Le Crash Ch. 02

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Le séjour sur l'île continue pour les survivants.
2.6k mots
4.41
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6

Partie 2 de la série de 2 pièces

Actualisé 06/10/2023
Créé 11/11/2020
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SalomeD
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Bonjour, l'histoire que vous allez lire est noire, violente, malsaine. Elle est basée sur l'agression sexuelle et le viol. Donc si vous n'aimez pas le genre, ou si vous êtes sensible, veuillez ne pas lire ce qui suis, je peux vous le garantir, vous n'aimerez vraiment pas. Pour les autres, j'espère qu'elle vous plaira. Bonne lecture.

Jeudi 19 Mars

Ce matin pendant que je me fais sucer par Noa, ou plutôt pendant que je baise sa jolie bouche, ma main se fait plus insistante sur les fesses rebondi de Louise. Après lui avoir enlevé sa culotte et qu'elle m'eut regardé sans crainte, j'attire les fesses de la splendide brune vers moi. Tout en limant la bouche de Noa, je lèche avec avidité les fesses de cette chienne de Louise, au corps si splendide, passant ma langue de son anus minuscule à sa vulve toute rose, sans trop de poils, ce qui est rare pour une brune.

Louise, pourtant vierge, se laisse faire, je la sens même écarter elle-même ses cuisses pendant que je lèche sa jolie moule. Je pense qu'elle ressent du plaisir. Je n'ai pas le temps de continuer, que ma jouissance vient, je remplis la bouche de Noa qui avale tout mon sperme, pendant que je tiens sa tête enfoncée sur mon sexe.

Je relâche alors Louise, la laissant se relever, mais quand elle veut remettre sa culotte je la lui prend moi-même, elle comprend que ses petites fesses doivent désormais être disponibles à mes caresses.

Lorsque Inès me voit s'avancer vers elle, tout en me caressant le sexe, dans l'après midi, elle se met à pleurer, mais n'essaie même pas de m'échapper. Pour la première fois je la fais mettre à quatre pattes et je l'enfile bestialement, sentant mon sexe pénétrer plus profondément dans cette positon. Je bute au fond de son petit vagin, ce qui lui arrache un hurlement de douleur à chaque fois que mon sexe s'enfonce plus profond en elle. Je ne tarde pas à jouir, mais mon regard croise les yeux de Louise, pendant que je finis de me vider dans le sexe de la belle bourgeoise. Il me semble y lire un certain plaisir à me voir violer Inès.

Vendredi 20 Mars.

Je prend autant plaisir à écrire mon histoire des années plus tard, qu'à la vivre. À ce moment, je me demande si un jour on nous retrouvera. On ne manque de rien, nourriture, soleil, mais la répétition des jours devient monotone. Même si le fait de baiser une femelle aussi belle que Inès fait bien passer les choses.

Ce matin je lèche longuement le sexe et l'anus de ma petite Louise, je réussi a lui enfoncer doucement un doigt dans l'anus, après l'avoir mouillé de salive plusieurs fois. C'est incroyable de sentir les palpitations de son anus autour de mon doigt pendant que je la lèche .

Mon sexe devient trop dur, alors j'ai utilise Noa comme un réceptacle à sperme, en jouissant tout dans sa bouche à peine entré. Cette petite en fait m'énerve, il faut s'en occuper sans arrêt, la forcer a manger, elle ne réagit pas au choc du crash de l'avion et c'est une charge. Heureusement pour elle que cette conne me suce, sinon je pense que je m'en serais déjà débarrasser...

L'après midi, je commence à baiser Inès qui s'habitue à sa désormais saillie quotidienne. Je commence même à m'en lasser, elle se laisse faire et j'avoue que ses réticences du départ m'étaient plutôt excitantes.

Les deux filles me regardent baiser Inès, je sors mon sexe de la chatte de la belle blonde, en regardant les deux autres, le sexe dressé, menaçant. Je sens un inquiétude chez la Louise qui me regarde, l'autre comme d'habitude est absente, sans réaction, je me demande si...

Je vais chercher Noa et la prend par la main, sans un mot je lui enlève sa robe et son corps métisse m'apparaît, avec une culotte bleue que je baisse découvrant un sexe à la forêt luxuriante, là où Inès à un fin duvet blond. Noa a des seins lourds, à petites aréoles brune. Je fais mettre cette conne, à quatre pattes mais elle se couche à chaque fois sur le ventre.

