Le Projet Ch. 07

Informations sur Récit
Julien et Kate.
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Partie 7 de la série de 8 pièces

Actualisé 06/11/2023
Créé 04/13/2022
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Le Projet Ch.7

Julien et Kate

Quelques semaines plus tard, nous avons été invités chez Michelle pour un cocktail dînatoire. Michelle a toujours été un peu excentrique et aime à s'entourer de personnes marginales, qu'elles soient créatives ou simplement trash. La réception avait lieu dans sa maison de campagne. Rien de bien luxueux, une sorte de grand chalet mais au milieu d'un parc et en bordure de forêt. Nous étions une trentaine de personnes : un avocat des causes perdues, des artistes en panne d'inspiration, des spécialistes de la critique acerbe et qui ont une opinion sur tout et en particulier sur ce qu'ils ne connaissent pas, une femme plantureuse et visiblement nymphomane, à la recherche de celle ou de celui qu'elle prendra dans ses filets et ne rejettera que complètement épuisé, des couples de lesbiennes, des couples gays, des couples hétéros avec leurs secrets... A sa demande j'avais préparé pour Alicia un jean étroit, des petites bottes, un t-shirt et une veste en cuir. Le tout en noir, pas de sous-vêtements. Moi j'avais un jean moulant, des tennis, une chemise en lin. Le tout en blanc, pas de sous-vêtement. Si quelqu'un s'interrogeait sur la nature de notre couple, le collier de chien avec un anneau sur lequel s'ouvrait le col de ma chemise lui donnait vite une réponse. Après quelques salutations et embrassades et des morceaux de conversations sans intérêt, Michelle, dans une robe « plus transparente que cela tu meurs » est venue vers nous accompagnée d'un couple, lui vêtu tout de noir, elle de blanc. Des pièces de vêtement identiques aux nôtres, avec le collier de chien pour elle.

-Vous êtes les seuls à qui j'avais donné une consigne vestimentaire. Je vous laisse faire connaissance, vous comprendrez vite pourquoi. On se revoit plus tard.

-Je m'appelle Alicia et voici mon mari Pierre.

-Je suis Julien et voici mon épouse Kate. C'est votre mari mais encore ...

-Mon soumis, mon cocu, mon esclave. Et Kate?

-Ma chienne, mon urinoir, un sac à foutre, tout ce que vous voulez.

-Je comprends pourquoi Michelle souhaitait que nous nous rencontrions. Allons-nous asseoir et faisons plus ample connaissance. Pierre, va nous chercher à boire.

-Que prendrez-vous Monsieur?

-Gin tonic avec beaucoup de glace et un verre d'eau pour elle.

-La même chose pour nous deux.

Quand je suis revenu avec nos boissons, Alicia et Julien étaient confortablement installés dans un canapé en cuir brun, type Chesterfield, Kate à genoux aux pieds de son maître. J'ai déposé les verres sur la table basse et je me suis tenu debout aux côtés d'Alicia. Celle-ci expliquait notre parcours et nos expériences.

-Voilà dans les grandes lignes notre histoire. Et vous Julien, qui êtes-vous et comment vivez-vous avec Kate?

- J'ai eu une période où j'ai fait du redressement de société. Je reprenais une entreprise en difficulté, je la remettais dans les rails et je la revendais. Sur une quinzaine d'année j'ai ainsi acheté et revendu cinq entreprises. Et je tiens à préciser qu'à la fin de chaque opération, le nombre de personnes employées était identique ou supérieur à celui au moment du rachat. J'insiste sur ce point parce que les spécialistes faisant ce genre d'opérations ont une réputation, parfois justifiée, de fossoyeurs. A la suite de quoi j'ai réinvesti mes gains dans l'immobilier et je gère maintenant un portefeuille conséquent d'appartement. En tout cas de quoi me permettre de vivre très bien et d'avoir assez de temps libre. Kate, je l'ai rencontrée par hasard dans une soirée. Je l'ai trouvée superbe, discrète. On m'a dit qu'elle était spéciale, que je devais voir par moi-même, que c'était difficile à expliquer, etc ... Je l'ai invitée à dîner, une deuxième fois, toujours aussi discrète, timide, difficile de lui faire prononcer une phrase complète. Je lui propose de venir prendre un verre à la maison, elle accepte. Tout ce qu'elle voulait ou pouvait dire c'est « si vous vous voulez ». Je commençais à en avoir marre, en effet trop spéciale cette fille. Mais je sentais qu'il y avait une clef à tourner pour qu'elle s'ouvre et qu'on puisse la comprendre. J'ai couché avec elle, elle a perdu sa passivité, une vraie bombe, elle m'a épuisé. Elle savait tout faire et super bien, en plus elle jouissait sans retenue et sans cinéma. Le lendemain au petit déj. je lui demande si elle voulait revenir le soir même.

