Le Pouvoir

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Un homme se découvre un bien étrange pouvoir.
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SalomeD
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Bonjour, l'histoire que vous allez lire est noire, violente, malsaine. Elle est basée sur l'agression sexuelle et le viol. Donc si vous n'aimez pas le genre, ou si vous êtes sensible, veuillez ne pas lire ce qui suis, je peux vous le garantir, vous n'aimerez vraiment pas. Pour les autres, j'espère qu'elle vous plaira. Bonne lecture.

Lorsque Sylvie entre, je sais alors que le pouvoir qui m'a été transmis est réel. Je n'ai, au début, pas cru à cette possibilité de squatter un cerveau humain, sans aucune restriction. Les quelques petites expériences que j'ai tenté m'ont laissé sur ma faim.

Pourtant elle est là, ma nièce, 20 ans, un joli minois, plus une adolescente mais pas encore vraiment une femme, c'est très jolie blonde. Elle est entrée, me regardant sans parler, mon insertion dans son cerveau ne lui laisse que la possibilité de m'obéir, totalement, à tout ce que je lui ordonne. Je peux ensuite lui remplacer la période qu'elle va vivre, par n'importe quel souvenir, qu'elle croira bien réel, sans pouvoir se rappeler la moindre intervention de ma part, à partir du moment où je l'ai soumise.

Je peux squatter son cerveau et ordonner absolument tout, déconnecter une partie de ses muscles, lui enlever les sensations ou les ressentir moi même. Je peux ainsi me voir à travers les yeux de Sylvie rien qu'en me connectant à son cerveau. Ce qui est déstabilisant au départ, se révèle source de plaisirs pervers intenses.

Pas très grande, pas maigre sans être grosse, elle m'a souvent fait fantasmer, bien que je préfère les filles plus mûres. J'ai décidé de tester mon pouvoir sur elle, pour être sur que si il y a un problème, elle est majeure et je peux trouver une explication à sa présence chez moi. Je verrais ensuite pour d'autres plaisirs plus extrêmes.

Suivant mes pensées, elle enlève son blouson, fait passer son sweat par dessus ses épaules, son regard toujours braqué sur moi comme interloquée par ce qu'elle fait sans pouvoir résister. Elle n'a pas de gros seins, je préfère, son soutien-gorge rejoint le sweat à terre, ma main se porte sur ses mignons petits seins que je titille de ma main, en la regardant.

Elle est terrifiée, ne pouvant bouger, sentant mes mains sur ses seins, elle a envie de fuir, de hurler, sans pouvoir rien faire... J'accentue sa sensation de peur, j'aime la ressentir. Elle pleure, doucement, elle tremble, ça me fait bander encore plus fort.

Il est temps de passer aux choses sérieuses, j'ouvre ma braguette, je sors mon sexe déjà bien dur à l'idée de ce qui l'attend. Ma nièce se baisse docile, sa main empoigne ma bite, sa bouche se referme sur mon gland.

Je vois à travers ses yeux mon sexe approcher de sa bouche, y pénétrer, c'est extraordinaire, je sens à la fois mon sexe reposer sur sa langue et a travers Sylvie, je sens le sexe reposer sur la langue, ce qui est, j'avoue une drôle de sensation, n'ayant jamais moi même sucer de bite, j'ai l'impression de sucer mon propre sexe. Je ressens en même temps la honte et le dégoût que cela lui procure de n'être qu'un objet sans volonté, devant me sucer contre son gré...

Je ne peux retenir un gémissement en sentant ses douces lèvres commencer à me sucer, c'est a la fois pervers et troublant, de la sentir à ma merci, docile et soumise mais aussi révulsée et pleurante. Je me laissais sucer quelques minutes avant de gicler dans sa bouche. Je l'oblige à tout avaler, ce que Sylvie fait pour la première fois. Je lui ordonne ensuite de se relever, de monter dans la chambre, ce qu'elle fait sans aucune résistance, mais en frissonnant.

Elle enlève son jean et son slip, gardant ses chaussettes, je trouve cette tenue très excitante. Ma nièce, qui est une vraie blonde, je le sais, s'épile le sexe, j'adore. Je l'oblige à m'embrasser avec la langue, je lui caresse la chatte. Je lui ordonne de ne pas éprouver de désir, son vagin reste aride, j'ai envie de lui faire mal, de la faire hurler, de la défoncer. Elle est à moi, je vais user de mon pouvoir sur elle.

