Les malheurs de Clotilde Ch. 12

Informations sur Récit
Clotilde rencontre un nouvel "amant"...
3.6k mots
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Partie 12 de la série de 24 pièces

Actualisé 06/15/2023
Créé 12/19/2018
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Cette histoire est basée sur la déchéance d'une femme. C'est violent et difficile à lire pour une âme sensible. Si vous n'aimez pas le genre, vous n'aimerez pas cette histoire, alors inutile de la lire. Ce serait comme commander un gratin aux aubergines dans un restaurant, alors que vous détestez l'aubergine. Vous trouverez le plat dégueulasse, mais ça vous le saviez avant, ben pour cette histoire, c'est pareil. Pour les autres, bonne lecture, car je pense que c'est mon meilleur texte écrit jusque à présent. Tous les personnages de ce textes ont plus de dix-huit ans et tous sont majeur.

Sinon, étant Italien, et arrivé à vingt ans en France, j'ai appris le français parlé, auprès de ma mère qui est française. Par contre pour ce qui est de l'écrit, je l'ai appris à l'école, en Italie, ce qui explique que j'ai pas mal de lacunes. Malgré les correcteurs d'orthographe et les petits trucs de quelques lecteurs, mes textes sont truffés de fautes de grammaires et d'accords, notamment sur le pluriel des verbes, mais aussi de fautes conjugaison. Veuillez m'excuser pour ce souci, que j'améliore à chaque texte. Pour ce que cela rebute, évitez de le lire, si pour vous les accords, la grammaire, la conjugaison, sont plus important que le texte. Je remercie pour leur courage ceux qui me pardonne ces fautes, et me lise quand même. Bonne lecture à vous.

Ninon :

La jeune prof vient de recevoir la première gifle de sa vie. Ninon, tout orgueil aboli, sent les larmes ruisseler, contre son gré, sur son visage qui s'empourpre. Mais, lorsque on tente à nouveau d'ouvrir ses jambes, elle ne fait plus de difficultés pour s'écarteler largement afin que la main fouineuse puisse l'atteindre sans difficultés en son minou, qui commence à prendre l'habitude d'être malmené. Le type qui s'intéresse à sa chatte s'agenouille entre ses cuisses, leur interdisant de se refermer. Pour une fois, le défaut de culotte habituel pour Ninon, lors du sport, ne lui fait point avantage.

La jeune femme se dit qu'elle doit leur offrir un spectacle fort érotique ainsi ouverte. Vêtu de son seul haut de sport, ses longues et belles jambes nues, son ventre plat, le tout offert à la vue de ses agresseurs. Quand à son sexe, petites lèvres entrebâillées, il est offert à qui veut bien le pénétrer.

Bien entendu cela ne tarde guère. Une grosse patte, peut-être la même qui l'a déjà forcée, s'insinue sans précaution dans son entre-deux qu'elle fouille avec un enthousiasme sadique. Faisant couiner la belle prof.

Violée de façon digitale, Ninon tente de distraire son esprit, en comptant ses agresseurs. L'un marbre ses seins de bleus, l'autre caresse sa chatte à rebrousse-poil, et d'ailleurs à rebrousse-caresses. Deux autres discutent au-dessus et de part et d'autre d'elle. Commentant ce qu'on lui fait et décrivant ses charmes avec des mots vulgaires et aussi brutaux que les gros doigts en forme de saucisses qui jouent sans délicatesse avec ses muqueuses génitales. Donc ils sont quatre, ce qui fait beaucoup pour une faible femme. Puis l'horreur envahit le cerveau et le corps de Ninon qui tremble de plus belle. Elle est sur un bateau, il y a donc un équipage. Plus ou moins nombreux. Ils ne peuvent pas ne pas savoir qu'elle se trouve à bord. Et il y a de forte chance pour que ensuite, eux aussi jouent avec elle. Les paroles des quatre hommes, confirmeront les pensées de Ninon quelques instants plus tard.

L'idée qu'elle va être chevauchée par ces quatre étalons, puis par l'équipage, fait venir des sueurs froides à la racine des cheveux de la jeune prof. Elle n'a jamais eut affaire qu'à son seul amour. Elle lui à tout donné certes, mais jamais un autre homme ne l'a touchée. Mais quatre à la fois, quatre taureaux-tortionnaires, viendront rapidement à bout de sa faible résistance, y allant même bien au-delà. Quand ensuite viendra le reste de l'équipage, Ninon ne sait pas comment elle y survivra. Elle sait qu'ils vont la faire gueuler, encore plus que maintenant, puis, à force, la réduiront au silence. Parce qu'il est fatal que au sommet de la souffrance, elle craque. Bien avant même. Dire qu'elle voulait mourir, et bien son vœu risque d'être rapidement réalisé. Enfin elle l'espère, car des jours et des jours de viols est une pensée trop horrible pour elle.

