Le Pouvoir

BÊTA PUBLIQUE

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Je mordille un peu plus fort son clitoris, lui arrachant un cri de douleur, puis je me relève mon sexe est redevenu dur a l'idée de son dépucelage anal.

Je la pose, allongée sur le ventre, je mets un gros coussin sous son ventre, je commence à caresser l'anus de la belle Armelle, que je sens inquiète et terrorisée. Après avoir plusieurs fois enfoncé mon doigt dans son anus, rencontrant pas mal de difficultés tant elle est serrée, lui arrachant des gémissements de souffrance, je monte sur le lit, derrière elle.

Je n'hésite même pas une dernière fois, pourtant je suis conscients de ce que je vais faire. Je vais sodomiser une magnifique vierge de dix-huit ans, que je vais analement forcer. Je vais violer son petit cul, mais rien ne peut me faire reculer. Je pense que je vais la laisser se rappeler du viol, je veux qu'elle sache que c'est moi, le premier à l'enculer.

Je pose le gland au milieu de l'anus, je force un peu. L'anus résiste devant l'intrus, je pousse alors plus fort. Ma force, ainsi que le petit doigtage que je lui est infligé, oblige la petite corolle à s'ouvrir un peu.

Je garde une petite connexion avec elle, la douleur ressentie est atroce je sens l'anus d'Armelle s'écarter Je comprends pourquoi les femmes n'aiment pas trop la sodomie...

La pute se met à pleurer, mais je continus à pousser. Je dois forcer toute en la tenant aux hanches pour que le gland force enfin l'anus. Je m'enfonce de cinq centimètres dans son trou-du-cul, passant l'anneau vierge, arrachant un hurlement terrible à cette grosse truie.

Ayant beaucoup de temps ainsi que vraiment envie de la faire souffrir, je commence à limer méchamment le cul de l'amie de ma fille, lui arrachant des hurlements de douleur à chaque fois que je m'enfonce plus loin entre ses fesses. Jamais je n'ai été aussi serré, même pas par Sylvie. Cela confirme ce que j'ai compris avec ma nièce, je ne pourrais plus jamais me passer d'un cul de pucelle. Je la viole de plus en plus vite, tandis qu'elle hurle de plus en plus fort, la tenant bien aux hanches. D'un coup une jouissance terrible me submerge, je m'enfonce totalement au fond du cul d'Armelle, lui arrachant un gros sanglot, ainsi que le pire de ses hurlements. Je jouis tout au fond de son petit cul, savourant chaque jet qui la remplisse.

Je savoure encore quelques instants le petit cul de Armelle, faisant quelques va et vient avec mon sexe, qui a à peine débandé tant les sensations sont extraordinaires. La petite pute gémit de douleur.

... Je ressens la douleur du cul écartelé, l'impression de dilatation extrême, qu'il ne se refermera jamais...

Je retire doucement mon sexe, avec un peu de mal quand je fait sortir le gland de l'anneau culier. La dilatation est énorme au milieu de ses fesses, son trou commence a se refermer pendant que la pute pousse un soupir de soulagement.

Un remugle de sperme et de sang s'échappe de son trou-du-cul. Je laisse mon gland en dessous, le temps que cela coule dessus. Il n'y aura rien d'autre pour la lubrifier. Une fois que j'estime cela suffisant, je descend un peu ma bite. Je m'enfonce d'un coup, en entier dans son vagin. Elle est vraiment serrée, preuve qu'elle n'est pas la salope que je croyais... Mais cela ne me gêne pas de m'être trompé, je la défonce comme un soudard, lui élargissant le vagin avec une vraie bite d'homme.

J'ai jouis deux fois en elle, la conne ne prends pas la pilule. Je m'en fous, si je la met enceinte, c'est tant mieux. Je lui dis de se rhabiller, lui laissant les souvenirs de son viol, sans qu'elle ne puisse en parler à personnes. Je lui dit d'aller aux toilettes essuyer ses fesses ainsi que sa chatte. Je la prévient du futur de sa vie, tandis que je lui ai implanté un ordre de soumission et d'obéissance totale à moi. Rajoutant aussi une horreur profonde de chaque rapport sexuel qui lui sera imposé.

- Maintenant chaque fois que j'ai envie de te baiser, je t'appelles et tu viens.

- Mais si je bosse...

- Ton patron est au courant, on a un arrangement.

Armelle me regarde effrayée, pleurant toujours suite à son viol.