Je pose une couverture sur le tronc d'arbre qui nous sert de siège, je réussis à rendre le sexe de la conne accessible. C'est terriblement excitant de voir ce cul et cette belle vulve vierge, mon sexe se raidit encore plus de la vision.

Sans aucune pitié je positionne mon sexe a l'entrée de son vagin si attirant. Comme la métisse ne réagit toujours pas, je prend le temps de bien positionner mon gland entre ses lèvres vaginale. Les écartant de mes deux doigts, je peux parfaitement me positionner, juste sur le trou vaginal jamais visité.

J'agrippe alors la conne aux hanches et me positionnant je me laisse tomber sur la conne, tout en l'agrippant. Le sexe résiste a peine, je ressens les parois s'écarter d'un coup et mon sexe pénétrer d'une dizaine de centimètres, arrachant pucelage, dilatant l'entrée au diamètre de mon sexe, qui est de 5 cm.

Noa réagit enfin, elle pousse un hurlement terrible de douleur, elle se met à se débattre, en vain. Je suis entré et je la tiens fermement aux hanches.

Je retrouve le plaisir de pénétrer un orifice non consentant, la fille en se débattant et en se contractant, provoque un plaisir extraordinaire, serrant ma queue au maximum. Je peux même pas l'enfoncer à fond, même si je bute au fond, elle aussi n'est pas très profonde, pour mon plus grand plaisir. Ma position et les réactions de la métisse me permettent de limer vraiment, entrant et sortant mon sexe presque complètement avant de le renfoncer au maximum.

Chaque va et vient de mon sexe provoque un cri de la conne, tant et si bien que je ne suis pas long à m'enfoncer une dernière fois à fond, avant de jouir longuement dans son sexe. Elle aussi est réglée, je me dis que dans quelques temps, il n'y en aura pas une, mais deux... Je me retire satisfait, laissant la jolie Noa, sanglotante, penchée sur le siège improvisé.

Elle reste cul nu comme ça, quelques minutes, le sexe dégoulinant de sperme et bizarrement sans presque de sang. Il est ainsi des pucelles, certaines saignent beaucoup, d'autres à peine. Puis elle se relève et va vers la rivière. Elle gémit de douleur en marchant, cela me fait sourire, j'aime voir son entrecuisse souillée. Je suis content, je vais pouvoir alterner entre les deux...

Perversement je regarde Louise qui a assisté a la scène, elle regarde mon sexe qui se ramollit, elle sait...

Elle sait qu'un jour ça sera son tour, elle devra y passer, elle devra m'accueillir entre ses cuisses. Elle a entendu Inès hurler à chaque viol puis se calmer et subir la pénétration presque sans problème.

Elle a entendu Noa hurler de douleur et se débattre pendant que je la pénétrais, elle a vu mon plaisir de domination et de plaisir à la douleur des femelles pénétrées. Elle ne doute pas que Noa aussi s'habituera à ces saillies, alors ça sera à elle de se pencher et de sentir mon gros sexe s'enfoncer dans son sexe. Qu'elle soit consentante ou pas...

Elle criera, elle aura mal, mais elle sait.. elle s'y prépare, ses yeux semblent me dire, je sais que je vais y passer et mes yeux lui répondent 'oui tu devras aussi te pencher sur le tronc ma chérie et ça sera très dur pour ton corps' mais nous savons tous les deux que ça sera peut être différent...

Samedi 21 Mars

A peine réveillé, je sens le petit corps chaud de Louise contre moi, mon érection est instantanée. Cette chienne me fait un effet que je n'ai jamais ressenti. Il faut dire que avec son visage d'ange et son corps de déesse, on peut difficilement lui résister. J'ai a la fois envie de la protéger de lui faire plaisir mais je ressens aussi l'envie de l'empaler sur mon sexe, de l'entendre pleurer pendant que je coulisserais dans son vagin défoncé. Mais une barrière me bloque encore, elle est vraiment fine et je me doute que ça en serait presque dangereux. Aujourd'hui, à la lumière de ce qui est arrivé ensuite, je pense que c'était juste une excuse pour ne pas la violer de suite...

Je commence à la lécher, dévorant son sexe au goût sucré, avec ma langue, elle réagit ma petite Louise, mais positivement, elle remue son cul sur mon visage, presque sans difficulté je lui enfonce un doigt dans l'anus. Juste une petite crispation vite dissipée lorsque je reprends mon léchage.

