Professeures Bizutées - 1/8

Informations sur Récit
Une année scolaire de quatre professeures bizutées.
7.6k mots
4.56
24.7k
11

Partie 1 de la série de 8 pièces

Actualisé 06/13/2023
Créé 10/01/2022
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Cette histoire est complètement imaginaire, de l'ordre du fantasme. Les personnages sont fictifs et majeurs. Les violences faites aux femmes sont condamnées par l'auteur. Si vous n'aimez pas les situations de contrainte, d'humiliation, voire de viol, ne lisez pas.

QUELQUES PROTAGONISTES

/JULIE (anglais) la blonde

/AMELIE (français) la brune

/ELISABETH (physique) la grande

/JENNIFER (sport) la rousse

/FRANCOIS professeur de latin

/DORON homme d'entretien

/THOMAS professeur d'histoire

/...

AVANT-PROPOS

/JULIE /KEVIN ancien copain de Julie

Kévin n'en pouvait plus de se priver : sa copine Julie continuait à lui résister. Du haut de ses trente ans, il ne comprenait pas les retenues et pudeurs de la blonde âgée de vingt-trois ans. Ses copines étaient déjà bien plus délurées tandis qu'elle restait prude à l'excès.

Kévin était un voyeur et un pervers. Les songes qui l'excitaient n'étaient que contraintes, chantages, liens, tortures. Aussi était-il excédé par la blonde qui résistait.

Il avait quand même réussi une fois à forniquer dans sa voiture, non sans mal. Il était deux heures dans la nuit et il s'était garé sur un parking pour l'entreprendre en commençant par la poitrine. Il aurait pu la baiser chez elle, mais le risque du parking et la peur de Julie l'excitaient au plus haut point. Elle avait bien résisté, comme toujours :

- Non, s'il te plaît, pas ici... Des gens peuvent venir... Rentrons chez moi... Arrête...

- Mais y a pas de danger ici, laisse-toi faire... J'adore tes seins, ils sont gros, durs... Putain que j'adore ça... C'est quoi ta taille?

Elle se retrouva pull et soutien-gorge relevés jusqu'au cou. Dans un gloussement de plaisir, elle lui annonça un 85E. Ensuite, bien qu'elle continuait à résister, il remonta la jupe en tirant fortement le tissu. Il entendit un craquement mais s'en moqua. Il venait d'arracher la jupe fleurie au niveau de la couture de côté. Il finit par atteindre la culotte noire qui subit le même sort que la jupe. La blonde, excitée au-delà de ses peurs, ne pouvait plus résister à la fougue de Kévin. Elle finit par oublier le lieu et vint chevaucher le garçon, le dos collé au volant. Elle se pénétra facilement de la queue tendue et se branla le clitoris contre le ventre en mouvements de plus en plus rapides et brusques.

Au moment de l'éclair d'orgasme, un éclair de flash éclaira l'intérieur de la voiture. Elle ne comprit, qu'après d'autres flashs, qu'elle venait d'être photographiée dans ce moment tellement intime, dans sa tenue tellement osée.

Elle se retira au plus vite sans se rendre compte que son empressement ne faisait que l'exposer plus encore aux crépitements de l'appareil photo.

- Kévin... vite partons d'ici... ils n'ont photographiée... démarre... vite!

- Ouais, ouais, c'est pas grave... Allez, on se casse.

Cet événement mis fin à jamais aux ébats publics du couple et même au couple lui-même car Julie ne pardonna pas cet écart au garçon. Elle le quitta sans regrets.

PREMIERS JOURS

/JULIE

Trois mois plus tard eut lieu la rentrée scolaire. C'était la première pour Julie, toute nouvelle professeure d'Anglais. Ce n'est pas sans appréhension qu'elle fit connaissance avec ses élèves des classes de seconde, première et terminale. Comme toujours, l'éducation nationale, en sa grande sagesse, lui avait attribué un secteur difficile alors qu'elle débutait.

Comme il est de raison, elle prenait soin de se vêtir de façon très classique, sage, voire prude : toujours des pantalons larges, des pulls ou chemisiers, larges aussi, pour cacher son imposante poitrine, une veste. Elle réussit à s'imposer, disons plutôt à imposer un calme acceptable pendant les cours. Elle usa pour ce faire de quelques interrogations écrites assez sévères. La perspective du BAC calmait les plus chahuteurs.

