Le Manoir des Sacrifices

BÊTA PUBLIQUE

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- Mais ...

- S'il vous plait, faites le. Pour info, à un moment donné il faudra que vous vous montriez nue aux invités

En entendant ces mots, j'eus la tête qui tourna. Je me sentais vraiment mal. J'avais dix neuf ans et depuis que j'étais en âge de marcher, aucun homme ne m'avait jamais vu nue. Même mon docteur était une femme.

Je me dis qu'il fallait que je renonce, que j'arrête tout et que je rentre chez moi. Même si je savais que mon corps était beau, je n'avais pas envie de le montrer.

Mais pourquoi avais-je voulu venir, pourquoi avais-je voulu tenir ce rôle?

Mais comment expliquer ça au maître de ce manoir lui qui attendait ce jour avec tellement de joie. Comment expliquer à tous ces invités que la reconstitution n'allait pas avoir lieu parce que j'avais peur.

Pouvais je vraiment leur faire ça?

Tout en pensant à tout ça, je me mis à pleurer et sans m'en rendre compte je pris les bretelles de ma robe que je fis glisser sur mes épaules.

En voyant que je commençais à me déshabiller, Fernal ne put s'empêcher de sourire. Il avait gagné et ne serait pas obligé de me forcer.

Lentement, ma robe glissa le long de mon corps et je me mis à avoir des tremblements sans pouvoir me contrôler. Je voyais que l'homme me fixait et j'avais honte.

Pas honte de mon corps, non, mais honte de ce que je faisais. J'avais l'impression de me fourvoyer, de faire tout ce que j'avais détester jusqu'à ce jour.

Et pourtant, en voyant le regard de l'homme, je fus surprise de ressentir une certaine excitation.

Lorsque ma robe fut sur le sol il me dit

- je ne vois pas pourquoi vous ne vouliez pas vous mettre nue, vous êtes sublime.

Les mots de l'homme me firent étrangement plaisir mais le plus dur restait à faire. Je me retrouvais devant lui juste en sous-vêtement.

Mes mains tremblaient lorsque j'essayais de dégrafer mon soutien-gorge dans mon dos. Voyant que je n'y arrivais pas, l'homme sourit, comprenant que cela ne dépendait pas de moi.

Finalement, je fus soulagée et inquiète lorsque l'attache s'ouvrit. Fermant les yeux, comme si cela me rendait invisible à ses yeux, je libérais mes seins de leur prison et faisait tomber le soutien gorge par terre.

- Fantastique, s'époustoufla l'homme, c'est la première fois que je vois une poitrine aussi belle. Mademoiselle, vous êtes un vrai diamant qu'aucun bijoutier n'aurait encore découvert.

Ce compliment me fit ouvrir les yeux et je fus finalement heureuse de m'être ainsi dévoilée. Je ne savais pas que je pouvais ressentir du plaisir en entendant parler de moi de cette façon.

- merci, c'est gentil

Je me trouvais stupide en disant ça mais je n'avais pas d'autres mots qui me vint à l'esprit.

Du coup, cela fut beaucoup plus facile pour moi de faire glisser ma petite culotte sous l'œil captivé de Fernal.

Je restais nue devant lui sans trop savoir quoi faire alors qu'il fixait mon sexe complètement épilé.

- Vous dépassez vraiment toutes nos espérances mademoiselle Lormont, je suis vraiment trop heureux que le destin vous ait guidé à mon manoir, à moins que ce soit Arkos qui vous ait emmené à nous.

Les derniers mots me firent froids dans le dos mais c'est vrai que la facilité avec laquelle les différentes pistes m'avaient conduites jusqu'ici pouvait faire réfléchir.

Non,, ce n'était pas possible, Arkos n'était qu'un mythe.

- Allez mettre votre tenue, Moi je dois aller me préparer. Dans vingt minutes on viendra vous chercher. A partir de maintenant plus un mot.

Soulagée de cacher ma nudité, j'allai m'envelopper dans la grande cape et suivi l'homme.

Chapitre 3 : la présentation

Même si il faisait chaud dans le manoir, je ne pouvais m'empêcher de grelotter. J'avais un drôle de sentiment et j'étais à la fois apeurée et excitée.

