La Promotion de Sophie

Informations sur Récit
Une mère se fait noircir.
5.5k mots
4.18
20.5k
6

Partie 1 de la série de 2 pièces

Actualisé 06/11/2023
Créé 10/19/2021
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Sophie était bouleversée, déjà deux semaines que Louis avait reçu la mauvaise nouvelle et il semblait résigné à son sort. La compagnie pour laquelle il travaillait avait été rachetée par un holding étranger et le transfert des actifs était imminent. Son patron l'avait prévenu que ses services n'avaient pas été retenus par les nouveaux acheteurs.

Dix ans de loyaux services foutus à la poubelle. En ces temps de pandémie, l'ouvrage était rare et Louis était découragé. Sans l'apport de son mari, Sophie sentait venir la crise financière à plein nez. Leur fille Sarah devait entrer à l'université en Septembre et voilà qu'elle se retrouvait seul soutien de famille, elle ne se faisait pas d'idées, comme Louis n'était pas débordant de confiance, trouver un nouvel emploie allait être ardue.

Sophie était toujours indécise, son patron ayant été mis au courant des problèmes qu'elle devait affronter lui avait offert une promotion avec un boni assez intéressant mais travailler le soir ne la réjouissait pas plus qu'il le faut. Sophie regardait par la fenêtre et voyait sa fille s'émoustiller dehors. Elle était si menue à peine 46 kilos repartit sur un mètre et demi. Son obsession pour le sport semblait avoir retardé sa croissance, elle venait d'avoir ses premières règles et sa poitrine était à peine développée. Difficile de croire qu'elle était aux portes de l'université.

Devant inertie de Louis et les comptes qui risquaient de s'accumulés, Sophie se sacrifia pour le bien de sa fille et accepta l'offre de son patron. Finalement Sophie ne mit pas longtemps avant d'apprécier les avantages de son nouveau travail. Sa libido ayant gravement diminuée, elle n'avait plus besoin d'excuse pour se refuser à son mari. À l'heure où elle rentrait du travail, Louis ronflait déjà et elle en profitait pour s'offrir des petites cajoleries. L'oisiveté selon la rumeur est la mère de tous les vices et en peu de temps Louis y avait glissé jusqu'au cou.

Ses soirées seules étaient de plus en plus consacrées aux divertissements sexuels. Et qui dit sexe dit internet, Louis frustré sexuellement trouvait un soulagement en furetant de plus en plus souvent sur des sites de soumissions interraciaux. L'apogée du plaisir se présenta à lui un soir en visionnant un film amateur, un mec regardait sa blonde se faire baiser par un gros noir. Il put donner son appréciation à la fin de la vidéo, le sexe dressé, il laissa sous entente qu'il aimerait que sa femme soit une salope comme celle dans le film.

Surexcité par les vidéos à caractère interracial et par la jouissance qu'il en retirait. Louis devint de plus en plus accro à ce genre de pornographie et plongea dans les abîmes de la débauche le jour où il fit une recherche sur le NBWO.

Persuadé d'avoir trouvé ce qu'il cherchait, Louis s'inscrivit sans méfiance sur ce site prometteur de luxure et de jouissances incroyables. Après avoir rempli sa fiche et fait l'étalage de ses fantasmes, Louis explorera partiellement le site. Après sa deuxième jouissance Louis alla se glisser dans les bras de Morphée.

Louis avait l'air tout à fait innocent quand sa femme rentrait du travail et l'entendait ronfler. Le ménage était impeccable et chose incroyable, le lavage avait été fait. Sophie commença à apprécier la mollesse de son petit mari. Si seulement elle avait vu l'état dans laquelle il avait mis sa petite culotte en se masturbant avec, elle aurait compris le pourquoi de tout ce zèle. Son salaire s'était grandement amélioré et Sophie étant à présent la seule nourricière de la famille développa une fascination pour la domination.

Au contraire Louis devenait docile face aux demandes de sa femme. Lentement le désire de la voir se faire rabaisser prit de l'ampleur et ses fantasmes en portaient l'empreinte. Louis sans s'en rendre compte étalait sa défaillance aux membres alphas qui étaient à la recherche de couple instable.