- Maintenant, pour cinquante euros d'achat tu dois proposer de sucer le client. Pour cent euros, il peut te baiser. Et à cent-cinquante il peut t'enculer. Ensuite, jusque à cinq cent, c'est une heure avec lui que tu dois proposer. De cinq cents à mille, c'est la nuit. Au-delà de mille, c'est vingt-quatre heures avec le client que tu passes, tu rajoute une journée tout les mille euros. C'est sans supplément de la part du client bien entendu... Maintenant retourne bosser, le barème commence dès maintenant.

Je m'octroie un dernier test pour voir, après je me lâcherais vraiment. J'entreprends de suivre, dans la rue une mère d'environ quarante ans assez mignonne mais surtout tenant par la main une adorable rousse, cheveux longs, de dix-huit ans, fine et l'air coincée. J'ai dirigé la mère et la fille vers leurs maison, où elle sont entrées, m'invitant à les suivre comme un vieil ami.

Là encore, j'ai beaucoup de temps, je les fais aller ensemble dans la chambre de la fille. Je les fais se déshabiller, les deux sont docile mais terrorisée devant moi. Je leurs fais m'offrir le spectacle d'une mère et sa fille se gouinant. Ensuite j'ai baisé et enculé la mère, me vidant dans chaque orifice, la faisant gueuler de douleur. J'ai repris ensuite des forces devant un bon whisky.

Ensuite, j'ai violé la fille devant sa mère horrifiée. C'est vraiment une coincée, elle est encore vierge. Je l'ai défoncé, je lui ai massacré la chatte, prenant grand plaisir à détruire de mon sexe cette belle sainte-nitouche.

Comme à mon habitude, je n'ai mis aucun lubrifiant, avant d'enculer la rousse. Elle est vraiment étroite du trou-du-cul. Mais encore une fois, une jouissance extraordinaire m'a submergé quand j'ai jouis entre les fesses de la rousse se trémoussant de douleur. Dès le soir, elles feraient toutes deux le trottoir, exclusivement pour moi, mais bien entendu, contre leurs gré. Ne gardant que de quoi payer le loyer et la bouffe, me reversant le reste.

Maintenant que je suis pleinement conscient de mon pouvoir, je vais pouvoir le tester sur mes véritables cible. Céline ma femme et Mélodie ma fille. Je rentre donc chez moi. Il est dix-huit heures, ma femme sera présente. Pour ma fille c'est surprise. J'ouvre la porte, je lance à la cantonade :

- C'est moi.

Une seule voix me répond :

- Bonjour chéri, passé une bonne journée?

Je vois ma femme arriver. À trente-six ans, elle est toujours aussi belle. Brune aux yeux verts, mince, un cul rebondit, des seins de belle taille. Elle me fait toujours bander autant, pourtant elle se refuse à moi depuis presque un an, trouvant comme excuse un mal de tête persistant, qui ne la gêne pourtant pas pour sortir une ou deux fois par semaine avec ses amies.

- Oui, très bien passé, et pour toi?

- Oui, ça va.

- Mélodie n'est pas là?

- Non, elle est chez Armelle. Demain soir aussi, pour aller en boîte.

Bon, ça je le sais déjà, que ma fille passe beaucoup de temps chez son amie, c'est pour cela que j'ai obligé Armelle à coucher avec les clients de sa boutique et pas de faire la pute. Ma fille dort souvent chez elle. Et par Armelle je sais que pour ma fille c'est vrai. Ma femme reprend :

- Au fait, je sors avec mes amies demain soir.

Je souris, j'implante l'obligation à ma femme de ne pas pouvoir me mentir.

- C'est vrai chérie?

- Non, je vois mon amant!

Je vois à son visage qu'elle ne comprend pas pourquoi elle me dit cela.

- C'est pour cela que tu me laisses plus me baiser?

- Non, c'est parce que tu me dégoûtes. Tu te laisse aller, tu as grossis, je ne peux plus avec toi. Si je ne divorce pas, c'est à cause de Mélodie. À la place, je me fais baiser par d'autres, avec eux je jouis au moins...

Bon, j'aurais pas dut lui faire dire toute la vérité directe, j'aurais dus l'obliger à enrober. Maintenant le mal est fait. Je n'ai plus qu'à me venger.

- Qui d'autres est au courant?

- Mélodie. Elle ne te dit rien, si je ne divorce pas, c'est le deal.

Ma putain de fille le sait, elle aussi va morfler.

- Cela fais longtemps que cela dure?

Je vois que ma femme ne sait pas pourquoi elle me dit la vérité, mais elle voit qu'elle ne peut faire autrement.

