Le mariage de Lisa

Ce texte est la traduction, librement adaptée en français, de celui de Lady_Ess, paru en anglais sur Literotica sous le titre « Kathie's wedding day ».

Dans deux heures, je serai mariée. Je n'arrive presque pas à y croire. Papa va me conduire à l'autel où Jacques m'attendra. Nous nous tiendrons devant le prêtre, prononcerons nos voeux et ensuite je serai la femme de Jacques. Je ne serai plus Mademoiselle Lisa Damiette, mais Mme Jacques Héber. Doux Jacques. Je suis sûre qu'il sera un bon mari et que j'ai fait le bon choix en acceptant de l'épouser. Enfin je pense. 23 ans semble jeune pour se marier, je sais, mais quand pourrais-je retrouver un garçon comme Jacques? Il est bien éduqué, sympathique, et riche. S'il vous plaît, ne vous méprenez pas! Je ne suis pas une fille vénale, vraiment pas, mais je sais que si j'épouse Jacques, il s'occupera toujours de moi et je pense que c'est très important pour mon père.

Pauvre Papa. Les dix dernières années ont été difficiles pour lui. Quand Maman est partie, je n'avais que 13 ans. Je pensais que c'était une garce, mais je n'ai réalisé à quel point les choses étaient difficiles pour Papa que beaucoup plus tard. Je ne me rendais pas compte de ses efforts pour m'élever seul. Après avoir perdu son emploi de contremaître d'une petite usine de pièces automobiles il y a quatre ans, il a fini par travailler comme barman dans un restaurant. C'est un excellent barman et il est fier de prendre soin de ses clients, mais je sais qu'il pourrait viser bien mieux s'il ne se mettait pas toujours la pression pour s'occuper de moi. Mon diplôme universitaire est inutile sur le marché de l'emploi, donc je suppose que c'était une bonne chose d'avoir rencontré Jacques à ce moment-là.

On frappe à la porte et Papa me demande s'il peut entrer. Le coiffeur et les maquilleurs que nous avons engagés sont partis il y a vingt minutes et je suis assise dans ma chambre devant mon miroir, mes longs cheveux noirs cascadant sur mes épaules. Mon maquillage est terminé.

Je me sens belle. Mon diadème et mon long voile blanc reposent sur ma tête, et ma robe de mariée blanche et moulante me couvre des genoux à la taille. Seuls mes seins sont exposés, car je n'ai pas encore pu remonter ma robe.

J'ai dû la faire ajuster quand je n'ovulais pas, ce qui est le cas maintenant. Mes seins grossissent légèrement à cette période du mois et je n'en ai pas tenu compte lorsque j'ai essayé ma robe pour la première fois. Je la voulais aussi serrée que possible. C'était stupide car c'est un problème que j'ai eu toute ma vie d'adulte : j'alterne constamment entre le port d'un grand bonnet B et d'un petit bonnet C. C'est tellement ennuyeux!

Je me redresse, je me souris dans le miroir, je pousse ma poitrine pour admirer mes seins légèrement plus pleins que d'habitude et un frisson me traverse soudain. Je réponds à Papa qu'il peut entrer.

"Lisa, je voulais juste voir comment tu allais... Oh... s'exclame-t-il en me voyant.

-Oh allez Papa, ce n'est pas comme si tu ne les avais jamais vus.

-Oui, mais c'est le jour de ton mariage, ma chérie."

Je lève les yeux au ciel et lui demande de m'aider à remonter ma robe. Il est surpris que je ne porte pas de soutien-gorge, mais commence à remonter le dos de ma robe. J'ai raison, il a déjà souvent vu mes seins. Ces dernières années, nous sommes devenus très proches. C'est difficile à décrire, mais notre intimité n'a cessé de croître. Nous partageons régulièrement le même lit et nous dormons tous les deux nus. Rien n'est jamais dit. Lui ou moi se glisse simplement dans le lit de l'autre et nous nous endormons serrés l'un contre l'autre. Parfois, je sens son érection contre moi. Au matin nous nous embrassons sur les lèvres et à plusieurs reprises, alors que nous avions tous les deux bu quelques verres, nos langues se sont mêlées.

