Une Mère Autoritaire

Ce texte est la traduction librement adaptée en français de celui de Gentleman99 publié en anglais sous le titre « Mother's nasty boy »

Corentin rageait.

« Bon sang, quand même!

C'était le lendemain de son dix-huitième anniversaire. Il n'avait pas voulu aller à l'église ce matin-là (enfin, il avait prétexté un mal de ventre) et sa mère était furieuse.Elle l'avait envoyé dans sa chambre comme s'il était un enfant «... et tu n'en sors pas, puisque tu es « malade! » ») Lorsque son père était parti, un an auparavant, Corentin avait pensé qu'il deviendrait l'homme de la maison, mais au contraire, sa mère le traitait plus que jamais comme un bébé.

Il fallait à tout prix qu'il décompresse. Il ouvrit son placard, sortit ses magazines de sa cachette secrète et se jeta sur son lit. Il ouvrit sa braguette, et commença à se branler en feuilletant son magazine préféré, « Putes en chaleur ». Absorbé dans la contemplation des photographies obscènes, il n'entendit pas la porte s'ouvrir.

"Que fais-tu?"

Il sursauta. Sa mère se tenait sur le seuil. Il était allongé sur le ventre, la main malaxant ses couilles pleines. Il s'était imaginé en train de baiser l'une des femmes du magazine.

Sa mère entra dans la chambre et s'approcha du lit.

"J'ai dit : que fais-tu?"

Corentin sentit le sang lui monter au visage. Rouge comme une pivoine, il baissa la tête et ne répondit pas. Il réalisa que sa main était toujours coincée sous son corps, tenant sa queue qui rétrécissait.

Sa mère le regardait, le visage courroucé. Elle était grande et « enveloppée » : son chemisier contenait à grand peine ses seins volumineux. Les deux mains sur les hanches dans une attitude qui ne laissait aucun doute sur son état d'esprit, elle s'écria :

« Retourne-toi! »

Son ton ne laissait aucune place non plus à la désobéissance.

À contrecœur, Corentin obtempéra. Mais sa main était coincée dans son jean serré et il essayait de la retirer.

"Laisse ta main là où elle est!" ordonna sa mère en lui saisissant le poignet. Corentin grimaça, cependant qu'elle descendait la fermeture éclair de sa braguette.

"Enlève ton slip!". Elle le regardait droit dans les yeux, les lèvres serrées.

Corentin commença à bouger sa main droite mais sa mère resserra sa prise. En tremblant il baissa son slip de la main gauche. La droite tenait toujours sa queue, molle à présent. Il s'arrêta lorsque son sexe apparut.

"Plus bas!" commanda-t-elle sèchement, et elle secoua brusquement sa main droite.

Corentin baissa son slip aussi loin qu'il le pouvait. Il sentit l'air frais sur ses couilles. Sa mère commença à tirer sur son jean.

"Soulève-toi!"

Corentin leva ses hanches. Son jean glissa sur ses fesses jusqu'aux genoux. Sa mère baissa son slip un peu plus bas.

"Tu te masturbais, n'est-ce pas?"

Corentin balbutia un « oui » tremblant en essaya de détourner la tête.

"Regarde-moi quand je te parle!" Elle le gifla de sa main libre. Elle tenait toujours fermement sa queue de l'autre.

Les larmes montèrent aux yeux de Corentin. Il se tourna et regarda sa mère.

« Tu fais ça souvent? »

Corentin ravala ses larmes, dont le goût salé imprégnait sa bouche. Sa mère lui serra la main en bougeant sa queue d'avant en arrière d'un geste brusque.

"Réponds-moi! Tu fais ça souvent?

Corentin ferma les yeux et hocha la tête.

"Je t'ai dit de me regarder!"

Il ouvrit ses yeux toujours pleins de larmes.

"Maintenant, espèce de petit vicieux, dis-moi ce que ça fait!"

Il ouvrit la bouche mais ne put articuler aucun mot.

"Ta verge se dresse?"

Corentin acquiesça, sur les charbons ardents.

«Je veux que tu me répondes! Dis « Oui Maman! »

"Oui Maman," murmura-t-il.

"Plus fort! Dis « Oui Maman, ma verge se dresse! »

"Oui Maman, ma... ma verge se dresse!" sanglota-t-il.

-Est-ce que tu te masturbais en imaginant être avec une femme?

-Ah... je... je...La prise sur la main de Corentin se resserra. Il grimaça.

-Ou... oui..."

-Tu imaginais baiser une femme?"

Sa voix, brusquement, s'était comme altérée. Corentin regarda sa mère, interloqué. Jamais il ne l'avait entendu employer ce genre de vocabulaire.

"Tu sais ce que veut dire baiser n'est-ce pas?"

Il hocha la tête, gêné.

"Réponds-moi correctement!"

Elle le gifla à nouveau, un peu moins fort toutefois que la fois précédente.

"Oui Maman.

-« Oui Maman, je sais »! Allez, dis-le bien."

-"Oui Maman, je sais ce que baiser veut dire.

-Très bien, dis-moi ce que cela signifie."

-C'est... ça veut dire... c'est quand un homme met... son truc... dans une femme."

Sa mère le regardait. Elle retira sa main comme si elle touchait quelque chose de répugnant, s'assit sur le lit et croisa les mains sur sa poitrine.

"Très bien, dit-elle en le regardant, Maintenant, lève-toi et déshabille-toi entièrement.