Lorsque la porte du bureau s'ouvrit vingt minutes plus tard mon sang se glaça. Deux hommes dans une tenue un peu effrayante se tenaient dans l'encadrement. Ils étaient habillés tout en rouge et portaient une longue tenue les couvrant jusqu'au pied et qui était fermée devant par d'énormes boutons.

Leurs têtes étaient cachées par une sorte de cagoule pointue dans laquelle deux trous avaient était découpés pour les yeux.

En les voyant ils me faisaient penser aux bourreaux de l'inquisition et cela augmenta ma peur.

Sans un mot, ils me firent comprendre que je devais les accompagner, ce que je fis avec un petit temps d'hésitation.

En sortant du bureau je fus rassurée de voir un homme habillé en jean et polo qui tenait une caméra pointée sur moi. Ce devait être l'homme chargé du reportage.

Les deux hommes en rouge m'encadrèrent et nous nous dirigeâmes vers le fond de la grande salle vidée de tous ses occupants.

Ca avait vraiment un air protocolaire et cela m'impressionna. Plus on avançait dans le temps et plus je commençais à avoir des craintes. Etait-ce mon imagination ou mon instinct qui me laissait penser que j'étais peut être en danger.

Non, je me faisais des films, ce n'était qu'une reconstitution historique et ils comptaient sur moi.

Je ne pensais pas être aussi impressionnée lorsque nous arrivâmes devant les escaliers qui descendaient sous le manoir.

Jamais je n'avais vu des marches aussi larges, tout en marbre comme le sol alors que des appliques électriques accrochées aux murs imitaient la forme des torches d'autrefois.

J'imaginais qu'à l'époque des sacrifices, ce devait être de vraies torches qui éclairaient la descente d'escalier et cela me fit froid dans le dos.

On se mit à descendre lentement et je fus surprise de n'entendre aucun bruit venant du sous-sol. Ce silence devenait pesant et je commençais vraiment à avoir peur. Heureusement que le caméraman suivait en filmant, ce me rassurait un peu.

Lorsque l'on fit irruption dans la première salle je fus abasourdie. J'imaginais un sous sol étriqué et je me retrouvais dans une première pièce incroyable.

De forme carrée, la salle comportait une petite estrade haute d'à peine trente centimètres ou se tenait un homme en grande tenue dorée, avec un masque de bouc à grandes cornes sur le visage.

Tout autour de l'estrade, disposés en demi cercle se tenait les invités habillés dans la même tenue que mes accompagnateurs. Dans le fond on pouvait voir une ouverture qui devait conduire dans la deuxième salle.

C'était impressionnant et surtout très angoissant d'être là, entourée pas tous ces gens en tenue de bourreau..

Mes deux gardiens m'accompagnèrent sur l'estrade dans un silence de mort. Pas un bruit dans cette grande salle pourtant peuplée par plus d'une quarantaine de personne.

Lorsque l'homme à la tête de bouc se mit à parler, je fus rassurée en reconnaissant la voix de monsieur Fernal. Je n'étais plus dans un autre monde....

- Toi, qui du fond de l'enfer nous écoutes, toi qui est notre maître à tous, saches que ce soir nous t'offrons Manon pour que son âme puisse te rejoindre par la porte que l'on ouvre pour toi.

Je trouvais ses paroles assez théâtrales mais également angoissantes et cela me couvrit de frissons.

Lorsque je me retrouvais devant lui il me tendit la coupe en prononçant à voix haute des sortes de pamphlet dans une langue que je ne compris pas du tout. Ma main tremblait un peu en saisissant le calice incrusté de pierres mais je ne voulais pas montrer ma peur devant tout ce public.

J'hésitais à porter la coupe à mes lèvres mais vu que tout le monde me regardait, je réunissais tout mon courage je me mis à boire ce breuvage.

Lorsque l'homme m'avait dit que c'était un coktail préparé par son majordome, il ne l'avait sûrement pas goûté. C'est vrai qu'il y avait un petit goût de fruit, mais j'eus du mal à tout boire à cause d'une acidité dont je ne trouvais pas l'origine.