Je doigte l'anus de la brunette, mon sexe est tendu à l'extrême. J'arrête de la lécher et je la regarde dans les yeux. Aucune peur, elle soutient mon regard.

Je ressors mon doigt de son anus et j'y joins le majeur à l'index et je pose les deux doigts sur l'anus lubrifié par ma salive.

Soutenant son regard je pousse doucement mais fermement les deux doigts. La fille se crispe, mais ne ferme pas les yeux. L'anus résiste un peu puis sous la poussée s'écarte et je sens mes deux doigts s'enfoncer de trois centimètres dans l'anus de la magnifique Louise.

Une grosse larme coule sur ses yeux, mais elle ne les ferme pas, juste un gémissement de douleur étouffé et elle me regarde toujours. C'est extraordinaire, elle est totalement soumise et j'adore ça. Cette femelle a vraiment envie de me plaire, même si elle doit souffrir.

Je joue avec ses fesses douces et fermes, limant de mes deux doigts cet orifice minuscule, puis mon sexe devenant trop dur, je ressors mes doigts et regarde Louise. Elle voit mon sexe dressé, énorme à coté de son corps, je sais que je pourrais la sodomiser comme ça, sans qu'elle essaye de résister. C'est presque trop facile. Je fais un bisous sur sa petite moule exposée puis je la repose sur la couverture.

Je me retourne sur l'autre coté ou dorment les deux autres. Noa dort profondément mais Inès me regarde, en principe elle est tranquille le matin puisque j'utilise la bouche de la métisse. Comment les habitudes se prennent vite.

Je m'approche d'elle, je lui fais écarter les cuisses. Inès me regarde surprise, mais elle se résigne. Je m'enfonce dans son corps sans difficulté, elle ne mouille pas mais j'ai l'habitude et j'adore être serré. Elle ne crie plus, elle gémit juste lorsque mes coups de reins sont trop profonds. J'y vais pourtant assez fort. Je me vide a l'intérieur de son vagin, ressortant repu, je la laisse aller se laver le cul, en pleurant, à la rivière.

Après déjeuner, je regarde les trois filles, le sexe bandé et déjà avide de sensations. Noa qui d'habitude est presque amorphe se souvient de mon viol de la veille et ses yeux expriment la peur. Évidement c'est plutôt la chose qui développe ma libido, je vais prendre la métisse par la main et l'approche du tronc d'arbre, elle se met à pleurer essayant légèrement de se libérer, mais elle n'a aucune chance.

Je la fais pencher sur le tronc, je relève sa robe, elle non plus ne mets plus de culotte. Je reste quelques secondes à regarder cette jolie vulve que j'ai dépucelé la veille. Je prend alors une espèce d'huile qu'on retire d'une grande feuille d'arbre et que j'utilise pour la cuisine, je m'en passe sur le sexe. Les deux autres filles me regardent sans comprendre, je n'ai jamais fais cela. Elles se demandent à quoi cela peut bien servir.

Je m'approche derrière la jolie Noa et je fais signe aux deux autres d'approcher. Je leur montre alors le petit trou du cul de la conne, minuscule, hermétiquement fermé, encore inviolé et je les regarde. Puis je pose mon gland sur l'anus de la salope. Vicieusement je regarde Inès qui ne comprend pas trop pourquoi je me pose sur l'anus à la place du vagin, puisqu'elle a déjà subit cette pénétration vaginale.

Délicieuse époque, où la plupart des femmes ne savent pas ce qu'est la sodomie. Sauf celles qui y passent bien entendu. Malgré ses vingt-cinq ans, Inès à toujours vécu dans un cocon. Les deux ou trois amantes qu'elle a eut, sont comme elle, de délicieuses ingénues, qui ne connaissent pas grand chose au sexe, et vue qu'elles sont lesbiennes, elles en connaissent encore moins.

Cette petite enfant gâté ne sait pas que les hommes puissent être aussi pervers et dépravés. Louise a compris elle, elle sait que c'est avec son petit anus que je joue avec mes doigts, elle sait... Noa ne dit toujours rien, attendant son supplice. Je me relève alors et prends deux cordelettes, puis j'immobilise la fille contre le tronc à la grande surprise des deux autres.

Je me repositionne sur l'anus et je commence à pousser.

