Le Projet Ch. 06

BÊTA PUBLIQUE

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Elle me disait cela tout naturellement, tout en continuant de me toucher le sexe qui bandait fermement, mais la taille de mon anneau ne me permettait pas d'être au garde à vous.

-Je t'excite on dirait. J'aime bien voir un homme qui bande. Même si je comprends que ma fille te fasse porter une cage de chasteté. Tu dois aussi être frustré et humilié, surtout quand elle baise avec un autre. Tu es heureux avec ma fille?

-Oui Madame.

-Pourtant elle te traite comme de la merde.

-Pas toujours !

-De plus en plus je trouve, tu sais qu'elle me raconte tout. Ta journée poubelle et la visite de Patrick, c'était quand même assez fort. Je ne vais pas dire que cela ne m'a pas fait d'effet, je mouillais au milieu de son récit. Mais toi, tu supportes encore cela. Et tu es prêt à aller encore plus loin. Je ne sais pas où est la limite mais je suis étonnée. Elle est où la limite pour toi?

-J'avoue que je ne sais pas non plus Madame. Et certains jours je me pose la question de savoir si je ne suis pas devenu fou. Pourquoi accepter tout cela? Je sais très bien que je pourrais retrouver une vie « normale » et une épouse avec qui je pourrais partager des moments de tendresse, d'amour et de complicité.

-Mais ce n'est pas ce que tu veux?

-Pour être plus précis, ce n'est pas ce dont j'ai besoin. Je ne serais pas heureux à long terme. J'ai besoin d'être soumis et humilié, je le concède. Mais pour une personne qui prend du plaisir à soumettre et humilier et pas pour satisfaire des besoins masochistes de son partenaire. Cela ne peut être qu'une conséquence. Je ne sais si je m'explique bien.

-Tu me dis que tu es heureux avec ma fille parce qu'elle aime faire souffrir.

-En tous cas elle aime me faire souffrir, peut-être ne le ferait-elle pas avec un autre. Je ne sais pas.

-Pourquoi?

-Sans doute parce que pendant des années elle a dû s'occuper de tout à la maison et se priver de beaucoup de plaisir pendant que je travaillais à développer mon entreprise. Si elle ne m'y avait pas poussé, je n'aurais sans doute pas vendu. Mais elle avait besoin d'un nouvel équilibre où elle pouvait s'épanouir. Et bien entendu elle avait eu cette perception que ma nature profonde était d'être soumis et donc que je serais heureux de satisfaire ses volontés, aussi cruelles puissent-elles être.

-Et tu iras jusqu'où pour elle?

-Au bout de l'enfer. Je sais qu'elle ne me fera jamais souffrir physiquement de manière irréversible, elle n'est pas une sadique perverse. Si elle le juge vraiment nécessaire, comme lorsqu'elle m'a amené chez Marianne, elle préfère déléguer cette tâche à un autre. Mentalement elle peut être beaucoup plus cruelle et m'enfoncer, me dénigrer est un plaisir pour elle. D'autant plus qu'elle sait que l'humiliation, et la crainte, la honte qui l'accompagne, est un besoin fondamental dans mon acceptation de la soumission.

-Je crois que je te comprends un peu mieux. Continue ton nettoyage et prépare-moi un repas léger pour 14.00, tu me le serviras sur la terrasse.

J'ai repris mes occupations et puis j'ai fait un plateau de charcuterie et de fromage, ainsi qu'une salade de fruits. Peu après 14 heures Marie est descendue pour son repas. Maquillée légèrement, pieds nus, un jeans et un chemisier blanc largement ouvert sur sa magnifique poitrine laissée libre sous le tissu. Elle m'a fait mettre à genoux à ses côtés. Au fur et à mesure de son repas elle a laissé tomber des morceaux de nourriture sur le sol.

-Mange, tu n'auras rien d'autre.

Les fruits, elle les a écrasés avec son pied et me l'a donné à lécher. Ma langue s'est insinuée entre ses orteils pour ne rien laisser. Elle a frotté sa plante de pied sur mon visage. Marie a allumé une cigarette. Elle m'a dit d'ouvrir ma bouche et y a fait tomber ses cendres. Finalement Marie a laissé couler un long filet de salive sur ma langue et y a écrasé son mégot. C'était une douleur acceptable, c'était humiliant, j'étais bien. Je me sentais en sécurité auprès d'elle et je retrouvais un peu de chaleur humaine qui avait pratiquement disparu dans ma relation avec Alicia. Cette dernière ne me considérait plus que comme une chose, un objet, un esclave. Marie me méprise certainement mais je sens une dose de pitié. Elle comprend mon questionnement personnel. Je veux rester aux pieds d'Alicia, je veux qu'elle me fasse descendre encore plus bas, je veux pouvoir l'aimer au travers de ma servitude et de mon obéissance, quel qu'en soit le prix à payer. Mais pour y arriver j'ai parfois besoin d'un moment de paix et de chaleur. Même en me nourrissant de ses restes, en m'utilisant comme cendrier, c'est ce que Marie venait de m'offrir en me parlant et en acceptant de me comprendre.

-Tu as l'air heureux.

-Je le suis Madame.

-Tu as envie de revenir me servir?

-Oui beaucoup.

-J'en parlerai à Alicia. J'aurais bien besoin de toi deux ou trois fois par mois.

Le lendemain Alicia m'a informé que sa mère lui avait téléphoné et qu'elle était très contente de mon service. En conséquence j'irai chez elle tous les 15 jours pour faire le ménage. Trop heureuse d'avoir fait plaisir à sa mère, elle a retiré son slip , me l'a mis dans la bouche et m'a dit d'aller à la cave me branler dedans et puis de le laver.

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Anonymous
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3 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a presque 2 ans

Pour la première fois on entend parlé du deuxième couple évoqué au premier épisode.

Vivement la suite

OlivX

AnonymousAnonymeil y a presque 2 ans

Très bon récit ! Impatient de lire la suite ! Et très bien écrit !

AurailiensAurailiensil y a presque 2 ans

J'ai beaucoup aimé... équilibre entre véritable humiliation et psychologie des personnages. Y aura-t-il une suite ? Pas évident car la situation s'est équilibrée et risque d'être moins excitante et perverse

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