Lorsque le maître de cérémonie me reprit le calice des mains, je m'attendais à ce que cela commence tout de suite et je fus surprise de constater que personne ne bougeait, ni même ne parlait. Tous restèrent silencieux attendant quelque chose et je ne voulais pas interrompre ce calme.

C'est alors que ma tête tourna un peu et que je ne me sentis pas très bien. J'eus d'un coup un doute sur ce que j'avais bu et je voulus alors parler mais pas un son ne sortit de ma gorge.

Petit à petit, la peur disparut en moi et une sérénité envahit tout mon être.

L'homme au masque dut se rendre compte du changement qui s'opérait en moi et il fit signe aux deux hommes qui m'encadraient toujours. Ces derniers ne devaient attendre que ce signal car ils saisirent la grande cape qui m'enveloppait pour la retirer lentement, dévoilant mon corps nu à toute l'assemblée.

Je les laissais faire sans bouger comme si cela était normal comme si ma nudité était indispensable.

Les gens murmurèrent alors comme si enfin le spectacle allait vraiment débuter.

- Que la cérémonie commence et que cette femme subisse les épreuves prévues. Mais avant, comme se doit la tradition, elle doit être offerte pour préparer son corps....

Je remarquais alors que les murmures avaient laissé place à beaucoup d'excitation alors que deux hommes sortaient du cercle pour rejoindre ceux qui m'encadraient.

Je ne me débattais même pas lorsque les deux premiers hommes me saisirent les bras alors que les deux derniers me prenaient les jambes pour me soulever du sol. Je me laissais faire, passive, alors qu'une partie de mon esprit ne comprenait pas trop ce qui arrivait.

Férnal reprit alors la parole, s'adressant à toute l'assemblée

- Que l'offrande commence et que cette vierge offre son intimité à tous pour mieux offrir son âme ensuite.

Alors que l'homme disait ça, ceux qui me maintenaient les jambes écartèrent mes cuisses et montrèrent mon sexe à toute l'assemblée.

Le demi cercle fut alors brisé et une grande partie des gens s'alignèrent les uns derrière les autres. Fernal, tout en psalmodiant des mots inintelligibles, se positionna en début de file.

C'était à lui, le représentant d'Arkos, de déflorer cette vierge, de commencer la cérémonie.

Lorsque le maître de cérémonie se dirigea vers mes cuisses écartées, la drogue était tellement puissante que je ne réagissais même pas.

Je réalisais juste que le spectacle prenait une tournure anormale mais je n'arrivais pas à me rebeller.

J'allais perdre ma virginité et être violée par tous les hommes présent dans cette salle et je restais calme, voir même consentante.

Lorsque Fernal se plaça entre mes cuisses et qu'il écarta les pans de sa tunique, je constatais qu'il était nu dessous et j'en fus toute excitée et paniquée.

Même si je n'arrivais pas à me rebeller, que je ne pouvais pas hurler, une petite voix me faisait comprendre que ce n'était plus une reconstitution historique. Ce qui se passait n'était plus normal.

Mon corps nu leur appartenait et je ne pouvais plus rien empêcher.

Les hommes qui maintenaient mes cuisses les écartèrent encore d'avantage, arque boutant mon corps.

Je réalisais alors que le gland du maître des lieux venait de s'introduire dans ma vulve offerte et telle une spectatrice, je ne pouvais qu'assister à ce viol.

Malgré l'antalgique de la boisson, j'eus très mal lorsque le membre perça mon hymen, me transformant en femme.

Tout en psalmodiant dans la langue des démons, il enfonça sa queue entièrement en moi et je ne pus m'empêcher de pousser un gémissement.

Maintenue par les quatre hommes, je ne me débattais même pas, alors que mon cerveau me disait de me battre.

Lorsqu'il se mit à faire de lent vas et viens dans ma chatte ensanglantée, je me mis a oublier la douleur et un étrange sentiment m'envahit.

J'ignorais que c'était l'effet du sexe combiné à la drogue mais je commençais à prendre un certain plaisir. Derrière Fernal, j'entendais le murmure des hommes impatient de goûter à mon corps. Mais le maître des lieux prenait son temps, appréciait chaque seconde passée dans ma chatte bien serrée.

