Le Prix de L'hypocrisie

BÊTA PUBLIQUE

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« C’est ça, hurle, salope, tu vas avoir ce que tu mérites. » Il accélère ses coups de dard qui étaient déjà au niveau d’un rythme de champion. Ma petite grotte est soumise à un vrai matraquage de marteau-pilon. Je peux voir les traits de son visage se durcir, comme quand il se prépare à un pénalty. Il ne semble pas réellement prendre de plaisir, mais tenter une performance sportive pour me niquer aussi brutalement que possible. Et il y arrive, je garde la bouche ouverte en grand pour gémir des « Oh ! » et des « Ah ! » alors que je suis besognée à la façon d’un petit caniche soumis à un doberman. Je sens du jus de plaisir couler le long de mes jambes, et alors qu’il accélère dans une dernière ligne droite avant le grand final, je sens ma petite cramouille se contracter et mon corps se liquéfier comme si j’étais une éponge qu’on presse. Son chibre se gonfle et déverse sa précieuse semence alors que je suis tétanisée. Quand les joueurs de foot me lâchent, je tombe comme une chiffe molle sur le sol, mes jambes se trouvant incapables de me soutenir. En baisant les yeux, je vois un épais jus blanc sortir de mon antre moite et se répandre sur le sol.

Alors que je suis à terre, à essayer de récupérer de la baise sauvage que je viens de connaître, Kévin, se dirige vers les douches en lançant :

« Elle avait la chatte bien serrée, mais je crois que je l’ai décoincé. Allez-y, régalez-vous. »

On me saisit par les dessous de bras pour m’aplatir contre la table centrale. Une queue s’enfonce en moi, alors que ma bouche est remplie d’un bâton de chair. Je suis embrochée de bites des deux côtés. Je comprends que je vais être farcie par toute l’équipe. Les onze joueurs et leurs remplacements.

J’ai horriblement honte de cocufier Vincent, mon petit ami. Mais je n’ai pas vraiment le choix. J’ai accepté d’entrer dans ces vestiaires, c’est donc ma faute. Si je ne voulais pas que ça se produise, j’aurais dû repartir dès que j’avais senti leurs regards concupiscents se poser sur moi. J’aurais dû me douter que le prix à payer pour obtenir des autographes était de devenir leur vide-couille.

Cela fait quelque temps que je suis sur la table. Plusieurs des sportifs ont déjà juté dans ma cramouille. Aucun d’eux n’a enfilé de préservatif, je suis un véritable dépôt de foutre. J’ai aussi la mâchoire douloureuse à force d’avoir la bouche grande ouverte pour accepter toutes les bites qui se présentent devant moi. Quand je reste inactive, je reçois quelques bifles humiliantes pour me rappeler de me mettre au travail et de sucer activement du gourdin. Je bave comme une chienne à force de lécher les queues, et mon maquillage coule de la plus dégueulasse des façons. Dire que je pensais raconter ma venue au stade aux copines et me faire mousser. Il était hors de question que je leur dise que j’ai fini comme une pute, sautée par toute l’équipe, même les joueurs les plus nuls.

Le dernier finit son affaire lorsque Kévin sort de la douche et se rhabille, il prend le stylo que j’ai laissé tomber au sol et écrit entre mes seins : « Salope niveau 6/10, Kévin ».

« Alors, heureuse d’avoir ton autographe, salope ? »

Je n’ai pas la force de répondre. Ils se passent le stylo de mains en mains, et je les laisse utiliser ma peau comme support pour leurs inscriptions dégradantes. J’ai le droit à des dédicaces du genre : « À une super suceuse, Youssef » ou « La chatte la plus fourrée de Jerlin, Joël. » L’un se contente de me dessiner une bite sur mon front.

Deux des joueurs ont sorti leur queue et me pissent dessus. Avec ce qui me reste de force je me protège le visage pour éviter de recevoir leur urine dans les yeux.

« N’oublie pas de te laver, avant de partir, » me précisent-ils.

Après qu'ils aient tous quitté le vestiaire, je reste gisante sur le carrelage froid. Je suis exténuée, j’essaie de me relever, mais mes bras sont en caoutchouc, je reste étendue, comateuse, quand soudain, la porte s’ouvre, je crains qu’un des joueurs ne revienne pour me baiser, mais je vois… Maman ?!