Elle n'est plus vierge, je sais qu'elle a des copains, je la fait donc se mettre penchée sur le lit, me présentant ses fesses et son sexe épilé. J'adore les vulves imberbes, même si de temps en temps un peu de poils ne me gêne pas. La vue sur son adorable petit sexe tout rose est génial, je vais la prendre, je n'en peux plus. Je ne mets pas de préservatif, je veux jouer avec le feu, prendre le risque de l'engrosser. Avant, avec les progrès de L'ADN, j'aurais bien du mal à expliquer le fait qu'elle soit enceinte de moi, si il y a un problème et je ne connais rien de sa contraception. Mais avec mon pouvoir, je peux au choix, rendre cela normal pour ma famille, ou leurs faire croire que c'est un accident de capote avec son copain. Cela va mettre du piment à notre rapport, surtout pour elle, car je distille cette peur dans son cerveau. Je n'ajoute bien attendu aucun lubrifiant, mon pouvoir me permet de lui ordonner sa lubrification intime. Si j'en ai envie, hors, comme je vous l'ai dis, je n'en ai aucune envie.

J'éprouve un plaisir indescriptible à poser mon gland contre l'entrée de son sexe, le sentir s'entrouvrir pendant que je pousse mes hanches.

Je sens pour la première fois, à travers elle, la sensation d'une femme qui se fait pénétrer du vagin, qui s'ouvre et laisse entrer le sexe, Sylvie pleure, encore plus, intérieurement humiliée, détruite, violée...

J'enfonce mon sexe au maximum, sentant son vagin totalement sec serrer au maximum ma bite, je commence à la limer doucement profilant de son corps et savourant ce plaisir pervers.

J'empoigne ses petits seins par dessous, pendant que je la baise. Je pince les tétons jusqu'à lui faire émettre un gémissement de douleur. Ne pouvant me retenir je m'enfonce d'un coup, à fond, écrasant son corps sur le lit. Je me mets alors à la défoncer comme un sauvage, me coupant de ce qu'elle ressent, pour ne pas ressentir moi-même sa douleur. Elle râle tant elle mal, tout le long de notre accouplement. J'ai tellement fantasmé sur elle, que j'éjacule, en moins de dix minutes, au fond de son utérus fertile. J'ai rarement eus une jouissance aussi intense.

Je ressorts de son sexe qui reste ouvert quelques instants suite a ma pénétration, et commence a se refermer doucement, tandis que ma semence abondante s'en écoule. J'embrasse ses fesses, son anus, glisse deux doigts dans sa chatte. Je lui ordonne de s'allonger sur le ventre, fesses relever, offerte. Je lui ordonne d'écarter son cul, malgré mon éjaculation précédente, je bande encore plus dur rien qu'à l'idée de lui dépuceler le trou-du-cul. Ce la première que je sodomise, ma femme ou mes anciennes copine m'ont toujours refuser ce plaisir, trop gros qu'elles m'ont dit, ou encore que la sodomie les dégoûtent ou leurs fait peur... Là, je n'ai aucune gêne à avoir, elle ne peut me refuser ce plaisir.

Je me laisse tomber sur elle. Ma nièce me supplie de ne pas l'enculer, sanglotante. Je n'en ai cure. Je l'empale d'un coup, la faisant hurler. Je me mets à la défoncer immédiatement, sans laisser le temps à son trou-du-cul de s'habituer à ma présence. Cette fois, je dure plus longtemps, je la sodomise une bonne demi-heure. Prenant le maximum de plaisir dans ses entrailles magnifiquement serrées. Je me vide en criant mon plaisir.

Une fois ressortit de son trou-du-cul, je me fais sucer, à la fois pour me faire nettoyer la bite, que pour profiter une dernière fois de ma nièce. Enfin, pour aujourd'hui. Cette fois, c'est dans sa bouche que je me vide, l'humiliant encore plus en l'obligeant à tout avaler. Une fois fini, je me relève, puis me dirige vers la salle de bain, je lui ordonne de se rhabiller. Une fois ma douche prise, je me rhabille et ressort. Quand je descends, je la trouve dans l'entrée habillée comme a son arrivée. Je pends sa tête et l'embrasse sans tendresse, profitant de sa bouche avant de la renvoyer chez elle, non sans lui avoir implanté un souvenir de piscine. Prit d'un peu de pité, je lui ordonne également d'aller à la pharmacie, prendre un pilule du lendemain.