L'anus est beaucoup plus difficile a pénétrer qu'un vagin, la douleur n'en ai que beaucoup plus terrible, surtout que cet orifice n'est pas vraiment destiné à cela. Noa commence a hurler et à se débattre pendant que je commence la pénétration. Elle se débat, elle hurle, elle serre les fesses pour empêcher le viol, mais rien ne peut empêcher un sexe décidé à s'enfoncer dans un orifice.

Inès me regarde avec effroi, voyant le sexe disparaître dans les fesses de la jolie métisse, les hurlements désespérés de celle-ci. Elle sait qu'elle devra aussi subir cette torture. Je m'enfonce avec plaisir, totalement à fond dans les fesses de Noa malgré son hurlement continu.

Je commence à la limer bestialement, sentant mon sexe serré avec un plaisir intense j'ai beaucoup moins de facilité de limer dans l'anus que dans le vagin, néanmoins je profite pleinement de ce plaisir merveilleux.

Tout le long de son enculage la métisse hurle comme une démente. Elle gémit entre deux cris. Elle pleure, elle bave, elle morve. Noa vomit même. Cela ne me gêne pas, tant j'adore sa sodomie. Son cul est tout bonnement divin. Quand je m'enfonce à fond pour me vider dans son petit cul, un long hurlement, encore plus dur que les autres, ponctue les contractions de mon sexe dans une jouissance extrême.

Même quand je retire mon sexe, au passage du gland à l'anneau, Noa pousse un hurlement et sanglote longuement, bien après que je sois sorti. Un flot de sperme et de sang, dut à son dépucelage anal, s'écoule alors de son trou-du-cul grand ouvert. Les deux autres comprennent. Dans cet orifice c'est extrêmement douloureux, bien plus que dans la petite moule. Elles ont même crus que j'allais tuer Noa, tellement elle a hurlée comme une bête que l'on assassine.

Mes yeux se portent sur Louise, qui n'a pas perdu une miette du spectacle de la sodomie de ma victime. Encore une fois nos yeux se croisent. Elle sait que pour elle ça sera par cet orifice, elle a sentit mes doigts, et déjà la petite douleur de leur grosseur. Elle voit la grosseur de mon sexe et imagine ce que ça sera quand je l'enfoncerai dans ses fesses.

Mon regard confirme ce prochain supplice pour elle. Moi, je retourne a mes occupations laissant Noa sangloter encore, l'anus ouvert par ma pénétration. C'est en boitant qu'elle ira se laver un peu plus tard. Mais j'ai encore une cartouche. En voyant mon sexe souillé et Inès qui me regarde horrifié, une idée me vient. Elle ne m'a pas encore sucé, c'est le bon moment pour commencer.

Je dois la gifler deux fois, pour qu'elle accepte cette fellation horrible. Le goût du sperme, du sang et de la merde doit être immonde. Inès vomit d'ailleurs. Mais la peur des coups la font mener sa pipe maladroite à terme. Elle aussi avale tout. Une fois fini, je l'oblige à nettoyer ses souillures, ainsi que celle de Noa.

Le soir même j'exige que les filles restent désormais nues, il fait chaud et la vue de ces trois corps très bandant, à mon entière disposition, m'excite terriblement. Surtout qu'elles ne peuvent rien me refuser...

SalomeD
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Anonymous
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14 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a 5 mois

Toujours aussi bien et trop courte cette histoire l autre anonyme qui commenté à de très bon conseil . Apurement on ne représente beaucoup de lecteur pour toi mais sache que je reviendrait voire tous les 3 4 mois pour cette œuvre

Je t encourage à continuer

Non pourrait tenter de s échapper et Louise la capturer histoire de gagner encore un peu de temps pour être prête ou il pourrait y avoir d autre survivant ou même des Tentative de libération

AnonymousAnonymeil y a 5 mois

4 mois et toujours rien tu as de nouveau changé d avis?

SalomeDSalomeDil y a 9 moisAuteur

Anonyme, tes commentaires ont raison de moi. Rien que pour toi, je vais faire un effort. D'ici la fin du mois je mettrais en ligne les deux chapitres qui reste. Le temps de les corriger.

AnonymousAnonymeil y a 10 mois

je sais que tu as écris la , et que c'est chiant que personne ne commente mais sache que c'est un travail incroyable, g hate que louise y passe!

AnonymousAnonymeil y a 10 mois

Les jeunes filles pourraient alors par exemple se cacher, feindre d'etre malade, afin de ne pas se faire violer

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