- Depuis notre mariage. Je me suis faîtes baisée dans les chiottes. Depuis, je n'ai jamais cessé. Pas souvent, je dirais trois ou quatre fois par an, mais sans interruption.

Putain la salope, ce n'est plus des cornes que j'ai. Elle va me le payer.

- Déshabille-toi!

- Jamais, tu ne me toucheras plus! Tu me dégoûte trop!

Bon, je vois que un ordre simple, sans utiliser mon pouvoir ne sers à rien. Je l'utilise donc. À sa grande surprise, mon épouse se déshabille. Ne pouvant résister.

- Ce n'est pas possible! Mon corps n'obéit plus! Ce n'est pas possible! Je ne me déshabille pas de mon plein gré!

- Je sais ma chérie, c'est moi.

- Mais comment?

- Il y a quelques jours, le soir de Halloween il y avait une vieille folle, déguisée en sorcière, elle avait glissé sur le sol. Elle saigne et gémit... La foule passe, mais ne s'en préoccupe pas. Je me suis arrêté. Je l'ai aidé à se relever. Je lui ai demandé si elle voulait les pompiers. Elle m'a dit non. Je n'avais qu'un billet de vingt sur moi, je le lui ai donné.

Ma femme me regarde, se déshabillant toujours. Elle est maintenant en string et soutien-gorge. Elle me fait encore bander cette salope.

- Elle m'a touché le bras. Me disant : Je suis une vraie sorcière, merci pour ton aide. Je te donne un pouvoir. Tu pourras faire faire ce que tu veux au gens en te connectant à leurs cerveaux, tu verras, c'est inné.

Son soutien-gorge tombe. Je me rends compte que cela fait une éternité que je ne l'ai pas vu nue. Ses seins sont toujours aussi ferme, j'adore. Je continue :

- J'ai testé ça sur Sylvie et Lydie. Sur Yvan aussi. Mais également sur Armelle, et une mère et sa fille que je ne connais pas. Ça marche, je les aient toutes baisées.

Ma femme descend son string, elle est épilée, je ne l'ai jamais vu épilée. Elle reste debout, devant la grande table du salon.

Je défais ma ceinture que je pose à côté d'elle. Je me mets nue, elle est effrayée quand elle voit mon sexe tendue.

- Ne me baise pas, ce sera un viol!

- Oui, comme pour les autres, comme pour Mélodie après.

- Non, pas Mélodie, c'est notre fille, ta fille...

- Oui et ce seras ma pute aussi. Tes amants t'ont enculée?

- Non, jamais.

- Alors je vais enfin te dépuceler le trou-du-cul comme la salope que tu es!

- Non, pitié, pas ça...

Je lui ordonne de se taire, je lui donne un autre ordre.

Je la fait se pencher sur la table. Son torse et sa tête se positionne dessus, seins écrasés. Cul tendus et offert. Ses mains se posent sur ses fesses, les écartent. Je m'approche, je pose mon gland sur son anus, je l'encule, la dépucelant par là. Elle hurle. Le premier hurlement de la soirée, mais pas le dernier. Jusque au petit matin, j'ai alterné les sodomies, les viols vaginaux, les coups de ceintures. Son corps n'est plus qu'une plaie. Ma fille ne viendra pas, je laisse donc ma femme comme ça, incapable de bouger, geignant sur la table. Je dors six heures d'affiler. J'encule de nouveau Céline en me réveillant, puis tout en buvant mon café.

J'appelle un gars que je connais, un vieil ami depuis le lycée. Je suis quelquefois aller voir certaines de ses putes. Il fait dans la traite des blanches, c'est lui que j'ai vu pour le bout de trottoir de Sylvie et Lydie, ainsi que pour la rousse et sa mère. J'ai rendez-vous à seize heures avec lui. En attendant l'heure du départ, je sodomise encore ma femme, je rattrape toute ces années perdues avec cette pute.

À quinze heures trente, je lui fais mettre juste sa robe la plus pute, sans rien en dessous. On se rends au bordel du gars. Un géant patibulaire nous accompagnent, ma femme et moi, jusque à lui. Mon ami siffle en la voyant.

- Très beau petit lot. Je vois que tu uses de la ceinture avec elle, c'est une forte tête?

- Non, c'est juste pour le plaisir. J'aime quand elle gueule!

- Je vois, bonne éducation. Alors que puis-je faire pour toi.

