En Perdition Ch. 01

Informations sur Récit
Je rencontre une femme perverse qui m'envoute.
4.9k mots
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3.7k
2
Récit n'a pas de balises

Partie 1 de la série de 4 pièces

Actualisé 03/16/2024
Créé 01/03/2024
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Mon gland est passé au travers de l'anneau métallique épais qui vient trouver sa place à sa base. La main recouverte d'un gant de protection en latex tire bien sur la peau pour que celle-ci ne soit pas coincée, puis serre chacune des six vis qui s'enfoncent d'abord dans l'épaisseur de l'anneau, avant de percer dans ma chair fragile et sensible. Les vis sont pointues, pressent ma peau, provoquant une douleur insoutenable, je ne peux que hurler, crier, supplier, mais en vain. Elles viennent buter contre le plug métallique qui a été introduit dans mon urètre, sur plus de vingt centimètres, l'empêchant de bouger. Ce plug creux, me permet d'uriner sans quoi les vis auraient obturé mon canal. Ce n'est pas de bon augure, cela signifiait qu'elles seront là pour un long moment.

La douleur dans mon sexe est vive, et terrible, provoquant un début d'érection, qui ne fait que la raviver et me faire tordre dans mes liens en tout sens, sans aucun effet apaisant. Je me suis toujours interrogé sur ce besoin de crier, pleurer, bouger quand, de façon évidente, rien ne peut venir pour me soulager. Une sorte de réflexe. La femme qui officie ne fait aucune attention à moi, et n'est qu'une opératrice pour me préparer. A quoi?

La main gantée passe deux filins dans les deux œillets de l'anneau, reliés à un treuil à l'horizontal par rapport à ma position, à trois mètres environ. Rapidement mon sexe est étiré horizontalement, m'arrachant de nouveaux cris, et je comprends alors le dispositif contre lequel je suis appuyé, qui m'interdit d'arquer mon corps en direction du treuil : mes pieds sont attachés solidement au sol, et mon ventre retenu d'aller vers l'avant par un portique en métal, où mes mains sont attachées de façon écartées mais assez lâches. La tension sur mon pénis est atrocement douloureuse, et je couine comme un goret, à l'unisson du compagnon d'infortune, qui est dans la stalle à côté, et subi la même chose. Il y a trois portiques identiques, nous en occupons deux, le troisième est vide. L'homme est jeune, très beau et souffre le martyre comme moi. Les deux femmes qui s'occupent de nous, rient, nous insultent dans une langue que je ne connais pas, le roumain sans doute et s'amusent à augmenter la tension.

Pour vérifier que tout est bien en ordre de ce côté-là, elles actionnent une commande, et dans une vision d'horreur, nous voyons le treuil aller et venir, étirant notre sexe avec les pointes acérées jusqu'au point de rupture, avant de revenir dans un rythme lent, à la position initiale. La machine va et vient, ma tortionnaire, teste les différentes vitesses, tandis que je hurle inutilement, convaincu que mon gland ne pourra résister et va se déchirer. Elle met le treuil sur pause, dans une position intermédiaire, je ne suis qu'un gémissement continu. Dans un français impeccable, elle plante ses yeux dans les miens que je baisse aussitôt :

- Tu couines, mais cela ne fait que commencer, tu n'as pas idée, quand tu sortiras, tu ne sauras plus rien de qui tu étais, nous t'aurons complètement remodelé, ta femme sera très fière j'en suis certaine.

***

Quelques semaines auparavant...

L'image de ma femme vient occuper tout mon esprit. Océane m'a plu dès que je l'ai vue dans une soirée chez des amis. Elle n'est pourtant ni dans les canons, ni dans les miens qui sont très élevés. En surpoids qu'elle assume pleinement, elle peut être qualifée de ronde, avec des yeux perçants, et une beauté que je discerne au travers de ses formes qui me semblent comme un manteau ou un déguisement sur elle. Très farouche, il me faut beaucoup de temps pour arriver à l'inviter à dîner et bien plus encore à ce qu'elle accepte un baiser. Elle est difficile, exigeante, pas du tout intéressée par les hommes, et ne souhaitait faire aucun effort, ni adapter aucunement sa vie à un partenaire. Les choses sont claires.