"Bon sang Lisa, dit-il alors que je creuse ma poitrine pour qu'il puisse remonter ma robe, qu'est-ce qui se passe? »

Je lui explique :

"Mes seins sont plus gros que lorsque j'ai fait ajuster ma robe, Papa. Cela m'arrive quand j'ovule. Jacques et moi avons planifié le mariage à cette période du mois pour que je puisse tomber enceinte lors de notre nuit de noces.

-Je vois, dit-il en remettant enfin ma robe en place. Lisa, est-ce vraiment ce que tu veux? Te marier si jeune? Avec Jacques!"

Je reste silencieuse un moment et finis par dire :

-Oh écoute, tout ça est compliqué...

Papa s'agenouille devant moi et serre mes genoux dans ses bras.

"Lisa, s'il te plaît, dis-moi que tu ne fais pas ça pour moi. Je suis heureux que tu vives toujours avec moi et de te soutenir."

J'attire le visage de Papa contre le mien :

"Je sais Papa. Mais je dois grandir et passer à autre chose. C'est juste ça, Jacques... Je veux dire, il est vraiment gentil tu sais, mais c'est vrai qu'il est tellement ennuyeux!

-Sans blague, ma chérie, sourit tristement papa. Dis-moi, est-ce qu'il s'occupe bien de toi au lit?

Je sais que cela peut étrange qu'un père pose une pareille question à sa fille, mais depuis que j'ai 18 ans, nous sommes complètement ouverts en ce qui concerne notre vie sexuelle. Je lui parle de mes rendez-vous et de mes aventures occasionnelles, et il me parle de toutes les choses folles qu'il voit au restaurant, comme l'autre soir où un homme de son âge caressait une fille encore plus jeune que moi au bar en glissant sa main sous sa jupe. Une fille qui lui ressemblait comme deux gouttes d'eau, il n'était pas possible de se tromper sur leur lien de parenté. Parfois, en nous racontant ces histoires, nous nous allongeons l'un à côté de l'autre et nous nous masturbons dans le même lit.

"Sérieusement Lisa, est-ce que Jacques est un bon baiseur? Je te connais. Tu es ma fille et tu es constamment excitée comme moi. Donc ce genre de chose est important.

-Jacques est doux et attentionné, Papa et je jouis parfois.

-Ouah, ça a l'air formidable, Lisa, sourit Papa.

-Arrête! C'est juste... c'est juste qu'il n'a que 25 ans et que je préfère les hommes beaucoup plus âgés, tu le sais. Les hommes qui ont de l'expérience et qui ne prennent pas pour acquis une fille de mon âge.

-Je ne te prendrais jamais pour acquis, dit Papa en me caressant la joue. Et je te ferais toujours jouir.

-Je sais Papa. »

Tristement je pose ma main sur la sienne. Et impulsivement je me laisse aller à lui dire :

« Ce qui surtout me manque, c'est que Jacques... ne me fait jamais minette...

-Quoi! Qu'est-ce qui ne va pas chez lui? Papa secoue la tête avec incrédulité. Non Lisa, non, ce n'est pas possible!

-Calme-toi, Papa, calme-toi. Il faut croire que les hommes n'aiment plus ça par les temps qui courent. »

La main de Papa est descendue de mon visage à mon entrejambes.

"Lisa, s'il te plaît, dis-moi qu'au moins un homme te l'a déjà fait!

-Non Papa, jamais... »

Il passe alors ses mains sur mes cuisses, retrousse ma robe de mariée jusqu'à ma taille, exposant le haut de mes bas et de ma culotte.

"Lisa, tu ne peux pas te marier sans t'être fait manger la chatte! »

Je ris :

« Arrête, Papa! »

Mais il écarte largement mes cuisses et glisse sa main entre elles. J'essaie faiblement de les refermer, mais il les maintient fermement écartées.

"Lisa, je suis sérieux.

-Mais tu ne peux pas faire ça, Papounet! Je suis ta fille!

-Oh, tu viens de m'appeler Papounet! Tu ne fais ça que lorsque tu es excitée... Comme la fois où je t'ai doigtée après ta fête de 21 ans...

"Oh mon Dieu Papa! C'était toi?"

Il écarte l'élastique de ma culotte, exposant ma chatte.

