Les Jumeaux D'amour Ch. 11

Informations sur Récit
Les émois érotiques de Léa et Loïc Tome II Chapitre 11.
4.6k mots
4.52
12.2k
1
0

Partie 11 de la série de 12 pièces

Actualisé 03/19/2021
Créé 01/14/2015
Partagez cette Récit

Taille de Police

Taille de Police par Défaut

Espacement des Polices

Espacement des Polices par Défaut

Face de Police

Face de Police par Défaut

Thème de Lecture

Thème par Défaut (Blanc)
Tu dois Connectez-Vous ou Inscrivez-Vous pour enregistrer votre personnalisation dans votre profil Literotica.
BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

Chapitre 11 : Délires et Débauches (III)

Le reste du mois de juin se passa nettement plus agréablement pour Toussaint. Il était devenu l'homme de confiance de Walter Lévèque à la fois pour les livraisons et les encaissements mais aussi pour les surveillances les plus sensibles. Tout cela l'amenait à se présenter au moins une fois par jour au domicile des Lévèque-Delpierre pour enlever des livraisons ou ramener de l'argent voire faire son rapport. Et chacune de ses visites quotidiennes se terminait dans le lit de Soise au point de déclencher une crise de jalousie de Léa qui se rétracta par la suite mais Toussaint comprit l'avertissement. Il se fit plus discret, évitant de parler de Walter, prenant une douche après avoir fait l'amour à Françoise et demandant à deux reprises du 'pot lillois' au Doc lorsqu'il se retrouva avec Françoise ET Lucie dans le lit de la première.

Bien lui en prit car les deux fois, comme avertie par un sixième sens, Léa insista pour faire l'amour, se montrant même beaucoup plus excitée qu'elle ne l'avait été depuis le début de la période d'examens. Elle se démena pour le faire jouir dans ses trois ouvertures non sans avoir pris son plaisir à cinq ou six reprises elle-même!

Vint enfin la fin des examens. Le soir même, les trois étudiants suivirent leurs congénères dans une fête d'enfer pour évacuer la pression . Toussaint préféra rester en réserve de la République ; l'alcool ne lui réussissait pas trop et il ne se sentait pas à l'aise dans un milieu dont il ne partageait pas les centres d'intérêt .

Gabi fut la première à lui téléphoner pour qu'il vienne la chercher dans un café près de la Fac de Médecine et alors qu'il s'apprêtait à la ramener, passablement éméchée, à l'appartement, Léa téléphona à son tour.

« Touz'aint, au zecours! Lo Hic est par terre. On est de .. vant Zix Club »

Toussaint connaissait l'endroit pour y avoir travaillé comme videur et fit le crochet par la rue Ratisbonne pour récupérer les jumeaux. Gabi s'était endormie sur le siège arrière. Il chargea Loïc complètement 'out' à côté d'elle et aida Léa à s'installer sur le siège passager à côté de lui. Elle essaya bien de lui tenir la conversation mais le résultat était pour le moins incohérent

« Bien rigolé mais pas baizé! Touz'aint! Je veux bai.. zer! Bai.. zer Gabbbi.. Loïc .. et doi, mon bel étaton! »

« Y avait qu'à rester avec moi » grommela t'il.

« Touz'aint . Pas te fager sur moi! Je t'aime Touz'! »

Elle s'endormit heureusement avant d'arriver à l'appartement. Le géant noir soupira puis les chargea sur son épaule l'un après l'autre et les monta à l'appartement pour les déposer sur leur lit respectif. Après avoir garé la voiture, il les déshabilla et les installa aussi confortablement que possible. Il termina sa tâche avec une érection impossible ; la manipulation des corps dénudés de ses trois amis et amours l'ayant passablement excité. Il soupira et finit par se coucher à côté de Léa qui dégageait une odeur de vieil alambic.

Il prit sa revanche le lendemain matin. S'étant réveillé le premier, il mit la radio assez fort pour les réveiller en préparant jus de fruits, eau pétillante et café pour trois gueules de bois. Il ne fut pas déçu. Gabi émergea la première et se traîna, nue et pas lavée, jusqu'à la table en marmonnant des propos indistincts à propos du 'un juke box dans sa tête. Léa la suivit mais elle avait fait un effort de toilette et portait un slip et un des T-Shirt de Toussaint. Elle l'enlaça et se frotta contre son corps pour sentir sa chaleur ... et son érection matinale.