- C'est pour elle. Je veux qu'elle fasse la pute. À l'abattage. Puis départ pour le pire bordel en Asie ou en Amérique du Sud. Avec animaux, tortures et viols barbare.

- OK, je peux la tester pour voir ce qu'elle vaut?

- Avec plaisir.

- C'est quoi son prénom?

- La pute, ça lui suffit.

J'ordonne à ma femme, en usant de mon pouvoir, mais aussi à voix haute :

- A poils, la pute!

Pleurant doucement, terrorisée, ne voulant pas mais ne pouvant faire autrement, ma femme se déshabille. Vu qu'elle n'a que sa courte robe, c'est rapide. Son corps, marqué en entier par les coups de ceinture apparaît à la vue de mon ami. Il siffle: - -- Corps de première classe. Elle a quel âge? Trente ans?

- Non, trente-six.

- Bien conservée. Je peux la tester?

- Vas-y.

Il la fait se mettre à genoux, il lui enfonce son chibre dans la bouche. J'ai ordonné à ma femme de se laisser faire.

- Elle suce bien.

Je ne dis rien, souriant juste car je vois ma femme profondément humiliée en plus d'être dégoûtée de cette pipe forcé sur un inconnu. Au bout de quelques minutes, il sort de la bouche de ma femme. Il la fait s'allonger sur le bureau, cuisses écartées. Il la pénètre, elle cri.

- Pas d'enfant?

- Si, une fille.

- Pourtant elle est bien serrée. C'est bien.

Cette fois il va au bout, quand il se retire, je vois le sperme couler du sexe de ma femme, faisant une petite tâche sur le bureau. Il la lui fait nettoyer avec la langue. Ensuite il la fait s'appuyer sur le bureau, il l'encule méchamment. Elle hurle.

- Merde, elle a le cul vraiment serré, j'adore ta femme!

- Je l'ai dépucelée hier, elle n'a eut qu'une quinzaine de sodo depuis.

Il savoure l'anus de mon épouse, elle, à entendre ses hurlements et voir ses larmes couler, je peux affirmer qu'elle savoure moins. Là, encore il va jusque au bout. Quand il à jouit dans les entrailles de Céline, il la fait se mettre à genoux et nettoyer toutes les traces douteuses sur son pieu. Puis il se rhabille et me regarde :

- C'est de la bonne bourgeoise bien serrée. Elle est classe et pas putain. J'aime. Tu veux la vendre pour combien?

Céline me regarde, elle avance vers moi à quatre pattes, me regarde, suppliante :

- Pitié, pas ça...

Je la gifle.

- Ta gueule!

Je regarde mon ami :

- C'est cadeau, je veux juste des vidéos de ce qu'elle subit, de temps en temps.

- Pour les vidéos, pas de soucis, même si tu la vends. Elle vaut au moins trente ou quarante mille. Avec quinze ans de moins, on étaient dans les cent mille. Tu veux vraiment t'asseoir sur une telle somme?

- Oui, c'est pour les services que tu m'as rendus. Et pour ceux que tu pourrais me rendre encore.

- Merci mon pote. Tu veux la baiser une dernière fois pour faire tes adieux?

Je pense à la soirée qui m'attend. Je refuse et m'en vais. Je ne suis pas sortis, que déjà mon pote encule de nouveau ma femme. Jusque à sa mort, quelques années plus tard, elle ne vivra pratiquement pas sans une bite humaine ou animale dans le corps.

Je me rends chez Armelle. J'ai les clés. Elle est dans le salon, avec ma fille. Elles prennent un apéro avant de partir en boîte. Enfin, c'est ce qui était prévu. Ma fille se lève d'un bond en me voyant. Mélodie est vraiment magnifique. De longs cheveux bruns, des yeux verts fantastique, un magnifique visage de top-modèle, de gros seins naturel, un cul d'enfer avec une chute de reins parfaite, et des jambes vertigineuses. C'est ma fille, c'est dégueulasse, c'est incestueux, mais elle me fait grave bander cette pute.

- Papa, tu fais quoi ici? Comment tu es rentrés?

- J'ai les clés, ta copine ne te l'a pas dis? Je la baise maintenant, enfin, je l'encule surtout. Elle aime pas trop, mais elle se laisse faire, c'est un super coup en plus!

- Quoi? Tu es fou?

Elle a une robe courte, assez décolleté, je vois qu'elle n'a pas de soutiff.

- Non, c'est vrai Mélodie...

- Quoi? Armelle? Avec mon père?

- Il me viole, je n'ai pas le choix...

