La Belle au Bois Dormant

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La véritable histoire.
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Nous connaissons tous le conte de la Belle au bois dormant, notamment grâce à Charles Perrault. Dans un haut Moyen Âge, cette jeune princesse, victime d'une malédiction, après avoir été piqué par l'aiguille d'un fuseau à tisser.

Endormie pendant cents ans, elle s'était réveillée, après le baiser d'un preux chevalier. Ils se marièrent, vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfants.

La vraie histoire, ici, est un peu différente et je vous la livre avec bonheur.

La chambre où se trouvait la belle était au sommet d'une tour de l'immense château d'un royaume ancien et lointain. Elle était constamment éclairée par des candélabres ou par la lumière du jour.

L'entrée de la tour avait été confié à une femme d'une cinquantaine d'années, dame Adèle. Elle avait été la servante de la belle, il y a trente ans. Oui, trente années s'étaient écoulés depuis le jour de la malédiction. Les parents de la Belle, le Roi et la Reine, étaient désormais très âgés, mais n'avaient pas abandonné l'espoir que leur fille, un jour, revienne à la vie. Ils espéraient en la véracité de la prophétie, qui disait qu'un prince ou un preux chevalier la ranimerait par un simple baiser, car son amour serait pur comme celui d'un diamant.

Dame Adèle s'occupait de gérer sur un registre la venue d'éventuels « candidats ». Plusieurs gardes empêchaient des visites inopportunes. Depuis trente ans, la belle avait été visitée par une bonne centaine de princes ou chevaliers venant parfois de lointaines contrées. Mais aucun n'avait été le bon et avait ranimé la Belle.

Gontran avait quitté son royaume et traversé la mer pour rencontrer cette belle. Son roi l'avait encouragé et pratiquement forcé, car Gontran refusait de se marier. C'était un beau damoiseau, fier de sa personne, et habile au combat. De nombreuses jeunes femmes lui avaient été présentés, toutes de bonne famille, mais aucune ne l'avait enthousiasmé.

Gontran préférait s'adonner à son loisir préféré avec la chasse : baiser de jeunes soubrettes ou des paysannes. Il n'hésitait pas, usant de son droit de cuissage, a violer quelques filles de villageois et les partager avec ses compagnons. Gontran n'était pas aimé, mais redouté.

Ainsi, juste avant de partir, il alla voir la femme du forgeron et lui ordonna de le sucer comme souvent. Il aimait sa bouche et trouvait qu'elle était la meilleure pipeuse du château. Le mari comme d'habitude ne disait rien et entendit les bruits de succion derrière la porte comme d'habitude. Gontran sortit et donna avec mépris quelques piécettes au forgeron.

Gontran ; « La prochaine, je lui foutrai le con! »

Le forgeron (inclina la tête) : « Oui, seigneur, comme il vous plaira. »

Le royaume de la belle était grand et riche. Une alliance aurait satisfait son père tout en lui accordant un avenir... Royal. Gontran était curieux, après un si long voyage.

Quand Gontran se présenta au bas de la tour, il rencontra Dame Adèle... Elle sourit au jeune prince, et lui demanda le sceau prouvant sa noblesse. Cette obligation évitait que des aventuriers et des usurpateurs profitent de la situation. La prophétie était claire, seul un noble ou un preux chevalier pourrait délivrer la belle, et non un simple roturier.

Gontran fut introduit au sommet de la tour. On lui ouvrit la porte et le laissa seul. La belle était endormie depuis plus de trente ans, allongée sur un lit de princesse, large et confortable. Elle était vêtue d'une longue robe bleue aux liserés brodés d'or. Son visage était d'une grande beauté. Des traits fins, des lèvres sensuelles et une longue chevelure blonde, couvrait ses épaules. Son visage doux et si jeune semblait sourire. Elle devait être de taille moyenne et mince, mais son corsage à lacets laissaient deviner une belle poitrine.

Gontran ne regretta pas son long voyage, car la belle était vraiment de toute beauté. Elle ne ressemblait pas à une morte. Elle paraissait dormir. Il lui toucha la main. Celle-ci était tiède et souple.

Suivant le cérémonial, il approcha doucement ses lèvres de celles de la belle et déposa un chaste baiser. Ses lèvres étaient douces, délicieuses. Gontran eu un frisson. Mais la belle ne se réveilla pas.

