Première Journée avec RANIA

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Première journée inoubliable entre ses cuisses.
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Il y a quelques années, alors que je n'étais qu'un interne en médecine, les réseaux sociaux étaient en plein boom avec en tête et seul facebook : mon historique de recherche ne repertorias que des femme dominante. Mes tendances depuis mon enfance étaient claire la domination féminine et rien d'autre; Hansel et gretele avec une identification particulière pour hansel m'imaginant dans cette cage prisonnier de cette femme. Le temps passa et mon attirance pour la domination féminine prenait de plus en plus d'ampleur à un point que je n'arrivais plus à passer une semaine avec une fille soumise ou ordinaire aussi belle, intelligente et drôle soit elle.

Un jours au grès de mes recherche virtuelles une femme de ma région attira mon attention (RANIA). Aucune photo d'elle ne figurait dans son profil mais la description de ses désirs ou ses exigences était l'expression même de mes fantasmes.

je décide de prendre contact. Une semaine plus tard, après d'innombrables messages restés sans réponse, elle me répondit : une photo de toi et on ouvre la webcam pendant une minute. chose faite le jour même. étant sûre de plaire au vu de mon physique d'athlète étant champion local de lutte; de mon statut de médecin en formation certe mais médecin quand même. J'était à son goût apparemment car elle me donna RDV dans son appartement qui était non loin de l'hôpital ou je faisais mon internat le lendemain. Elle me demanda de me raser totalement la barbe et le pubis. Je m'exécuta avec un plaisir inégalé. Je me rendis le lendemain à l'adresse communiquée. Je sonna à la porte en sentant mon cœur qui battait si fort dans ma poitrine que je l'entendais tambouriner dans mes oreilles. La porte s'ouvri et je l'aperçus, une femme d'une vingtaine d'année d'un métre 60 un peu rondes. Elle avait le teint hâlé très commun dans notre région. Un visage allongé avec un front légèrement proéminent au-dessus de deux grands yeux noisette en amande. Un nez fin et des lèvres fines complètent ce visage que je n'oublierai jamais. Elle portait un short noir moulant laissant voir ses hanches larges avec des cuisses tout aussi larges avec de légères traces de cellulites des mollets imposant. Ces jambes-là j'ai eu le temps de les admirer pendant des heures. Elle était toujours bien épilée, aucun poil, jamais, à aucun moment. des seins bonnet C tenus fermement par un soutien gorge qu'on devine sous un CROP-TOP rose laissant voir un ventre loin d'être plat.

Elle rentra et m'ordonna de fermer la porte et de me déshabiller totalement. D'un signe de la main me fis signe de m'agenouiller. Ce que je fis en sentant une bosse se formant dans mon pantalon. Elle saisit un collier de chien posé sur le meuble d'entrée qu'elle me passa autour du cou. A ce moment, mon érection était complète et dure comme de la pierre.

"les mains derrière le dos" et elle me passa une corde autour des poignets et la serra si fort que je sentais que la circulation allait s'interrompre, puis accrocha une laisse sur le collier. elle tira sur la laisse j'essayais tant bien que mal de marcher à genoux avec les mains dans le dos puis je m'aplatit sur le sol. elle revient vers moi

"baise mes pieds tant que tu es là" je posais mes lèvres sur ses pieds et y déposais un baiser. elle me cogna avec ce même pied "je ne t'ai pas dit de t'arrêter" puis elle tira la laisse pour me relever puis marcha lentement pour que je puisse la suivre mes yeux rivés sur ses fesses magistrales. Elle pris place sur un canapé au milieu de la pièce devant une télé au mur avec une table basse entre les deux. elle tira la laisse pour me placer devant elle. puis écarta les cuisses.

"tu es là pour mon plaisir et seulement le mien, je ne te libérerai les mains que quand tu sortiras de cet appartement. à chaque fois que tu feras quelque chose de travers oui qui ne me plait pas tu auras droit à une gifle." elle ponctua ses mots avec une gifle si forte que je faillit tomber par terre. "et si ça se répète tu auras droit au double à chaque fois, embrasse la main qui t'a giflé si tu as compris. j'approcha ma tête de sa main et je l'embrassa sans m'arrêter

"stop, tu es libre de partir quand tu veux mais si tu pars tu ne reviendras plus jamais. Maintenant je vais enlever mon short et tu vas commencer ton travail."