Le soir même, je passe prendre l'apéro chez Yvan, mon beau frère, Sylvie est présente, elle me fait la bise, on discute un peu comme d'habitude, elle est allée a la piscine et à passe une super après midi. Mais elle s'est aussi prit la honte de sa vie, en tombant sur les fesses, se faisant mal à l'arrière-train. Ce qui explique pourquoi elle boite un peu en marchant. J'ai du mal a refréner une érection pendant que je la revoie sur le lit, penchée et nue, pendant que je jouis dans sa jeune chatte bien serrée. Je la revois aussi à plat ventre, se faisant enculer tout en me suppliant. C'est trop, j'ai de nouveau envie d'elle, mais il y a son père et sa mère...

Une idée bien dégueulasse me traverse soudain. Je vais faire un deuxième test, pour voir l'étendue de mon pouvoir. Là, je vais frapper un grand coup. J'instille dans le cerveau de mon beau-frère et de ma nièce, de ne rien entendre. J'ordonne à ma sœur de me suivre. Lydie à trente-huit ans, elle est blonde, mince, un adorable petit cul, de gros seins. On va dans sa chambre. Je lui ordonne juste de ne pas se défendre.

Ma sœur me regarde, se demandant ce que je veux lui dire ici, dans sa chambre. Ma première claque la surprend, comme la deuxième. Je me jette sur elle, Lydie ne se débat pas. Je lui arrache ses vêtements, je la met nue. Je la viole. D'abord le vagin. C'est plus large que Sylvie, mais aussi que mon épouse qui à pourtant juste deux ans de moins. Après je me rappelle que cela fait presque un an que je n'ai pas touché mon épouse. Ma sœur hurle, supplie tout le long du viol. Elle hurle encore plus quand je me vide dans son sexe, elle ne prend pas de contraception. Ses hurlements augmentent encore en octave, quand je la retourne et l'encule. Mon beau-frère l'a déjà sodomisée, mais pas souvent, car elle est quand même serrée de cet orifice là. Une fois vidé dans son trou-du-cul, je fais comme pour sa fille, je l'oblige à me nettoyer la bite en me suçant. Mais contrairement à Sylvie, c'est sur le visage de Lydie que j'éjacule.

J'envoie un nouvel ordre à mon beau-frère et ma nièce. J'ordonne à ma sœur:

- Te nettoie pas et t'habilles pas. On retourne au salon.

Ma sœur se relève, c'est nue et en pleurant qu'elle m'emboîte le pas. Quand j'entre dans le salon, Yvan et Sylvie regarde la télé. Ma nièce baisse les yeux en voyant sa mère, je vois qu'elle se retient de pleurer. Mon beau-frère sourit :

- Tu lui a bien mit le compte à cette salope. Mais ne t'en fais pas Lydie, ce soir c'est mon tour. Et je vais te dérouiller ta gueule de chienne, juste pour le plaisir. Allez, sers la bouffe.

Ma sœur obéit immédiatement.

Finalement je reste manger chez eux, le temps de recharger, mon test n'est pas finis. Le repas est bon. Ma sœur ne moufte pas, mais elle pleure tout du long. Une heure après, on en est au café. J'ai rechargé, je bande de nouveau. J'envoie un ordre au beau-frère.

- Lydie va faire la vaisselle, ton frère et moi, on a à faire.

Ma sœur ne dit rien, elle se lève, débarrasse et va faire la vaisselle. Quelques secondes après que sa mère soit partie, Sylvie se lève. D'une petite voix, elle demande :

- Papa, je peux aller dans ma chambre?

Yvan me regarde.

- Je ne sais pas, elle à l'âge, tu ne crois pas?

Je souris, décidément, mon pouvoir est encore plus puissant que je ne l'imagine.

- Je crois qu'il est plus que temps en effet. On a attendu deux ans de trop! Il aurait fallut le faire à dix-huit ans... C'est ta fille, à toi l'honneur.

Yvan ne se le fait pas dire deux fois. Il se lève d'un bond, il attrape sa fille par les cheveux, elle crie, mais ne se débat pas... Il lui soulève la jupe, descend son petit string. Il me dit :

- Honneur aux invités beau-frère! Elle n'est plus vierge de la chatte, mais pour le cul...

Inutile de vous dire, que Sylvie pense être encore vierge de l'anus, quand elle me voit sortir mon sexe.

Bon quand je lui enfonce mon sexe dans le cul, je peux vous dire qu'elle hurle la petite pute. Sans pitié, je la maintiens aux hanche et la bourre de coups de reins puissant, coulissant dans son anus que je dépucelle pour la deuxième fois. Son père en profite pour lui enlever son haut, son soutiff. Il se met à lui malaxer brutalement les seins. Puis il sort son engin. Il est bien moins monté que moi. Mais il l'étouffe quand même quand il lui viole la bouche. Voir son propre père se faire sucer par sa propre fille, ça me rends fous. J'explose aussitôt dans les reins de Sylvie.