« Donne-moi une heure mon amour et je vais te remercier comme une femme doit remercier son sauveur! »

Toussaint sourit puis alla arracher Loïc à son lit. Malgré les protestations du garçon, ce dernier se retrouva à la table du petit déjeuner avant d'avoir compris ce qui lui arrivait. L'œil terne, le cheveu en bataille, il offrait un bien pitoyable spectacle.

« Moi qui avait pris congé en m'attendant à une orgie de sexe, je pense que je vais être déçu » dit Toussaint pendant que les trois autres essayaient de boire leur café.

« Fallait pas faire de l'aussi mauvais café! » protesta Loïc

Gabi posa sa tête sur son épaule et lui dit « Bois encore un peu de jus d'orange et allons prendre une douche bien chaude à nous deux mon amour »

A sa grande surprise, le garçon sentit un tressaillement agiter sa verge. (« L'amour plus fort que la cuite! » se dit-il)

« J'aurai aussi besoin d'un bon décapage des dents et de la langue lui dit-il » sans oser l'embrasser.

Ils se levèrent et, main dans la main , se dirigèrent vers la salle de bains.

Léa se leva et vint se jucher sur les genoux de son amant.

« Mon pauvre Black Lover, tu t'es occupé des trois ivrognes et personne n'a pris soin de toi. Je ne suis peut-être pas en grande forme mais je veux te donner du plaisir pour te remercier .. et parce que je t'aime tellement! »

Il l'embrassa, la souleva dans ses grands bras et la porta jusqu'à leur lit. Il fut remarquablement doux ; la caressant très doucement des pieds à la tête tout en lui enlevant son slip et le T-Shirt. Malgré l'état déplorable de son aimée, il bandait comme un taureau mais n'en laissa rien paraître. Au contraire, il s'appliqua à la lécher avec lenteur, lui faisant progressivement oublier son mal au crâne et son estomac vaseux. Après près de vingt minutes d'une délicieuse torture, elle n'y tint plus et plaqua la bouche de son amant sur sa conque béante en gémissant

« Fais-moi jouir Toussaint mon amour! Maintenant, j'ai trop envie! »

La gigantesque langue de son Black Lover se déchaîna sur son clitoris saillant , englobant la moitié de sa vulve à chaque assaut. Elle geignit, de plus en plus bruyamment puis explosa

« AAAHH . TOUSS'! AAHHH! N'ARRETE PAS! UUUGHHH! »

Le géant noir s'accrocha aux cuisses blanches tandis que le bassin de son amante était agité de convulsions spasmodiques jusqu'à ce que Léa gémisse

« Stop! Je n'en peux plus! Merci mon amour, ooh je plane ... »

Il remonta le long de son corps pour l'embrasser, partageant les sécrétions intimes dont elle l'avait copieusement abreuvé.

« Bouh hou, rien ne vaut un bon shot d'endorphine pour remettre une fille d'aplomb! »

Elle se saisit de l'énorme batte de son amant qui pulsait le long de sa cuisse.

« Qu'est-ce qui ferait plaisir à ma belle verge noire? Se planter dans mon minou? ... Défoncer mon petit cul? ...Ou que je la soulage avec ma bouche? ».

A chacune de ses propositions, elle le branlait puissamment à deux ou trois reprises avant de passer à la suivante. Le garçon haletait et s'empara de ses seins.

« Tu as oublié ta merveilleuse poitrine! »

« C'est vrai mais tu préfères celle de Soise non? »

« Mon amour est jalouse? »

« Un peu. Elle t'a eu pendant presqu'un mois pendant que j'étais obnubilée par mes examens. Quand je pense à toutes les parties de jambes en l'air que j'ai manquées, je suis un peu jalouse, oui! »

« Raison de plus pour que je t'offre une séance de rattrapage! Que penses-tu d'un 'Toussaint Spécial' pour commencer? »

« Tu veux couvrir ta femelle? Tu vas me marquer avec ta grosse bite pour qu'aucun autre mâle ne veuille approcher ta femelle baisée jusque dans sa matrice? »

Sans répondre, il bascula sur elle et, montrant pour la première fois son impatience, il lui ouvrit les cuisses d'un coup de genoux et son gros gland chercha l'ouverture de son minou. Comprenant instinctivement son impatience, elle le guida jusqu'à le placer à l'entrée des grandes lèvre puis attendit l'estocade... Qui ne tarda pas!