Elle se leva, baissa son short et se rassit sur le canapé. Ses cuisses doublent de volume sur le canapé et son ventre tombait un peu plus maintenant qu'il n'est plus pris par le short. j'avais une vue direct sur son sexe. Il était plus foncé que son teint avec un clitoris proéminent mais pas trop avec des grandes lèvres pulpeuses. Je ne voulais qu'une chose à ce moment-là plonger pour l'embrasser. une gifle me stoppa net. "embrasse mes cuisses d'abord et quand je te le dirais tu pourras me laicher la chatte" elle alluma la télé et un film commence "on a tout l'après-midi et toute la soirée. si tes genoux fatiguent tu pourras t'asseoir sur le sol."

J'embrassais passionnément l'intérieur de ses cuisses et la cellulite ressortait maintenant qu'elle était assise. Elle leva sa jambe pour la poser sur mon épaule droite puis me gifla pour me signifier de m'asseoir pour que ma tête soit à la même hauteur que son pubis. puis me tira par les cheveux pour me rapprocher encore plus de son sex. encore une giffle sur la joue gauche encore la seule libre. "on dit merci maîtresse"

puis leva son autre jambes pour la poser sur mon épaule. "Heuresement que tes épaules sont larges. c'est la première fois que je suis aussi à l'aise avec un chien entre mes cuisses" puis elle reposa ses pied et 2 gifles s'abbaitaire sur ma joue gauche encore endoloris "merci maitresse"

bon chien

merci maîtresse

elle se remis en position avec les cuisses sur ma tête alors que j'embrassais à nouveau ce que mes lèvres pouvaient atteindre. Elle serrait puis desserrait ses cuisses alternativement avant de serres fort que je n'entendit plus rien et ne pouvais bouger ma tête. Elle saisi mes cheveux et me rapprocha de son sex "embrasse mon ventre le chien"

j'embrassais langoureusement son ventre qui formait maintenant 2 plis. c'était le paradis de chaire perdu dans toute cette chaire et prisonnier de cette femme. tous mes rêves se réalisaient.

elle relâcha la pression et se cala dans le canapé "il est temps que tu me fasse voir ce que vaut ta langue."

Elle me tira vers elle par les cheveux me plaquant contre son pubis.

je sortis ma langue et commença à lécher le clitoris. Je sentit sa main me tirer la tête vers l'arrière me tenant les cheveux reposa ses pieds à terre, me regarda furieuse et une nuée de gifles s'abattaient sur mes joues. les mains attachées dans le dos je ne pouvais me protéger combien même je l'aurais voulu. s'arrêta et me cracha sur le visage avant de me dire calmement ensuite "tu lèches autour puis les lèvres quand tu sens que je te serres avant d'attaquer le clitoris. tu apprendras à me faire plaisir et tu l'apprendras dans la douleur." puis releva ses pieds et me fixa la bouche contre son pubis.

je léche autour de sa chatte puis embrasse et pris ses lèvres entre mes lèvres et l'embrasse passionnément. un filet de mouille arriva à ma langue et je le déguste avec délectation alors que je léchais encore ses lèvres. Je me perdis dans ce paradis et je sentis une pression sur ma tête je savais que je faisais du bon boulot. et encore une pression plus forte puis soudain elle me tira en arrière et un nombre de gifle me tombe sur la joue gauche que je sens tuméfié puis elle me dis "quand tu sens une pression attaque le clitoris et toi tu dormais" puis une deuxième flopée de gifles frappas ma joue gauche alors un SVP sortit de ma bouche. Elle s'arrêta se mis debout saisi la laisse puis me dis " si tu veux partir lève toi et je te libère. sinon met toi à genoux" Je me mis à genoux

dis moi ce que tu as

ma joue est tuméfié

et alors c'est le prix à payer pour avoir l'honneur de me lécher. c'est comme ça que tu apprendras à être un bon chien maintenant embrasse mes pieds en guise d'excuses.

je me baissa et lui embrassa les pieds

Elle se remit sur le canapé ensuite tira la laisse me fis asseoir entre ses jambes me saisit la tête et m'assèna encore plusieurs gifles dont j'ai perdu le compte et je dis merci maîtresse.

mon érection ne faiblit pas et un filet de présperme coule sur ma verge.