Gontran fut déçu, mais savait que d'autres plus méritants que lui avaient échoué aussi. Il n'était pas un preux chevalier et jouissait des plaisirs de la vie que lui offrait une vie confortable, et surtout des plaisirs de la chair, qui était souvent sa véritable obsession.

Gontran allait quitter la chambre, quand, mu par ses pulsions, s'approcha à nouveau de la belle. Il l'embrassa, mais cette fois-ci, en dévorant ses lèvres, les moulliant avec sa langue. Gontran sentait son sexe durcir malgré lui. Instinctivement, il porta sa main sur la poitrine de la belle.

Il se redressa, observa le corsage en lacets. Il hésitait.

Gontran se parlait à lui-même : « Es ce sacrilège?... Elle n'est pas morte... Je ne risque rien. Je lui souhaite de rencontrer un jour son prince charmant. Ce n'est pas moi. Tant pis. En attendant, pourquoi ne pas en profiter. Je n'ai jamais rencontré fille si désirable! »

Il cessa de s'interroger et mit à défaire patiemment les lacets du corsage de la jeune fille.

Puis, il descendit lentement le corsage en l'étirant. Gontran ressemblait au découvreur d'un trésor. Il apparut alors deux seins exquis de taille moyenne aux pointes roses. La peau de la belle était d'une belle couleur, et d'une grande douceur. Gontran pelota les deux globes avec bonheur, puis plaqua sa bouche sur l'un d'entre eux, puis l'autre. Il léchait, embrassait, pinçait doucement les tétons.

Il savait qu'il ne reculerait plus désormais et releva avec précaution la robe de la belle jusqu'au haut de ses cuisses, puis la chemise. À cette époque, les femmes ne portaient pas de dessous, mais simplement une chemise. Il découvrit alors, naturellement, une adorable chatte recouverte d'une discrète toison blonde. Il écarta ensuite les cuisses de la jeune fille.

Gontran bandait avec dureté. Il caressait les cuisses de la belle puis glissa ses mains vers le con de la jeune fille. Il s'approcha, écarta les lèvres, et poussa un doigt. Il fut surpris de ne pas ressentir la moindre résistance. Le doigt s'enfonça profondément.

Gontran : « Mais elle n'est plus vierge!! »

Soudain, il entendit la voix de dame Adèle derrière lui.

Dame Adèle : « Non, et depuis fort longtemps... »

Gontran géré puis courroucé.

Gontran : « Vous m'espionnez! »

Dame Adèle : « Rassurez-vous Messire... Je voulais simplement vous apporter quelques explications. »

Dame Adèle s'approcha.

Dame Adèle : « Ma maitresse fut violée par le troisième visiteur. Il nous fut caché cet horrible crime au Roi et la Reine. Je lavai donc le con de ma maitresse.. Mais d'autres chevaliers peu scrupuleux voulurent aussi en profiter par la suite, mais je veillais derrière la porte. »

Gontran avait vite débandé après avoir été découvert.

Gontran : « Sage stratégie... Je ne suis pas l'élu... Et je ne suis pas un preux chevalier, loin de là. Je vais vous laisser. »

Dame Adèle sourit.

Dame Adèle : « Votre honnêteté vous honore Messire... '

Elle s'avança vers la belle.

« Regardez comme ce corps est parfait et désirable... nue, elle est davantage irrésistible, je vous assure. La belle est faite pour l'amour, et j'imagine que peut-être dans son sommeil, elle ressent les joies de l'étreinte lorsqu'une queue la pénètre et dans n'importe quel orifice... »

Dame Adèle regarda Gontran avec perversité.

Dame Adèle : « Êtes-vous si pressé de vous en aller? »

Gontran interrogea Dame Adèle du regard.

Dame Adèle : « Je suis au service de ma maitresse depuis plus de trente ans. Je veille sur sa tranquillité et je contrôle les visites.... C'est beaucoup de contraintes... »

Gontran finit par comprendre et sortit une grosse bourse en or.