-Si vous voulez.

Là je ne sais pas pourquoi mais j'ai éclaté. Je suis pourtant d'un naturel posé. Je peux être très dur mais je garde mon calme. Sauf à ce moment-là.

-Tu te fous de ma gueule? Dis-moi oui ou dis-moi merde mais change de disque ou je te donne une gifle.

-Oui s'il vous plaît.

-Oui quoi? Je ne comprends pas.

-Giflez-moi.

-Pardon?

-Je vous en supplie, giflez-moi.

Elle était là la clef! Il nous a fallu encore des semaines avant que je ne comprenne réellement d'où venait Kate et ce dont elle avait besoin. Je ne vais pas rentrer dans les détails, si elle le souhaite, un jour, elle le partagera elle-même avec vous. Mais en conclusion ce qu'elle voulait c'était vivre à mes pieds, être ma chienne, mon esclave. Elle a besoin qu'on la dresse, qu'on la frappe, qu'on la maltraite. Et non elle n'est pas folle ou bizarre : elle est masochiste au plus profond d'elle-même et c'est tout. Mais ne vous fiez pas à son attitude humble et passive : c'est une chienne de garde extrêmement dangereuse : ce qu'elle a décidé de protéger, elle le fera au péril de sa vie. Kate a beaucoup pratiqué les arts martiaux, à un très haut niveau, et continue à faire du fitness quotidiennement. C'est la seule liberté que je lui laisse avec notre semaine trimestrielle, je vais y revenir. Il y a un an, deux types ont voulu m'agresser dans la rue alors que nous nous promenions. Je n'ai même pas eu le temps de réagir qu'ils se trouvaient tous les deux au sol, le visage éclaté. Elle avait frappé très vite et très fort. La semaine trimestrielle, c'est une semaine que nous nous offrons et durant laquelle nous formons un couple tout à fait « normal ». J'ai aussi besoin de donner ou de demander à Kate, pas seulement exiger, de partager avec elle. Et j'ai voulu que Kate aie la possibilité d'avoir du temps pour elle, de faire ce qu'elle veut, pendant cette semaine, sans devoir me rendre de compte. Choisir d'être seule ou avec des amis ou avec moi, mais c'est elle qui choisit. Souvent on fait un mini-trip de 3-4 jours dans une ville ou une région que nous ne connaissons pas. On choisit la destination ensemble durant le break du trimestre précédent. Voilà comment nous fonctionnons.

-Merci pour votre ouverture Julien. Nous devrions peut-être rejoindre Michelle et ses invités, au risque de paraître impoli. Seriez-vous libre pour venir déjeuner samedi dans quinze jours? Nous pourrions continuer à partager nos expériences et voir comment ces deux-là sont capable de travailler ensemble.

-Avec plaisir Alicia. J'ai été vraiment très heureux de vous rencontrer.

Nous avons rejoint les autres, Alicia a trouvé bon d'attacher une laisse à l'anneau de mon collier et de passer de l'un à l'autre pour m'exhiber ainsi. Quand il ne restait que quelques personnes qu'elle connaissait bien, elle m'a fait sortir mon sexe de mon pantalon pour que l'on puisse voir que je portais une cage de chasteté. Cela a provoqué beaucoup rires et de remarques. Michelle a félicité Alicia pour cette initiative. A un moment j'ai vu Julien et Kate s'approcher d'un couple de lesbiennes. Kate a ouvert son chemisier et les deux filles se sont empressées de soupeser et de tirer les deux gros anneaux qui lui percent les tétons. Beaucoup plus gros que ceux que je porte. Elle a dû avoir une très belle poitrine, maintenant ses seins pendent lourdement tout en restant très attirants, du moins à mon goût. Alicia a vu que je les regardais et m'a dit que mes couilles devraient pendre de la même manière, qu'elle allait s'en occuper. Le lendemain elle a passé sur internet commande pour un système de « ballstretcher », de gros anneaux que l'on place au niveau du scrotum et qui pèse sur les couilles, étirant la peau. On peut placer un et puis deux anneaux, de plus en plus lourd, et la peau se distendra. Trois jours après, j'en étais équipé. Je les porte journellement, et ils ne sont retirés que pour faire place à une cage de chasteté.