"recommence"

je recommence à lui lécher lèvres et à les sucer jusqu'à ce que la mouille plus épaisse que précédemment coule dans ma bouche. Une pression se fait sentir sur mes joue. je me sens comme un jouet qu'on actionne entre ses cuisses. Je dirige mon attention vers son clitoris et je le titille avec ma langue et une réponse par une montée en avant de son pubis me dit que je suis sur la bonne voie. j'augmente la pression sur le clitoris et elle serra encore plus forts ses cuisses. je commence à manquer d'air dans cette prison de cher et je sens qu'elle me tient la tête avec ses deux main fermement contre son pubis. Je la sentis frétiller alors je pressais encore son clitoris avec ma langue. et soudain elle se raidit et ses cuisses me serrait tellement fort que je n'arrivais plus à respirer puis je la sentis se relâcher et laisser ses cuisses tomber sur mes épaules alors que sa main était juste posée sur ma tête. "léche ma mouille maintenant et ne touche surtout pas le clitoris" Je m'exécute avec ferveur. j'avale cette mouille délicieuse. Elle me tire par les cheveux, pousse sur ses jambes et se redresse sur le canapé, tire sur mes cheveux et repose ses pieds. je fermai les yeux en attendant la gifle alors elle éclata de rire "c'est un bon chien ça, tu vois tu accepte ta place" et la une gifle monumentale me prend par surprise et me fend la lèvre et je sens le sang couler dans ma bouche.

ça c'est pour m'avoir fait perdre le fil du film

puis une deuxième encore plus forte

ça c'est pour avoir sali ma main avec ton sang, je recommence le filme et toi tu vas rester là et tu vas embrasser mes cuisses.

Elle finit le film puis me saisit la tête et me rapproche de son pubis. ma bouche était sèche à force d'embrasser ses cuisses. je me mis à lécher comme précédemment prudemment puis pris les lèvres dans ma bouche et les suçais. La mouille coulait déjà. puis elle serra les cuisses. cette fois je ne rate pas le coche et je me jette sur son clitoris comme un mort de fain. entre ses cuisses je sentais cette odeur âcre magnifique et une seule envie me titillais c'est de la sentir jouir à nouveau sous ma langue. mais cette fois elle mis plus longtemps elle me tirait les cheveux montais son pubis se frottait contre moi. mais la mayonnaise ne prenait pas.

je sentis sa main me tirer en arrière et là les gifles les plus violentes pleuvent sur ma joue.

tu n'y met pas assez de coeur tu me frustre

et là une dizaine de gifles heurtent ma joue endolorie. Elle me tient avec ses deux mains et me plaque encore contre son pubis.

Je lèche aussi fort et aussi rapidement que possible et la je sens que ses cuisses écrasent ma tête alors j'y remet du coeur et la je la sens exploser et un jus acres mais très délicieux m'inonde dans la bouche et je la sens vibrer sous ma langue alors je baisse la cadence a fure et a mesure que la pression diminue.

Elle se remet à droite sur le canapé en me regardant le visage luisant de sa mouille.

Je sens que je vais faire appel à toi souvent. Tu m'appartient désormais. Tu dois toujours être joignable quand je t'appelles tu te pointes ici dans les 30 minutes. Les mercredi après-midi et tous les dimanches, tu les passes avec moi ici à mon service.