Peu m'importait, je vibre tellement en sa présence, c'est quelque chose de fou. Et finalement, ma patience, tout comme ma souplesse lui plurent et elle accepte alors une première nuit ensemble, sachant qu'elle choisit le lieu et les modalités. Elle se décide pour un palace parisien, je dois l'attendre nu dans la chambre, les yeux bandés et me laisser faire.

Je sens le courant d'air de la porte, plus que je ne l'entends. Elle entre à pas de velours. Je suis sur le lit, à genoux, l'attendant, un peu honteux de mon sexe déjà très dur. Non qu'il soit petit, au contraire il est plutôt très gros et long, mais je trouve cela un peu indécent de bander avant même qu'elle n'arrive, tant j'ai envie d'elle. Je me suis pourtant masturbé dans les toilettes peu avant, pour être certain qu'un accident n'arrive pas, et gâche tout!

Je sens une main caresser mon torse, pincer légèrement mes tétons, descendre sur mon ventre, caresser mon pubis. C'est doux, excitant, ma bouche s'ouvre dans un désir de baiser profond avec elle. Contre toute attente sa main s'arrête et ne descend pas sur mon sexe tendu et en manque. Une pression me fait comprendre de m'allonger sur le lit. Je me laisse faire, je m'allonge. Elle prend mes mains, les tire au-dessus de ma tête, et à ma grande surprise les menotte aux barreaux du lit, me gardant ainsi étiré, après avoir retiré l'oreiller qui soutenait ma tête. Je suis à sa merci. Elle ne dit rien, continuant à caresser mon corps doucement, évitant certes mon sexe, mais me couvrant maintenant de doux baisers. C'est tendre et très sensuel.

Sa bouche aspire mon téton gauche, le titille de ses dents, la morsure se fait plus douloureuse, je me tends, je gémis, je ressens des décharges dans tout le corps, sensations inconnues pour moi. Elle passe à l'autre téton, les mêmes sensations, encore plus fortes tant la morsure est prolongée, je crie mais je ne cherche pas à m'échapper, je ne sais pas pourquoi. Sa main saisit alors fermement mon sexe, je bondis tant ce mélange de douceur et de douleur me plonge dans des émotions inconnues.

Sans lâcher mon téton endolori, elle saisit mes couilles à pleine main, c'est si sensible, j'espère qu'elle le sait! Apparemment oui, et elle s'en moque, les dents sur mon téton, sa main serre progressivement mes couilles, j'écarte les jambes pour m'offrir, j'ai envie qu'elle fasse de moi ce qu'elle veut, mais je couine, je hurle après une pression bien trop forte, la douleur irradie, ne se calme pas. Sa bouche a quitté mon téton, la sensation est jouissive, mon sexe est plus dur que jamais, c'est le moment qu'elle choisit pour me chevaucher. Elle ne s'est même pas déshabillée, je sens une jupe sur mon torse et mes cuisses. Elle guide mon pénis dans son sexe dégoulinant, s'enfonce d'un coup, c'est indescriptible, je hurle un oui sonore, qu'elle sache que je suis au firmament.

Elle se penche sur moi, ses lèvres effleurent les miennes assoiffées, je sens ses seins peser sur mon torse, je regrette mes mains attachées, j'aurais aimé les caresser, les malaxer. Mais je ne décide rien. Très vite elle se redresse, me sort de son sexe et se retourne. J'hallucine quand je comprends qu'elle vient s'enculer sur moi. La sensation est à nouveau folle, si je suis lubrifié, son cul est sec mais semble déjà un peu ouvert puisque mon gland trouve facilement sa place. Là aussi elle s'empale d'un coup, poussant enfin un grand cri (de souffrance? de plaisir? de victoire?). Cela m'a fait mal, en particulier au frein, mais je pense que ce n'est rien par rapport à elle. Ses va et vient sont de plus en plus fluides, je la sens se lubrifier, s'élargir, mon plaisir monte, irrésistible tandis que la douleur s'estompe, je n'arrive plus à le retenir, et je jouis en criant mon plaisir, remplissant son cul de ma semence, quelle baise!

Je me sens un peu honteux de n'avoir pu me retenir plus longtemps. Je murmure un désolé qui reste sans réponse. Elle se décule, recule un peu et vient poser son cul directement sur ma bouche! Je voudrais la détourner mais je sens tout son poids sur moi qui m'écrase, et dans un réflexe incontrôlé, je lèche la mixture qui s'écoule, mélange de ses sécrétions, des miennes et je crains d'autres choses. Elle se soulève pour que je respire, et recommence longuement, jusqu'à ce que j'ai tout avalé. Cela m'excite terriblement, qu'elle ne dise rien, que je sois utilisé ainsi, que je fasse quelque chose d'aussi pervers. Mon sexe est à nouveau complètement bandé, j'espère qu'elle voudra continuer.