Emma.

Son père la viole pour la deuxième fois, sans être ressortie de son corps. Le sperme présent dans le vagin de la tout juste dépucelée, fait un bruit de ventouse mouillée. Il la viole comme une brute. Lui mordant un sein, lui pinçant le téton de l'autre. Emma devient folle, folle de douleur, folle parce que c'est son père qui la viole. Folle parce que le risque qu'elle tombe enceinte de lui est grand. Son père qui semble la violer depuis une éternité. Mais surtout qui semble bien décidé à ne pas s'arrêter de suite. L'extase qu'elle lit sur son visage tandis qu'il la massacre de sa bite le prouve. Dire qu'elle a refusée toute les invitations, n'a pas donné un seul baisé, n'a pas fait une simple fellation. Se refusant de coucher avec qui que ce soit, ne laissant même pas approcher de son corps les autres étudiants... tout cela pour se faire dépuceler et violer par son propre père... la psyché de Emma en prend un coup grave...

Ce deuxième viol paternel dure longtemps, très longtemps. Jeff savourant l'étroitesse de sa fille au maximum de ses possibilités. Finalement, il se fiche une nouvelle fois en elle, criant en crachant son plaisir. Il reste de longues minutes, toujours imbriqué dans le corps de sa fille, reprenant son souffle. Des milliers de sensations fabuleuses lui envahissent le cerveau et le corps. Tandis que Emma, détruite sanglote comme une folle. Il sent avec plaisir son corps tressauter d'horreur. Il attend au travers de leurs deux cages thoracique, le cœur de sa fille battre comme un fou. Tout cela le refait durcir un peu. Essayant de parler malgré son bâillon. Son père ne comprend rien et il s'en fou. Puis il s'agenouille de nouveau entre les jambes de sa fille.

Jeff se retire doucement du vagin d'Emma. Il admire son sperme s'écouler à flot hors du corps de son enfant, la semence qui coule est rougit par le sang du dépucelage de la femelle, et sûrement une ou deux petite déchirure. Emma, sent avec dégoût, le premier sperme couler hors de son vagin. Elle à rêver mille fois à sa première fois. Cela devait être merveilleux, avec un garçon qu'elle aurait aimé plus que tout. Jamais, même dans ses cauchemars les plus durs, elle n'a pensée que ce serait son père le premier à pénétrer son corps. Par un viol en plus.

Emma choquée, traumatisée, ne réagit pas quand son père se lève. Elle se tourne sur le côté, se met en position fœtale, ses genoux contre ses seins. Tournant le dos à son père. Ce dernier fouille dans son sac-à-dos. Il découpe plusieurs morceaux de chatterton. Les collent sur la bouche de sa fille.

- Tu sais avec ta mère, on ne baise plus depuis longtemps. J'ai le droit d'avoir des maîtresses. Mais au lieu de cela, j'ai choisis de m'adresser à une organisation que je paies.

Même si elle ne bouge pas, Jeff sait que sa fille l'entend.

- Des filles non-consentantes, comme toi, que je paies un certain prix. Je ne veux que des canons. Alors cela coûte cher, c'est pour cela que je n'ai jamais eus de pucelles, c'est hors-de-prix. Par contre je peux tout faire aux filles que j'ai. Je ne m'en suis pas privé.

Il va se servir un verre dans le frigo de la chambre, il prend une vodka. Il continue.

- J'en ai même étranglée certaine, en les violant, ou juste après. Pas beaucoup, trois en tout. Et j'ai profané leurs corps en les violant, les sodomisant et me servant de leurs bouches... une fois morte. Alors qu'elles étaient encore chaude, puis froide. J'ai apprécié.

Il la regarde, elle tremble un peu plus en entendant ses paroles. Pas facile de se dire que son père est un tel monstre.