« WAAAOOW TOUSS'! ELLE ST ENOOORME! AAAAHHH! SI GROOOSSSE! ... SI LOOOIIN! OOOHH! ... BAISE-MOI! BAISE .. TA .. FEMELLE! »

Le géant se lança à l'abordage de Léa comme si il n'avait plus fait l'amour depuis des mois mais au lieu de la recouvrir entièrement de son corps, il préféra soulever ses cuisses dans le creux de ses bras et amener la grotte ruisselante à son sexe. Il la malmenait comme un fétu malgré la grande taille de la jeune fille. Elle s'agrippait aux draps pour essayer de garder un semblant de contrôle de son équilibre mais il la ravageait avec tellement de vigueur que toute résistance semblait inutile. Elle finit par empoigner ses seins un peu négligés et pinça ses mamelons en geignant

« Touss, tu n'aimes pas mes seins? Tu préfères ceux de Soise? »

Avec un grondement rageur, il lâcha ses cuisses et fondit sur elle ; ses grandes mains écrasèrent les siennes sur sa poitrine et il les enfonça dans ses mamelles tout en cherchant sa bouche. Il ne reposait que sur ses coudes et son sexe enfoncé dans la chatte perforée. Il entama une gigue effrénée qui la secouait des pieds à la tête. Ils entendirent vaguement dans l'autre chambre un hurlement de plaisir qui ne pouvait venir que de la bouche de Gabi et ce son décupla encore l'énergie avec laquelle Toussaint pistonnait sa petite amie.

« OH TOUSS' JE .. SUIS .. A .. TOI ... TOI ... OOHH! ...DEFON.. CE .. MOI .. MARQUE- .. MOI! AAAHH! MON .. TOUSS SAINT! »

Ses yeux se révulsèrent et elles fut prise de convulsions orgasmiques que son Black Lover salua d'une première giclée de sperme puis il se ficha au fond de son vagin et se vida en elle avec un soulagement presqu'insupportable.

Il resta affalé un long moment sur elle, savourant la sensation de son corps alangui sous lui et de son sexe enveloppé par le chaud fourreau palpitant. Plus par gourmandise que par intérêt sexuel, il suça les mamelons roses des seins de son amante et, si elle ne réagit pas, il sentit son propre sexe durcir à nouveau à l'intérieur de la vulve dilatée par sa massive présence.

« Mmmh » fit Léa « Mon amant a encore envie de sa petite Léa? »

« J'ai toujours envie de toi mon amour. Je regrette seulement de ne pas avoir plus de bites pour te prendre de partout à la fois! »

« Huum, je ne sais pas si je pourrais affronter trois ou quatre verges noires de ton calibre en même temps. Déjà, Lolo et toi en même temps, c'est la limite! Tu n'imagines pas ce que c'est pour une fille que d'être envahie par vos deux monstres ... ooh mon Touss' , rien que d'y penser, je me sens de nouveau toute chaude ... »

« Tu veux que j'aille chercher Loïc? » Sa verge palpitait à la seule idée de se retrouver dans Léa en compagnie de la verge géante son frère blanc.

« Non, je veux que mon bel amant africain me baise avec sa grosse verge noire. Prends-moi comme un vrai étalon noir, fais-moi jouir en levrette et finis dans mes fesses! »

Il s'extirpa de son vagin et se redressa le temps qu'elle se mette à quatre pattes et il revint à l'assaut. Devinant instinctivement son état, il ne fit preuve d'aucune douceur et la pénétra immédiatement en force et s'acharna sur sa chatte comme l'étalon en rut qu'elle appelait en elle en chantant son bonheur

« Aaargh! Oui Touss' , .. comme ça! ... A fond ... oooh ... tu me baises bien ... mon amour ... ramone bien mon minou ... avec ta grosse bite ... ooh... ta queue géante ..toute noire... dans ma ...petite .. chatte... rose! Aaargh! .. C'est si bon de se faire tringler! Touss' .. je vais .. jouir ..... je ... vais ... jouir ... TOUSS' ... JE ... JOUIS ... AAAAHHH ... OUIII! TOUSS'!!! »

Toussaint serrait les dents pour ne pas se laisser emporter par son propre besoin de jouissance. Il resta raide comme la justice pendant que son amante s'empalait spasmodiquement sur sa verge tuméfiée en hurlant son plaisir. Il essayait de ne pas regarder les splendides fesses blanches qui s'agitaient sous ses yeux et surtout de ne pas penser à enfoncer sa grosse bite noire entre elles pour défoncer son petit anneau.