Je la sens se retourner, accroupie devant moi. Je suis heurté par un jet chaud sur le visage, il me faut quelques instants pour réaliser qu'elle me pisse dessus! Cela gicle partout, je ferme la bouche, le jet rentre dans mon nez, je tousse, j'avale de l'urine, cela n'arrête pas. Heureusement mes yeux sont protégés par le bandeau. Je ne sais pas pourquoi, je ne dis rien, je suis juste halluciné. Le jet s'arrête enfin, je la sens descendre du lit, quelques mouvements, et la porte qui claque! J'appelle Océane, mais seul le silence me répond. J'essaie de détacher mes mains, en vain, je me fais juste mal aux poignets.

Elle m'a laissé le visage couvert de mon sperme, et de sa pisse, nu sans pouvoir me détacher. J'ai froid maintenant, et rien pour me couvrir. Avec mes bras, j'arrive à enlever mon bandeau, trempé, mais c'est de peu de réconfort. Je vois la clé des menottes posée largement hors de portée, puisque le lit ne bouge pas d'un centimètre. Après une heure d'effort je suis obligé de m'avouer vaincu. Je ne bande plus du tout, juste terrifié de savoir comment je vais m'en sortir.

J'ai passé la pire nuit de ma vie, dans l'hôtel le plus cher que je me sois offert. Je suis terrorisé quand j'entends une sonnette, puis une clé ouvrir la porte. La femme de ménage recule quand elle voit qu'il y a quelqu'un mais je l'interpelle pour qu'elle vienne me délivrer. Au lieu de cela, elle appelle un collègue, sans doute ayant peur d'une agression sexuelle. Je dois lui expliquer la blague de ma femme, qu'il ne juge pas de très bon gout, surtout avec le lit souillé de son urine. Il me libère et me demande de partir tout de suite, je ne peux même pas prendre une douche, je me sens dévasté et humilié comme jamais. Une fois dehors, j'éclate de rire, quelle expérience, quelles sensations! Jamais je n'aurais cru cette femme aussi joueuse. Peut-être cela explique-t-il mon attrait incroyable pour elle, attrait qui au lieu de faiblir n'a fait que s'accroître! Je lui envoie un message, la remerciant de cette nuit inoubliable, voulant m'assurer qu'elle était bien rentrée.

La réponse vient après 24 heures de fébrilité, sans oser la relancer : Stop ou encore. Encore, évidemment, mille fois encore. Elle me demande alors de m'offrir. C'est curieux comme expression, cela me semble plus à une femme de s'offrir, mais cela m'excite cette passivité, sans savoir ce qu'elle a en tête, pensant m'être bien offert la première fois.

Un palace sur la rive gauche cette fois-ci, elle va me ruiner. Heureusement que je prends des réservations en dernière minute à moitié prix! La bouteille de champagne demandée est prête, je l'ai apportée bien glacée. Je relis les instructions, somme toute simples : je débarrasse l'immense lit de tout draps, oreillers et couette. J'ouvre le champagne avec deux coupes prêtes à recevoir le liquide. Plus délicat je prends les bandes de steri-strip que je colle sur mes paupières pour les fermer. Trois pour chaque œil, je ne pourrais vraiment pas les ouvrir! Puis je tâtonne, referme les menottes de la dernière fois que j'ai gardées en souvenir, aux barreau du lit, après avoir laissé la clé hors de portée. Je suis offert comme elle le désirait. J'ai monté le chauffage pour ne pas avoir froid, je l'attends, mon sexe est tendu comme un arc. Elle m'a demandé de ne pas me toucher d'ici notre rencontre, et je me demande comment je vais faire pour ne pas jouir à la première caresse!

Elle prend son temps pour s'approcher de moi cette fois. Je l'entends se servir un verre de champagne, s'asseoir sur le canapé pour me regarder.

- Je ne veux pas que tu parles, si j'ai besoin je te demanderais, mais je ne veux entendre que tes gémissements, tes cris, tes supplications. Et tu ne jouis que quand je le veux, sinon je te punis.