Yvan fait rapidement le tour de Sylvie quand je me suis retiré. D'un seul coup, il s'enfonce dans le vagin, se moquant de ma semence qui dégouline de l'anus que je viens de violer. Il la baise méchamment lui aussi, sourd à ses cris. Mais le premier viol incestueux de Yvan ne dure pas longtemps, au bout de tout juste cinq minutes, il se met à gémir.

- Je vais te remplir la chatte sale putain!

- Pas ça! Je ne prends pas la pilule! Je ne prends pas la pilule!

Cela n'a pas l'air de gêner Yvan plus que cela, il se vide en elle en criant. Il ne se retire du corps convulsant de sa fille que pour remonter son sexe. Il encule alors Sylvie à son tour.

Une fois finis, on monte dans la chambre de ma nièce. On se la prend en doublette. Là elle hurle comme jamais. Je lui défonce le cul, tandis que son père lui défonce le vagin. Quand enfin on jouis, je suis vraiment épuisé. Je ne pourrais plus baiser de la soirée. Je décide de rentre chez moi, non sans avoir remplit les cerveaux de Yvan, Lydie et Sylvie d'ordre que je trouve bien marrant.

Ma sœur va désormais être battue par son mari. Ma nièce et sa mère vont faire les putes, chaque nuit, pour vingt euros la pipe et quarante la baise ou la sodo. Ma nièce va arrêter ses études, ma sœur démissionner de son taf, pour qu'elles se consacrent à leurs nouveaux métier. Qu'elles détestent. Je leurs interdis de prendre le moindre contraceptif, ma nièce à seulement l'autorisation de mettre des capotes avec ses clients, pendant quelques temps. Ma sœur doit tomber enceinte de clients, et ma nièce de son père. Il violera sa propre fille tout les matins, quand elle rentre du taf, et la soir, avant qu'elle n'y parte. Autant de fois qu'il peut. Il pourra la sodomiser bien entendu, mais pas plus d'une fois sur cinq. Jusque à ce qu'elle tombe enceinte de lui. Après il la prendra comme il veut. Ma sœur gagne mille cinq cents euros par mois. Mon beau-frère peut garder deux-mille-cinq, et doit me donner le reste. Moi de toutes façon je ne bosse plus, enfin je suis censé bosser, mais un petit ordre dans la tête de mon chef fait que mon salaire va tomber sans que je m'y rende. Mes collègues n'y trouveront eux aussi rien d'anormal, grâce à mon aide. Normalement, je bosse pour la mairie de la ville.

Je suis rentré chez moi en sifflant. Ma fille n'est pas là, elle est dort chez sa meilleure amie. Ma femme dort déjà. Mais bon, aujourd'hui je ne suis pas frustré de ne pas la baiser, j'ai eus ma dose de cul. C'est heureux et des plans bien pervers plein la tête que je m'endors.

Mon troisième test eu lieu avec une jeune femme comme je les aime. Armelle, dix-huit ans, la meilleure amie de ma fille que bien sur je n'ai jamais touchée, elle. Enfin pas encore tout du moins. On est deux jours après ma petite séance avec Sylvie et Lydie. J'ai eus besoin de la veille pour récupérer, je n'ai jamais autant baisé de ma vie. J'en ai profité pour passer voir Armelle dans la boutique pour homme dans laquelle elle bosse. J'ai également vu son patron.

Armelle à les cheveux châtain. Comme Mélodie, ma fille, elle s'habille vraiment très sexy, voir trop. Elle a des seins moyens, mais un cul de dingue à la chute de reins somptueuse. Je fantasme sur elle depuis quelques mois. Là je vais enfin pouvoir me la faire. Je la fais donc venir dans ma chambre.

Je vois les yeux d'une Armelle effrayée, qui me suivent sans pouvoir se soustraire, qui se demande ce que je peux bien lui vouloir. Moi le père de sa meilleure amie, moi qu'elle connaît depuis toujours. Pauvre conne, ce n'est plus une gamine, elle sait très bien ce qu'un homme et une femme font, seuls, dans une chambre. Je ressens tout cela en étant connecté à son cerveau.