Julien et Kate en visite

Julien et Kate sont arrivés en fin de matinée. Une superbe journée ensoleillée et chaude, Alicia m'a demandé de préparer un BBQ, des tomates fourrées au thon comme entrée et d'acheter de la glace pour le dessert. Je suis allé ouvrir la porte, j'étais nu, excepté ma cage de chasteté et un petit tablier de soubrette.

-Jolie tenue Pierre. Kate déshabille-toi et donne tes vêtements à Pierre.

Elle ne portait qu'une robe légère et un slip. Pour tout bijoux, elle portait ses anneaux aux seins, un sur chaque grande lèvre de son sexe et un au travers de sa cloison nasale. Ses cheveux sont coupés très courts, elle est mince, de longues jambes, un corps athlétique, si ce n'est sa poitrine tombante. Quand elle s'est retournée, j'ai remarqué sur son dos et ses fesses des marques assez récentes de cravache ou de fouet. Nous avons rejoint Alicia sur la terrasse.

-Julien, je suis très heureuse de pouvoir vous accueillir. J'espère que vous avez fait bonne route. Kate, ces anneaux vous vont très bien.

-Bonjour Alicia. Le trajet a été très agréable, je vous remercie.

-Pouvons-nous nous tutoyer Julien? Ce sera plus agréable pour moi.

-Avec plaisir puisque tu me le proposes.

-Pierre, va chercher la sangria et une bouteille d'eau.

-Pour Kate ce sera de l'eau du robinet dans un bol de chien.

-Bien Monsieur.

J'apporte les boissons et des snacks. Kate est à genoux aux pieds de Pierre, je dépose le bol devant elle et elle se met directement à laper le contenu comme le ferait une chienne.

-Elle a eu chaud, je l'ai faite voyager dans le coffre. Pas besoin qu'elle sache où nous allions et il y avait trop de trafic pour qu'elle soit assise avec un bandeau sur les yeux. On ne peut prévoir à l'avance la réaction des gens que l'on croise.

-Et si nous continuions notre conversation de l'autre jour Pierre. Je suis très curieuse de savoir comment tu t'occupes de Kate.

-En premier lieu elle s'occupe de toute l'intendance de la maison : nettoyage, courses, cuisine....et puis comme elle est intelligente et douée en informatique, elle m'aide dans la gestion administrative de mes sociétés. A côté de cela nous avons nos activités privées durant lesquelles mon côté sadique et ses pulsions masochistes se rencontrent.

-C'est-à-dire?

Alicia était vraiment curieuse de connaître les traitements que Julien faisait subir à Kate. Nous avons déjà parcouru un long chemin Alicia et moi mais elle sait que d'autres vont beaucoup plus loin et elle est avide de nouvelles expériences dont nous pourrions profiter dans notre couple.

-Oh tu sais cela pourrait être long et fastidieux de faire une énumération du contenu de nos séances. Mais je veux bien t'en raconter quelques-unes qui te donneront une idée de ce qui peut se passer dans notre vie de couple.

Ainsi sache en premier lieu que si je soumets Kate à de nombreuses punitions et humiliations, j'aime aussi beaucoup la donner en pâture moralement et physiquement à d'autres. Nous avons un petit groupe d'amis, hommes et femmes, avec les mêmes tendances sado-masochistes. Même s'ils ne sont pas mariés, ce sont toujours des couples, hétéros ou homos, où l'un des deux partenaires est soumis, l'autre dominant. Je crois qu'une personne seule, et je vise principalement les hommes, pourrait plus facilement se laisser aller à des excès dont nous ne voulons pas.

-Quelles sont vos limites?

-Il n'y en a pas et il y en a plein. Bien entendu pas de mineurs, et nous avons mis la barre à 21 ans, et pas de risque de lésions permanentes ou d'accoutumances qui pourraient mettre la vie en danger. Cela semble évident mais je te jure que cela se passe dans certains groupes de dangereux imbéciles. Après cela dépend de la personne. On sait qu'on peut déjà aller très loin avec Kate. Mais avec une autre personne, plus nouvelle dans notre cercle, on ne brûlera pas les étapes. On aime aller le plus loin possible avec un assentiment de la personne concernée. Donc de l'une à l'autre les limites sont différentes. Parfois, dans certaines circonstances, j'aime aussi la donner à des inconnus mais alors je reste toujours près d'elle.

