Le Voyage de PALADA

BÊTA PUBLIQUE

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La première fois qu'il l'utilisa, Palada eut très peur car le bruit fut plus fort qu'un éclair en été. Maintenant, même si elle n'aimait toujours pas le bruit que faisait le bâton lorsqu'il crachait la mort, elle s'y était habituée.

Chaque nuit, ils refaisaient l'amour et elle aimait de plus en plus la douceur avec laquelle il la prenait. Elle se dit qu'au village, si les guerriers avaient fait de même, les femmes de sa tribu auraient été bien plus heureuses.

Finalement les six jours passèrent vite et ils furent bientôt en vue de la maison.

Palada en voyant la grosse cabane en bois ouvrit ses yeux en grand. La bâtisse était faite de troncs collés les uns aux autres, tenant comme par magie. Elle ne savait plus trop ou poser ses yeux tant c'était surprenant.

La cabane n'avait rien à voir avec les wigwams du village qui étaient ridicules à côté. Là, dix familles auraient pu s'installer sans même se gêner alors qu'il n'y avait qu'un seul homme dedans.

Un peu plus loin, une écurie avait été construite pour accueillir les animaux alors qu'à une centaine de mètres coulait une rivière assez large, indispensable s'ils voulaient demeurer dans le coin.

- On est enfin arrivé, je vais te présenter William

La jeune femme le regarda sans vraiment le comprendre même si elle reconnut le prénom dont il parlait souvent. Le chariot n'était pas encore arrêté qu'elle sauta sur le sol tant elle était pressée. Cela fit rire le colon qui trouvait l'attitude de l'indienne parfois très enfantine.

Lorsqu'il eut lui aussi mit le pied sur le sol, il prit la direction de la cabane de son ami, trouvant qu'en deux ans il avait fait un travail vraiment exceptionnel.

- WILLIAM, ON EST LA! hurla-t-il à quelques mètres de la porte

- WILAM, TON TAI LA, hurla à son tour Palada sans vraiment trop comprendre ce qu'elle baragouinait.

La porte s'ouvrit alors sur un homme assez jeune qui, en voyant son ami john, s'élança pour lui faire l'accolade.

- Putain, J'attendais ton arrivée avec impatience, ici tout seul, c'est l'enfer.

- Heureux d'être arrivé.

Les deux hommes s'étreignirent un moment sous le regard stupéfait de Palada. Dans sa tribu, jamais deux guerriers ne s'enlaçaient ainsi et elle trouvait les hommes blancs de plus en plus étranges.

Après s'être salués, William, un peu inquiet, demanda à son pote

- Tu as ramené une sauvage. ça craint...

- C'est Palada, je l'ai trouvé sur la route et elle n'est pas dangereuse.

- Avec eux, faut se méfier, il y a des trucs qui se racontent sur leur façon d'agir.

La jeune indienne, même si elle ne comprenait rien, reconnut dans les paroles de l'homme son prénom. Tout heureuse, elle se tapa sur ses seins en répétant son nom.

- Palada... Palada...

William, malgré toute sa méfiance, ne put s'empêcher de rire en voyant la jeune femme se présenter de la sorte. Tapant à son tour au niveau de sa poitrine il dit en essayant d'être sérieux.

- Enchanté, moi c'est William.

- Tu verras, elle n'est pas dangereuse et en plus elle a un corps splendide

L'homme, en entendant les paroles que venaient de prononcer son ami, le regarda stupéfait

- Tu veux dire que tu l'as déjà baisée

- Elle adore ça et en redemande tout le temps.

- Et... je pourrais aussi...

- Bien sur, tu es mon pote.

L'homme, préférant changer de sujet, fit visiter sa cabane. Même si l'intérieur était rustique, ce fut une vraie découverte pour Palada qui était subjuguée par les meubles, que ce soit de la table ou d'une vulgaire chaise. La maison comportait uniquement deux pièces, celle pour vivre et la chambre dans laquelle se trouvaient deux lits de petite taille.

- Je n'avais pas pensé que tu ramènerais une invitée, expliqua le colon

- On se débrouillera pour dormir. Dans le chariot il y avait bien moins de place que dans un lit.