Dame Adèle : « Vous êtes un vrai seigneur... »

Gontran (méprisant) : « Qui me dit que votre cupidité n'a pas livré la belle à tous les manants »

Dama Adèle : « Je connais la malédiction, Messire. Seuls des chevaliers et nobles peuvent tenter... Leur chance... Si je l'avais dévoyé, j'aurais été maudite à mon tour. »

Gontran : » Combien d'hommes ont abusé de ce corps? »

Dame Adèle (réfléchit) « En plus de trente ans, a raison d'une visite par mois, et un homme tenté sur deux, environ 80. »

Gontran : « je suppose qu'elle n'est plus vierge du cul? »

Dame Adèle : « Hélas non Messire... J'ai plusieurs fois essuyé son con, mais aussi son cul, mais aussi ses lèvres barbouillées de foutre... Mais sachez que certaines confidences m'ont assuré que jamais con et cul ne furent autant délicieux à pénétrer »

Dame Adèle prend la bourse que lui tend Gontran.

Gontran : « Laissez-moi maintenant! »

Dame Adèle : « Bien sûr Messire... Sachez que... Pour un petit supplément, je serais heureuse de vous sucer ou de vous branler pour vous mettre en condition. Je ne suis plus de première jeunesse, mais ma réputation plaide en ma faveur... Je saurais vous faire durcir pour bien en profiter...! »

Gontran: « Merci Dame Adèle, mais cela ne sera pas nécessaire... »

Dame Adèle : « Comme il vous plaira... User de la belle comme votre guise... Je me charge ensuite de la laver et de rhabiller »

Dame Adèle s'en alla enfin.

Gontran se demandait s'il ne faisait pas une bêtise, mais la tentation était trop forte et puisque cette perverse de Dama Adèle l'encourageait, il se précipita sur la belle et la déshabilla nerveusement.

Enfin nue, la belle apparaissait, comme l'avait dit Dame Adèle : irrésistible. Jamais, Gontran n'avait vu de corps aussi beau, senti une peau aussi douce.

Gontran se déshabilla, la respiration haletante, puis se mit à jouer avec le corps de la belle. Le tournant, la retournant, baisant sa bouche, ses seins, portant des coups de langue sur les lèvres de sa chatte, lui écartant les cuisses, ou dans des positions des plus obscènes.

Il posa son gland gonflé sur ses lèvres roses, sur le bout des seins. Enfin, n'en pouvant plus, il se mit entre ses cuisses, les releva et pointa doucement sa queue contre le con de l'endormie. Il entra en gémissant de plaisir et se mit à donner de lents coups de reins.

C'est alors que chose incroyable se produisit! La belle ouvrit les yeux, puis la bouche.

La belle : « Mais... »

Gontran tomba des nues et se retira du con de la belle.

La belle : « Qui êtes-vous? »

Gontran : « Gontran... (souriant)... Vous êtes réveillée, je vous ai réveillé... »

La belle : « Que faisiez-vous? »

Gontran : « Je vous baisais ma chère, mon aimée... »

La belle : « Mais c'est horrible!!! »

Gontran usa de plein de délicatesses pour raconter la malédiction dont elle avait été victime tout en lui évitant d'entendre, pour l'instant, qu'elle avait dormi plus de trente ans.

La Belle : « Il faut que je voie mes parents! »

Gontran : « Bien sûr! »

La belle : « Mon Dieu, je suis nue devant vous, je dois me rhabiller! »

Gontran : « Avant cela, nous devons aller au bout du soin que je dois vous apporter... »

La belle : « Qu'es -ce à dire? »

Gontran : « Nous devons baiser mon amie! »

La belle (naïveté) « Mais dans les contes, un simple baiser suffit! »

Gontran: « Votre innocence est touchante, mais les temps changent... Un certain nombre sont venus vus embrasser, mais aucun ne vous a réveillé... J'ai rompu la malédiction en introduisant ma queue dans votre con délicieux. Nous devons continuer! »

La belle (apeurée) : « Vous croyez! »

Gontran : « Ayez confiance en moi! »

La belle se tait et Gontran pris sa tête pour l'amener près de son gland fort gonflé à nouveau.

Gontran : « Prenez en bouche ma belle! »

La belle : « Mais... »

Gontran: « Vous devez être emplie par les trois trous pour être définitivement libérée. »

La belle (inquiète) : « Trois? »

Gontran : « Votre bouche, votre con et votre cul! »

La belle se mit à pleurer.

Gontran : « C'est de bonheur que vous pleurez bientôt... »

Gontran (autoritaire) : « En bouche! »

La belle ouvrit la bouche et Gontran la guida dans cet exercice qu'elle n'avait jamais pratiqué. Puis Gontran reprit son con, dans la position où il avait arrêté. La belle gémissait entre la honte et un plaisir diffus. Il la mit en levrette. La belle trouva cela des plus obscènes. Gontran ne peut résister longtemps et gicla son foutre sur les fesses de la princesse.

