Le Pouvoir

- Papa, pas par là, pitié... je t'en...

La fin de sa phrase se termine sur un hurlement, d'un coup de reins puissant, je viens de lui enfoncer mon gland dans son trou-du-cul. Lui fissurant l'anus. J'hallucine, là, je suis encore plus serré que dans son vagin. Cette conne se contracte, ignorante du fait, que cela ne va pas m'empêcher de l'enculer, cela va seulement décupler sa douleur, pour mon plus grand bonheur.

Je l'encule comme cela, couché sur son dos, ma fille à les cuisses écartées, je suis entre elle. Je passe mes mains sous nos corps, je lui broie les seins. Je frappe son petit cul rebondi de mon ventre, dans un grand bruit de claque qui résonne. On ne domine une femme que quand on la sodomise, là je peux vous dire qu'alors je la domine vraiment. Elle n'est plus rien, juste un jouet sexuel entre mes mains. Elle est serrée, si serrée, je suis heureux. Je ne tarde pas à remplir ses entrailles de ma semence, véritable poison pour elle. Quand j'ai fini, je me retire, mais j'ai encore envie. Cette fois je veux la prendre dans un lieu plus confortable. Je me relève, je la relève par les cheveux et l'entraîne dans la chambre de l'appartement. Je la jette dans le lit, je me jette sur elle, de nouveau, je lui prends le vagin.

J'ai baisé ma fille tout le week-end, faisant se joindre Armelle à mes jeux. D'ailleurs, plusieurs fois, les deux putes ont dut se gouiner. Ensuite on est rentrés chez nous. Quand elle voit que sa mère n'est pas là, Mélodie ne pose pas de question, je pense qu'elle préfère ne pas savoir. Une fois arrivés chez nous, j'oblige ma fille à aller prendre sa douche. Je la rejoins quelques minutes après, l'enculant sous l'eau chaude. Ensuite, on est allés dans la chambre parentale, je l'ai baisée en missionnaire, sur le lit parentale. Mais maintenant, c'est sa chambre, son lit. Dorénavant elle est à moi, elle m'appartient, elle sera mon jouet.

Ma fille à coupée les ponts avec ses amis masculins. Quand à ses amies filles, elles viennent souvent jouer chez nous, avec nous. D'ailleurs, trois d'entre elles sont allées rejoindre la rousse et sa mère, ainsi que ma nièce et ma sœur sur le trottoir. L'argent coule à flot, mais j'ai toujours mon salaire, sans jamais bosser.

Cela fait maintenant sept mois que ma fille remplace mon épouse, dans ma vie, dans mon lit, sur mon pénis. Elle est enceinte de sept mois, c'est notre premier. Quand à Céline, mon épouse, elle est au Venezuela, dans un bordel, je viens de recevoir une vidéo d'elle, je peux vous garantir qu'elle morfle.

Mais je ne contente pas de ma fille, d'Armelle ou des autres. Quand une fille me plaît vraiment, je l'oblige à coucher avec moi. Des fois c'est un viol, des fois elle est consentante, plus rarement, j'efface nos rapports de sa mémoire. D'ailleurs, depuis trois semaines, je couche régulièrement avec une jeune réceptionniste de vingt ans. Elle est célibataire, je lui ai fait coupé toute envie de se mettre en couple. Je la vois trois ou quatre fois par semaine, à chaque fois, je jouis une fois dans son vagin, une fois dans son anus, et après j'efface nos rapports de sa mémoire. Je pense qu'elle va être très surprise de se retrouver enceinte alors qu'elle n'a eut aucun rapport et qu'elle vie toute seule.

Depuis j'écume cette grande ville dont je préfère taire le nom, dites vous bien quand vous rentrez chez vous, que si ça se trouve une heure avant votre arrivée j'étais en train de jouir des fesses ou du sexe de votre fille, de votre femme sans qu'elle ne s'en rappelle... Si un jour votre copine, votre épouse tombe enceinte, alors que vous n'avez pas beaucoup de rapports avec, il se peut bien, aussi, que l'enfant soit de moi...