Le Voyage de PALADA

BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

Palada, en entendant crier l'homme blanc, libéra aussitôt le sexe et regarda William avec un air surpris. Mais c'est lui qui lui avait demandé de le faire!

L'homme, en voyant le visage de la fille, ne put s'empêcher de sourire. Montrant ses dents, il fit un signe avec ses doigts, lui faisant comprendre que c'était interdit.

La jeune indienne fut vraiment désolée et voulant se faire pardonner ; elle se pencha de nouveau mais cette fois sans les dents. En sentant le membre grossir dans sa bouche, elle fut toute fière d'elle et quelques minutes plus tard, elle fut prise de nouveau pour son plus grand bonheur.

En fait, les deux hommes eurent du mal à se rassasier de son corps, et elle eut droit au sexe une bonne partie de la nuit. Pour elle, ce fut d'une jouissance incroyable et si ça n'avait été que d'elle, elle aurait bien voulu que ça ne s'arrête jamais.

***************

Un mois se passa depuis le jour de son arrivée et pour la jeune indienne ce fut vite routinier.

Les deux hommes la laissaient dès le petit matin soit pour aller chasser, soit pour aller au bois à moins que ce ne soit pour être dans leurs champs.

La jeune femme finit par s'ennuyer, n'attendant à chaque fois que la venue du soir, pour être dans leurs bras. Toutes les nuits ils s'occupaient de son corps, lui faisant découvrir à chaque fois plein de nouveautés.

Ils l'initièrent à la sodomie même s'il lui fallut du temps pour vraiment l'apprécier et elle devint très forte pour les fellations. Étrangement, elle adorait le goût du sperme bien chaud qu'elle trouvait délicieux.

Ils mirent plus longtemps à la convaincre pour subir une double pénétration mais maintenant elle aimait ça et s'offrait sans aucune réticence.

Le problème est que la journée à attendre ses amants était interminable. Ils lui interdisaient de s'éloigner de la ferme à cause des dangers. Tous les hommes blancs n'étaient pas aussi gentils qu'eux et elle avait comme consigne de se cacher si elle en apercevait.

C'était long et elle n'avait rien à faire d'autre que patienter et ruminer. Parfois, elle ne s'habillait pas, restant nue toute la journée à attendre qu'ils reviennent.

Tous les matins, avant que les deux hommes ne partent, elle allait dans la rivière pour nettoyer le sperme qui collait à son corps. Elle adorait les nuits mais commençait à ne plus supporter d'être seule la journée à rester enfermée.

Elle n'était plus la petite indienne qui avait un tempérament de feu mais juste un jouet sexuel que les deux hommes utilisaient de façon intensive. Chaque nuit, elle était devenue leur joli défouloir qu'ils baisaient sans compter.

Des deux hommes c'était sûrement William qui la baissait le plus, la prenant même une dernière fois avant d'aller aux champs. Lui, ce qu'il aimait surtout, c'était son petit trou qu'il adorait forcer comme si elle était vierge. Ils ne cherchèrent même pas à lui apprendre leur langue car pour ce qu'il en faisait, c'était une perte de temps. Elle était devenue leur petite pute sauvage qu'ils gardaient précieusement, comme un petit trésor

Cela faisait un mois et elle fut très surprise en constatant que son village lui manquait. Elle avait trop envie de revoir ses parents et même ce grand idiot de Manouk. Elle essayait de pensait à autre chose mais plus les jours passaient et plus elle devenait morose.

Pas un moment les deux hommes ne virent son changement, ne cherchant d'elle que du plaisir charnel. Cette attitude vis-à-vis d'elle augmenta encore plus son mal-être, et elle finit même par détester l'endroit.

C'est un matin qu'elle prit sa décision. Elle aimait bien les deux hommes blancs mais sa famille lui manquait trop. Elle se sentait trop prisonnière pour pouvoir continuer ainsi. Elle allait repartir et revoir tous les siens même si elle risquait fort d'être punie au retour. C'est vrai qu'elle avait appris énormément de choses depuis qu'elle était avec eux, mais même si elle adorait le sexe, elle n'était pas heureuse.

Comme tous les matins, après une nuit torride, elle alla se laver dans l'eau de la rivière. Elle prit un peu plus de temps pour faire ses ablutions. Elle savait que pour retourner au village la route serait très longue et qu'elle ne pourrait pas se baigner de sitôt.