Finalement, John était émerveillé par le travail qu'avait fait son ami durant ces deux années, même s'il y avait encore pas mal de choses à faire. Une fois la visite achevée, ils décidèrent de s'occuper du chariot et de mettre le cheval à l'écurie. Ce dernier avait mérité un bon repas ainsi que du repos pour tous ces milles qu'il avait parcourus.

Une fois la bête à l'abri, ils vidèrent le chariot, mettant en lieu sûr la cargaison que John avait emmenée. Palada voulut leur donner un coup de main mais les deux hommes lui firent gentiment comprendre que ce n'était pas de son ressort. Du coup, elle s'assit sur le sol et les regarda faire, un peu désoeuvrée, n'étant pas trop habituée à rester sans rien faire.

Dans son village, les femmes travaillaient plus que les guerriers qui étaient souvent partis à la chasse à moins qu'ils ne soient en guerre contre une autre tribu,

Au bout d'une heure, lorsque le chariot fut entièrement vidé, Palada se leva pour rejoindre les deux hommes. C'est alors que William fit une légère grimace et dit en souriant.

- Je suppose que depuis que vous êtes sur la route, vous n'avez pas dû vous laver souvent.

- Pas vraiment en effet.

- Allez vous nettoyer à la rivière, vous sentez aussi fort qu'un bison. Je vous accompagne pour vous montrer le meilleur endroit pour vous décrasser.

John rigola et fit comprendre à Palada, qu'il fallait qu'elle les suive.

Lorsqu'ils prirent la direction du cours d'eau, la jeune indienne stressa. Elle avait peur de l'eau et ignorait tout de la nage. Si le grand manitou avait voulu que les indiens se baignent, il leur aurait fait pousser des nageoires.

Pourtant, elle avait confiance en l'homme blanc et elle emboîta le pas aux deux amis malgré son inquiétude.

Lorsqu'ils arrivèrent près de la berge, elle n'osa pas trop s'approcher. John, trop pressé de se mettre à l'eau, retira ses vêtements, se dénudant complètement et descendit dans la rivière.

La rive n'était pas abrupte et l'accès à l'eau très facile.

Il n'y avait pas plus d'un mètre de profondeur et cela rassura Palada en voyant que l'homme blanc avait pied.

- Il va falloir que tu y ailles aussi, lui dit William en montrant le cours d'eau.

La jeune indienne, hésitante, finit par se déshabiller. Si John l'avait fait, elle le pouvait aussi. Elle ne vit pas le regard admiratif de William lorsqu'elle jeta sa robe sur le sol. L'homme, privé de femmes depuis presque deux ans, admira Palada, qui se montrait à lui sans aucune pudeur.

C'est vrai qu'au saloon, lorsqu'il allait en ville pour se ravitailler, il y avait les filles de joie. Mais son argent était compté et il ne pouvait le dépenser que dans des achats justifiés.

Elle avait un corps magnifique, et même ses seins de taille moyenne, étaient à vous couper le souffle. On aurait dit de jolies pommes qui ne demandaient qu'à être cueillies et dégustées avec délice.

Avec une extrême prudence, Palada descendit la rive, apeurée à l'idée de glisser. Elle fut toute étonnée lorsqu'elle atteignit l'eau, regardant les deux hommes pour qu'ils la félicitent. Aux sourires que lui firent les deux copains, elle fut toute fière de son exploit.

Avec précaution, elle se déplaça jusqu'à avoir de l'eau au niveau de ses hanches puis avec application elle fit ses ablutions. William ne la quittait plus des yeux et il sentait sa queue devenir bien raide. Cette sauvageonne était vraiment bandante et il avait trop hâte de pouvoir la baiser.

C'est John qui sortit le premier de la rivière, devançant Palada qui nettoyait avec beaucoup d'applications chaque recoin de son corps. Lorsqu'elle sortit à son tour de l'eau, aidée par William qui lui tendit la main pour qu'elle remonte la berge, elle se sentait bien mieux.

Elle allait enfiler sa robe de daim lorsque John lui fit non de la tête, lui faisant comprendre qu'ils allaient devoir nettoyer son vêtement qui puait vraiment trop. Pour ça, ils durent se pincer le nez et grimacer pour montrer que l'odeur était forte.

