La Queue de Sirène

Informations sur Récit
Un couple de touriste vient fanfaronner dans le mauvais bar.
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Partie 1 de la série de 2 pièces

Actualisé 06/11/2023
Créé 02/08/2022
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Bonjour, aujourd'hui, le texte que je fais paraître n'est pas de moi. C'est une traduction d'un auteur en langue anglaise du nom de Corvid. Je l'ai trouvé sur le site ravishu. Je l'ai adoré. Avec l'aimable autorisation de l'auteur, j'en ai donc fais la traduction. Il a écrit pas mal de textes du même genre, que je traduirais également, si celui-ci rencontre du succès. Je tiens à signaler que ce texte très violent, est basé sur le viol. Il est imaginaire, et toutes ressemblances avec des personnages existants, dans la même situation, serait purement fortuite. Toutes les personnes sont majeures, et personne n'a été réellement blessés. Pour ceux qui n'aime pas les histoires violentes, ou de viols, passé votre chemin, vous n'aimerez vraiment pas celui-ci. Pour les autres, j'espère que vous prendrez autant de plaisirs à le lire, que j'en ai eus. Bonne lecture.

J'ai volontairement laissé certaines expressions, bien que traduite, dans leurs mots d'origines, quand leurs traductions en français a un sens. Pour les unités de mesures, j'ai là aussi laissé les unités anglo-saxonne, mais je donne leurs équivalent en mesure européenne.

La « Queue de Sirène » n'est pas là pour vous accueillir.

Lundi n'est pas « gratuit pour les filles ». Il n'y a pas d'« Happy Hours ». Il n'y a pas de boisson signature avec un nom à double sens, servie dans un bol de poisson, avec du poisson suédois flottant dans le curaçao bleu et un coffre au trésor en plastique au fond. Le téléviseur derrière le bar est un vieux tube cathodique et n'a pas de bouquets satellites, de câble ou de box, pour suivre tous les grands événements sportifs.

Il ne suffit pas simplement de dire que « la Queue de Sirène » ne se souci pas si vous êtes là. Il est plus proche de dire qu'elle est tranquillement hostile à votre existence. Quand vous êtes venu une douzaine de fois, malgré cet accueil, quand vous avez célébré au moins une fête là-bas, parce que vous n'aviez personne d'autre avec qui le célébrer, quand vous vous êtes étiez réveillé dans le lit à l'arrière, avec un mot disant que vingt dollars ont été ajoutés à votre note, pour nettoyer le vomit... Ensuite, seulement, vous pouvez aller jusqu'à dire que la « Queue de Sirène » a accepté que vous alliez resté dans le coin, et ira jusqu'à tolérer votre présence.

Les habitués l'aiment de cette façon. Ils sont pour la plupart des marins, des pêcheurs, plus la poignée qui gagnent leur vie en approvisionnant et en réparant leurs bateaux. Quand ils sont en mer, ils travaillent fort dans des eaux impitoyables; pendant qu'ils sont à terre, ils envoient une pension alimentaire pour enfants à leurs ex, se plaignent des choses qui se brisent sur leurs bateaux, se plaignent que les eaux ne sont plus ce qu'elles étaient, que les prises sont rares, que les nouvelles mains sont un tas de chattes; et, bien sûr, boire.

C'est tout cela la « Queue de Sirène », et en un mot, c'est la ville de Wry. Venez au travail, restez pour faire pousser de la mousse ou ne venez pas du tout.

Donc, quand ces deux-là sont arrivés, cette nuit-là, tout le monde comprend qu'ils cherchent à causer des problèmes.

Ce type, il a l'air d'avoir été ciré dans des endroits inconfortables. Il a un de ces bronzages parfaitement uniformes qui provient probablement d'une cabine de bronzage, sûr que l'enfer n'est pas venu de travailler au soleil. Les muscles, aussi, mais même problème. Ce sont des muscles de spectacle, des muscles qui viennent d'un gymnase, de poudre de protéines, d'un entraîneur personnel, pas des muscles né d'un travail acharné, encore et encore. Il porte un polo à manches courtes et un jean de créateur, ses cheveux semi-décolorés sont dans l'un de ces putain de chignons... pour l'amour du Christ!