NOVEMBRE

/JULIE

Son calvaire débuta au mois de novembre.

Alors que les élèves de Première A5 planchaient en silence sur un devoir, le bip de son téléphone annonça l'arrivée d'un SMS. Quelques lycéens levèrent les yeux, surpris que le professeur s'autorisât le téléphone alors qu'eux n'y avaient pas droit.

- Eh, mdame, lança Mouloud, c'est interdit ici!

- Taisez-vous et occupez-vous de votre travail, répondit-elle sèchement.

Elle était furieuse d'avoir oublié de mettre son appareil en mode silencieux. "Trop tard" pensa-t-elle. Elle consulta le message.

* Tu sais que tu as des beaux nichons!

* On aimerait bien les voir un peu plus.

* Demain, tu enlèves ta veste pendant les cours

* Et tu laisses ton téléphone sur le bureau.

* Signé : Discipline-Team

Elle pâlit à la lecture et se dit que ce devait être un élève qui avait trouvé son numéro de portable. "Pourtant, s'inquiéta-t-elle, je ne le donne à personne. Il faudra que je change de numéro si ça continue." La journée se poursuivit sans autre incident. Elle se sentit à la fois calmée et vaguement inquiète.

Le lendemain, elle ne changea évidemment rien à ses habitudes vestimentaires. A midi, elle fit une pause sandwich en salle des professeurs. Tout en discutant avec un collègue, comme à l'accoutumée, elle consulta les appels. Elle frémit lorsqu'elle constata un nouveau SMS du même expéditeur inconnu.

* Tu n'as pas obéi, Julie! Ce n'est pas bien.

* On te laisse encore une chance pour demain.

* Pas de veste pendant le cours et téléphone sur le bureau

* Sinon...

* Signé : Discipline-Team

Cette fois, l'inquiétude fut plus forte que le calme. La menace était évidente. Elle se demanda toute la journée et même la nuit de quelles armes les auteurs disposaient pour la contraindre plus.

Le lendemain était un vendredi. Elle terminait sa semaine avec un stress bien marqué. Cette fois encore, elle ne suivit pas les directives du SMS et à midi, anxieuse, elle consulta ses messages.

* Tu te fous de notre gueule, Julie!

* Sache-le : une désobéissance entraine une punition.

* Alors cet après-midi, tu vires ta putain de veste comme on te l'a ordonné mais en plus tu vires ton putain de sous-tif.

* Sinon la photo jointe va faire plaisir à beaucoup de monde.

* Signé : Discipline-Team

Elle resta sans voix lorsque qu'elle visualisa la photo jointe qui la montrait en plein orgasme quelques mois plus tôt dans la voiture de Kevin. Son visage était parfaitement reconnaissable, ses seins lourds frôlaient le nez du garçon, ses poils pubiens blonds émergeaient de la vulve introduite. Belle photo, aussi belle qu'impudique.

Elle commença à paniquer. Que faire? Ne pas obéir? La photo, à coup sûr, serait envoyée à d'autres personnes. Obéir et accepter le chantage? Mais jusqu'où? Par qui? Elle décida à suivre les directives. "Il faut que j'arrive à savoir qui m'envoie ces saloperies et j'irai déposer une plainte à la police", pensa-t-elle naïvement. Elle avait encore trois heures de cours à donner.

Elle se rendit aux toilettes et y ôta son soutien-gorge. Naturellement, la poitrine prit de l'ampleur, large, presque massive. Son pull vint rapidement la protéger et elle partit en classe. Avant que les élèves n'entrent dans la salle de cours, elle prit soin d'ôter sa veste et de poser son téléphone sur le bureau.

Incapable de masquer sa gêne, elle laissa les élèves entrer tout en gardant les bras croisés. Elle se lança dans ses explications, assise au bureau pour se cacher au mieux. La première heure se passa sans problème bien qu'elle sentît des regards curieux et appuyés. Pendant la seconde heure, Le téléphone s'éclaira par deux fois. Elle continua sans consulter la messagerie. "Après tout, pensa-telle, je n'ai pas pour obligation de consulter les messages!" Mais à l'intercours, elle ne put résister à la curiosité.

Premier message :

* Ne reste pas assise sur ta chaise. Debout et ne croise plus les bras.

