, dans quel enfer je suis tombée.

- Ma femme est mexicaine, mes filles sont métissée, mélange d'américain et de mexicain.

C'est vrai que toutes sont belle.

- Et ces trois chiennes sont toutes de bonnes salopes. Je te rassure la pute blonde, j'ai d'autres filles majeur que j'ai eus avec ma femme. Mais elles sont comment dire... occupées. Quand à toutes celles qui sont mineure, j'attends leurs majorités pour les violer et les mettre enceinte à leurs tour. Tout comme ton père et ton frère le feront avec toi.

Je le regarde horrifiée. Tout tourne autour de moi.

- En effet, Jérôme, Meyer et moi, tout comme ton frère Pierre d'ailleurs, avons pris de suppresseurs journaliers de fertilités. Par contre ton père, lui a pris un multiplicateur de fertilité.

Je titube, j'ai du mal à tenir debout.

- C'est ta première punition. Tu es enceinte de ton père. Félicitation. Mais je me demande, ce sera ton fils ou ton frère ? Et pour lui, son fils ou son petit-fils ? A moins que ce ne soit une fille...

A ces mots, je m'évanouis.

Je me réveille dans une grande pièce pleine d'instruments de tortures et d'autres truc du genre. Je suis suspendue au plafond. Attachée à une chaîne, les bras en l'air, par les poignets. Mes orteils touchent à peine le sol, ce qui rend ma position inconfortable. Greg et les deux autres sont au milieu de la pièce. En face de moi, la femme de Greg ainsi que ses deux filles sont couchées sur des bancs en bois. Toutes ont une cloche transparente sur chaque sein, cloche continuée par un tuyau noir. Un bourdonnement se fait entendre. Quelques instants plus tard, je vois le lait sortir de la poitrine des trois femmes. Ce n'est pas possible, ce malade est en train de les faire traire.

- Tu reviens enfin à toi.

Il voit mon regard horrifiée.

- Oh, le lait de femme rapporte une blinde. Alors depuis leurs premier accouchement, mes chiennes donnent du lait. Tu sais la pute, tu le verras et le fera toi aussi, pour info les femelle humaines c'est comme les vaches, ça donne du lait à vie, tant qu'on les traient. D'ailleurs c'est de là que vient le mot nourrice, des femmes paysanne qui nourrissaient au seins les gamins des nobles.

En plus ce monstre me fait une leçon d'histoire. Moi, en tout cas j'ai du mal à me remettre de son annonce, enceinte de mon propre père. L'horreur absolue.

Mes bras me tirent, je commence à avoir mal dans tout le corps, mes orteils qui portent tout le poids de mon corps me lancent. Greg s'approche de moi, dans mon dos, tandis que Meyer fait de même de face. Jérôme fait mettre la fille de dix-huit ans de Greg à quatre-pattes. Elle a toujours les cloches à traire sur les seins. Il s'enfonce dans ses reins. Elle ne dit rien, à part une petite grimace de douleur, on ne dirait pas qu'elle vient de se faire violer l'anus. Moi, par contre, je grogne de douleur quand Greg s'enfonce dans mes reins. Tandis que Meyer, me soulève haut la jambe droite et s'enfonce dans mon ventre.

- Au fait la pute, Meyer est mon fils, je l'ai eus avec une autre chienne que ma femme. Quand tu auras accouchée de ton frère/fils, ce sera Pierre qui te mettra enceinte. Et ainsi de suite, ils alterneront.

Cette double nouvelle me bouleverse. Je vais donc devenir une génisse accoucheuse, mais surtout mes tourments ne sont pas prêt de finir...

- Tu vas dormir comme ça. Ainsi demain tu seras en place pour ta seconde punition. Mais rassure-toi, on va te baiser encore pas mal de temps avant que tu ne puisses te reposer.

Et pour me prendre, ils m'ont prise, longtemps, très très longtemps, violemment, sauvagement, durement.

Ninon :

Ninon se dit que ces salauds doivent s'en mettre plein les yeux avec son vagin offert à leurs vu. La jeune prof pleure. Pour l'instant seul deux doigts l'ont violée, mais bientôt ce sera avec leurs bites qu'ils la prendront. On lui enlève son bâillon. La sensation qui suit, détourne le cours de ses pensées. Une aiguille s'enfonce dans le gras de sa cuisse. Ninon comprend qu'on va lui injecter une drogue quelconque pour la faire rester tranquille durant son viol. L'infâme qui s'occupe d'elle n'a aucune qualification d'infirmier, l'aiguille ne s'arrête pas de s'enfoncer. La jeune prof souffre le martyr, mais lorsque elle ouvre la bouche pour crier, une paume qui sent la sueur et l'huile de vidange lui claque les lèvres avec une telle violence qu'elles enflent aussitôt. Ninon sent alors couler à l'intérieur de son corps le liquide glacé que son tourmenteur lui injecte.