Elle se lève, se tourne, ma tête se retrouve à hauteur de ses fesses. elle se cambre pour attraper la laisse par terre puis se redresse un peu et tire sur la laisse et mon visage se colle contre ses fesses. " je veux que ta bouche se colle contre mon anus et touche le avec ta langue et fais vite." je farfouille dans ses fesses et rentre avec le nez dans son sillon où une odeur assez prononcé me heurte puis ma langue trouve son chemin pour son anus sur lequel je colle ma bouche

ne bouge surtout pas

puis un souffle sort de son anus et cette odeur absolument infecte me fait reculer un peu alors elle tire sur la laisse.

renifle mes pet comme ça tu saura que tout à un prix. le privilège de toucher mes fesses est accompagné de cette odeur; odeur que tu apprendras à aimer je te le promet.

Une fois l'odeur dispersée, elle me relâche et me gifle une fois.

jamais plus tu ne t'éloigne de moi que si je te l'ordonne

bien maîtresse.

tu as été un bon chien je te donne le choix de passer la nuit avec moi ou de rentrer. si tu pars ça n'aura aucune conséquence sur notre relation vu que je connais tes engagements mais si tu reste si tu n'es pas à la hauteur ou que tu décide de partir ça mettrait un point final à notre relation.

permettez moi de passer un coup de fil et je reste pour la nuit.

ici tu n'as pas le droit d'avoir les mains libres ou d'être debout sauf pour partir. donc dis moi ton code et de quiche compose le numéro et je te tend l'appareil pour parler

0000 et maman dans le répertoir

assis devant moi

Elle compose le numéro, colle le téléphone sur mon oreille puis serra ses cuisses sur ma tête. j'ai dû parler à ma mère la tête entre ses cuisses.

Maintenant je vais commander à dîner on va se partager une pizza.

je suis resté la tête entre ses cuisses alors qu'elle était sur son téléphone comme si je n'existais pas quand la porte sonna elle se leva, remit son short et prit mon portefeuille pour payer la commande. puis elle revint me tira avec la laisse jusqu'à la cuisine où elle s'assit sur un tabouret et me fis signe de me mettre derrière elle. Ses fesses sortaient du tabouret avec son anus parfaitement exposé.

ta langue mon anus maintenant.

Je m'exécute sur le champ en léchant cet anus dont l'odeur résiduelle du prêt me faisait un haut le cœur. ell mangea un morceaux puis pris un deuxième se tourna pour me faire face, le passa sur son sexe puis me le fit manger. Ce fut la pizza la plus délicieuse que j'ai mangée. puis retourne à la position initiale et le goût de la pizza redevint aussitôt celui de son anus. Puis se leva, me guida vers les toilettes où elle me fit asseoir entre ses cuisses tenant ma tête à quelques centimètres de son pubis puis pissa. elle se laissa glisser pour que ma bouche se colle sur son sexe dont le dernière gouttes de pisses tombes dans ma bouche. "nettoi"

je nettoyais son sexe de ce qui lui restait de pisse puis j'essaye de lécher le clitoris quand elle se redresse et un dizaine de gifles s'abattes sur mes joues alors une larme coule sur elle.

tu veux partir?

non maîtresse

tu fais que ce que je te dis quand je voudrais que tu me lèches je te le dirais. Les premières fois c'est toujours difficile. tu apprendras à m'obéir. Je vais te briser et tu vas devenir accro. et tout ce qui te semblait dégoûtant tu vas l'aimer. Il est l'heure de se coucher. tu as une longue nuit devant toi; j'espères que tu vas réussir à dormir

Elle me traina jusqu'à sa chambre ou un lit double sans trônait au milieu de la pièce. Elle pris place dans le lit me tira jusqu'à positionner ma tête entre ses cuisses, mon nez dans son anus et ma bouche collé sur sa chatte. Elle était allongée sur le côté donc ça ne lui demandait aucun effort pour m'emprisonner entre ses cuisses : la gravité faisait tout le travail. "je ne trouve pas le sommeil si je n'ai pas un orgasme avant de dormir" j'avais du mal à entendre vu que ces cuisses énormes avec leur graisses tenais ma tête. alors je senti sa jambe se lever et 4 giffle s'abattre sur ma joue droite. "fais moi jouir tu crois être la pour dormir" et puis referma sa cuisse sur ma tête et je me remis avec plaisir à ma tâche plus difficile cette fois compte tenu de la position. Mais ma langue trouva rapidement son clitoris que j'arrive à titiller. elle leva sa cuisse puis tira mes cheveux pour plaquer ma bouche contre son pubis puis referma la prison de chaire. J'augmente progressivement la pression sur son clitoris puis la suce ce qui la fait bouger alors je le suce encore plus elle me tient les cheveux en se cambrant et en serrant encore plus puis se retourne à moitié.