Une semaine s'était écoulée quand il finit par être contacté par un certain Akan qui se montra intéressé par ses fantasmes. Après lui avoir fait miroiter la possibilité de réaliser ses rêves les plus fous et devant l'excitation que démontrait Louis, Akan n'eut aucune misère à le convaincre de lui envoyer une photo de sa femme. Akan alimenta le feu qui brulait en Louis en lui faisant comprendre que sa femme avait besoin d'apprendre sa place et que lui comme tout adonis noir avait les outils pour la lui enseigner.

En récompense pour son soutien à la cause noire, Akan lui proposa des scénarios possibles. C'est queue en main que Louis écouta les propositions de débauche qu'il envisageait pour Sophie. L'hameçon était à l'eau et Louis la gobât sans hésitation ce qui fit sourire Akan qui sans perdre du temps lui fit comprendre qu'il savait où il habitait et lui confirma que lui et un groupe de noir allait prendre sa femme en charge très bientôt et en ferait une dévouée pour le NBWO.

Louis commença à paniquer, dans sa recherche sur le NBWO il avait vu le sort qu'était réservé aux femmes blanches quand elles étaient dressées et asservis par des noirs. Réalisant que pour s'exciter sexuellement il avait mis sa femme en danger et qui sait peut-être sa fille aussi, Louis se fit discret sur l'internet pendant une semaine espérant que tout ça soit oublié.

Malheureusement pour lui, le jeudi soir, Louis reçu un email non désiré. L'auteur n'en avait rien à cirer des regrets de Louis, les billets pour le train avaient été pris et Akan aux commandes veillait à ce que tous les voyageurs soient à la gare au moment prévue. Louis hésitait à en faire mention mais le sexe étant son talon d'Achille, il n'avait pu se garder loin des dessous en soie si affriolants de sa femme et principalement ce soir-là sa débauche avait atteint son paroxysme, Louis avait trouvé un string aux arômes troublantes sur le dessus du panier à linge et sa salive s'était activée au contact de sa langue sur les sucs incrustés.

La porte de la salle d'ordi était barrée mais Louis fit quand même un saut quand il entendit la voie de sa fille Sarah lui dire : «Bonsoir papa je vais coucher chez Marie-Ange (plutôt chez son petit ami). »

Sa queue eut une agitation quand il réalisa que sa fille, son bébé d'amour avait dû prendre une douche plus tôt. Dominé par son vice, l'idée de retiré le string de sa bouche ne fit qu'effleuré sa pensée. Louis regarda sa montre, il n'avait plus qu'une heure avant que sa femme rentre à la maison. L'excitation était là mais le feu d'artifice tardait à venir. Louis mortifié, glissa son curseur sur la liste de ses favoris, ses yeux machinalement se posèrent sur Ir/Cuckold Avenue. Lentement toutes réticences succombèrent aux plaisirs qui stimulaient ses testicules, son majeur céda aux encouragements de sa queue et appuya sur son clavier.

Soudain l'alerte d'un message retentit de nouveau, l'incitation à prendre connaissance de la conférence diffusée en direct troubla Louis. Son besoin de jouir balaya toute prudence de sa part et nerveusement son doigt appuya sur son destin. Maitrisée par Akan, la caméra diffusa d'abord un écran un peu flou puis le focus se fit graduellement, Louis crut reconnaitre l'intérieur d'un wagon. Au fur et à mesure que le foyer se faisait des passagers apparaissaient, il réalisa que la caméra filmait à l'intérieur d'un wagon de métro.

Soudain les portes s'ouvrirent et une femme trainée par les cheveux se débattait sous la domination d'un gang de noirs qui la forçait à entrer. Tous usèrent de brutalité pour parvenir à l'attacher à un pieu central. Brutalement Louis reconnu sa femme essayant d'éviter d'être ligotée au poteau. Devant le déplacement de la rame, Louis vit un noir empoigné un sein de Sophie. Un deuxième noir releva sa jupe et lui claqua le cul suivit d'un troisième qui lui fourragea la chatte. Gestes qui de toute évidence qui importunaient sa femme.