*******

Ma petite fille est au sol. Le corps couvert de toutes sortes de sécrétions, les jambes écartées et sa petite fente gonflée de sperme s’écoulant sur le sol. Une vision d’horreur, des phrases immondes et ne laissant aucun doute sur ce qu’elle a subi sont inscrites sur sa peau nue. Je m’approche d’elle et hésite à la prendre dans mes bras à cause de l’odeur. Je lui dis :

« Ça va aller ?

— Maman qu’est-ce que tu fais là ?

— Je… t’en fais pas pour ça. »

À la voir comme ça, je regrette de ne pas être arrivé plus tôt. Mais je ne pouvais pas laisser passer le contrat ! C’est l’affaire du siècle ! Je me jure que je saurai en faire profiter Margot. Je vais obtenir un bonus et une promotion plus que substantielle, je lui achèterai tout ce qu’elle désira !

Mon téléphone vibre. Je l’ouvre, je viens de recevoir un SMS :

⣿⣿⣿⣿⣿⣿⣿⣿⣿⣿⣿⡿⠟⠛⠛⠛⠋⠉⠉⠉⠉⠉⠉⠉⠉⠉⠉⠉⠉⠉⠙⠛⠛⠛⠿⠻⠿⣿⣿⣿⣿⣿⣿⣿⣿⣿⣿⣿⣿⣿ ⣿⣿⣿⣿⣿⣿⣿⣿⣿⡿⠋⠀⠀⠀⠀⠀⡀⠠⠤⠒⢂⣉⣉⣉⣑⣒⣒⠒⠒⠒⠒⠒⠒⠒⠀⠀⠐⠒⠚⠻⠿⠿⣿⣿⣿⣿⣿⣿⣿⣿ ⣿⣿⣿⣿⣿⣿⣿⣿⠏⠀⠀⠀⠀⡠⠔⠉⣀⠔⠒⠉⣀⣀⠀⠀⠀⣀⡀⠈⠉⠑⠒⠒⠒⠒⠒⠈⠉⠉⠉⠁⠂⠀⠈⠙⢿⣿⣿⣿⣿⣿ ⣿⣿⣿⣿⣿⣿⣿⠇⠀⠀⠀⠔⠁⠠⠖⠡⠔⠊⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠐⡄⠀⠀⠀⠀⠀⠀⡄⠀⠀⠀⠀⠉⠲⢄⠀⠀⠀⠈⣿⣿⣿⣿⣿ ⣿⣿⣿⣿⣿⣿⠋⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠊⠀⢀⣀⣤⣤⣤⣤⣀⠀⠀⠀⢸⠀⠀⠀⠀⠀⠜⠀⠀⠀⠀⣀⡀⠀⠈⠃⠀⠀⠀⠸⣿⣿⣿⣿ ⣿⣿⣿⣿⡿⠥⠐⠂⠀⠀⠀⠀⡄⠀⠰⢺⣿⣿⣿⣿⣿⣟⠀⠈⠐⢤⠀⠀⠀⠀⠀⠀⢀⣠⣶⣾⣯⠀⠀⠉⠂⠀⠠⠤⢄⣀⠙⢿⣿⣿ ⣿⡿⠋⠡⠐⠈⣉⠭⠤⠤⢄⡀⠈⠀⠈⠁⠉⠁⡠⠀⠀⠀⠉⠐⠠⠔⠀⠀⠀⠀⠀⠲⣿⠿⠛⠛⠓⠒⠂⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠠⡉⢢⠙⣿ ⣿⠀⢀⠁⠀⠊⠀⠀⠀⠀⠀⠈⠁⠒⠂⠀⠒⠊⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⡇⠀⠀⠀⠀⠀⢀⣀⡠⠔⠒⠒⠂⠀⠈⠀⡇⣿ ⣿⠀⢸⠀⠀⠀⢀⣀⡠⠋⠓⠤⣀⡀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠄⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠈⠢⠤⡀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⢠⠀⠀⠀⡠⠀⡇⣿ ⣿⡀⠘⠀⠀⠀⠀⠀⠘⡄⠀⠀⠀⠈⠑⡦⢄⣀⠀⠀⠐⠒⠁⢸⠀⠀⠠⠒⠄⠀⠀⠀⠀⠀⢀⠇⠀⣀⡀⠀⠀⢀⢾⡆⠀⠈⡀⠎⣸⣿ ⣿⣿⣄⡈⠢⠀⠀⠀⠀⠘⣶⣄⡀⠀⠀⡇⠀⠀⠈⠉⠒⠢⡤⣀⡀⠀⠀⠀⠀⠀⠐⠦⠤⠒⠁⠀⠀⠀⠀⣀⢴⠁⠀⢷⠀⠀⠀⢰⣿⣿ ⣿⣿⣿⣿⣇⠂⠀⠀⠀⠀⠈⢂⠀⠈⠹⡧⣀⠀⠀⠀⠀⠀⡇⠀⠀⠉⠉⠉⢱⠒⠒⠒⠒⢖⠒⠒⠂⠙⠏⠀⠘⡀⠀⢸⠀⠀⠀⣿⣿⣿ ⣿⣿⣿⣿⣿⣧⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠑⠄⠰⠀⠀⠁⠐⠲⣤⣴⣄⡀⠀⠀⠀⠀⢸⠀⠀⠀⠀⢸⠀⠀⠀⠀⢠⠀⣠⣷⣶⣿⠀⠀⢰⣿⣿⣿ ⣿⣿⣿⣿⣿⣿⣧⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠁⢀⠀⠀⠀⠀⠀⡙⠋⠙⠓⠲⢤⣤⣷⣤⣤⣤⣤⣾⣦⣤⣤⣶⣿⣿⣿⣿⡟⢹⠀⠀⢸⣿⣿⣿ ⣿⣿⣿⣿⣿⣿⣿⣧⡀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠑⠀⢄⠀⡰⠁⠀⠀⠀⠀⠀⠈⠉⠁⠈⠉⠻⠋⠉⠛⢛⠉⠉⢹⠁⢀⢇⠎⠀⠀⢸⣿⣿⣿ ⣿⣿⣿⣿⣿⣿⣿⣿⣿⣦⣀⠈⠢⢄⡉⠂⠄⡀⠀⠈⠒⠢⠄⠀⢀⣀⣀⣰⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⡀⠀⢀⣎⠀⠼⠊⠀⠀⠀⠘⣿⣿⣿ ⣿⣿⣿⣿⣿⣿⣿⣿⣿⣿⣿⣷⣄⡀⠉⠢⢄⡈⠑⠢⢄⡀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠉⠉⠉⠉⠉⠉⠉⠉⠉⠉⠁⠀⠀⢀⠀⠀⠀⠀⠀⢻⣿⣿ ⣿⣿⣿⣿⣿⣿⣿⣿⣿⣿⣿⣿⣿⣿⣷⣦⣀⡈⠑⠢⢄⡀⠈⠑⠒⠤⠄⣀⣀⠀⠉⠉⠉⠉⠀⠀⠀⣀⡀⠤⠂⠁⠀⢀⠆⠀⠀⢸⣿⣿ ⣿⣿⣿⣿⣿⣿⣿⣿⣿⣿⣿⣿⣿⣿⣿⣿⣿⣿⣷⣦⣄⡀⠁⠉⠒⠂⠤⠤⣀⣀⣉⡉⠉⠉⠉⠉⢀⣀⣀⡠⠤⠒⠈⠀⠀⠀⠀⣸⣿⣿ ⣿⣿⣿⣿⣿⣿⣿⣿⣿⣿⣿⣿⣿⣿⣿⣿⣿⣿⣿⣿⣿⣿⣿⣷⣶⣤⣄⣀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⣰⣿⣿⣿ ⣿⣿⣿⣿⣿⣿⣿⣿⣿⣿⣿⣿⣿⣿⣿⣿⣿⣿⣿⣿⣿⣿⣿⣿⣿⣿⣿⣿⣿⣿⣶⣶⣶⣶⣤⣤⣤⣤⣀⣀⣤⣤⣤⣶⣾⣿⣿⣿⣿⣿

Je ne comprends pas. Je téléphone au numéro que Corinne Mazet m'a donné pour la contacter.

« Allo ! Corinne, qu’est-ce que ça veut dire ? »

La voix qui me répond n’a rien à voir avec celle de la quarantenaire, elle est bien plus jeune :

« Désolée, vous avez dû faire un faux numéro. Moi c’est Lydia Buisel. »

Je raccroche.

Merde, j’ai été trollée.

Fin

12
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  • COMMENTAIRES
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3 Commentaires
AnicetteAnicetteil y a 6 mois

Quel superbe fantasme !! Être remplie par une équipe complete.....i imaginable!! Merci pour cette belle histoire...un peu trop sans doute,,, le rêve!

dicordobadicordobail y a environ 1 an

Merci pour cette histoire bien immorale. J'ai adoré .

MoiaunaturelleMoiaunaturelleil y a environ 1 an

Bravo j'ai adoré le texte .

Il est direct sans blabla , beaucoup de plaisir en un shoot !

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