Elle resta nue car elle savait qu'une fois à la cabane, William la sodomiserait de nouveau. C'était devenu pour lui un rituel avant chaque départ. Comme chaque jour, elle n'y échappa pas et se fit longuement enculer avant d'être laissée comme un vulgaire objet.

C'est une fois seule et après avoir repris ses esprits qu'elle mit son plan à exécution. Elle avait repéré un sac dans une grosse malle en bois. Elle prit son temps pour le remplir de vivres en prenant également une gourde et un couteau brillant. Elle imagina la tête des siens lorsqu'ils découvriraient ces objets magnifiques, la pardonnant peut-être.

Lorsqu'elle fut prête, elle sortit de la cabane, un nœud à l'estomac. Elle s'en allait sans dire au revoir mais savait qu'elle n'avait pas le choix. Jamais ils ne l'auraient laissée partir, vu le plaisir qu'elle leur procurait.

Se retournant une dernière fois pour regarder le chalet, elle eut une larme qui coula sur sa joue. Respirant lentement pour se calmer un peu, elle prit la direction de son village en chassant ses regrets. Elle espérait ne pas se perdre en route, n'ayant que sa mémoire et son sens de l'orientation pour la guider vers sa tribu.

Heureusement, c'était la fin de l'été et les journées étaient moins chaudes. Elle se sentait d'un coup bien mieux, même si elle appréhendait un peu lorsqu'elle serait face à son père.

Elle ne s'arrêta qu'une petite heure pour se reposer et surtout manger. À pied elle irait bien moins vite que sur le chariot de John mais elle n'était pas pressée

Le soir, elle trouva un endroit assez sécurisé pour y passer la nuit Elle sourit en se disant que cette nuit elle n'aurait pas le droit à son sexe quotidien et cela lui manqua un. C'est vrai qu'elle aimait ça mais il allait falloir qu'elle s'en passe désormais

Les jours qui suivirent furent du même acabit et elle avançait toujours dans la même direction, guidée par son instinct. Les paysages se succédaient sans que ceux-ci ne lui soient familiers et cela l'inquiétait.

Un soir, alors qu'elle cherchait un endroit pour y passer la nuit, elle vit au loin un nuage de fumée. Regardant mieux, elle constata que ce n'était pas un feu mais plus de la poussière et qu'elle venait droit dans sa direction.

Palada se rappela des paroles des colons lorsqu'ils lui avaient dit que les blancs étaient parfois méchants. Elle courut jusqu'à un fourré et se cacha dedans en espérant ne pas être vue.

Ce fut un groupe d'une dizaine d'hommes blancs, montés sur des chevaux, qui ne passa pas loin. Heureusement pour elle, ils avaient l'air pressés et filaient comme l'éclair sans prêter attention à leur environnement.

Palada se demanda alors ce qui aurait pu se passer si elle était tombée entre leurs mains. L'auraient-ils bien traitée ou se seraient-ils défoulés sur son corps.

Allongée sur le dos, elle glissa instinctivement sa main entre ses cuisses. Elle imagina tous ces hommes la violer sans interruption, la prenant dans toutes les positions sans qu'elle ne puisse rien faire. Tout en pensant à ce qu'elle aurait pu subir, elle se mit à se caresser tout en fermant les yeux. C'est vrai qu'elle était légèrement en manque, mais de prendre du plaisir en pensant à son viol, était presque effrayant.

Pourtant, malgré ces pensées condamnables, elle se caressait sans état d'âme. Elle était excitée rien qu'en imaginant son corps nu plaqué contre le sol alors que les hommes blancs se succédaient en elle.

Elle poussa un cri strident lorsque l'orgasme survint et que son jus gicla sur ses doigts tremblotants. Heureusement qu'elle était seule à des milles alentour sinon elle ne serait pas passée inaperçue.

Elle resta dans son fourré et s'endormit très rapidement. Ses caresses l'avaient soulagée et elle se sentait beaucoup mieux.

***********

Cela faisait dix jours qu'elle marchait et ses vivres étaient presque épuisés. Mais maintenant elle était soulagée car elle reconnaissait le coin. Elle savait que son village était derrière la colline et qu'elle y serait dans moins d'une heure.