Jamais encore je n'avais goûté a l'amour et bientôt, mon corps fut envahit pas tout un tas de sensations nouvelles.

J'eus un orgasme incroyable alors que l'homme inondait mon sexe de son sperme.

Je me faisais prendre sans préservatif mais mon esprit n'était plus lucide, la drogue avait annihilée toute résistance.

Lorsque Fernal se retira de mon corps, le suivant dans la liste déboutonna sa toge pour apparaître lui aussi nu dessous. Malgré le brouillard qui m'envahissait, je comprenais que tous les gens ici ne portaient rien sous leur tenue et que j'allais leur donner à tous du plaisir.

Il pénétra mon sexe sans fioriture et me laboura de façon brutale. Mais mon corps le reçu avec le même plaisir qu'avec Fernal et je jouis de nouveau sans compter.

Le suivant fit un signe aux hommes qui me portaient de me relever les hanches.

Je compris pourquoi lorsque son membre essaya de forcer mon anus encore inviolé.

Malgré l'antalgique il me fit très mal car il força énormément pour l'ouvrir mais il réussit tout de même à dompter mon cul en le déchirant sans état d'âme.

Puis, les hommes se succédèrent entre mes cuisses, me prenant soit par la sexe, soit par le cul. Ils durent se relayer pour me porter car le viol fut interminable et je finis même par perdre connaissance.

Jamais je n'aurais pu penser que la douleur mélangée au sexe pouvait donner autant de plaisir pourtant mon corps fut pris d'assaut pendant presque deux heures.

Grâce à la drogue qui m'avait rendue plus résistante, les pertes de connaissance ne duraient jamais très longtemps et à chaque fois que je revenais à la réalité, je sentais le sperme qui débordait de mes trous.

J'ignorais combien de fois je fus prise ce soir là, mais je pense que sans la drogue, mon cœur aurait sûrement lâché et ils auraient fini par baiser un corps sans vie.

Lorsque tous se furent rassasiés de sexe, on posa mon corps à même le sol, l'allongeant sur le dos. Un homme cagoulé vint avec un saut me faire la toilette et enlever le plus de sperme possible.

Pendant ce temps le caméraman en profita pour changer les batteries et les cartes mémoires de son appareil, ayant tout filmé depuis le début.

Chapitre 4 : la marque du diable

J'étais encore à même le sol lorsque l'un des hommes vint me faire une piqûre dans le bras. A priori la boisson ne devait pas faire effet trop longtemps ou alors ils préféraient ne pas prendre de risque.

De sa voix grave et cérémoniale, Fernal se remit à parler

- Arkos, divinité des enfers et maître de ces lieux. En ton nom nous venons de féconder cette vierge. Cette femme s'est montrée digne de toi et mérite de porter ta marque pour toujours

Je reprenais un peu conscience de ce qui m'entourait et même si je ne sentais plus mon corps, je comprenais qu'il allait se passer autre chose. Ils n'en avaient pas fini avec moi mais cela ne me faisait pas peur.

Je n'avais plus aucune appréhension, et le pire, c'est que j'étais même impatiente de subir la suite.

J'étais à eux, du moins la drogue me le faisait penser et j'étais heureuse.

Depuis qu'il m'avait prise ma virginité, j'avais compris que je n'étais pas dans une reconstitution mais bien dans une cérémonie satanique en l'hommage d'Arkos et j'étais prête à aller jusqu'au bout.

Les deux hommes qui m'avaient encadrée depuis le début de la cérémonie vinrent me relever. Mes jambes étaient trop faibles pour me porter, aussi, voyant cela, l'un d'eux me prit dans ses bras.

Le maître de cérémonie ouvrit la marche pour se diriger vers la deuxième salle. L'homme qui me portait lui emboîta le pas suivit par tous les autres invités.

La deuxième salle était de la même taille que la première mais était décorée différemment.

Au centre, un pentacle de deux mètres de diamètre était gravé sur le sol mais ce qui m'impressionna le plus était les chaînes qui pendaient du plafond, finies par des menottes.

Lorsque mon porteur se positionna sous les chaînes, deux hommes vinrent l'aider à me remettre debout et à attacher mes poignets aux menottes.