La fille est un morceau de cul chaud, très chaud. Il n'y a pas deux façons de le dire. Une peau parfaite, des cheveux roux négligemment ébouriffés qui ont dû prendre une heure à réaliser, deux seins majestueux, énormes, empilés en orbite et avec un cul assorti, sur de longues jambes toniques et une petite taille serrée pour les montrer. Et juste pour pousser l'effet à l'absurde, elle porte une chemise verte boutonnée avec peut-être deux boutons réellement fermés et le reste, en dessous, attaché, joli et serré dans un nœud bien au-dessus de sa cage thoracique, montrant un décolleté ridiculement obscène ainsi que tout son ventre, pour finir par un short en jean coupé serré, qui a été coupé bien au-dessus de ses cuisses. En bref, la parfaite tenue du petit canon, juste destinée à allumer la gente masculine.

Les touristes, ce ne sont que des touristes, pensions-nous tous. Venu ici pour l'amour de foutre la merde. Bien qu'il aurait pu être aussi exact de dire que les touristes et pour l'amour de foutre la merde soient des synonymes.

Ils ont donc eus le nez froid en venant ici, nous avons pensé qu'ils finiraient par obtenir l'indice qu'il n'y a rien d'intéressant pour eux dans le coin. Pour aller ensuite dans l'une des autres villes côtières, avec leurs nombreux bars qui s'adressent réellement aux touristes, plutôt que d'essayer de se prouver quelque chose en s'enfonçant dans un bar de travailleurs à la sueur de leurs fronts. Tout ce qu'eux deux ne sont pas.

Après une dizaine de minutes à ne pas être servie, Nancy est finalement venue; leurs demandant ce qu'ils boivent. Tan Man a demandé une sorte de microbrasserie de boutique, et Nancy, bénis son cœur, n'a pas levé les yeux au ciel quand elle a dit que, bien sûr, ils ne l'avaient pas. Il en cite alors quelques autres, devenant de plus en plus mordants, Nancy lui dit qu'ils ne les ont pas non plus; peut-être aimerait-il un Heineken? Il semble qu'elle vient de lui offrir un verre de morve chaude, mais il dit : très bien, donnez-en deux d'entre eux. Juste avant qu'elle ne puisse vraiment l'offenser en suggérant quelque chose fait par Budweiser ou Miller.

La fille repousse son cul sur le tabouret afin que chaque homme dans la place puisse clairement voir ce que son short couvre, ou plutôt, ne couvre pas. Elle se cambre le dos et s'étire, vous pouvez alors sentir les hommes autour du bar devenir raides à plus d'un titre. Pendant ce temps, le gars parle de ce qu'est une décharge, de ce qu'est une décharge en parlant de la ville, du bar, de pourquoi sont-ils venus ici, quel genre de perdant deviez-vous être pour vous retrouver dans un endroit comme celui-ci. Il le dit tranquillement, mais pas vraiment; à la fille, mais pas vraiment qu'à elle. Juste assez fort pour que beaucoup l'entende.

Les bières viennent. Le bar ne sert pas beaucoup d'importations, bien sûr car l'enfer ne les garde pas au robinet pour les pressions, mais il y a quelques dizaines de bouteilles dans une glacière derrière le bar. Certains des habitués se sont retrouvés dans des endroits intéressants, pour le service militaire ou d'autres aventures, et parfois quelqu'un a envie de quelque chose de nostalgique.

Tan Man grimace avec la première gorgée. Il tape une carte de crédit haut de gamme sur le bar et dit à Nancy de faire tourner la facture là-bas, ils ne resteront pas longtemps. La jeune fille frotte sa propre bouteille le long de son décolleté, laissant des gouttes de condensation s'y répandre, puis glisser le long de ses seins, sous le col à moitié ouvert de sa chemise.

À ce moment-là, je sais que nous voyions un scénario bien usé se dérouler.

Tout d'abord, la fille a l'attention de tous les hommes du bar. Elle l'aurait eu dans n'importe quel bar qui ne favorise pas une clientèle gay, franchement. Si un tel bar avait eu des couples, les hommes de ces couples n'auraient pas eu de chance, cette nuit-là, après que leurs femmes aient vu la façon dont leurs hommes avaient regardé la rousse. Tout cela a fait des merveilles pour l'ego de la fille et du gars qui peut alors dire qu'elle est à lui, rien qu'à lui.