Je prends un vrai plaisir à enfin la déshabiller, la regardant, l'embrassant sur la bouche, laissant mes mains se promener sur son corps ferme de jeune femme de dix-huit ans. J'ai le temps, je le prends, il n'est que midi, ma femme bosse jusque à dix-sept heures, ma fille est à l'université jusque à dix-heures. Je la met toute nue, elle se rend soudain compte de ce qu'il va se passer. Je sens qu'elle ne veut vraiment pas, pourtant Armelle ne peut que m'obéir. Elle a des seins bien ronds, avec des aréoles roses foncés, des petits tétons. Un mince filet de poils châtains coure sur son bas-ventre. Je trouve cela bien plus excitant qu'un sexe poilu ou entièrement rasé.

Je me met nu aussi le sexe dressé par ce joli corps à ma merci. La jeune fille me regarde pendant que je caresse ses petits tétons. Je la fais se mettre à genoux, je promène ensuite mon sexe sur son visage, je lui ordonne d'ouvrir la bouche. Elle se met à pleurer de honte, de dégoût, pendant que j'enfonce mon gros gland dans sa bouche, m'en servant comme d'un orifice.

Je me connecte de nouveau à elle, je sens le sexe énorme dans sa petite bouche, les hauts-le-cœurs de Armelle, mais surtout la terreur qu'elle ressent... Se faire violer est son plus grand cauchemar, et moi, le père de sa meilleure amie, je suis en train de lui faire vivre ce calvaire. Je suis surpris, je ressent le fait qu'elle n'a jamais sucée de sexe d'homme, ça la dégoûte trop. Le fait que je lui enfonce donc mon pieu dans sa bouche, en rajoute à son malheur.

Elle tète plus qu'elle ne suce, mais je savoure la perversion de mon sexe dépucelant sa bouche de salope. Je me retire, m'assois sur le lit, la fait se mettre entre mes jambes, l'oblige à me reprendre en bouche, contre son gré. Pendant que je lime sa bouche, mes mains se promènent sur son corps, explorant ses cuisses, douce, ses fesses, fermes. Je sais que je vais souvent avoir l'occasion de jouer avec elle, pourtant je décide de profiter au maximum de ce jeune corps disponible, de le visiter entièrement.

Je ne met pas longtemps à jouir, lui tenant la tête j'envoie de grosses rasades de sperme directement dans sa gorge, la faisant tousser. L'empêchant de me mordre grâce à mon pouvoir, je ne retire mon sexe qu'une fois qu'elle a bien tout avalée. Elle vient de boire mon sperme pour la première fois de sa vie, mais sûrement pas la dernière.

Je la relève en la tirant par les cheveux, elle gémit de douleur. Je la met sur le lit cuisses écartées en grand, je commence par l'embrasser de partout. Ma langue explore son sexe, se glisse a l'entrée de son vagin tout sec. Elle n'est plus vierge, mais moi qui l'ai toujours prise pour une salope, je vois qu'elle est très serrée, elle n'a pas dut avoir beaucoup de rapports, ou alors avec des petites bites. Je décide d'ouvrir le haut de ses lèvres, pour dégager son clitoris, qui à ma grande surprise est tout petit, presque minuscule. Elle ne doit pas se masturber souvent, c'est ce que je ressens. Je prend le minuscule clito entre mes dents, le mordillant pendant que mon doigt cherche le passage de ses fesses. Son dernier orifice vierge...

Une douleur fulgurante traverse le corps de la belle Armelle, elle hurle, sortant de son silence, lorsque je mord son clitoris, je ne savais pas cet endroit si sensible...

Je ne vais pas la baiser, pas de suite tout du moins. Je vais l'enculer pour commencer. J'ai peur que la grosseur de mon sexe et l'étroitesse de son vagin pose problème si je la viole alors qu'elle est aride. Je peux lui ordonner de mouiller, mon pouvoir n'a aucune limites, mais je n'en ai pas envie. Si je la prends maintenant, cela va peut-être occasionné une grosse déchirure, ce qui peut être catastrophique.

Pour son petit cul c'est différent. Même sans une bonne lubrification, je peux la sodomiser sans la déchirer. Puis même si elle a très mal sur le coup, je peux isoler son centre de la douleur pour les jours suivants, afin qu'elle ne sente pas la douleur de son petit cul défoncé. Si la sodomie n'est pas régulière, son petit cul se refermera et les traces disparaîtront très vite. Enfin, c'est si je décide de lui faire oublier mon viol, mais je n'ai pas encore décidé de la suite pour elle, je verrais à la fin. Puis ma bite sera lubrifiée par le sang de son dépucelage anal, son sexe, par mon sperme coulant de son anus.

SalomeD
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