Le stress s'empara de nouveau d'elle, ignorant comment elle allait être accueillie. Et s'ils ne voulaient plus d'elle...Elle pourrait toujours allait dans la tribu du frère de son père mais ce n'était plus pareil.

Lorsqu'elle vit au loin les wigwams, son cœur s'emballa légèrement. Elle allait être bientôt fixée et connaître son sort. Serait-elle acceptée par les siens ou chassée à coups de pierres.

C'est un enfant qui l'aperçut le premier et il hurla tout en courant pour rameuter toute la tribu.

- Palada, Palada est revenue...

La jeune femme eut très peur en voyant toute la tribu sortir pour l'accueillir et en apercevant ses parents positionnés en tête. Elle avait ses jambes qui tremblaient et pourtant elle continuait d'avancer vers eux.

Ce fut le sourire de sa mère qui la réconforta le plus alors que le visage de son père était imperméable. Tous les villageois se tenaient derrière eux et un silence de mort s'était installé.

Palada s'arrêta à quelques mètres et ne sut quoi leur dire.

Voyant que personne ne parlait, la jeune femme se décida à le faire.

- Bonjour je voudrais m'excuser d'être partie, je le regrette.

- Bonjour ma fille, je suis heureux que tu sois en bonne santé.

Son père resta plusieurs secondes silencieux avant de reprendre.

- Tu es revenue pour épouser Manouk?

Ce dernier était un peu en retrait et il paraissait triste.

- Heu... si pour me faire pardonner, je dois le faire, alors oui, je l'épouserai.

Son père eut alors un sourire, ce qui surprit sa fille.

- Tu pourras le faire lorsque tu le décideras mais la loi qui obligeait une fille de dix-neuf printemps à se marier n'existe plus.

Palada ouvrit de grands yeux.

- Comment ça?

- Après ton départ, tous les jeunes de la tribu ont pris ta défense en accusant cette loi ancestrale d'être une aberration. Nous étions la dernière tribu à l'appliquer.

- Et tu l'as supprimée?

- Pas moi mais le conseil des anciens.

La jeune femme était aux anges car elle allait pouvoir vivre sans entrave. Fouillant dans le fond de son sac, elle en sortit le couteau en métal qu'elle tendit à son père comme cadeau. Ce dernier, en voyant l'objet, fut admiratif, et s'en saisit avec précaution.

Il avait plein de questions à poser à sa fille mais pour l'instant ce n'était pas le moment et il se contenta de sourire.

C'est alors que toute la tribu, qui était restée silencieuse, se mit à hurler sa joie. Palada, soulagée et heureuse, ne put résister à venir dans les bras de ses parents.

- Ce soir il y aura une grande fête pour ton retour, lui annonça son père.

Tous vinrent les uns après les autres l'enlacer pour lui souhaiter la bienvenue et même Manouk le fit, alors qu'elle lui avait fait faux bond presque deux lunes plus tôt.

******************

Ce fut vraiment une très belle fête, surtout que les guerriers avaient ramené de la viande lors de leur dernière chasse. L'alcool fermenté coulait à flots et tout le monde s'amusait.

Du moins presque tout le monde car Manouk était assis à l'écart, jetant parfois des regards attristés vers celle qui aurait dû devenir sa femme.

Palada était fêtée pas tous et faisait attention à ne pas trop boire pour être lucide le plus longtemps possible. Lorsqu'elle se rendit compte que son ex-prétendant était très affecté, elle ne put s'empêcher d'aller lui remonter le moral. Après tout, c'était de sa faute s'il était si triste

même si elle n'avait pas spécialement de remords.

- Ça va? lui demanda-t-elle alors qu'elle se tenait debout devant lui.

- Heu... oui....

- Ne me mens pas, je vois bien que tu es triste

Manouk la regarda, hésitant à répondre.

- Dis-moi pourquoi tu n'es pas en train de faire la fête avec les autres, insista-t-elle

L'homme se décida enfin

- Si tu avais accepté notre mariage, je serais considéré comme le futur chef. Maintenant, à cause de toi je ne suis plus rien.

- Tu restes un grand guerrier et qui sait, peut-être qu'un jour on se mariera ensemble même si ce n'est pas pour tout de suite.