Deuxièmement, la façon dont la fille présente et se comporte, elle invite presque quelqu'un à lui dire quelque chose, sinon à saisir quelque chose. Le gars montre ensuite un truc qu'il a apprit d'une école de karaté se trouvant dans un centre commercial, mettant en jeu ces biceps polis au gymnase. En éliminant « l'agresseur » de sa petite amie, il établit ainsi une domination non seulement sur le joker malchanceux, mais sur tous les clients du bar.

Ayant eu leur petite « promenade du côté sauvage », se faisant comprendre qu'elle est folle de chaleur, qu'il est un loup alpha, et qu'ils sont tous les deux aventureux et imprévisibles, les deux font alors leur sortie, retournant alors dans un endroit confortable pour baiser comme des lapins.

Derrière le bar, Gus m'a jeté un coup d'œil. Il jette un coup d'œil à la porte d'entrée, puis revint vers moi et hoche la tête. Je me suis levé tranquillement de ma table d'angle, j'ai tiré la chaîne sur le panneau « ouvert » au néon et j'ai tourné le loquet de la porte. Ici on n'est pas dans le bar le plus bruyant du monde, mais entre le juke-box et la télévision, il y a suffisamment de bruit pour que mes actions n'attirent pas l'attention des nouveaux clients.

Dans beaucoup de bars, le petit fantasme de pouvoir de Tan Man et Gros Seins s'est probablement déroulé plus ou moins comme ils l'ont écrit. Soit tout le monde regardent la fille mais personne ne fait un geste, soit un suceur a testé les eaux et a été publiquement humilié par Tan Man pour ses douleurs. L'un ou l'autre sont bien pour leur routine « Roi et Reine de l'Univers », mais ces fins dépendent du fait que les clients du bar les trouvent intimidants et ne soupçonnent pas vraiment leur jeu. Quiconque s'approche doit parler à elle d'une manière si timide, d'une manière qui aille plus que la simple politesse, d'une façon emplit de dévotion.

Paulo s'est approché du gars, l'a tapoté sur l'épaule, et quand il s'est retourné, la bouche à moitié ouverte, Paulo a brisé sa propre bouteille de bière sur le côté de la tête du gars.

Oui, ils n'ont pas enseigné ce coup là à l'école de karaté pour petit bourgeois pédé.

Tan Man titube, serrant son visage, le sang coulant sur le côté de son profil glamour, j'y vois de dizaines de petites coupures. Paulo ne s'est pas arrêté là non plus, le poussant hors de son tabouret sur le sol, commençant alors à lui donner des coups de pied puissant.

- Tu penses que c'est drôle, toi petite merde? Vous pensez que vous allez venir ici et pisser partout sur nous, avec votre pute et votre carte bleue en or? Que vous allez être le grand homme? Tu te sens si grand maintenant, connard?

La rousse crie d'abord de manière hystérique, puis pour que Paulo le laisse tranquille. Le pêcheur portugais ne montre aucun signe particulier d'écoute, alternant entre donner des coups de pied à l'homme abattu, à la tête et à l'aine, selon l'endroit où il essaie de se couvrir avec ses bras, allant parfois chercher le torse juste pour la variété. Paulo portait cette nuit-là de bonnes bottes de travail à bout d'acier,

La magnifique rousse commence tout juste à réaliser qu'elle ferait mieux d'essayer un autre type d'intervention, avant que Paulo ne donne le coup de pied de trop, celui qui battra son petit ami à mort, lorsque Kurt et Sam l'ont prise par les bras et l'ont retournée vers le bar.

- Maintenant, vous vous tenez juste bien là, sans plus bouger tes énormes seins de salope! Grogne Kurt. Vous gardez ce cul planté sur le siège pendant que nous décidons de ce que nous allons en faire. Paulo s'occupera bien de ton garçon, ne t'inquiète pas. »

Et Paulo l'a fait. Il n'est ni un tel animal, ni si profondément hors-de-lui, qu'il ne va pas réellement donner le coup de pied de trop à la merde stupide allongé sur le sol, enfin pas pour l'achever en tout cas. Mais il ne l'a pas fait à moitié non plus. Au moment où il a lâché prise, un œil était complètement fermé, son visage était enflé, il avait perdu plusieurs dents et il lui faisait clairement mal de respirer. Je n'aurais pas été surpris non plus, si Tan Man va découvrir qu'il a du sang mélangé à son urine la prochaine fois qu'il va allé prendre une pisse.