J'aime utiliser Kate comme toilette, lui pisser dans la bouche, la voir avaler sans rien perdre pour ne pas être punie. Je l'ai déjà obligée à le faire dans une cabine d'essayage, sous la nappe dans un restaurant, lors d'une promenade en forêt. Quand nous sommes dans notre groupe et que nous prenons un verre, j'aime sortir mon sexe et simplement lui dire que je dois pisser. Elle s'agenouille devant tout le monde, prend mon sexe en bouche et elle avale mon urine pendant que je continue une conversation. Un jour je m'arrête sur une aire d'autoroute pour passer un coup de fil. Un véhicule s'arrête dernière nous, un type en descend et s'apprête à faire ses besoins. J'envoie Kate lui demander s'il veut bien le faire dans sa bouche ; il lui a tout balancé sur le visage et est parti en la traitant de détraquée...j'ai tout filmé, je te montrerai. Plus classique, si je reçois des amis proches je l'attache à la cuvette et ils peuvent se soulager dans sa bouche ou sur elle, ou dans la cuvette et l'obliger à boire en tirant la chasse d'eau. Je suis certain que tu as déjà vu cela sur le net. Parfois, et cela c'est plus original, je la mets au service de deux copines qui tiennent un bar lesbien sado-maso. Elle y officie en tant que Mme Pipi, mais pas derrière une table : elle est nue, à genoux et au service des utilisatrices. En tant que nettoyeuse, réceptacle, poubelle...nombreuses sont celles qui préfèrent se frotter avec un morceau de p.q. mais qui ensuite le dépose dans sa bouche. Même après s'être frotté le cul.

-Vous participez à des activités scato?

-Oui si c'est léger. Un jour Kate léchait l'anus d'une copine et celle-ci a lâché un pet et même temps un peu de merde a giclé sur le nez de Kate. Elle s'en est même excusée et nous avons tous bien ri. Je lui fais sucer des sexes qui viennent de pratiquer des sodomies et qui ne sont pas toujours des plus propres mais rien de plus. Jamais je ne l'obligerai à manger une assiette de merde, ce n'est certainement pas sain et donc cela tombe dans nos limites.

-J'aime bien ton histoire de la mettre à disposition dans les toilettes d'un bar. Tu ne connaîtrais pas un bar gay où placer Pierre?

-Je m'en occupe et je te tiens au courant.

-Quoi d'autre pour Kate?

-Mais tout ce que tu veux .... Cela fait trois ans que nous vivons ensemble et je peux t'assurer qu'on a fait énormément d'expériences. Il me faudrait des jours pour tout te raconter, et j'oublierais certainement une bonne partie des détails. Pose-moi plutôt des questions, ou évoque certains thèmes qui te paraissent plus intéressants pour toi.

-Tu la punis souvent?

-Ce n'est pas vraiment la punir car elle accepte tout et exécute toutes ses tâches avec soin. Mais je sais qu'elle a besoin d'être punie, nous en avons discuté ensemble. Pas parce qu'elle recherche la douleur ; heureusement pour elle, elle craint la douleur. Elle veut ressentir ce sentiment de ne pas avoir d'autre choix que de se soumettre à un maître puissant et cruel, que d'accepter d'être humiliée et de souffrir pour le satisfaire lui. Et de temps en temps ce n'est que sous les coups de fouet ou de cravache, ou sous la douleur générée par d'autres instruments, qu'elle trouve ce repos mental. Je ne sais si je me fais bien comprendre, ce n'est pas facile à expliquer.

Si je la brûlais avec un fer rouge, et je ne l'ai jamais fait, en ayant l'air de m'en foutre, elle aurait très mal sans aucune satisfaction. Elle pourrait même me rejeter, se venger. Si par contre elle voit que je prépare cela avec minutie, que je prends mon temps et que je pose le fer en ayant du plaisir à le faire, alors elle pourra même avoir un orgasme. Kate, mon explication est-elle correcte? Parle franchement.