-Me... déshabiller?

- Tu m'as entendu? Tout de suite!"

Corentin se pencha, ôta son jean puis son slip, qu'il plaça sur son jean. Il se leva ensuite, déboutonna sa chemise et l'enleva. Il se tenait là à présent, en chaussettes, face à sa mère, les mains couvrant ses parties génitales.

Elle prit l'exemplaire de «Putes en chaleur» et en feuilleta quelques pages. Elle s'arrêta devant une femme aux gros seins qui souriait alors qu'elle léchait une grosse bite dressée du bout de sa langue.

« Est-ce que ça t'excite? »

Corentin hocha la tête puis se souvint qu'il devait répondre correctement.

"Oui Maman, ça m'excite.

-Montre-moi!" Les yeux de sa mère étaient fixés sur les mains recouvrant sa queue.

-Quoi? Que... que...?" hoqueta-t-il.

Sa mère s'avança retira ses mains de son sexe. Celui-ci pendait mollement. Elle lui tendit le magazine pour qu'il puisse voir la photo.

« Regarde cette image dégoûtante. Sais-tu quel genre de femmes font ce genre de choses?

Corentin secoua la tête.

Sa mère le regarda mais n'insista pas.

«Je vais te dire quel genre de femme c'est. C'est une salope. Tu sais ce qu'est une salope?

-C'est une mauvaise fille."

-Oui. Le genre de fille qui ferait n'importe quoi. As-tu été avec des salopes?

-Non Maman.

-Es-tu sûr de n'avoir touché aucune fille?"

Corentin marqua une hésitation :

« Ah...

-C'est donc vrai. Qui était-ce? »

Corentin commença à remettre ses mains devant sa queue mais sa mère les repoussa.

"Je t'ai demandé qui c'était!

-C'était... Mathilde Libert....

-Cette petite salope. Qu'est-ce que tu as fait?

-Je... nous... je l'ai touchée...

-Où?

-Entre... entre ses jambes... elle m'a laissé...

-Est-ce qu'elle t'a touché?

-Un peu. Elle... »

Le visage du garçon s'était empourpré. Il semblait ne pas pouvoir continuer.

Sa mère prit sa queue en main.

"Est-ce qu'elle a touché ça?"

Corentin fit oui de la tête.

« Qu'a-t-elle fait?

-Elle... elle m'a masturbé."

-Et tu es venu?

-Elle ne l'a fait qu'un petit peu...

-Mais tu étais dur?

-Oui...

-Et cette petite vicieuse a-t-elle fait autre chose

-Non...."

Sa mère le regarda pendant quelques secondes, puis elle lui montra de nouveau la photo.

«C'est ton sale magazine. C'est celui avec lequel tu te masturbais. Je veux que tu le regardes. »

Corentin regarda la photo.

« Maintenant, regarde les seins de cette femme. Est-ce que ça t'excite? »

Il murmura: "Oui Maman.

-Très bien. Maintenant, regarde sa langue, qu'est-ce qu'elle fait?

-Elle lèche le... la...

-La bite, c'est bien le mot que vous employez entre petits pervers, n'est-ce pas? Alors dis-moi ce qu'elle fait. »

Corentin déglutit. Il sentit qu'il commençait à bander.

"Elle... elle lui lèche... la bite...".

Malgré ses efforts pour se maîtriser, il sentit son sexe se dresser. Par réflexe, il essaya de le couvrir de ses mains, mais sa mère ordonna :

« Tes mains! »

Il les écarta aussitôt.

"Oui, elle lèche sa bite, ou plutôt son gland. »

Elle regardait directement sa queue qui se raidissait. Il baissa les yeux et vit au bout une grosse goutte de liquide clair sur le point de s'écouler. Sa mère tenait le magazine plus près de lui.

"Connais-tu des femmes qui sucent des bites? », continua sa mère

Corentin se lécha les lèvres.

"Il y a des photos dans le magazine, je..."

Sa mère prit le magazine et le feuilleta page par page. Corentin pouvait voir les photos à l'envers. Il y avait celle avec la femme pompant une bite qui giclait. Il y avait celle avec deux femmes qui se léchaient, d'autres et d'autres encore. Sa mère s'arrêta sur une de ses favorites ; la femme avec la bite au fond de la gorge.

« Regarde toi!"

Corentin baissa les yeux avec horreur et vit sa queue dressée et sa main qui la masturbait instinctivement. Il s'empressa de la retirer

Sa mère le regardait avec un air de dégoût total.

"Comment oses-tu te tenir devant moi avec ta main sur ta bite et le faire!

Todd la regarda. "Je suis désolé. Je..."

-Comment appelles-tu ça, avec tes petits copains? »

Eperdu, il bégaya :

« Je... je...

-Je t'ai posé une question!

-On... on appelle ça... se branler, Maman. avoua-t-il, rouge de honte.

-Très bien. Puisque tu as perdu tout sens de la décence, tu vas te... branler devant moi!

-Co... comment?

-Tu m'as entendu! Si tu dois faire des choses dégoûtantes, je veux en finir. Prends ta bite dans ta main. Tout de suite! »

Corentin empoigna sa queue en tremblant..

« Maintenant, branle-toi! »

Corentin restait là, incertain.

« J'ai dit : BRANLE-TOI!!"

Il commençait à se masturber lorsque l'incroyable se produisit : sa mère relevait sa jupe, écartait les cuisses et portait la main à sa chatte...

(à suivre)