* Signé : Discipline-Team

Deuxième message :

* Si ton téléphone est sur le bureau, c'est pour lire les messages.

* Dorénavant, tu les consultes dès qu'ils arrivent.

* Et comme tu aurais dû y penser avant : punition.

* Tu resteras debout pendant tout le cours avec les bras dans le dos.

* Signé : Discipline-Team

Elle se mordit la lèvre inférieure presque jusqu'au sang. Quand les élèves de la troisième heure entrèrent, ils la trouvèrent dressée contre son bureau. Elle assura le cours avec les bras dans le dos, comme les surveillants ont l'habitude de le faire lorsqu'ils arpentent la cour de récréation. Les lycéens furent très surpris mais aucun n'osa une remarque. Heureusement que le pull était assez épais mais il était évident qu'elle était nue dessous.

Dernier message :

* Tu connais maintenant tes premières obligations.

* Téléphone sur le bureau

* Messages à lire dès réception

* Plus de sous-tifs

* Pas de veste pendant les cours

* A lundi ma belle.

* Signé : Discipline-Team

Elle passa un bien mauvais week-end, tellement tourmentée par cette histoire. Elle téléphona à Kévin dont elle n'avait plus de nouvelles depuis leur rupture qui datait de presque six mois. Numéro inconnu. Elle se rendit à son appartement mais trouva porte close. Un voisin qu'elle avait rencontré à l'époque lui indiqua que Kevin était parti depuis longtemps déjà. Elle n'aurait aucune aide de ce côté.

Elle se résolut à aller déposer une plainte. Elle ne pouvait pas laisser cette situation de chantage se développer. Elle se rendit à pied au commissariat. Mais au moment d'y entrer, elle reçut un SMS du maître-chanteur, toujours anonyme :

* Mais où vas-tu, Julie? Prends garde!

* Nous n'aimons pas beaucoup la police, tu t'en doutes.

* Avant de nous dénoncer, prends contact avec ta petite sœur, Nathalie.

* Signé : Discipline-Team

Elle devait comprendre avant d'ouvrir la porte du commissariat.

- Allo, Nathalie... C'est moi, comment vas-tu?

- Ah, tu tombes bien toi! Depuis quand tu t'amuses à t'exhiber dans ta voiture? Et en plus tu envoies tes photos à tes contacts! Arrête tes bêtises, tu vas finir par avoir des ennuis. Tu te rends comptes de ce qui se passerait si tes élèves ou nos parents découvraient tes photos? Franchement, tu es inconsciente!

- Mais... je... je ne savais pas... Qui t'a envoyé les photos?

- Je n'en sais rien, répondit Nathalie. En plus de la photo, c'était écrit : « Julie, la pute se fait baiser ». Il faut que tu arrêtes ça tout de suite! J'espère pour toi que personne d'autre n'a reçu ce SMS.

- J'espère aussi. A revoir.

Désemparée, elle n'entra pas pour déposer la plainte.

Elle ne reçut aucun autre message.

LE DEUXIEME JOUR

/JULIE

Elle s'était apprêtée conformément aux ordres reçus, c'est-à-dire sans mettre de soutien-gorge, sans veste pendant le cours. Le ou les maîtres-chanteurs s'étaient montrés déterminés en envoyant la photo à sa sœur. Il fallait qu'elle gagne du temps jusqu'à ce qu'elle trouve une solution.

Bien qu'elle portait un pull d'hiver large et épais, elle sentit ses joues rougir lorsqu'elle ôta son manteau en salle des professeurs. Pendant les cours, ce fut plus pénible car elle devinait les regards insistants et les sourires moqueurs des garçons de la classe. D'ailleurs, tous les hommes, qu'ils fussent élèves ou professeurs, avaient noté l'absence de soutien-gorge.

La journée se passa sans incident.

LES JOURS SUIVANTS

/JULIE

Rien de désagréable n'arriva. Elle continua à respecter les règles édictées en ne portant pas de soutien-gorge, en laissant son portable sur le bureau. Elle était très entourée au sein du professorat masculin car tous appréciaient ses nouvelles tenues, les seins toujours libres sous de gros pulls. Elle s'y habitua quelque peu.

TROIS SEMAINES PLUS TARD

/JULIE

Elle n'avait toujours pas reçu de nouveaux ordres des maitres chanteurs. Elle se mit à penser que la plaisanterie avait pris fin. Aussi ce jeudi là, remit-elle un soutien-gorge. Son téléphone resta dans son sac.