Ninon s'est débattu assez faiblement, depuis le moment où une des chaussures qui pèse sur sa poitrine, l'a frappé méchamment, l'étouffant en lui donnant l'impression que son sein, pourtant orgueilleux, se transforme en crêpe, et que son gros mamelon rentre dans la masse de son nichon malmené. Puis cela est peu à peu la nuit, d'abord dans le cerveau de Ninon, puis autour d'elle. Au point qu'elle ne sent plus le poids des quatre chaussures sur elle, elle ignore aussi si on a remonté son short. Ce dont d'ailleurs, dans son état d'esprit actuel, elle se moque éperdument...

Quand elle refait surface, des heures ont dû s'écouler. Ninon est sur un plancher rude, où certainement on l'a la jetée. Il s'agit de la cale d'un bateau, les mouvements du sol le lui prouve. Lorsque elle tente un mouvement, des échardes pénètrent sa chair fragile. Elle est ligotée à la façon d'une momie, et le haut de son visage est recouvert d'un large bandeau noir et malodorant. La jeune prof est donc dans la nuit, avec la possibilité que autour d'elle, ce fut le grand jour.

Les craquements du sol furent là pour la distraire, en augmentant son effroi. On marche autour d'elle. Plusieurs hommes l'entoure. Puis des mains rampent sur son corps. Ce n'est pas seulement des frôlements. Ses nerfs se trouve être si tendus, que le moindre contact déclenche des frissons vigoureux et que ses dents en claquent. Ces mains inconnus arrache son soutien-gorge de sport. Mettant ses jolis et gros seins bien ronds à l'air libre. Ils palpent ses seins avec violence, malaxe la chair gonflée, mais tendre, s'amuse avec rudesse, des tétons d'une longueur certes peu communes, les masturbant, les pinçant, le étirant. Toutes ces manipulations portent la honte de la jeune professeure à son comble, car elle sent ses tétons durcir, contre son gré. Simple réaction de son corps.

Sous les tractions brutales, les étirements, ses seins déjà bien confortable au naturel, enflent et se portent au-devant des rudes caresses. En son for intérieur Ninon se haït de n'être qu'une femelle, acceptant d'instinct tout sévices sexuel auxquels mentalement elle répugne. Ninon ne se débat, déjà vaincu, ne voulant pas voir arriver la colère de ses assaillants. Elle serre fort les lèvres et se mords la langue pour ne pas crier de douleur, pour ne pas donner ce plaisir à ses tourmenteurs.

Mais les rudes battoirs qui miment les mouvements de la traite sur ses grosses mamelles, commencent de lui faire très très mal. Broyant les outres crémeuses emplies de sève, ils la contraignent à ouvrir ses dents et ses lèvres et à hurler. Musique divine qui ravit les brutes qui l'entourent. Ninon en eut la preuve, dans ce que plusieurs mains se succèdent pour broyer ses nichons, ils les tirent à les arracher de son torse. Visiblement ses cris et la belle chair qu'ils manipulent, mais aussi la joie sauvage de faire mal, portent l'excitation des rustres à son comble. La jeune prof à la sensation que ses magnifique attributs mammaires ne lui appartiennent plus. Qu'ils sont à qui veut bien s'en servir et les massacrer.

Ninon réalise enfin que ces hurlements délirants qui envahissent la salle où elle se trouve, sont les siens. C'est ses cris de douleurs qui réjouissent ses tourmenteurs. Le bâillon ayant glissé, bien que le haut lui cache toujours les yeux. La jeune femme oublie ses douleurs mammaires parce que d'autres mains rampent sur ses jambes, s'engagent entre ses cuisses, et comme elle referme celles-ci, en étau, par pur réflexe, un énorme poing s'enfonce avec une telle violence dans son estomac que Ninon se mit aussitôt à vomir. En prime, pour avoir sali le sol, Ninon reçu d'un de ses agresseurs, une paire de gifle, qui faillit arracher la tête magnifique de la jeune prof de ses épaules.

Emma :

Emma elle, dort toujours, son père couché sur elle, le chibre de ce dernier contre son petit vagin encore vierge de toute visite. Ce dernier profite du moment, celui, magique qui précède un viol. Le fait que la femelle soit vierge, et que ce soit sa propre fille, en rajoute au plaisir sadique de Jeff. Il sent la belle poitrine ferme de sa fille contre son torse, sa respiration régulière. Elle a la peau satinée et douce, si douce des vierges. Sa peau tendre est claire, la peau d'une vraie blonde. Puis quand il la sent bouger sous lui, ronchonner dans son sommeil, il comprend que le réveil de sa fille est proche. Mais il veut la réveiller lui, de sa pine, de son viol. Alors il prend de l'élan, et d'un violent coups de reins, se propulse en avant. Massacrant les chairs tendres et fragiles de la jeune majeur, lui arrachant, d'un seul coup, son hymen. Faisant couler son sang de pucelle en lui arrachant le sceau de sa virginité.