- Papa???? Tu ne lui fais quand même pas ça? C'est horrible!!! Tu es un monstre!!!

Je souris à ma fille, et je lui envoie une grande claque dans la gueule, suivit d'une autre, puis d'une troisième. Elle me regarde horrifiée, je ne l'ai jamais frappée avant. Même pas une tape sur les fesses.

- Maintenant c'est ton tour!

Mélodie me regarde, elle ne comprend pas, ou plutôt ne veut pas comprendre. Je l'aide en lui arrachant sa robe. Ce n'est pas difficile, elle ne tient qu'avec des bretelles. Je mets ses seins à découvert. Elle doit faire du bonnet C, ses seins tiennent droit tout seul, tellement ils sont ferme. Je ne m'arrête pas là, je lui arrache complètement sa robe. Ma fille se retrouve en string. Bien entendu, je lui ai ordonné de ne pas pouvoir se débattre.

Je la met à terre, sur le dos, je lui écarte les cuisses, elle pleure, supplie. Mais rien ne m'arrête. Je lui arrache son string, dévoilant un sexe glabre. Je me couche sur elle. Armelle terrifiée autant que ma fille ne bouge pas. Soulagée que ce soir je ne la touche pas. Cinq clients l'ont enculée, trois baisée dans la chatte et deux dans la bouche, elle a eut son content de viols pour la journée. Alors autant que ce soit un peu Mélodie qui est droit aux joies d'un viol, même si celui-ci est pire, car incestueux.

Je baisse rapidement pantalon et caleçon. Mon sexe n'a jamais été aussi dur. Je l'avance, jusque à ce qu'il rencontre le sexe de ma fille. J'entre doucement en elle, pour assurer ma prise. Je suis surpris de rencontrer son hymen. Moi qui croyait, comme je l'ai cru pour Armelle, qu'elle est une salope, s'habillant en pute, je découvre que ma fille est pure, vierge. Comme quoi l'habit ne fait pas le moine. La bite dont elle est sortie spermatozoïde, va donc faire d'elle une femme en lui volant le bien le plus précieux de son corps, sa virginité.

Je ne réfléchis pas, je me projette en avant. Ma fille hurle, à dix-huit ans, deux mois et six jours, je viens de lui arracher son hymen, en faisant une femme, de la plus dégueulasse des manières. Ma fille hurle, elle hurle encore plus fort que les autres. D'abord elle se fait violer, ensuite par son père, pour finir elle est vierge. Aussitôt, je deviens fou de stupre. Je me mets à la défoncer sauvagement, geignant de plaisir autant qu'elle hurle de douleur. Je n'ai aucune pitié, au contraire, le fait qu'elle soit ma fille me fait la défoncer encore plus fort. Je suis à fond en elle, puis il ne reste que le bout de mon gland, puis je suis de nouveau à fond. Je le fais fort, je le fais vite, je le fais méchamment.

Entre deux hurlements, ma fille me supplie, alors je la viole encore plus fort. Je lui détruit le vagin de ma bite. Elle a quand même de la chance, je ne peux tenir longtemps ce rythme. Les quinze minutes que dure cet accouplement, me paraissent passer en quelques secondes, tandis que pour elle, cela dure une éternité. Armelle est effarée de voir une telle violence. Finalement, je me fiche au plus profond de son ventre, je me fige, je jouis en criant. Je n'ai jamais autant craché de sperme. Il y en a tellement, que cela déborde, je sens mes couilles se tremper de ma semence qui sort du vagin de ma fille, où pourtant se trouve encore ma queue.

J'ai eut l'orgasme le plus puissant de ma vie, jamais je n'ai ressentis un tel plaisir, une telle plénitude. J'ai tellement apprécié, que je me rends compte que mon sexe est tout aussi dur, tout aussi bandé qu'avant la défloraison de ma fille. Mélodie s'est mis en position fœtale, dès mon retrait de son corps, la terreur d'être enceinte de moi ce rajoute à l'horreur d'avoir été violée par son propre père. Je vois mon sperme, rougit par le sang de son dépucelage, ainsi que par d'éventuelles déchirures, couler le long de ses cuisses.

Cette vision me rends fou. Je viens de détruire mon enfant, mais ce n'est qu'un début. Puis après tout, elle a dix-huit ans, il est temps qu'elle connaisse tout sur le sexe. Quand je la touche de nouveau, elle sursaute et gémit. Je la met de force à plat-ventre. Je me couche sur elle, mon engin venant se mettre entre ses fesses rebondis, juste contre son anus.