Sophie réagit fortement devant ces noirs qui l'entouraient. Après avoir tenté de repousser le premier elle sentit qu'un autre s'invitait à la danse, le même salopard qui lui avait lié les mains au poteau. Dans son débat une main se glissa sous sa jupe et lui arracha sa culotte d'un coup sec. Quand elle voulut crier à l'aide, le mince tissu vint atténuer son cri. Le cercle noir se referma sur Sophie, Louis spectateur impassible regardait l'horreur que subissait sa femme. Honteux d'en être l'initiateur, il ne put retenir sa queue de se dresser quand il vit des mains noires étirer les tétons de sa femme. Un noir ayant retiré sa ceinture l'enroula autour du cou de leur victime.

La scène était tout à fait scabreuse, un vieux monsieur avait de la misère à détourner son regard du spectacle malgré les recommandations de sa femme. En face d'Akan qui filmait l'agression, une jeune fille rougissante semblait fascinée devant ce spectacle et surtout du nombre croissant de bermuda qui s'abaissaient en libérant des organes de plus en plus longs. L'excitation de la jeune fille devint assez évidente quand la prise de vue montra les déplacements des cuisses qui s'écartaient et se refermaient brusquement.

Akan profita du moment pour sortir son membre. Louis sentit ses couilles se contracter quand il vit son membre. Maintenant sa production de sperme s'accentuait en imaginant la chatte de sa femme être étirée par cette colonne de chair. La jeune fille fixait cette queue noire et hypnotisée, ouvraient vicieusement ses cuisses. Quand Akan remarqua la tache humide qui s'aggravait sur la culotte exposée, il passa à l'action. Se levant il agrippa la jeune fille par sa queue de cheval et la força à venir s'agenouiller entre ses cuisses. Après quelques murmures rébarbatifs mais bien corrigés par une main ferme, Louis vit la jeune fille ouvrir la bouche et accepter l'intrusion vigoureuse du phallus.

De retour sur le sort que vivait sa femme Louis laissa s'écouler un peu de sperme en voyant sa femme tenter de se libérer de ses liens. Sophie se débattait, pendant que des doigts lui pinçaient mamelons et clito à la vue d'une bande de voyageurs. Malgré ses suppliques personne ne lui venait en aide et maintenant voilà que son corps réagissait au stimulus imposé. Forte femme, elle réussit à éteindre le feu qui commençait à la consumer.

Sophie sentit deux doigts se glisser dans sa chatte, Sophie:« Nooooo......mmmmmmm nooooooooooo, ooooohhhhhh. » Un doigt se glissa dans son sillon effleurant son anus récalcitrant. Sophie :« Grrrrrrrrrr...nnnnnnnn..pas lààààà.OhhhhNon. »

Devant son manque de collaboration Akan intervint : « Il est temps de briser cette salope, préparé là pendant que j'en fini avec cette jeune chienne. »

Pendant qu'on arrachait les vêtements de Sophie, Louis vit la lingerie de sa femme virevolter ici et là. Une brèche dans le cercle lui permit de voir le cul de sa femme étalé pour le grand plaisir d'Akan. Slashhhhh, une rainure apparue sur les fesses laiteuses puis slashhh une autre. La contestation de Sophie s'atténua au rythme des coups qu'elle recevait.

Excité par le spectacle Akan déchargea sa semence dans la bouche et sur le visage de la jeune fille. Louis pu voir sa gorge se déformer quand elle dû avaler les embryons noirs dont elle était nourrit. Donnant la caméra à un autre, Akan se leva et d''un geste de la main il fit comprendre au groupe qu'il était temps de montrer à cette jeune brebis tout le plaisir qu'il y avait à être noircit par un gang. L'heure était venue pour lui de prendre en main la soif de Sophie. Louis vit sa femme se débattre mais quand Akan la détacha et l'amena devant la caméra ce n'était déjà plus qu'une méprisante formalité.

Sophie avait été propulsée aux abords de la jouissance par l'ensemble des males noirs mais sans avoir le droit de goûter à l'orgasme libérateur. D'une bonne claque sur le cul Akan établit son autorité, quand il pencha Sophie sur ses genoux, elle prit panique mais se calma quand il lui caressa doucement le cul. Sophie commençait à se détendre devant l'agilité que manifestait Akan à caresser sa rondelle plissée. Louis si maladroit l'avait privé de cette source de plaisir. Sous l'autorité déployée par Akan elle se laissa badigeonner le cul, spontanément elle alla au-devant du doigt qui la pénétrait.