« Asseyez-le », grogne Paulo. Cal et Red John l'ont traîné sur le sol du bar, le soutenant en position assise sur le sol, le dos contre le séparateur entre deux des cabines. Tan Man a abandonné un gargouillis et a vomi sur le devant de son polo taché de sang.

Au bar, détruite par la démolition de son petit ami, la rousse tremble et émet un petit gémissement. Elle regarde Nancy, la seule autre femme de l'endroit, espérant une sorte d'influence apaisante sur tous les grands hommes brutaux.

Nancy la regarde durement. Elle est au bar depuis vingt ans, baisant avec certains clients, se faisant baiser par d'autres. Elle sait qu'il n'y a personne qui peut parler de quelque chose pour les calmer, ce soir-là. Car une fois qu'ils ont mis leurs moteurs en marche, la règle cardinale est vraiment putain d'évidente, en ce qui la concerne: Surtout ne vous mettez pas dans une mauvaise situation en premier lieu, alors la mauvaise merde ne vous arrivera pas. Ayant échoué à ce test d'intelligence le plus primitif, tout ce qui s'est passé ensuite, est exactement ce que le couple avait à gagner à venir ici, la mauvaise nature en action, rouge dans les dents et la griffe en marche.

Ou, pour faire plus simple comme l'a dit le sage: jouez à des jeux stupides, gagnez des prix stupides.

« Hé, la putain, » appela Paulo. « Ne pensez surtout pas que nous vous avons oublié. Vous êtes celle qui a eu un grand homme, se trouvant maintenant ici, tout gonflé, pensant que c'est quelqu'un où qu'il aille. Pensant que vous pouvez exhiber ces gros seins, faire baver les hommes sur vous, puis les laisser tous avec des boules bleues, parce que vous avez le Roi Merdeux là-bas pour surveiller votre précieux cul. Vous êtes pire que lui! Il pense qu'il est de la merde chaude parce qu'il vous a, mais vous pensez que vous avez tous les hommes autour de vous, qui sont enroulés autour de votre doigt sans avoir à leurs abandonner votre cul si précieux? Vous pensez que j'ai mal compris? Que vous ne jouez pas à ce petit jeu? »

Paulo a ponctué ses paroles, sans attendre de réponse de la rousse, en donnant un coup de pied à l'homme, le cognant à la cuisse. Il a essayé de se faufiler sur le côté, seulement pour que Red John le ramène à une position assise.

« Tu te fais déchirer, tu baises putain. Seulement vous allez l'avoir vraiment intime, comme une pute qui est venue ici pour se faire un max de fric, mais vous, vous n'aurez pas la garantie de repartir indemne. »

En marchant jusqu'à l'endroit où Kurt et Sam ont poussé la rousse, la tenant encore par les bras, sans avertissement, Paulo a poussé ses mitaines sous ses aisselles, il a alors attrapé ses gros seins à travers sa chemise, avec les deux mains, serrant fort. La rousse fait un bruit comme si tout l'air avait été évacué hors d'elle, puis cria.

« Pédé, retire-toi, enlève tes mains de moi! Ne me touche pas! Lâchez prise! Immédiatement!»

Sa voix est douce, haute et totalement girly. J'ai deviné que son petit ami parle la plupart des discussions pour elle, ce n'est pas étonnant, cette voix n'inspirera jamais le respect, même à une fille dans le même genre qu'elle. Elle ne hélerait même pas un taxi dans une rue animée.

Paulo relâche son emprise, seulement pour se pencher en avant puis donner une claque à deux mains à ses seins. Cela lui a valu un autre bon cri, et les hommes autour d'elle ont souris, se sont caressés puis se sont léché les lèvres. Des mésanges qui sont si grosses et si sensibles? Alors la rousse va être dans une nuit d'enfer.