Cela fit rire la jeune femme qui comprit ce que les hommes essayaient de lui dire. Du coup, elle ne remit que ses mocassins et garda sa tenue à la main.

Le colon l'imita car il n'était pas mieux loti qu'elle.

Même si dans son village, les femmes ne se promenaient jamais nues, la jeune femme n'avait pas la notion de pudeur. Ils vivaient parfois à plusieurs familles dans quelques mètres carrés et dévoiler son corps était chose naturelle.

Pour revenir vers la cabane, Palada marcha devant les deux hommes, ne voyant pas le regard de William fixé sur son joli postérieur. Elle était naturelle et finalement se sentait bien ainsi.

John lui aussi admirait la jeune femme, et l'érection qu'il commençait à avoir était des plus visibles vu qu'il était lui aussi dénudé.

- Tu as vraiment eu du bol de trouver une femme aussi belle, dit à voix haute William en sachant qu'elle ne pouvait comprendre.

- Oui, je sais, elle est superbe. Et tu verrais comme elle aime lorsqu'on la prend

- Veinard

- Tu vas bientôt y goûter et tu n'arriveras plus à t'en passer

Palada, tout en marchant, se demanda s'ils ne parlaient pas d'elle. Ils avaient le même ton que les hommes du village lorsqu'ils voulaient du sexe. Pourtant, elle ne se retourna pas, se dirigeant vers la maison en bois sans un mot.

Lorsqu'ils eurent pénétré dans la grande pièce à vivre, William lui montra un seau pour qu'elle y mette sa robe. Étrangement, elle sentit quelque chose de changer dans l'attitude des hommes qui paraissaient comme énervés. Elle comprit ce qu'ils désiraient lorsque John lui saisit la main pour l'emmener vers la grande chambre. Ils avaient envie d'elle et allaient se servir.

Lorsqu'elle vit que William les suivait, elle sentit une étrange excitation envahir tout son corps. Jamais dans sa tribu, du moins à sa connaissance, deux hommes n'avaient pris une femme en même temps. Un guerrier n'aimait pas partager lorsqu'il faisait l'amour, se contentant généralement d'un coït rapide.

Mais là, Palada sut que c'était différent et qu'elle allait de nouveau découvrir des plaisirs interdits. Depuis qu'elle avait rencontré le colon, elle avait redécouvert le sexe et maintenant elle savait qu'une nouvelle étape allait être franchie.

Elle frissonna lorsque John poussa un des deux lits pour n'en faire plus qu'un, alors que son copain retirait ses vêtements. Elle ne s'était pas trompée en les imaginant tous les deux avec elle et elle sentit son cœur battre plus violemment.

La jeune indienne frissonna lorsque les deux hommes l'encadrèrent. Ils bandaient tous les deux tant ce corps était merveilleux même si William avait un membre légèrement plus gros que celui de son ami.

Elle ferma les yeux pour se laisser aller lorsque leurs mains se posèrent sur sa peau. Jamais encore une femme de sa tribu n'avait vécu une telle chose.

Pour Palada, ce fut un vrai bonheur lorsque ses seins et son dos furent parcourus avec délicatesse. Les hommes, dans un premier temps, effleurèrent juste sa peau pour ne pas l'effrayer.

Sans s'être concertés ils avaient trop envie de faire durer ce moment incroyable. Elle était telle une statue que le vent caressait et eux étaient cette bise qui soufflait sur son corps.

Pourtant, William qui se trouvait face à elle, finit par craquer. Saisissant à pleines mains ses deux seins adorables, il se baissa pour en embrasser un.

Palada, en sentant sa poitrine emprisonnée, poussa un petit cri sans pour autant bouger.

John, en entendant gémir la petite sauvageonne, cessa lui aussi d'être doux avec elle. Excité, il ne put s'empêcher de caresser une fesse, avant de faire glisser sa main entre les jolies cuisses pour doigter sa chatte déjà bien lubrifiée.

Prise en sandwich entre les deux hommes blancs, Palada était aux anges. En sentant son sexe fouillé par les doigts du colon, elle se sentit légèrement défaillir. Ce fut encore meilleur lorsque William cessa de la téter pour se coller à elle et venir l'embrasser.