Sophie : «Hhmmmmuuuuummmmmnnnnhooouaaahhhh. »

Le majeur d'Akan glissait profondément dans son rectum provoquant une sensation agréable inconnu de Sophie jusqu'à présent.

Une certaine inquiétude se manifesta quand elle sentit qu'il lui glissait quelque chose dans le cul. Une bonne claque étouffa toute rébellion et la queue d'Akan manifesta le plaisir que lui procurait la vision du suppositoire disparaissant dans les profondeurs de son fondement. Akan connaissait bien la réaction que son corps aurait lorsque ce suppositoire entrerait en contact avec la boisson qu'il lui avait fait préparer spécialement pour elle.

Sophie était troublée par la domination d'Akan, elle n'avait jamais vécu un tel abandon. Sophie devint agitée quand elle sentit une chaleur au plus profond de ses entrailles. D'une main ferme Akan la retourna sur le dos et la prit d'en ses bras comme on tient un bébé. Sophie se débâtit quand elle vit l'énorme bouteille surmontée d'une suce en forme de pénis qu'il lui présenta à la bouche.

Complètement paniquée, Sophie tentait de repousser le biberon, Akan réussit à lui tenir les mains mais elle refusait toujours d'ouvrir la bouche. Bien décidé à briser cette femme mariée, il fit signe à un noir de venir l'aider. Louis aperçut deux grosses mains noires pincer les deux tétons de sa femme. Les étirements étaient violent et la grimace que fit Sophie témoigna de la douleur ressentit.

Sophie : « Ouuuuuuuchhhhh..... nnnnooooonnnnn, ouuuutch. » Le deuxième ouuutch fut fatal, l'énorme tétine enforme de phallus entra profondément dans la gueule de Sophie qui dû commencer à sucer.

Akan : « C'est ça boit ma salope. » Sophie se débâtit, elle avait horreur d'être traitée de salope. Akan : « Ah! Tu n'aimes pas être appelé salope mais 250miltres de ce divin nectar transforme n'importe qu'elle femme en une véritable chienne. »

Sophie se débattait et cessa de boire, elle venait de voir que la bouteille contenait plus de 450 millilitres. Louis revit les deux grosses mains reprendre du service. Akan appuya sa main sur la gorge de Sophie et se réjouit de la sentir reprendre son ingestion. Aussitôt la douleur sur ses mamelons diminua mais la pression demeura afin de lui enlever toute envie de cesser son gavage.

Akan : « Oui! C'est bon avale tout, maintenant que tu as bu plus de la moitié de la potion il n'y a pas retour en arrière, c'est inévitable dans 1 heure tout au plus tu me supplieras de te baiser. Écoute ton corps, sent la faim qui s'installe dans ton ventre, sent la queue qui va assouvir tes sombres désirs. »

Sophie devina l'énorme pénis qui s'appuyait sur son flanc, avec effroi elle réalisa les changements qui se profilaient dans son corps. Ses seins quémandaient plus d'étirement, sa chatte bavait tellement qu'Akan était sur le point d'en sentir l'humidité sur ses cuisses. Quand ce fut fait il relâcha les mains de Sophie et l'obligea à tenir elle-même la bouteille pour terminer son élixir.

À présent le gavage était volontaire et Sophie en pleine stimulation tétait le faux pénis avec luxure. Simulant une fellation Sophie récupérait d'un mouvement de langue le surplus de liquide qui coulait sur ses lèvres évitant de perdre la moindre goutte de ce breuvage qui l'enflammait charnellement. Louis pu observer sa femme s'embraser dans une soumission à Akan. Voyant Sophie téter la bouteille avec docilité, Akan déplaça sa main entre ses cuisses et patiemment attendit qu'elle offre son clitoris à son pouce. Quand elle se livra, pour la récompenser ses deux plus longs doigts s'enfoncèrent dans sa chatte poisseuse. Sophie se cambra quand il appuya fortement sur son point G.