ma tête est coincé entre ses cuisses, ses fesse et le matelas mais je n'arrête pas de la sucer jusqu'à ce qu'elle explose carrément puis se remet sur le côté comme si rien n'était, se couvre et je la sent se relâcher. Elle s'endort.

je suis la le nez dans son anus et la bouche contre son sexe mouillet. Quelle extase d'être là. je me sentais faible et puis je fermais les yeux et m'assois. je sursaute quand je sens des gifles 8 pour être exact "ton nez et ta bouche ne sont pas à leur place comment veux tu que je dorme dans ces conditions". je me remets en position et marmonne un pardon maîtresse.

Le nez dans son anus je le sens un peu humide avec une odeur insupportable mais je n'ose pas bouger. je plaque ma bouche contre son sexe, et aussi tôt sa cuisse se referme sur ma tête. Elle remet la couverture et la privation sensorielle commence : je n'entend et ne vois plus rien. je ne touche que sa peau, je ne sens que son anus et ne goute que son sexe.

tous mes sens sont pour elle. un pet retenti sous la couverture et l'odeur devient carrément invivable. Comment peut-on faire subir ça à un être humain?

j'étais son esclave fait pour la servir, pour son plaisir et pour me faire humilier.

Je ne trouve plus le sommeil de la nuit avec mon nez dans ce qui semble être les restes d'un pet mouillé. Elle se rendort au bout de quelques minutes mais je n'ose pas bouger et cette odeur qui ne me quitte pas. Je ne sais plus combien de temps s'écoula avant que le reveil ne sonne. Elle se tourne pour prendre son téléphone sans aucune considération pour moi et ma tête se retrouve sous ses fesses ce qui tord mon cou. j'ai cru que j'allais mourir la tête entre ses cuisses et dans ses fesses, puis se remit sur le côté avant de me relâcher. Elle change de position pour me faire face.

bonjour, j'ai bien dormi et rien de tel qu'un orgasme matinal pour bien passer la journée.

Elle me tire par les cheveux pour que je puisse la lecher. connaissant mon affaire désormai, je commence par titiller ses lévres et les embrasses langoureusement. et quand je sens les cuisses serrer ma tête j'attaque le clitoris doucement en augmentant la cadence au grès de mouvement de son bassin. Elle finit par jouir rapidement sous mes caresses puis me repousse.

La nuit est terminée tu te rhabilles et tu vas travailler. ne te lave surtout pas le visage tu vas sentir mon cul toute la journée. Si j'ai envie d'un orgasme je te fais signe sinon dimanche tu es ici à 10h. Entretemps tu te rases tous les jours. je ne veux pas sentir de poil.

Elle me détache les mains et me relache. Je commence à enlever le collier alors elle me regarde me fait signe de me rapprocher et là elle me gifle d'une force sans égale.

embrasse ma main,et me tend sa main que j'embrasse. quand je te mets quelque chose je te l'enlève moi même. Tu sais quo; fini le travail amène tes affaires pour le weekend. tu as besoin d'être dressé comme il se doit

Elle me tourne le dos et ma tête se retrouve face à son cul. "Embrasse mes fesses si tu décides de revenir cet après-midi, mais sache que durant ces trois jours tu ne pourras plus sortir et je n'autoriserai pas une rétractation même si tu veux arrêter. les choix de partir ne seront plus applicables du moment où tu entreras dans l'appartement et que je t'aurais attaché. Ça sera fait selon mes désirs et je te forcerai à tout faire par la force si tu résistes.

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