- Je te rassure, je ne vais pas te tuer. Je vais te garder, longtemps, tu remplaceras ta mère. Tu sais, tout est de ta faute. À te pavaner comme une chienne en chaleur, à m'exciter comme une salope en t'habillant en putain. C'est là, quand tu as été formée que j'ai commencé à ne plus aimer ta mère, et à avoir envie de toi. De te violer, de te défoncer la chatte. J'ai attendu tes dix-huit ans. Et maintenant je t'ai punis comme la putain que tu es le mérite.

Emma sanglote plus fort, ses paroles lui font aussi mal que sa bite.

- Mais j'aurais préféré t'entendre hurler, sans bâillon. Mais ici, je n'ai pas le droit. C'est un des hôtels de l'organisation où je me fournis en chienne comme toi. Mais comme certains baisent toute la journée, on doit faire silence dans les chambres de vingt-deux heures à quatre heures du matin. Même si les chambres sont insonorisée, certains hurlements franchissent les murs.

Puis Jeff s'approche du lit, il ouvre un tiroir. Il y a une télécommande. Il la connaît par cœur. Il appui sur un bouton, une chaîne, terminé par une paire de menotte sort d'un pan du mur qui vient de s'ouvrir. Il tire la chaîne jusque à Emma. Il tourne sa fille sur le dos, qui comme seule réaction, grogne. Il lui rabat les bras au-dessus de la tête et la menotte. Il appuie sur un autre bouton de la télécommande. Deux autre morceau du mur s'ouvre. Il en tire de chacun une chaîne, terminée par un seul bracelet de menottes. Il en cingle chaque cheville de sa fille. Puis, toujours à l'aide de la télécommande, il fait remonter la chaîne reliée aux poignets d'Emma. La mettant en tension.

Jeff s'assoit alors sur le ventre d'Emma. Il manipule encore une fois la télécommande. La chaîne se rétracte. Seul les jambes et le cul de sa fille se relève. Il se relève et fini de régler les chaînes à la main. Emma est couchée sur le dos. Bras tendu au-dessus de sa tête. Jambes haut-relevées, touchant presque les épaules de la malheureuse, lui relevant les fesses et rendant ainsi très accessible sa chatte et son anus. C'est ce dernier qu'il compte visiter maintenant. Mais il prend son temps. Il avale une pilule sexe-dure. Puis Jeff caresse d'abord le visage de sa fille. En la voyant pleurer de plus belle, et sursauter quand il la touche, une idée lui vient. Le père promène alors son sexe sur le visage de sa fille. Ensuite il se branle au dessus de son visage, lui pinçant méchamment un téton si elle s'avise de fermer les yeux. Au bout de dix minute, il jouit abondamment sur le front, les joues, les cheveux d'Emma. Ponctuant son éjaculation d'une phrase humiliante.

- Tu es tellement plus belle décorée comme cela ! On dirait un arbre de Noël !

Sa blague le fait, bien entendu, plus rire lui qu'elle.

Moi :

Un silence pesant envahit la pièce. Tous mes violeurs sont autour de moi. Je me demande ce que l'on attend. Quand j'entends un brouha envahir la pièce, je me doute que ma quatrième punition va bientôt commencer. Quand dans mon champs de vision apparaît la femme de Greg, un long hululement d'horreur sort de ma gorge. Ce n'est pas possible, ce ne peut pas être ça ! Greg ne peut être aussi cruel, aussi monstrueux ?

Elle tient en laisse un énorme dogue allemand. Puis apparaissent alors les deux filles de Greg. Tenant elles aussi, chacune un énorme dogue allemand en laisse. Je ne veux pas croire qu'ils sont pour moi. Aussi monstrueux soit-il, Greg ne peut pas me faire violer par des chiens. Pitié mon dieu, tout sauf ça. Je suis un être humain, je ne peux pas être accouplée avec des clébards. Je ne veux pas leurs sexes dans le mien, je n'y survivrais pas.

- Pitié Greg, pitié, pas ça.

Sa voix résonne derrière-moi.

- Je comprends que tu sois impressionnée, alors pour cette fois ça va. Mais à partir de maintenant, chacun de tes suppliques te vaudra un chien de plus...

Je sais qu'il ne rigole pas, alors je me tais. Je ne peux me préparer à ce coït horrible qui s'annonce. Alors je fais la seule chose que je puisse faire... Je pleure. Une habitude qui ne me quitte plus depuis cette fameuse sortie avec Greg et Meyer.