Sophie : « OOHHH! OOUUUUUIIII! FAIS-MOI! JOOUUUUIIRR OHHHH OOUUUIII. » Akan : « Tu vas me faire une bonne chienne, mais pour commencer tu m'appelles maître Akan à partir de maintenant, tu vas m'offrir ta chatte quand je l'exigerai je t'offrirai à mes amis pour mon bon plaisir et tu vas devenir soumise à la communauté noire sans distinction de sexe et je te punirai sévèrement si tu le mérites. Veux tu toujours que je sois ton maître? »

Sophie : « Oh! Oui maitre je veux être ta soumise, fais de moi ta chienne. »

Louis se mit à pleurer quand Akan mit un collier autour du cou de Sophie et y accrocha une laisse. Tirant sur la laisse, Akan obligea Sophie à se mettre à genoux devant la caméra et à le sucer. Akan : « Tu vois Louis ton souhait est réalisé, ce soir ta femme ne rentrera pas coucher je la garde avec moi pour la fin de semaine. Je vais la ramener Dimanche après lui avoir appris sucer et avaler, à baiser et à aimer se faire enculé. Dit lui salope que tu veux que je te prenne en charge, que tu as envie d'être baisé par un vrai homme. »

Sophie était abasourdie, Akan semblait connaitre son mari et il lui expliqua que son mari avait fouillé sur l'internet pour un site interracial et mentionné a des inconnus qu'il aimerait voir sa femme se faire baiser par un ou plusieurs noirs, qu'il lui avait même envoyé une photo d'elle pour les inciter à le faire.

Sophie en colère: « Tu vois ton fantasme va s'accomplir, je vais être sa chienne j'appartiens à Maître Akan maintenant, il va m'amener chez lui et me défoncer la chatte et le cul, me faire jouir comme tu n'as jamais su le faire je vais apprendre à aimer le sexe, du même coup toi tu deviens un cocu et ma chatte ne t'appartiendra plus jamais. J'espère que ta jouissance en valait la peine car tu as deux jours pour expliquer à Sarah pourquoi sa mère a découché. »

Vêtit de la culotte de sa femme qu'il avait rempli de sperme Louis regarda sa femme la blouse en lambeau sortant du wagon derrière son nouveau maître la trainant au bout d'une laisse comme une chienne. Inquiet il se demandait dans quel état elle rentrerait dimanche. Fatigué il tenta de dormir mais fut incapable de trouver le sommeil.

Sophie..........

La journée avait été longue mais heureusement l'heure était venue de rentrer chez moi. Le cartier dans lequel je travaillais n'était pas reconnu dangereux mais la marche que je devais faire pour me rendre au métro m'effrayait chaque soir mais ce soir particulièrement car une bande noir me suivait depuis la sortie du bureau.

Voyant l'enseigne de la station de métro, j'accéléré le pas afin de me mettre à l'abri.

La gang de noirs : « Oui! Salope c'est ça rentre dans le métro, on va être bien pour se faire sucer, grouille toi le cul salope on n'a pas toute la nuit. »

J'étais effrayée, ces voyous se rapprochaient de moi, j'avais beau accélérer mais je n'arrivais pas à les semer. Je paniquais, je réalisé qu'entrer dans le métro n'était pas une si bonne idée, le couloir était mal éclairé j'avais peur qu'ils m'agressent avant d'être en sécurité dans le wagon.

Coup de chance, juste devant la station un restaurant était t encore ouvert.

Sans perdre de temps je m'enligné vers celui-ci. Je n'avais pas fait deux pas que l'on me tira en arrière, brusquement je fus redirigé vers la station de métro. Les noirs : « Non! Non! Chienne ton maitre t'attend, on va te mener à lui. » Ces sales vauriens commençaient à être agressifs, je recevais des claques sur les fesses me forçant à aller dans la direction qu'ils voulaient. De temps en temps une main se glissait sous ma jupe et me tripotait le cul. Heureusement le métro fit son entré dans la station en même temps que moi et les noirs. Je fis un sprint pour entrer dans un wagon mais une main m'agrippa par les cheveux.

Un noir : « Pas si vite salope, pas celui-là, ton maitre t'attend dans le dernier wagon. Vient lui montrer ton respect, on a une petite réjouissance juste pour toi et tu ne l'oublieras pas de sitôt. »

Mon cuir chevelu me faisait atrocement mal, alors pour atténuer la douleur je me laissé guider par mes bourreaux croyant à tort que les gens dans le wagon me viendraient en aide. Les gens semblaient médusés par le traitement qui m'était infligé mais personne ne leva le petit doigt pour me secourir.

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