La journée se passa normalement sauf pour les garçons qui remarquèrent tout de suite le retour de la pièce de tissu protectrice. Bien sûr, par internet, ils avaient déjà vu des choses bien plus crues mais, dans le cadre de l'école, les moindres faits érotiques prenaient un effet excitant démultiplié.

LE LENDEMAIN

/JULIE

Au moment de quitter son appartement pour les trois heures de cours du vendredi, son cœur chavira au bip caractéristique du téléphone.

* Bonjour Julie.

* Tu as déjà oublié tes obligations?

* Tu as revêtu un soutien-gorge, pièce interdite!

* Alors punition : désormais seuls te sont autorisés les gilets d'été de 5 boutons maxi

* Signé : Discipline-Team

Elle resta pantoise quelques instants puis finit par prendre le dessus en regardant l'heure. Elle ne voulait pas arriver en retard, aussi se précipita-t-elle dans son armoire pour trouver un gilet. Elle en trouva un, noir, mais à l'évidence taillé pour l'hiver ce qui lui était interdit ; elle en trouva un, blanc celui-là, taillé pour l'été. Elle s'en couvrit la poitrine nue sans même se regarder, puis une veste assortie au pantalon et fila à sa voiture. Elle avait bien perdu quinze minutes.

Arrivée au collège, elle croisa le proviseur qui fermait la porte de l'établissement. Tous les élèves étaient déjà rentrés en classe.

- Allons... Allons, mademoiselle Julie, vous êtes en retard! Dépêchez-vous, nous n'aimons pas cela ici... Courez donc jusqu'à votre classe.

Elle s'excusa et se mit à courir. Très rapidement, elle se rendit compte que ses seins se balançaient outrageusement si peu maintenus qu'ils étaient. Quelques élèves s'en rendirent compte car ils attendaient leur professeur le nez collé à la vitre de la salle de classe.

Essoufflée et rougissante, elle réclama le calme, ordonna qu'une copie fût préparée pour le devoir. Mais lorsqu'elle ôta sa veste, un ouuu général se fit entendre. Les élèves et elle-même se rendirent compte que les seins distendaient le gilet et pire, les tétons semblaient trouer le léger tissu. Désormais complètement rouge, elle se força à faire cours.

La journée fut un calvaire tant elle était observée, scrutée, pistée par tous les mâles du collège. Au moindre courant d'air frais, ses gros bouts de sein taraudaient le léger vêtement.

LE LENDEMAIN

/JULIE

Dès l'ouverture des magasins, elle s'acheta quelques gilets d'été bien plus larges que le premier. Pendant les cours de la journée, elle respecta les ordres à la lettre : pas de soutien-gorge, un gilet d'été, pas de veste pendant les cours, le téléphone sur la table.

Le SMS arriva le soir.

* Bonsoir Julie.

* Tu n'as pas bien obéi, nous sommes en colère.

* Tu ne devrais pas nous mettre en colère!

* Tu n'aurais pas dû acheter des gilets à des tailles supérieures.

* Tu connais la règle : toute faute entraîne une punition.

* A partir de demain tes gilets seront en taille 34

* Signé : Discipline-Team

Elle ne dormit pas cette nuit là. Elle allait porter trois ou quatre tailles en dessous de la normale. Elle retourna à son magasin habituel et acheta trois nouveaux gilets à la surprise de la vendeuse :

- Vous savez, ceux-là sont en 34... Ce n'est pas pour vous je suppose?

- Eh... non bien sûr, mentit-elle.

Quand les garçons entrèrent dans la salle de cours, ils attrapèrent tous une remarquable érection. A coup sûr, les boutons du gilet allaient s'arracher! L'étoffe était tendue au point de laisser la peau nue visible entre les boutons.

- Ce jour là, elle n'osa pas aller en salle des professeurs.

LA FIN DE L'ANNEE

/JULIE

Elle continua à obéir aux mystérieux maîtres chanteurs. Elle continua ses cours avec ses outrageants gilets. Elle subit les moqueries des élèves et des collègues. Le proviseur aussi y alla de ses commentaires :

- Mademoiselle Julie, je trouve vos tenues très osées! Vous êtes dans un collège tout de même, pas à la plage... Je ne peux rien faire à cause des syndicats mais sachez que je désapprouve totalement.