Léa s'effondra sur le lit, s'arrachant du même coup de l'obélisque d'onyx qui vibrait sous l'urgence du désir. Pendant qu'elle récupérait, Toussaint ouvrit le tiroir de la table de nuit et sortit le tube de lubrifiant. Il s'en oignit la verge avant d'en mettre une belle couche sur le sphincter de Léa. Il poussa ensuite le fluide à l'intérieur de son anus et en profita pour élargir l'ouverture du sphincter avec deux puis trois doigts.

Léa geignit

« Tu vas me fendre mon petit trou avec ta grosse queue noire? »

« Oui ma belle. Je dois prendre tes fesses ; il faut que je te sodomise ; ma bite n'en peut plus! »

« Ooh mon Touss', ta grosse verge toute noire dans mon petit cul . Tu vas m'écarteler les fesses ; tu vas déchirer mon pauvre petit anus »

Il pointa sa verge à l'entrée du rectum

« Accroche-toi mon amour! J'arrive! »

Et il poussa, poussa .. et l'énorme gland surgit dans le rectum de la jeune fille

« AAAHHH mon amour salaud! tu m'encules! TU M'ENCULES! »

Toussaint s'immobilisa et ... jouit, beuglant son plaisir « LEAAA AAAHHH! » La pression de l'anus martyrisé était trop forte et trop délicieuse à la fois ; il ne pouvait plus se retenir. Il regarda encore sa verge noire enfoncée dans le magnifique cul tout blanc et de nouveaux spasmes le firent défaillir. « LEE AAAHH! »

« Viens mon homme, viens dans mon cul! Donne-moi tout ton foutre.. ooh c'est si chaud, si bon! »

Le garçon s'effondra sur le dos de son amante en ahanant. Incrédule, il sentit encore sa verge se contracter et expulser de nouvelles giclées. Jamais il n'avait jouit aussi abondamment et aussi intensément. Il passa ses mains sous le torse se son amoureuse et lui caressa le seins tandis qu'il sentait avec regret sa verge se rapetisser et quitter l'anus délicieux où elle s'était tant éclatée. Il entendit une voix derrière lui

« Tu vois que cela en valait la peine »

Gabi et Loïc se tenaient dans l'embrasure de la porte. Le garçon avait la main sur l'épaule de sa compagne tandis que celle-ci le masturbait vigoureusement

« Tu as assez récupéré pour jouer au voyeur » lui dit Toussaint.

« Il fallait bien que je vérifie que ma sœur allait bien . Avec tous les cris qu'elle poussait! Ca vous ennuie si on se joint à vous? On n'a pas de lubrifiant dans la petite chambre et Gabi a envie que je la sodomise »

« C'est surtout le gros loup qui a envie de me sodomiser! » rétorqua la jeune Malienne.

Toussaint leur tendit le tube. « Après ce coup-ci, il va falloir en racheter »

Gabi enduisit la verge de Loïc puis le garçon s'occupa de son petit trou. Elle choisit de se coucher sur le dos à côté de Léa qui du coup s'était retournée et elle leva les jambes bien haut pour que Loïc puisse avoir accès à son anus. Le garçon n'hésita pas et bientôt la monumentale verge blanche commençait à perforer les fesses noires.

« Ouch! C'est encore plus gros que je ne le pensais » gémit Gabi « comment est-ce que tu peux encaisser ce monstre » demanda t'elle à Léa

« Avec beaucoup d'amour ma belle » répondit celle-ci qui se pencha pour l'embrasser et lui titiller les tétons.

Toussaint se rendit compte que ses séances avec Françoise n'avaient pas compensé l'absence de relations sexuelles avec sa 'famille' car la vue du trio enamouré suffit à donner un nouvel élan à sa verge. Pendant que Loïc s'enfonçait lentement dans le rectum de sa sœur, il extirpa les dernières goutes de lubrifiant du tube et prit position derrière un Loïc inconscient de l'ordalie qui le menaçait.

Léa avait abandonné les seins de sœur noire pour masturber son clitoris dardé et réussissait dans le même temps à se caresser elle-même de l'autre main . Elle avait posé sa tête dans le creux de l'épaule de la basketteuse et lui soufflait des mots d'amour et d'encouragement tandis que celle-ci geignait toujours sous la pression de l'énorme pieu qui la sodomisait.

Soudain elles entendirent une exclamation et, levant la tête, elles virent la silhouette de Toussaint qui se découpait autour de celle de Loïc. Le grand Malien l'avait saisi aux hanches et profitait de ce que le garçon était maintenant emmanché dans l'anus de sa sœur pour s'enfoncer à son tour dans ses reins.

