Les Jumeaux D'amour Ch. 11

BÊTA PUBLIQUE

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Loïc rebanda aussitôt. Il adorait faire l'amour en tandem avec son grand frère black mais les filles n'étaient pas toujours disposées à encaisser les deux monumentales verges en même temps. En plus, comme il était abonné au côté vagin, il aurait les seins de Soise à sa merci durant tout leur accouplement qu'il espérait le plus bestial possible. Toussaint était tout aussi excité et palpait déjà le voluptueux fessier avec un air de propriétaire avant l'heure.

Ils ne furent pas déçus ; Léa et Gabi participèrent à la 'mise à mort' de la pulpeuse infirmière an l'obligeant à s'empaler sur le sexe de Loïc puis la maintinrent tandis que Toussaint lui écartelait l'anus.

« WAAOOOUUUU! » hurla ma rouquine lorsque la géante noire rejoignit la géante blanche « ARRETEZ! Y A PLUS DE PLACE!! AAAAAHHH! PITIE!!! »

Sous le regard un peu inquiet de Lucie, les deux garçons se mirent à baiser Soise avec une énergie et une coordination qui en disaient long sur leurs antécédents. En plus, Loïc triturait avec une délectation non dissimulée la lourde poitrine de la rouquine en poussant des grognements de contentement. Les deux autres filles s'étaient installées de part et d'autre du trio et se masturbaient comme des folles en les matant sans vergogne. Seule Lucie mis un certain temps à se mettre au diapason et encore, il fallut le premier orgasme de Soise pour la rassurer et la décider à se laisser aller.

Les garçons faisaient assaut de résistance et de vigueur et ne se décidèrent à inonder Soise de leur semence qu'après son quatrième orgasme et le deuxième ou troisième des autres participantes. C'était l'orgasme de trop pour l'infirmière qui ne réagit plus aux sollicitations de Loïc qui lui proposait de descendre de son piédestal de chair pour se reposer à ses côtés. Complètement dans les vapes, il fallut que Toussaint la désincarcère de la verge de son ami et la dépose lui-même sur le lit.

Pendant que Lucie vérifiait si Françoise n'avait pas de malaise, Léa glissa à son frère

« Ouf, quel match. J'aime bien Tara mais ce n'est pas elle que vous auriez pu prendre en sandwich! La prochaine fois, vous devriez essayer avec Lulu ...»

Léa aurait néanmoins été surprise par le spectacle offert par Tahira et Karim au même moment. Le jeune couple s'ébattait gaillardement dans leur lit sous les yeux de Fatima qui avait décidé de concilier son rôle de duègne et les besoins sexuels du jeune couple. Cela avait été plus que difficile au départ, surtout pour Karim, de laisser libre cours à leur sensualité en présence de leur mère et presque belle-mère mais Fatima avait su se faire discrète et ils avaient fini par oublier sa présence à la longue.

Ils avaient maintenant un rituel bien rôdé. Lorsque le jeune couple avait envie de faire l'amour, ils devaient impérativement le faire avant ou après les heures de travail de Fatima. Ils invitaient donc la matrone dans son ancienne chambre -- qu'elle leur avait laissé pour que le couple puisse profiter d'un grand lit -- pour assister à leurs ébats qui commençaient invariablement par un 69. Après avoir joui dans la bouche l'un de l'autre, Tara caressait son mâle jusqu'à ce qu'il bande de nouveau et soit en état de la laisser le prendre en cow-girl. Plus rarement, il la prenait en levrette et exceptionnellement en missionnaire qui était une position que Tahira n'affectionnait plus du tout depuis son viol.

Leur session se terminait généralement par une sodomie que Tara appréciait particulièrement vu les dimensions relativement modestes de son amant. Une fois que Karim s'était répandu dans son cul et qu'ils reposaient rassasiés, Fatima imperturbable les quittait après leur avoir souhaité une bonne nuit quand elle ne devait les quitter pour aller prendre son service.

A l'une ou l'autre occasion, alors que leur accouplement final se prolongeait, la mère de Karim, impatiente, avait elle-même caressé les bourses de son fils pour accélérer sa jouissance, ce qui n'avait jamais manqué de se produire.

Tara et Karim ne s'en faisaient pas trop pour l'équilibre sexuel de Fatima. Comme à l'époque où ils partageaient des séances de voyeurisme dans le couloir en matant la grosse femme, ils savaient que celle-ci ne manquait jamais de se masturber dans l'ancienne chambre de Karim qui était la sienne désormais.

Tara avait bien parfois quelques regrets se son séjour chez les jumeaux où elle pouvait encore se repaître du splendide corps féminin de Léa mais elle savait bien que les Tawfiq ne pourraient accepter que leur débauche soit connue au-delà du cercle familial. Elle s'en était ouverte à son fiancé qui lui avait formellement interdit toute tentative de coucherie avec son ancienne amante ou avec Anne-Marie, même pour fêter leur réussite aux examens. Il lui avait par contre promis qu'il y aurait peut-être moyen d'organiser quelque chose avec une cousine du pays qui allait bientôt leur rendre visite.

La seule fantaisie que Tahira avait réussi à introduire dans la vie sexuelle de la famille était les godes. Avec le salaire de son quart temps, elle avait offert à sa belle-mère une collection de vibros et godes de toutes dimensions, en ce compris des plugs anaux. La matrone n'avait semblée ni émue ni fâchée du cadeau mais une rapide inspection de sa chambre pendant ses heures de travail avait vite révélé qu'elle s'en servait abondamment.

Du coup, considérant qu'il y avait approbation tacite de sa mère, Karim leur avait acheté une collection encore plus complète avec un vagin artificiel dont ils se servaient lorsque leur besoin de faire l'amour devenait trop fort et que Fatima ne pouvait être présente! Ils avaient ainsi passé quelques soirées assez torrides, presque sans se toucher, la verge de Karim engoncée dans la gaine trayeuse et Tara percée de godes de plugs dans tous ses orifices. Pour ne pas en être de reste, le garçon avait même essayé lui aussi les plugs et, malgré certaines résistances culturelles au départ, avait fini par les apprécier au plus haut point jusqu'à les utiliser en présence de sa mère douairière.

Par contre, leur comportement à l'extérieur de leur domicile témoignait de la plus parfaite chasteté dans leur relation et personne n'était au courant du déluge de stupre dans lequel ils se complaisaient.

Vices privés, vertu publique

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