Elle répondit à ce baiser comme si sa vie en dépendait alors que John la doigtait de plus en plus profond.

Si les guerriers de sa tribu avaient joué avec son corps comme le faisaient ces deux hommes blancs, jamais elle ne se serait enfuie.

La jeune femme ne résista pas lorsque les deux hommes s'écartèrent et que William lui prit la main pour la conduire sur le couchage. Elle se laissa allonger sur le dos sans rien dire, ne trouvant rien d'anormal à ça. Elle frissonna lorsque les deux amis se placèrent de chaque côté de son corps, excitée par ce qu'ils allaient sûrement lui faire.

- Putain, si ce matin en me levant, j'avais imaginé être au lit avec une femme ayant ce corps, je me serais sûrement traité de fou.

- Et moi donc, je l'ai vu apparaître alors que je bouffais du lapin.

Tout en parlant, ils se remirent à la caresser, parcourant chaque parcelle de son anatomie. Sa poitrine, son ventre et même ces cuisses furent explorés avec avidité. L'un des hommes vint lui téter un sein alors qu'une main s'amusa avec son clitoris.

Jamais la jeune femme n'avait eu ses sens autant exacerbés et elle se mit à gémir presque en continu. Elle avait du mal à rester immobile tant le plaisir devenait grand et pourtant elle savait que ce n'était que le début.

Même si elle était à la limite d'une extase inconnue, elle se rendit compte que John glissait vers le bas de la couche pour se glisser entre ses jambes. Elle paniqua un peu lorsque les mains puissantes lui écartèrent les cuisses pour lui offrir sa vulve de façon indécente. Alors que William continuait à lui mâcher le téton, elle sentit l'haleine chaude de John contre sa chatte humide

Mais que faisait-il là et pourquoi venait-il renifler son intimité comme l'aurait fait un animal.

Pourtant, elle ne chercha pas un instant à repousser cet agresseur, excitée bizarrement qu'il se soit placé là.

Elle ne réagit pas non plus lorsque des doigts lui écartèrent les lèvres pour ouvrir son sexe telle une plante carnivore.

Palada ne se serait jamais douté ressentir une telle chose lorsque la langue de l'homme glissa entre ses chairs pour remonter lentement jusqu'à son petit bouton.

Ce fut merveilleux et elle ne put s'empêcher de pousser un petit cri de plaisir.

Mais où était cette indienne qui pour se rebeller s'était sauvée loin de ses proches. Où était cette sauvage qui n'avait peur de rien.

Il n'y avait à ce moment qu'une jeune femme de dix-neuf printemps qui s'offrait à deux hommes sans aucune résistance.

William continuait à la téter tout en malaxant l'autre sein pour un plaisir toujours plus grand. John, quant à lui, se délecter du jus qui s'échappait de cette vulve incroyable. Les deux copains étaient aux anges et ils bandaient à s'en faire mal. Ce fut d'ailleurs ce dernier qui décida de se soulager en premier. L'homme sortit de son nid bien douillet et s'allongea sur la jeune indienne pour soulager la tension de son membre.

Son copain dû à contrecœur abandonner la poitrine de la fille, préférant s'écarter pour laisser son ami prendre la jeune indienne. Cette dernière, en voyant l'homme s'allonger sur son corps, sentit son excitation monter encore d'un cran.

Depuis que John lui avait fait découvrir que le sexe pouvait être magnifique, elle adorait sentir un membre glisser en elle.

Cette fois, Palada ferma les yeux tout en ouvrant la bouche en grand lorsqu'elle sentit le gland venir se placer à l'entrée de sa vulve. Elle adorait vraiment ce qu'ils lui faisaient subir et elle savait qu'elle était suffisamment mouillée pour que le membre s'enfonce en elle sans forcer.

Ce fut magique lorsque le sexe dur comme le bois la pénétra lentement. Elle miaula de plaisir et accueillit avec jubilation, dans son ventre brûlant, ce pieu de chair et de sang.

Elle ne parlait pas la même langue que ces hommes mais cela n'était pas nécessaire pour leur faire comprendre à quel point elle adorait être prise. Elle se laissa aller au plaisir alors que John commençait à faire de très lents vas et vient. Il prenait son temps pour apprécier le plus longtemps possible ce moment d'exception.