« Toussaint, salaud! Tu aurais pu attendre! »

« HAAA! J'adore ton cul mon petit blanc! Et en plus , je t'encule juste après avoir enculé ta sœur! Waaaoww! Ca c'est du sexe. Dommage que ta mère ne soit pas là ; j'adorerais prendre son beau cul aussi! Mmmmh'

La seule pensée de Cécile l'excitait au plus au point mais pas autant que Loïc dont l'Œdipe n'était toujours pas passé et qui ne put se retenir d'accélérer le rythme de ses vas et viens dans l'anus de Gabi qui gémit plus sourdement .. Juste avant que Loïc ne gémisse à son tour puisque son mouvement en retour l'amena à s'empaler plus avant sur la grosse bite noire qui lui fouillait les entrailles.

Se sentant un peu délaissée, Léa fouilla à tâtons le tiroir magique et en sortit après quelques hésitations un gros vibro qu'elle introduisit dans son vagin à nouveau béant. Elle le mit en route et se sentit tout de suite au diapason des trois autres? Elle reprit ses caresses sur Gabi qui protestait déjà contre son abandon. Le quatuor était maintenant lancé dans un concert de gémissements et ahanements de plaisir que leurs précédentes éjaculations semblaient pouvoir prolonger indéfiniment.

Mais, placée comme elle l'était, Léa avait la meilleure et la plus excitante vue sur le sandwich noire/blanc/noir des sodomites et elle sentit bientôt monter en elle l'irrésistible marée de l'orgasme. Elle se déchaîna sur le clitoris de Gabi pour l'emmener avec elle au septième ciel, réussissant même à la faire jouir juste avant elle.

Les cris des deux filles à l'unisson furent trop pour Toussaint qui jeta ses dernières forces dans une ultime percée du petit cul de son frère blanc et y laissa ses dernières gouttes de sperme tout en le propulsant au plus profond de sa sœur.

Maître du champ de bataille, Loïc s'appuya sur les cuisses de sa belle africaine et reprit ses assauts de plus en plus hachés par la montée inéluctable du sperme dans sa longue colonne phallique. Il tint encore deux minutes, libéré du poids de Toussaint , jouissant de la vue de son énorme braquemart blanc écartelant le cul noir puis se mit à trembler de tous ses membres tandis qu'il giclait ses dernières gouttes de vie dans les tréfonds de son aimée.

Ils reprirent leur vie de 'quouple' comme les avait surnommés Léa « Avec 'q' comme dans quatuor et 'u' comme dans cul ». Ils retrouvèrent le plaisir des soirées calmes en amoureux mais fêtèrent dignement la proclamation de leurs résultats, surtout Léa qui terminait en tête de leur année tandis que Gabi et Loïc se contentaient d'une mention 'bien'.

« Tu as quand même plus de mérite que moi ... avec le temps que te prend le basket, c'est déjà un miracle que tu réussisses en une seule session! »

« Mais quand tu auras les stages en plus, j'ai bien peur que tu ne doives choisir entre le sport et les études » avait ajouté Lucie plus sombrement

Elle avait rejoint le 'quouple' avec Françoise pour participer à la fête . Elle se reposait pour le moment avec Lolo et Gabi dans la petite chambre après une session tout-à-fait satisfaisante avec Gabi tandis que dans la grande, Léa menait un train d'enfer avec Françoise, la prenant et la reprenant avec le double gode ou tout autre objet contondant mais interdisant à Toussaint de la toucher et se réservant ses éjaculations.

« C'est ce qui s'appelle une vengeance chaude » remarqua Gabi alors que Soise repartait dans un solo de hurlements dont on ne devinait trop si c'était de douleur ou de plaisir.

« Gabi, si cela ne t'ennuie pas, est-ce que tu pourrais prêter Lolo à Soise? La pauvre sera bientôt coincée avec les triplés et c'est peut-être sa dernière occasion de s'offrir du bon temps avec un super-mâle. Si Toussaint lui est interdit, elle n'a plus que Loïc »

« Pas de problème pour moi Lulu ; je vais chercher Soise et je m'offrirai en échange »

« Tu es un ange! »

Mais Gabi revint avec Soise ET Toussaint ET Léa.

Soise avait déjà des cernes bien visibles sous les yeux et Léa, à peine moins marquée, une lueur mauvaise dans le regard.

« Je propose d'offrir notre sandwich à Soise ; elle va être privée de sexe dans les prochains mois et je voudrais qu'elle garde un souvenir inoubliable de cette soirée! »

12