Elle se contentait d'acquiescer, tête basse et joues en feu.

Le dernier jour de classe avant noël, ce qui devait arriver arriva : un bouton sauta soudainement et en entraina un second. Stupéfaite, elle regarda la masse laiteuse s'épancher hors du carcan tandis que les élèves restaient muets d'étonnement. Très vite elle serra le vêtement et fit taire les indélicats.

JANVIER

/JULIE /FRANCOIS professeur de latin

Le cérémonial des vœux avait été déplaisant. Chaque professeur voulait embrasser la jeune blonde de 23 ans tout fraichement entrée dans l'éducation nationale et surtout très découverte. Certains n'hésitaient pas à se coller, à la coller franchement.

Le second soir de la reprise des cours de janvier, elle consulta son courrier dans son casier mural. Elle ne vit pas arriver sans son dos le professeur de latin, un petit bonhomme tout en rondeur, proche de la retraite.

Il s'approcha silencieusement et arrivé juste derrière la fille, il lui attrapa les deux seins à pleins mains tout en se collant contre le fessier. Surprise elle poussa un cri. Le gilet tellement tendu ne résista pas à l'agression et quatre boutons s'arrachèrent aussitôt. En un tour de bras, il retourna la fille, la colla au mur en la tenant au cou avec sa main gauche.

- Putain de nichons... Depuis le temps que tu m'excites ma salope...

- Arr...arrêtez...

Elle pouvait à peine parler car il l'étranglait. Il dégrafa son pantalon avec sa main libre et ordonna :

- Prends ma bite dans tes mains... vite... branle-moi!

Pour tenter de libérer son cou, elle obéit et empoigna un bel engin large. Le professeur saisit les tétons et les pétrit durement. Très vite, quelques soubresauts de la verge annoncèrent l'arrivée du foutre. Elle reçut les rasades sur son ventre à moitié nu tandis qu'il étirait les bouts de sein tout en douleur.

La scène avait duré moins de deux minutes.

- Putain, t'es bonne toi! T'as pas intérêt à parler de ça à qui que ce soit, sinon tu auras à faire à moi. T'as compris?

Il se retira d'un pas pour se rhabiller, en profita pour mater les seins nus, gonflés, rouges au bout. Avant de quitter la pièce, il répéta :

- Tu fermes ta gueule, compris?

L'incident la marqua fortement. Les choses tournaient au plus mal car outre de devoir exhiber ses seins, elle venait de subir une agression physique, violente qui pouvait se reproduire à tout moment.

SAMEDI

/JULIE /LA POLICE

Après avoir pesé le pour et le contre, tourné l'affaire dans tous les sens, elle ne voyait pas d'autre issue que de tenter une plainte à la police. Si encore les faits en étaient restés à la honte de l'exhibition, elle aurait attendu dans l'espoir que le chantage cesse. Mais maintenant, elle se rendait compte qu'elle excitait trop de monde pour ne pas en subir des effets.

Elle se décida un samedi matin. Par sécurité, elle alla au commissariat d'une ville distante de 20 km de son lieu de résidence et s'y présenta avant l'ouverture, à cinq heures. Elle supposait que si tôt ses tourmenteurs dormaient encore.

Deux gardiens terminaient leur poste, un vieux et un jeune. Ils regardèrent la blonde avec intérêt car elle changeait leur quotidien tristounet. Elle eut droit à une chaise devant le bureau. Elle raconta son histoire : les SMS, les ordres, l'agression du professeur. Ils écoutaient avec compassion. Elle ne se rendit pas compte qu'ils bandaient allègrement. L'entretien se gâta assez vite quand ils voulurent voire les SMS.

- Je regrette messieurs, je ne peux pas vous les montrer car ils sont effacés immédiatement! Je ne sais pas comment ça se fait! C'est affreux.

- Mademoiselle... Vous nous prenez pour des imbéciles! Vous voulez déposer une plainte pour des SMS invisibles? C'est n'importe quoi! Vous croyez qu'on a que ça à faire? C'est un outrage!

- Mais, implora-t-elle, interrogez donc le personnel du collège!

- Ouais, déclara le plus jeune, on va le faire. En attendant, partez d'ici avant que l'on se fâche vraiment!

Elle se retrouva à la rue. Il était six heures.