Ce n'était pas du goût de William qui aurait bien voulu prendre sa place.

- Vas-y, baises-la, dépêches-toi. Moi ça fait deux ans que j'attends.

- Du coup, tu peux encore attendre quelques minutes de plus, lui répondit son copain entre deux respirations saccadées.

- Elle adore vraiment ça, regarde son visage comme il est au bord de l'extase.

John ne répondit plus, sentant la jouissance l'envahir. Il se mit à accélérer sans vraiment s'en rendre compte, prenant un plaisir incroyable à baiser un tel corps. Parfois, la jeune indienne, criait des mots dans sa langue sans vraiment se contrôler. Elle s'était déconnectée de la réalité tant l'orgasme était sur le point d'exploser.

Palada haletait, poussait des gémissements et criait son bonheur sans en avoir conscience. Son ventre était en feu et le membre qui la labourait la transportait très loin de la réalité.

Lorsque John se cambra pour déverser en elle des flots de semences chaudes, elle eut au même moment un orgasme très violent. Alors que tout son corps était encore secoué pas de très nombreux spasmes, William tira son ami pour pouvoir prendre sa place..

Pour l'homme qui avait dû attendre longtemps pour se soulager entre les cuisses d'une femme, ce fut un vrai délice. Même si son ventre était déjà rempli du sperme de son ami, cela ne dérangea pas William qui avait trop besoin de baiser.

Il s'enfonça avec un vrai bonheur dans la vulve détrempée, trouvant cela vraiment trop bon.

Il la prit avec force comme pour se rassurer d'être toujours un homme alors que Palada jouissait de nouveau. Il avait tellement attendu ce moment, qu'il ne résista pas longtemps avant d'éjaculer. C'est vrai que cette petite sauvage avait un corps exceptionnel et il se dit qu'à partir de maintenant, les jours seraient bien plus faciles à vivre.

Palada mit un certain temps pour reprendre ses esprits. Elle avait adoré d'être ainsi possédées par ces deux hommes d'un autre monde. Elle se rendait bien compte que son corps était très réceptif à tout ce qu'ils lui faisaient, elle qui était frigide avec les guerriers du village.

Ils étaient allongés de chaque côté d'elle et restaient immobiles à parler dans leur langue. Elle n'aurait pas été contre une nouvelle pénétration mais ne savait pas comment leur faire comprendre.

Elle savait que lorsque le membre d'un guerrier était devenu mou, seul le temps pouvait lui rendre sa vigueur. S'asseyant sur le lit, elle regarda tour à tour ses deux amants qui restaient allongés sur le dos. C'est en fixant le sexe ramolli de William que ce dernier lui dit en rigolant.

- Si tu le préfères dur, tu n'as qu'à le sucer.

Palada en entendant les paroles de l'homme, prit un air d'incompréhension qui fit sourire les deux copains. Du coup, William, pour étayer ses dires, mima avec sa main qu'il porta à sa bouche l'acte de la fellation.

La jeune femme mit un certain temps à comprendre et en voyant sa moue dégoûtée, ils rirent encore plus fort.

- Dans notre monde, la fellation existe depuis des lustres et à priori ici, ce n'est pas le cas.

Le colon, tout en disant cela avait saisi son sexe comme pour le lui offrir.

Palada était complètement perdue car ce qu'il proposait était contre nature. Pourtant, elle sentit en elle une envie de tester, de goûter à ces queues juste par curiosité. Si l'homme blanc lui demandait de le faire c'est que sûrement ça devait être bien.

Lorsqu'elle se pencha vers le membre ramolli, ce fut pour le laper avec sa petite langue sous le regard jaloux de John.

- Putain que c'est bon, se contentant de dire William alors que la jeune femme le léchait avec application.

Palada fut surprise en voyant la queue grossir légèrement, et, se rappelant des gestes de l'homme blanc, elle l'enfourna entièrement dans sa bouche. Le colon poussa un gémissement qui se transforma aussitôt en un cri de douleur.

La jeune femme, en sentant le bout de viande dans sa bouche, se mit à le mâcher, ignorant tout de ce qu'ils attendaient.

- Stop, arrête, ça me fait mal, hurla-t-il.