Dans les yeux de l'homme, un éclair d'espoir apparut. Même si ce qu'il désirait le plus était de devenir chef, la jeune femme voulut être gentille

- Et si pour me faire pardonner je t'offrais mon corps ce soir

- Tu... tu serais d'accord?

La jeune femme ne lui répondit pas, se contentant de lui tendre la main comme pour lui montrer son acceptation.

Le jeune homme se leva et main dans la main, ils s'éloignèrent pour trouver un endroit discret. Une fois à l'écart, Palada s'allongea dans l'herbe alors que Manouk lui retroussait sa robe pour exciter sa vulve.

Alors qu'il enfonçait sèchement ses doigts entre les lèvres vaginales, cette dernière se rebella en voyant qu'il allait l'exciter juste pour la lubrifier.

- Non, pas comme ça, dit-elle en resserrant ses cuisses.

L'indien ouvrit les yeux en grand. Il n'y avait pas d'autres façons d'agir avec une femme. Les hommes de la tribu excitaient les femelles de cette manière depuis la nuit des temps.

- Mais! tu m'as dit que tu voulais?

- Oui, mais pas de cette façon. Il faut arrêter d'agir de cette manière avec les femmes.

Tout en disant ça elle s'assit pour retirer entièrement sa robe.

- Si tu veux me prendre, tu vas devoir le faire à ma façon

- Hein!

La jeune femme s'allongea et dit d'une voix douce.

- Tu vas commencer par caresser mon corps puis ensuite tu viendras embrasser mes deux seins. Ensuite je te dirais ce que tu devras faire...

Manouk était surpris mais aussi excité. La jeune femme avait envie de jouer un nouveau jeu avec lui et cela lui plaisait.

C'est alors que Palada réalisa qu'elle avait une mission. Si le grand Manitou avait guidé ses pas chez ces deux hommes blancs, c'était uniquement pour une seule raison.

Maintenant qu'elle n'était plus obligée de se marier, elle allait éduquer les guerriers du village pour que les femmes de sa tribu en retirent du plaisir.

Il y avait énormément de travail pour changer leurs mauvaises habitudes mais elle n'avait pas peur.

Après tout, si son jeune corps pouvait aider à rendre les gens heureux, il était de son devoir de le faire.

Mais surtout, elle s'était découvert un tel penchant pour le sexe, que c'était une manière de combler ses pulsions.

Fin

Bien que... pour Palada... Ce n'est pas une fin mais le début d'une vie qui promet d'être remplie de beaucoup de débauches... Mais là, c'est une autre histoire.

Veuillez évaluer cet récit
L’auteur apprécierait un commentaire de votre part.
  • COMMENTAIRES
Anonymous
Our Comments Policy is available in the Lit FAQ
Publier comme:
5 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a 5 mois

Bonne histoire, c’est original .

JB

APVapvAPVapvil y a 5 mois

Très belle histoire. C'est bien écrit. J'ai aimé que tu installes le contexte tranquillement. Les scènes sont érotiques. Une petite morale... pourquoi pas. J'ai beaucoup aimé.

dicordobadicordobail y a 5 moisAuteur

Pour répondre à Sangohan2, ce n'est pas toujours évident de choisir un thème mais si j'ai opté pour "non-consentement", c'est que toute l'histoire a pour origine le fait que les femmes du village sont prises sans consentement par les guerriers. En plus du mariage forcé, c'est un peu ce qui a motivé Palada à quitter la tribu et à se retrouver avec les colons. Mais je reconnais que ça peut être discutable.

Sangohan2Sangohan2il y a 5 mois

Longue à démarrer et je me demande pourquoi elle est dans la catégorie "non consentement" alors qu'elle est consentante

AurailiensAurailiensil y a 5 mois

Encore une belle histoire merci Discordoba

Partagez cette Récit

Histoires SIMILAIRES

Un Medecin Très Attentionné Un medecin vicieux profite d une jeune patiente.
La Déchéance de Caroline - 01 Séjour en Afrique - 1ère partie
Sandra - La Discothèque... Petite assistante pulpeuse, je voudrais satisfaire mon Boss.
Le Pensionnat des Oiseaux Recrutement de la prof de maths.
L'emménagement en Banlieue Mère de famille baisée devant son mari et son fils.
Plus d'histoires