La femme de Greg s'approche la première avec son dogue allemand. Elle le met devant mon visage, de côté. Proche, si proche que je sens la chaleur de l'animal. Je me mets à trembler de tout mon corps, mais je ne peux rien faire pour éviter l'inéluctable, je suis trop bien attachée pour cela. La femme de Greg fait avancer le clébard, jusque à ce que son sexe soit devant mes yeux. Le pénis canin est encore dans son fourreau.

- Sort la langue, et lèche lui la bite !

L'ordre horrible vient de mon dos, j'ai reconnu la voix de Greg. Je ne peux pas obéir, c'est au-dessus de mes forces. Une minute plus tard je hurle comme une folle, tandis qu'une douleur fulgurante me traverse le corps.

- C'est une matraque électrique, la pute. Faible ampérage, voltage au maximum de douleur sans risque d'évanouissement ou de crise cardiaque. Alors évite-toi de la souffrance inutile, sors ta putain de langue et lèche la bite du chien ! À un moment ou à un autre tu le feras...

« Jamais, je le ferais jamais ! ». Je ne le lui dis pas, mais je le pense au fond de moi. Pour tout vous dire, je ne répond rien. Alors de nouveau la matraque se pose sur ma fesse, la douleur électrique me traverse et je hurle... À chaque fois Greg m'ordonne de sucer le chien, à chaque fois je ne répond pas, à chaque fois il applique la matraque sur ma fesse, envoyant la sauce, me faisant hurler.

Quand il la pose sur ma fesse pour la sixième fois, je craque.

- Arrête ! Arrête !

- Tu vas lécher la bite de ce maudit chien ?

Pour toute réponse je sors ma lange, et avec dégoût, je l'applique sur le sexe canin.

- C'est bien la pute, tu vas voir, les trois clebs sont d'une énergie et d'un érotisme impressionnant avec les chiennes de ton espèce.

Je n'écoute pas ce qu'il dit, je suis obligée de mettre toute ma concentration pour me retenir de vomir tout en léchant le sexe du chien. Rapidement mes caresses linguale font effet, et un pénis animal plus long et plus épais que ceux des hommes qui me violent depuis des jours apparaît. Dès qu'elle voit l'animal bandé, la femme de Greg me le met face à moi.

- Embrasse ton futur amant. Un peu de tendresse bordel !

Le monstre, il veut donc m'humilier jusque au bout. Il n'a donc aucune pitié ? Aucune humanité ? Et moi, je n'ai donc aucune limite à mon obéissance ? À ma soumission ? À ma destruction ?

J'ouvre grand la bouche, je lèche la bouche du chien. L'animal fait de même, sortant sa langue. On se roule un simulacre de pelle. Le chien doit être habitué, quand il se recule, c'est pour me monter. Son pénis horrible heurtant mes lèvre close, son corps se posant sur mon dos. Ses pattes sur mes fesses. Quand ses griffes se plantent dans la chair de mon cul, je hurle, alors le pénis canin entre dans ma cavité buccale, m'inondant la bouche et la gorge d'un flot de liquide pré-séminale.

La douleur est horrible, le chien me baise la bouche, me viole la gorge, comme si il prend un sexe. La douleur de ses griffes est aussi fortes que celle de mes mâchoires. Ses couilles heurtent mon menton à une vitesse hallucinante, son ventre frappe mon visage, son pénis viole maintenant ma gorge aussi profondément qu'il le peut. Heureusement il va vite. En un peu plus de cinq minutes, sa semence, qu'il envoie directement dans mon œsophage frappe ma gorge. Je suis obligé de tout avaler sous peine de me noyer. Je me rend compte que la semence canine est moins épaisse et a un goût moins fort que celle de l'homme. Mais je me mets à hurler, une boule à la base de son engin vient de gonfler dans ma bouche. Dans un craquement horrible, celui de mes mâchoires qui se déboîtent... La douleur est atroce... Tuez-moi.... putain, tuez-moi...

Ninon.

Les mains de ses agresseurs la pelotent de plus en plus vite, fort, brutalement. De temps en temps, et bien qu'elle se retient autant que possible afin de ne pas leur donner ce plaisir, une plainte échappe à Ninon. Ce qui ont s'en doute n'impressionne pas les brutes, qui au contraire, massacrent ses parties les plus sensibles en ricanant. La jeune femme comprend que à leurs yeux, elle n'est qu'un objet vivant, commode, dont ils vont se servir jusque à son épuisement, ou à celui de leurs sales désirs... puis ensuite... il y aura sûrement l'équipage... tout repartira alors de zéro...

