Le Manoir des Sacrifices

BÊTA PUBLIQUE

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J'étais nue et allongée dans un grand lit à baldaquins. Ce qui était sur c'est que je n'étais pas retournée chez moi.

Je regardais mon pubis mais je ne vis qu'un gros pansement qui masquait la marque. J'aurais du me révolter de ce qu'ils m'avaient fait, foncer à la police pour porter plaindre mais je n'arrivais pas à me rebeller.

Après tout, c'était moi qui avais insisté pour participer.

Par contre, j'étais heureuse d'être toujours vivante, car je commençais à ressentir de nouveau des sentiments preuve que la drogue s'était dissipée en partie.

C'est alors que Fernal rentra dans la chambre, un grand sourire sur les lèvres.

- Bonjour chère Manon, heureux de vous voir réveillée.

- Bonjour monsieur, qu'est ce qui s'est passé.

- Vous vous êtes évanouie et j'ai préféré arrêter la cérémonie.

Curieuse tout de même de savoir ce que contenait la dernière salle, je lui demandais.

- Et si je ne m'étais pas évanouie, qu'est ce que vous m'auriez fait dans la dernière salle?

- Je vois que vous êtes intriguée, on ira dans cette salle lorsque vous irez mieux. Je me suis permis de prendre votre téléphone pour d'envoyer un message à vos parents afin de les rassurer. Cela faisait 48 h00 que vous dormiez.

Je ne me posais même pas la question de savoir comment il avait pu débloquer mon portable, c'est surtout la durée de sommeil qui me surprit.

- Que diriez vous de venir manger. Il est midi passé.

- Si j'ai dormi durant quarante huit heures, je comprends mieux pourquoi j'ai faim, dis-je en rigolant.

Je quittais le lit doucement, ne me sentant pas encore bien remise et je me rendis alors compte que je n'avais dans la chambre aucun vêtement pour cacher ma nudité.

J'avais du perdre durant la cérémonie toute pudeur car je le suivis comme si de rien été lorsqu'il quitta la chambre.

Finalement je me rendis compte que j'avais été nulle de cacher mon corps durant toutes ces années. J'étais belle et désirable et je n'avais pas à le dissimuler.

Le repas en tête a tête avec monsieur Fernal fut très sympathique et je vis durant tout le temps que nous restâmes à table que mon corps dénudé n'était pas pour déplaire aux personnels venant nous servir les plats.

Après manger, nous redescendîmes au sous sol qui était cette fois complètement déserté. Cela me fit bizarre de retrouver les lieux et j'eus presque un sentiment d'inachevé.

Lorsque nous pénétrâmes dans la dernière salle, mon sang se figea. Au centre de la pièce se trouvait l'autel de sacrifice. Il était en pierre et l'on pouvait voir des saignées prévues pour évacuer le sang.

- Si je ne m'étais pas évanouie, vous m'auriez allongé sur la pierre

L'homme rigola

- à votre avis?

- je ne sais pas.

Et tout en disant ça, comme par provocation, je grimpais sur l'autel et m'allongeais à l'emplacement prévu pour les corps des suppliciés.

Mon corps nu ainsi offert dut chambouler un peu l'homme qui s'approcha de l'autel pour se mettre à me caresser une fois à coté.

- Vous auriez fait une très belle sacrifiée mais cela aurait été dommage d'ôter la vie à un aussi joli corps.

- Et qui sait? peut être que même sans drogue je serais restée immobile sur cette pierre.

L'homme regarda mon corps puis rajouta

- Il est temps de retirer votre pansement. La marque doit être cicatrisée.

Avec précaution, il tira sur un bord de la compresse et mis a jour la marque. Je m'assis sur l'autel pour enfin découvrir l'inscription et je ne compris pas du tout a quoi correspondait la marque. Deux petites flammes encadraient trois lettres, PDD.

- Mais quel rapport ces trois lettres avec Arkos?

- Ce sont trois lettres qui le désignent dans une langue disparue

Je fus un peu déçue moi qui pensais que la marque serait plus explicite.

L'homme, qui vit ma déception, dit alors

- il est peut être tant de remettre votre jolie robe et de nous dire au revoir. Vos parents risquent de vraiment s'inquiéter si vous restez vingt quatre heures de plus absente.

Me rendant compte qu'il avait raison, nous quittâmes le sous-sol

Une heure après je me retrouvais dans ma petite voiture, direction la maison. En y réfléchissant, même si j'avais souffert,j'avais passé une soirée exceptionnelle. Je n'étais plus vierge et j'avais perdue mes complexes vis-à-vis de mon corps.

La vie s'annonçait de plus en plus belle pour moi.

Epilogue

Il y avait comme une odeur de souffre dans le bureau. Le maître du manoir avait peur mais ne voulait pas le montrer. Ce n'était pas une peur que l'on connaît lorsqu'un danger se dresse devant nous, non, c'était la peur de pouvoir déplaire.

L'homme en noir, installé dans le fauteuil du salon, écoutait Fernal faire son rapport, même si il connaissait déjà tous les détails de la soirée. Il eut un sourire lorsque Fernal lui dit

- Elle est venue comme vous nous l'avez prédit, maître, et comme vous nous l'avez annoncé elle a insisté pour y participer

- Son initiation s'est donc bien déroulée?

- Oui maître, elle a passé toutes les épreuves de façon incroyable et maintenant elle est à vous

L'homme en noir pensa aux marques qu'elle avait dorénavant gravées dans ses chaires. « PDD » Propriété du Diable.

Maintenant, elle lui appartenait

Il savait que je jour venu, lorsqu'il aura décidé d'utiliser son corps, elle ne pourrait faire autrement que de venir.

Elle était maintenant sa propriété lui qui la convoitait depuis qu'elle était venue au monde. Il l'avait aiguillée sans qu'elle le sache vers ses passions pour l'occulte et l'avait gardé vierge pour son initiation.

Maintenant elle lui appartenait enfin et il allait en profiter.

Fin

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  • COMMENTAIRES
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8 Commentaires
dicordobadicordobail y a 29 joursAuteur

Attention, ce n'est pas recommandé pour les peaux fragiles

AnonymousAnonymeil y a environ 1 mois

Merci pour ce récit excitant. Le marquage au fer est un de mes fantasmes préférés. Clémence

AnonymousAnonymeil y a plus d’un an

Très belle histoire

dicordobadicordobail y a plus d’un anAuteur

Merci pour vos commentaires

AnonymousAnonymeil y a plus d’un an

Très très bon récit.

Merci

Rudy

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