"J'étais tellement ivre ce soir-là. Oui, Lisa c'était moi et tu le savais parfaitement. Tout comme la nuit où je suis rentré ivre après avoir perdu mon poste à l'usine et où tu m'as branlé sur le canapé.

Mon visage vire au rouge vif.

"Je... je ne m'en rappelais plus Papa, dis-je hypocritement alors qu'il embrasse l'intérieur de mes cuisses. Mais là ce n'est pas la même chose..., ça... ça irait trop loin Et... et je me marie dans une heure... oh mon Dieu!"

Papa vient de passer sa langue sur les lèvres de ma chatte.

"Oh Papa!"

Instinctivement j'écarte les cuisses aussi largement que possible et je saisis sa nuque. Ses mains s'emparent alors de mes hanches et il lèche encore et encore ma fente sur toute sa longueur avant que sa langue se porte sur mon bouton. Je crie de plaisir et je plaque sa tête sur ma chatte. Ses mains quittent mes hanches et remontent jusqu'au devant de ma robe. Alors qu'il s'échinait un moment plus tôt pour mettre mes seins dans la robe, il les sort à présent et pince mes tétons dressés.

Je jette un regard dans le miroir de la porte de mon placard et je me vois : une mariée rougissante, les seins sortis des bonnets et malaxés et la robe troussée, les cuisses écartées et la tête de son père enfouie dans son entrejambes.

Me faire lécher le clitoris et toucher les tétons m'électrise, et mon excitation est décuplée par le fait que c'est mon propre père qui lèche et touche. Je suis sur le point de jouir, je cambre la tête en arrière pour m'abandonner au plaisir. Oh, depuis combien de temps ai-je voulu que quelque chose comme ça se produise? Depuis combien de temps ai-je prétendu que tous les jeux d'attouchement et d'exhibition auxquels je me livrais avec Papa étaient innocents et que je n'aspirais à rien de plus?

Mon orgasme explose au moment où Papa arrête de faire tourbillonner sa langue et la plaque contre mon bouton. Je crie d'extase en enroulant mes jambes autour de sa tête.

Il se dégage au bout d'un moment et me sourit, le visage dégoulinant de ma mouille :

-Alors je suppose que tu as apprécié, petite fille?

Je peux à peine respirer :

-Oh mon Dieu Papa, c'était... c'était incroyable!

-Je suis content que tu aies aimé ma chérie", dit-il en se soulevant et en se penchant vers moi pour un baiser.

"Papa, non, mon maquillage!"

Trop tard. Papa m'a embrassé sur les lèvres et nos bouches et nos langues se sont entrelacées avidement. Je peux sentir le goût de ma propre chatte dans ma bouche.

J'entends alors un bruit de fermeture éclair et je réalise que Papa est en train de défaire son pantalon. Il se penche entre mes jambes et trempe sa main dans le jus intime qui coule encore de ma chatte. Sa queue est maintenant sortie et il la pointe directement sur mes seins. Il branle un moment sa bite avec sa main humide de ma mouille, puis il se penche, la place entre mes seins et commence son va et vient.

"Putain, tu as des nichons de rêve, Lisa. J'ai toujours voulu te faire ça."

Mon propre père me baise les seins.... Je regarde sa queue dressée apparaître et disparaître entre eux, je me lèche les lèvres et je lève les yeux vers lui :

"Tu sais Papa, puisque je suis sûre que mon rouge à lèvres est à refaire de toute façon, pourquoi ne pas... hmph! »

Papa a lu dans mes pensées et glisse aussitôt sa queue dans ma bouche. Je commence à bouger la tête d'avant en arrière, tout en passant ma langue sur son gland.

"Oh Lisa, tu fais ça comme une vraie pute! Lèche-moi les couilles, ma chérie."

Aiguillonnée par le compliment obscène, je retire sa bite de ma bouche et je fais ce qu'il me demande, en passant ma langue le long de sa tige et en descendant sous ses testicules que je suce et lèche tout en le branlant d'une main.

« Oh putain, je vais jouir », gémit-il.

Lorsqu'il gicle quelques secondes plus tard, je l'avale avidement en resserrant les cuisses, moi aussi traversée par un orgasme fulgurant...

(à suivre)