« Tais-toi, salope. Ferme ta gueule, obtenez ce qui vous arrive, tu l'as voulu ben tu vas l'avoir. Vous ne ferez qu'empirer les choses si vous nous énervez davantage! »

Il se penche contre elle, pressant sa poitrine contre son dos, alors qu'il continue à saisir et à meuler ses gros seins. Je me demande si elle s'attend à tout ce qu'il va lui arriver. Si elle est prête à ça. Je veux dire, une femme qui a joué à ce genre de jeu a probablement un intérêt à penser que son homme est un méchant alimenté par la testostérone; peut-être que la position du goujon est ouverte? Qu'elle est prête à se faire baiser? Ce n'est pas que cela a vraiment de l'importance, même vraiment pas beaucoup; Paulo a clairement indiqué qu'il a l'intention de la blesser, et il était impatient d'aller bien au-delà de : « donne-moi une petite fessée, je suis une mauvaise fille ».

Gouge et tirer, tordre et écraser, il a enfoncé ses doigts profondément dans les seins de la rousse, les travaillant vraiment, écoutant comment elle respire, comment elle gémit, comment elle grogne. Il a pris note des choses qui l'ont fait se raidir, des choses qui l'ont fait vaciller, des réponses qu'elle ne peut pas exagérer ou simuler, ce sont les choses qu'il a faites encore et encore. Il a clairement indiqué que ses seins étaient là pour qu'il lui fasse mal, ce soir, et qu'il allait les utiliser dans cette optique. Et même plus que ça...

Elle gémit de peur, quand il secoue ses hanches en arrière, tirant son dos du tabouret, mais Sam et Kurt ont une bonne prise sur elle, la rousse ne tombe pas vraiment. Paulo a creusé ses mains sous les côtés de ses coupures et les a secouées le long de ses jambes. J'ai eu un bref aperçu d'un string en G, mais il a dérapé jusqu'au sol avec le short; Paulo ne voulait apparemment aucune sorte de strip-tease ou de préliminaires, il voulait juste y accéder. Puis son cul est nu, et oui, c'est vraiment glorieux. Les aperçus en demi-lune sortant des coupures du short, avaient été tentants, mais ce cul majestueux est le repas complet. Sans me vanter, j'en ai vu des culs, des petits, des gros, des ronds, des plats, mais des comme celui de la rousse, aussi parfait, jamais.

Il a fallu un moment à Kurt et Sam pour comprendre ce que Paulo voulait quand il l'a poussée vers l'avant, mais ils l'ont rapidement compris. Il voulait qu'elle revienne sur le tabouret de bar. Des hanches perchées sur le bord de son dos, penchées en avant, ce cul qui dépasse vers lui pendant qu'ils la tienne en place, contenue entre les hommes qui la maintienne, et le tabouret pour qu'il puisse isoler et infliger la plus grande souffrance à cet arrière-train si érotique...

Son petit ami hurle de son point de vue, sur le sol, ce qui lui a valut un coup de pied dans le ventre par Cal. Cela l'a fait taire. Paulo a ouvert la braguette de son jean, il sort sa grosse saucisse portugaise, une bonne dizaine de pouces, soit un peu plus de vingt-cinq centimètres. Une sorte de bâton de drapeau dur, devenu violet avec le désir urgent de déchirer la chienne. Kurt et Sam ont poussé ses épaules vers l'avant, épinglant son visage contre le zinc du bar, alors qu'elle sanglote. Retenant son souffle alors qu'elle sent Paulo qui s'installe derrière le tabouret d'où son cul ferme dépasse.

La tête de sa grosse bite va droit entre ses joues arrière, puis contre son trou du cul, pas de pause pour cracher ou tout autre type de lubrifiant. Elle laisse échapper un gémissement vif, bruyant, quand elle réalise ce qu'il a l'intention de faire, ses hanches se balançant d'avant en arrière sur leur perchoir, mais il y a quatre cents livres, soit près de deux cent kilos, d'hommes silencieux, habitué au travail portuaire, qui la maintienne en place. La rousse ne va allée nulle part ailleurs, son putain de cul va rester sur ce tabouret... Offert... Elle peut se débattre autant qu'elle veut, cela est totalement inutile, elle ne peut bouger d'un centimètre...

Paulo se penche à nouveau en avant, attrapant cette fois sa chemise et déchirant ce nœud stupide pour que ceux qui l'entourent puissent mieux regarder ces gros seins, ces mamelons durs, ces marques de ses mains rugueuses qui seront sûrement des ecchymoses demain. Mais seulement pour un moment, parce que rapidement les mains de Paulo sont pleines de cette chair, une fois de plus, creusant profondément dans ces orbes, cette fois pour l'effet de levier.

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