La belle se blottit contre Gontran.

La belle : « Êtes vous mon Prince Charmant? »

Gontran: « Assurément ma belle, ne vous ai-je pas prouvé mon amour? »

La belle : « C'était brutal... Puis-je m'habiller maintenant? »

Gontran : « bientôt mon aimée... mais je dois prendre votre cul avant. »

La belle : » Y êtes-vous contraint? »

Gontran: « Oui, regarder comme mon sexe rebande... Touchez-le, branlez-le! »

La belle : « Vous allez me faire mal! »

Gontran : « Oh grand jamais, comment pourrais-je... n'avez-vous pas aimé être baisé et sucer ma queue? »

La belle : « C'est que je m'attendais à d'abord de la tendresse... »

Gontran « Aaah, comme votre innocence m'excite! Regarder comme votre branlage produit sur moi!!!... Allez, en position ma princesse... J'ai hâte de prendre votre cul! »

La belle avait repris une pose des plus humiliantes et excitantes, sur le ventre, la tête enfouie dans un coussin de soie. Gontran appuya d'abord doucement son gland à l'entrée convoitée de la belle. Celle-ci frémissait d'avance. Elle tenta de se cabrer, mais Gontran appuya sur son dos, tout en s'enfonçant inexorablement. Bientôt de lents va et viens firent place à un rythme plus rapide.

Gontran : « Mon aimée, je ne sais pas ce que je préfère. Vous limer le con ou le cul. Vous êtes délicieuse »

La belle gémissait dans le coussin et poussait quelques cris.

Il ne s'agissait plus de soubrettes ou de paysannes, mais d'une princesse, celle qui allait devenir sa femme. Son plaisir était décuplé par l'idée qu'il allait pouvoir la baiser tant et tant de fois. Comment se lasser d'un corps aussi charmant, d'une peau aussi douce et chaude, d'une bouche, d'un con et d'un cul aussi accueillants. Gontran, après de valeureux coups, finit par projeter son foutre dans le cul de la belle, dont les pleurs étaient des plus tendres.

Gontran : « Il est désormais temps de redevenir princesse! »

Gontran alla vers la porte et cria le nom de Dame Adèle. Lorsque celle-ci apparu, elle tomba à genou en découvrant la belle assise nue sur le lit, fermant les cuisses et se cachant les seins avec ses mains.

Dame Adèle : « Princesse!, vous voilà revenue a la vie! »

La belle : « Qui êtes-vous? »

Dame Adèle s'approcha de la belle.

Dame Adèle : « Je suis Adèle... »

La belle était stupéfaite. Les deux femmes se prirent dans les bras en pleurant.

Plus tard, Gontran s'était rhabillé. La belle était dans une baignoire en bois. Dame Adèle versait des seaux d'eau chaude. La belle se détendait. Elle marqua une surprise lorsque Dame Adèle quitta le brossage de son dos avec une éponge pour essuyer ses seins, puis la main descendit vers le con de la belle, que Dame Adèle branla doucement avec l'éponge.

Dame Adèle lança un sourire des plus pervers à Gontran. La belle voulut protester quand Dame Adèle approcha sa bouche d'un des seins de la princesse et le prit en bouche.

La belle : « Mais!!! »

Dame Adèle : « Laissez-vous faire, détendez-vous. Je suis a votre service! »

Une bosse réapparut dans son pantalon. Il se dit que cette Dame Adèle était encore pas mal pour son âge, notamment sa forte poitrine qui ne demandait qu'à sortir d'un corsage trop serré. Elle était des plus vicieuses et sans doute, il pourrait l'associer à des jeux à trois avec sa princesse.

L'histoire retiendra que Gontran et la Belle vécurent heureux et eurent plusieurs enfants, mais aussi, qu'ils baisèrent chaque jour...

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6 Commentaires
Alexandre1965Alexandre1965il y a 7 moisAuteur

Merci pour ce détail. Je l'ignorais !

AnonymousAnonymeil y a 7 mois

Dans le conte original il lui fait deux enfants sans la réveiller et les deux fils la réveillent.

dicordobadicordobail y a 7 mois

j''ai adoré cette version de la belle au bois dormant. Merci à toi.

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