-C'est exactement cela Maître. Je ne veux pas avoir mal pour avoir mal, mon besoin est de vous satisfaire ou celui ou celle que vous avez choisi. Et si pour cela je dois souffrir, j'en suis encore plus heureuse. J'aime sentir la morsure de la lanière du fouet sur mon dos et mes fesses, j'aime les coups de cravache qui s'écrasent sur mon sexe, j'aime la brûlure d'une cigarette sur mes seins, j'aime être giflée et qu'on me crache au visage si c'est mon Maître qui en décidé ainsi. Si en me punissant son sexe devient dur et s'érige comme un mat, même pour ensuite aller satisfaire une autre, alors je suis heureuse et je demande que ce soit encore plus fort et plus violent la prochaine fois.

-Donc si Julien te donne à moi en cadeau et que je te maltraite, que je te fasse hurler de douleur, tu seras heureuse.

-Oui Madame, parce que mon maître m'aura donné en cadeau et que je dois être digne du présent qu'il a fait.

-Tu jouis quand on te maltraite?

-Cela dépend Madame. Si c'est une douleur lente alors oui, je peux avoir un ou plusieurs orgasmes, si c'est très brutal non mais bien souvent quand la douleur commence à s'estomper et que la chaleur revient en moi alors je peux jouir d'une manière très violente en me touchant à peine.

-Je t'ai déjà dit que Kate est ce qu'on peut appeler une femme fontaine? Pas toujours, cela dépend du moment quand elle jouit, mais c'est assez spectaculaire quand cela se produit.

-Tout cela m'excite et me donne faim. Commençons par manger. Pierre va chercher l'entrée et puis commence le BBQ. Si cela te convient Julien, je propose que Kate et Pierre mangent avec nous, comme on vient de le voir cela peut être intéressant qu'ils puissent intervenir comme vient de le faire Kate.

-Ils sont gâtés aujourd'hui...alors bougez vos fesses, on a faim.

Kate et moi avons fait le service, je m'occupais principalement du BBQ. La conversation a continué sur des thèmes plus généraux et moins érotiques : les vacances, les personnes que nous fréquentons et qui partagent des relations sado-maso, nos goûts culturels, nos voyages, .....Julien a proposé à Alicia de rejoindre son groupe d'initiés, elle l'a invité à venir passer une semaine avec nous en Espagne lors de notre prochain séjour. Ce n'est qu'après avoir pris le café que la conversation est revenue sur les détails de la relation entre Julien et Kate.

-Quelle a été la pire expérience de Kate?

- Sans nul doute le passage à la ferme. N'est-ce pas Kate?

-Oui Maître, vous avez raison. J'en tremble encore rien qu'à l'évocation du sujet.

-Dans notre groupe il y a un couple, Anne et Marc, qui vit dans une ancienne ferme. Après avoir vendu les terres agricoles à des fermiers du coin, ils ont juste gardé 3 hectares qui bordent les bâtiments pour assurer leur tranquillité, ils ont tout remis en état avec beaucoup de goût et de confort. Tu y trouves ainsi piscine, tennis, sauna. Et puis ils ont gardé des animaux pour occuper une petite partie des étables, de la porcherie, et du poulailler. Ils ont transformé une partie des autres locaux agricoles pour en faire une écurie. Il y a donc entre autres des vaches, des cochons, des chevaux et de la volaille. Les vaches et les cochons appartiennent à un fermier qui s'en occupe tous les jours, ils occupent juste le bâtiment. Même si Anne aime et accepte souvent un rôle de soumise, avec son époux Marc ils préfèrent recevoir des couples et les regarder sans intervenir. Ils m'avaient proposé de venir passer quelques jours avec Kate.. Et à peine installés on est parti dans un grand délire. Après un apéritif prolongé et un déjeuner bien arrosé, nous avons décidé de prendre un thème pour notre séjour : Kate et les animaux de la ferme. Assez gentiment la première épreuve fut de s'occuper des poules, mais Kate devait servir de mangeoire. D'abord à quatre pattes, on mettait du grain que les poules venaient picorer sur son dos. Et une poule qui picore, cela pince avec son bec et griffe avec ses pattes pour tenir en équilibre. Ensuite Kate a dû se coucher sur le dos et Marc a répandu des graines sur son corps, principalement sur ses seins et son entre-jambes. Il a même été nécessaire de mettre la tête de Kate dans une sceau pour protéger son visage.

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