Cessant de lui masturber l'intérieur du vagin, la grosse main de l'ignoble individu trouve sans doute que sa victime ne réagit pas assez, saisit à poignée la toison et tire, jouant à la soulever du sol. Mais comme, en même temps, un de ses genoux pèse sur la cuisse droite de Ninon, la jeune femme est bien empêchée de décoller du sol. Si bien qu'elle a l'impression affreuse que si il insiste encore un moment, elle va avoir le pubis scalpé, et souffrirait alors le martyr. Déjà sa souffrance en devient intenable. Ses hurlements de douleurs en témoigne.

Pourtant comme elle se contorsionne vainement pour répondre à la traction et échapper à la pesante pression du genoux dur, ses ruades furent ce qui la sauva. Se faisant, elle offre, de sa chatte, une vision d'une rare obscénité qui fascine son bourreau. Désir soudain affolé et bandant aussi douloureusement que sa victime qui, elle, est loin de tout désir sexuel, il fourre sa main libre dans la chagatte distendue, enfonçant d'un coup et sans préparation trois de ses gros doigts dans le vagin. Ninon fait une vilaine grimace et hurle comme jamais. Quatre gros rire résonnent en écho. Des larmes lourdes recommencent de couler sur le magnifique visage de la jeune prof tandis que l'homme, après avoir mis les fragiles parois de son vagin en feu, repli ses jambes, ouvrant plus largement encore ses genoux, afin qu'elle adopte la position si inconfortable de la grenouille. Paraissant ainsi projeter,au-devant des hideux désirs des mâles, sa chatte enflée dont le clito est devenu apparent par la position forcée.

Moi :

Sadiquement Meyer tire le chien en arrière, l'arrachant de ma bouche qui, coincée, reste grande ouverte. Mais cela ne m'empêche point de lâcher un terrible hurlement de douleur. Cela fait rire Greg.

- Avec sa bouche grande ouverte, on aura beaucoup moins de mal à lui baiser la gorge.

Sa répartie fait rire tout le monde, sauf moi, bien entendu. D'ailleurs l'un des convives en profite pour s'approcher de moi et m'enfoncer son sexe dans ma bouche et ma gorge en feu. Ils vont être une dizaine ensuite à me faire subir la même chose. Méchamment, avec violence. Jouissant dans ma bouche, ma gorge ou sur mon visage. Quand ils ont fini, la suite peut alors avoir lieu. Mais avant Greg s'approche de moi, une seringue à la main. Je crie plus de surprise que de douleur quand il l'enfonce dans ma fesse.

- N'aie pas peur sale chienne, c'est juste un petit produit pour éviter que tu t'évanouisses. Ce serait idiot que tu manques la suite de ce qui t'attends.

Ensuite, d'une violente gifle, il remet ma mâchoire en place, c'est douloureux.

Et la suite va être encore plus horrible pour moi que tout ce que j'ai vécu jusqu'à présent. Quand on approche le deuxième chien devant moi, je sais ce que je dois faire. Je sors ma langue et la tire au travers de ma bouche coincée en position grande ouverte. Je le lèche, jusque à ce qu'il bande entièrement. Je m'attends à ce que le sexe de ce maudit clébard s'enfonce à tout moment dans ma bouche. Je ne comprends pas quand on l'éloigne de mon visage, que son énorme sexe bien dur quitte ma vision.

Je n'ai pas bien longtemps à rester dans l'incertitude. Quand je sens le souffle chaud de l'animal sur mes fesses, je comprends immédiatement ce qu'il m'attend. Ce n'est pas possible, ils ne peuvent pas me faire ça. C'est abject, pire que tout, mon dieu, tue-moi sur place, je t'en supplie ! Que mon cœur lâche ! Que j'ai un AVC ! Peu importe, mais dieu, pitié, fais-moi mourir !!!

Je me mets à pleurer comme une malade, ma bave coulant sur le sol. Je tente de me débattre, en vain. Alors je me mets à supplier, également en vain, pire, cela ne fait que faire rire l'assistance. Je suis au bord de la crise de nerf, quand le dogue, très lourd, grimpe sur mon dos. Je me mets à hurler à la mort, quand les griffes acérés du chien se plante dans mes seins. De fines rigole de sang, sans gravité hélas pour moi, mais si douloureuse, se mettent alors à couler.

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