Sa voix m'électrise, je hoche la tête en signe d'assentiment, j'adore les règles du jeu, me laisser ainsi emmener est un délice. Je crois que je suis déjà amoureux de sa voix, elle est suave, douce, déterminée. Je ne sens aucune fêlure, aucune vulnérabilité. Je l'entends se déshabiller, mon cœur s'emballe, je ne peux qu'imaginer ses énormes seins, son ventre rebondi, ses cuisses épaisses. Rien de cela ne m'a jamais attiré, ce soir cela me rend dingue d'elle.

Je sursaute et pousse un gémissement sonore. Contre toute attente, son premier contact a été buccal avec mon gland. Sa bouche est douce, elle m'englobe, jusqu'au fond de sa gorge, sa langue titille mon frein, je suis au paradis. Sa main saisit ma tige, me masse doucement, avant de venir caresser mes couilles, qu'elle presse doucement. Je ne peux résister plus de trente secondes et je jouis dans sa bouche, en hurlant mon plaisir. J'ai des étoiles dans les yeux, le corps traversé de spasmes.

Elle ne dit rien, vient se pencher sur moi, ses lèvres ouvrent ma bouche dans laquelle elle recrache tout le sperme que je lui ai envoyé. Je comprends que je dois avaler, décidément, un peu dégouté mais au fond pourquoi ce serait à elle de l'avaler. Je sens ses tétons sur moi, la lourdeur de ses seins qui s'appuient sur moi, c'est délicieux.

- Bad boy va devoir être puni

Sa voix est restée aussi douce qu'excitante, je me demande quelle va être me punition! J'entends le zip d'un sac, puis deux mains attacher autour de ma cheville gauche un bracelet, puis autour de la droite également. Rapidement une traction me fait comprendre qu'elle m'attache les jambes très écartées, me tirant vers le bas du lit, je suis immobilisé, en tension, très vulnérable. Elle masse mes cuisses tendues, mon ventre étiré, sentant ainsi mes muscles tendus.

- Tu vas voir, tu vas vite apprendre!

Apprendre quoi? J'entends le sifflement avant de recevoir le coup sur une cuisse. Cela brûle mais c'est supportable. Elle es venue avec une cravache! Océane semble bien équipée, je me dis qu'elle semble avoir l'habitude de ces relations épicées! Je reçois cinq coups sur chaque cuisse, je ne dirai pas que c'est agréable, mais presque. Cela chauffe mes muscles bandés, je m'offre comme elle le veut. Les cinq qui suivent sur mon ventre semblent bien moins forts mais sont très douloureux. Malgré moi je crie. Je me sens déchiré. Mes cris ne semblent pas l'arrêter. Je suis soulagé qu'elle s'arrête enfin, la cravache glisse sur mon torse, les cinq coups suivants sont secs, forts, douloureux, très douloureux mais très supportables aussi, bizarre cette association. Sur le ventre c'était juste insupportable.

- Une légère punition pour un débutant comme toi, ne t'avise pas à recommencer, cela ne serait plus la même chose!

Je l'entends à peine, bercé par la prosodie de sa voix qui m'envoûte. Ses ongles suivent chaque marque que la cravache a dû laisser. Cela brûle, cela m'excite, mon sexe se redresse. Elle le reprend en bouche jusqu'à ce qu'il soit à nouveau dur et fier, et bientôt, comme la dernière fois s'empaler dessus. Quelle frustration de ne pouvoir ni voir ni toucher sa poitrine. Est-ce pour cela que j'ai les yeux fermés? La chevauchée est longue, je la sens mouiller de plus en plus, me demandant si elle va encore s'enculer sur moi? Elle saisit mes tétons avec ses ongles, les serre, les tourne, je gémis, je crie, ses mouvements sont plus rapides. Elle se couche sur moi, je sens ses seins s'écraser et s'étaler sur mes côtés, cela m'excite. Elle saisit un téton entre ses dents, j'ai peur, et j'ai raison, elle fait des mouvements du bassin pour se caresser sur mon sexe, en mordant mon téton, me faisant, crier, supplier. Elle se redresse, tirant encore plus fort, je perds la tête, j'ai tout le corps électrisé, le téton semble se déchirer, je crie pitié, mais rien n'y fait jusqu'à ce que je sente ses mouvements désordonnés annonciateurs d'un orgasme qui la secoue longuement, à mon détriment, ses dents ne lâchant rien de mon téton, je crie à son unisson mais de souffrance ne pouvant me remplir de son orgasme.