Emma cabre en hurlant, avec tant de force qu'elle réussit à soulever leurs deux corps. Mais bien ancré en elle, son père ne ressort pas. Prévoyant, le père tient sa main au-dessus de la bouche de sa fille, qu'il a plaqué sur ses jolies lèvres, lorsque elle a ouvert ses grand et magnifique yeux bleus maintenant exorbités par la douleur. De son autre main il attrape la paire de chaussettes de sa fille, posée sur le matelas quelques instants plus tôt. Il la lui enfonce dans la bouche, faisant ainsi le meilleur bâillon qu'il soit. Aucun son audible ne sortira. Il peut la laisser hurler, si il veut, cet hôtel est fait pour cela. Mais ça, il ne veut pas que sa fille le sache, du moins pas encore. Emma commence alors à se débattre, son père, toujours fiché profondément en elle, lui remonte les bras au-dessus de la tête, les immobilisant par les poignets. Sa fille hurle comme une malade dans sa chaussette, tellement le sexe plongé en elle la taraude. Son corps est arqué, elle est rouge à force de hurler, les veines de son corps, de son cou, sont saillantes sous l'effort. Elle pleure toutes les larmes de son corps, de la morve coule de son nez. Elle recommence à se débattre quand elle reconnaît son violeur, son agresseur : son propre père. L'horreur absolue. Mais elle n'a pas le temps de se demander pourquoi il lui fait cela, ce sera pour plus tard. Tout son esprit est maintenant concentré sur une seule chose, sa souffrance.

Alors quand son père commence à la travailler de son pieu, la douleur de la pauvrette est multipliée. Mais lui s'en moque, il apprécie le vagin étroit et douillet. Il est fier d'être le premier à le visiter, d'être le premier à entrer dans le corps de sa fille. Peu importe les dégâts qu'il occasionne, psychique comme physique, seul son plaisir à lui compte. Comme un égoïste, il la défonce à grands coups de reins. Même absorbé, les hurlements de son enfant sont une belle mélodie pour lui. Le visage d'Emma horriblement déformé par la douleur, est pour son géniteur et violeur incestueux, la plus belle des œuvres d'art. Jeff ne le sait pas, mais quasiment au même moment qu'il est entré dans Emma, le père de son épouse est entré dans l'anus de Clotilde. La mère et la fille, à des kilomètres de distance, subissent ainsi la profanation de leurs corps par leurs géniteur. La seule différence étant que pour Emma, son père est le premier. Tandis que pour Clotilde, c'est le énième viol de son corps parfait qu'elle subit.

Jeff est plus qu'au paradis. Son fantasme le plus secret est enfin résolu, il viole une femme, une vierge. Le fait que ce soit sa fille est un grand plus. Depuis qu'elle a un corps de femme, il la mate avec envie. Il n'aurait jamais rien tenté si on ne lui en avait pas offert la possibilité. Cela à un prix, certes, mais il le paiera avec grand plaisir. Il apprécie, il déguste son viol. La souffrance qu'il provoque le remplit de plaisir. Le fait qu'il tue son enfant de sa bite, est même pour lui, un aphrodisiaque qui le rend plus violent, plus dur, plus gros.

Il se moque de ce qu'elle ressent, de sa souffrance. Au contraire même. Pour lui, elle n'est plus qu'un sexe. Le plus délicieux qu'il est baisé jusque à présent. Et qu'il compte bien baiser jusque à plus soif. Jusque à ce qu'il soit épuisé. Il compte la prendre par tous les trous, les visités un par un, les dépucelés l'un à la suite de l'autre. Mais avant, il doit finir ce viol. Et recommencé immédiatement dans cet orifice, jusque à ce qu'il soit certain qu'elle soit enceinte. Son deuxième fantasme le plus secret : Mettre sa fille, qu'il viole si brutalement, enceinte. Là aussi, que sa fille soit vierge au moment de sa profanation vaginale, est la cerise sur le gâteau, le summum du plaisir, de la dépravation, du vice.

Il dure le plus longtemps possible dans le conduit étroit de sa fille. Jeff y va comme un sauvage. Ses ruades, ses cris étouffés, ses tremblements, la sueur qui lui colle à la peau, tout ce que sa fille produit et qui prouve sa souffrance, le rend encore plus fou de violence. Quand il sent qu'il ne va plus tenir longtemps, Jeff le dit à Emma.

- Je vais éjaculer dans ta chatte !

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