Les invités se mirent tout autour pour assister au spectacle.

Une fois mes poignets menottés, un système invisible se mit en marche et les chaînes se mirent à rentrer dans le plafond, me tirant vers le haut.

Il ne fallut pas longtemps pour que mon corps pende à quelques centimètres du sol.

Le maître de cérémonie fit alors un geste à un machiniste que je ne pouvais voir et les chaînes s'arrêtèrent de monter, immobilisant mon corps.

En temps normal j'aurais sûrement eu mal aux poignets mais la piqûre faisait que je ne souffrais presque pas.

J'étais calme me demandant juste quelle était la suite du programme. J'étais étrangère à ce qui pouvait arriver à mon corps ce qui était normal vu la drogue que l'on m'avait injectée.

Un homme vint alors avec une barre de 40cm dont les deux extrémités était également terminées par des menottes. L'homme plaça la barre au niveau de mes mollets, m'écartant de la sorte les cuisses.

Maintenant, mon corps était prêt à subir leurs pires turpitudes car je n'avais plus aucun moyen de me défendre.

Fernal reprit la parole

- Que l'on amène le feu de l'enfer, et que l'on prépare son corps.

Il y eut une certaine agitation autour de moi mais je ne comprenais absolument rien de ce qui se passait.

Deux hommes équipés de gants vinrent déposer un gros brasero à quelques mètres de moi. Je sentis la chaleur sur mon corps nu alors que j'étais tout de même assez loin.

Dans le brasero, un fer de marquage était plongé dans la braise rougeoyante et je compris qu'ils allaient graver ma chaire au fer rouge comme ils l'auraient fait avec un bétail.

Je ne me révoltais pourtant pas comme si cela était naturel. Je restais d'un calme incroyable même en sachant que dans peu de temps je serais mise à mal.

Deux hommes vinrent alors déposer une table à coté de mon corps. Dessus étaient posés des bols remplis d'une sorte d'huile et je ne compris pas trop a quoi cela allait servir.

Plusieurs individus sortirent des rangs et après avoir plongés leurs mains dans l'huile, ils commencèrent à me badigeonner le corps.

Je ne m'attendais pas a ça et je trouvais vite très agréable ces mains qui parcouraient dans tous les sens mon corps offert. Pas un endroit ne fut épargné même si mes seins ou mon sexe furent les parties les plus enduites.

Le caméraman continuait à filmer et je ne comprenais toujours pas pourquoi ils me recouvraient d'huile.

Fernal leur fit un geste de la main et les hommes qui m'enduisaient le corps s'arrêtèrent. Ils rejoignirent les autres spectateurs alors que le maître de cérémonie prenait une feuille qui était glissée dans sa poche.

Il se mit à lire

- Aujourd'hui jour de solstice, Manon nous a offert son corps. Elle est prête maintenant à recevoir la marque que le grand maître nous a dictée. Seul un corps ayant reçu l'onguent de Satan peut être marqué par le sceau profane. Héretum Narec quel astrea, ques decta alerta.

Je ne comprenais absolument rien mais une petite peur ressurgit en moi lorsqu'un des hommes, portant des gants vint retirer le fer du feu.

Je ne savais pas quelle inscription allait être gravée dans ma chair et je n'étais plus aussi sereine.

Lorsque l'homme vint se placer devant moi, le fer rouge à la main, je sus que j'allais souffrir malgré la drogue.

Lorsque le maître de cérémonie leva la main et que l'homme appliqua le fer sur mon pubis, la douleur fut horrible malgré que l'antalgique l'ait atténué tout de même.

Tous les spectateurs se mirent à applaudir alors que je souffrais le martyre. J'avais trop mal et je ne pus pas résister plus.

Je sentis la tête me tourner, tout devint noir et je perdis connaissance.

J'eus du mal à émerger, j'étais vaporeuse et ne comprenais pas ou j'étais. Pourtant je me sentais bien même si je n'arrivais pas à sortir de ce brouillard.

J'entendais une voix rassurante mais il était sûrement encore trop tôt pour sortir de la brume aussi je m'évanouissais à nouveau.

Lorsque enfin j'ouvris les yeux, je ne compris pas tout de suite où j'étais.