Il nous faut quelques minutes pour revenir à nous. Une langue douce cette fois vient malaxer mon téton endolori, c'esr délicieux. Elle se relève, me colle son sexe gluant sur la bouche, elle est couverte de son excitation. Je la lèche, c'est un nectar. J'aimerais rentrer ma langue au fond de son sexe, je lèche doucement son clitoris sensible, elle se laisse faire, les mains accrochées aux barreaux du lit. Enfin elle se lève, je l'entends se servir une coupe de champagne, la boire, puis resservir les deux verres.

- Il est bon ton champagne! Relève-toi un peu je vais te glisser un coussin pour que tu puisses boire. Interdiction d'en perdre une goutte!

Elle approche la coupe, j'ai soif. Avant même que le liquide n'atteigne ma bouche, l'odeur m'avertit, je l'entends rire de sa blague. Docilement j'ouvre la bouche, qui se remplit de son champagne à elle. Décidément elle semble aimer cela, donner son urine. Je me sens humilié et rabaissé, mais aussi excité par toutes ces perversités, ses désirs si forts. Je bois, c'est chaud, le goût est léger. Elle me ressert, je bois tout encore plus facilement, je me remplis d'elle, la symbolique m'explose et j'en veux encore. J'en ai encore, plusieurs flutes, elle est ravie, me dit que je suis une bonne buveuse de pisse. Elle aime aussi m'humilier. M'aime-t-elle comme je commence à l'aimer? Suis-je juste un jouet ou beaucoup plus? Je n'ai d'autre choix que de me laisser porter par elle.

Elle vient s'allonger contre moi, son corps est brûlant, lourd, ferme, doux. Quelle frustration terrible de ne pas pouvoir la caresser, je me retiens de lui parler, je me rappelle ses consignes.

- J'aime ton corps, tes réactions, ton obéissance. C'est rare. En fait cela ne m'est jamais arrivé. Maintenant à moi de te donner du plaisir.

Je me sens flatté, et excité par ce qu'elle va pouvoir faire. Elle détache mes deux chevilles, me fait retourner sur le ventre, ma queue bandée entre mes cuisses. Mes mains sont croisées, c'est un peu désagréable, mais sans plus. Elle se couche sur moi, je sens son poids, c'est délicieux. Elle m'embrasse, me caresse, c'est divin. Ses mains descendent sur mes fesses, s'immisce dans mon sillon, je me détends même si je crains pour mes couilles. Drôle de sentiment qu'elle a su insuffler en moi, la peur de la douleur qui peut venir à chaque instant. Mais ce ne sont pas mes couilles sa destination mais mon cul! Elle masse doucement mon anus, j'essaie de me détendre, veut-elle vraiment me sodomiser?

La réponse vient vite quand je la sens prendre quelque chose, et un liquide couler directement sur mon trou, je sursaute. Je me retiens de ne rien dire. Son massage reprend, plus doux et plus agréable, son pouce éprouve ma résistance, je lève un peu les fesses, pour lui signifier ma coopération. Je n'ai jamais été sodomisé, et je comprends que cela sera aujourd'hui. Je n'en ai jamais eu envie, ni pas envie d'ailleurs, mais ce soir, avec Océane, c'est différent, c'est elle qui mène les débats, l'homme du couple!

Elle s'absente quelques instants, le temps pour moi de me préparer, de me remplir d'elle. Quel dommage de ne pas pouvoir la regarder. Je ne suis pas surpris de la sentir à genoux entre mes cuisses. Elle glisse un coussin sous mes hanches, et pointe le bout d'un gode qu'elle doit porter avec une ceinture, directement sur mon petit cul vierge. J'ai peur, mais je sais que c'est pour beaucoup de personnes, jouissif, et je ne suis pas du tout dégouté. La pénétration est lente, elle guette ma respiration, me flatte de mon ouverture, griffe mon dos, mes fesses, j'ose des oh oui, pour l'encourager. Est-ce que j'en ai le droit? En tous cas pas de punition! Je sens sa culotte contre mes fesses, elle est pleinement rentrée. Je suis presque déçu, l'engin semble petit et pas très long, elle fait des allers et retours, c'est bon, c'est doux, c'est souple, c'est vraiment agréable, je crois que je vais aimer la sodomie!

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