Le Crash Ch. 01

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Un avion s'écrase sur une île déserte.
3.3k mots
4.21
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Partie 1 de la série de 2 pièces

Actualisé 06/10/2023
Créé 11/11/2020
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SalomeD
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Bonjour, l'histoire que vous allez lire est noire, violente, malsaine. Elle est basée sur l'agression sexuelle et le viol. Donc si vous n'aimez pas le genre, ou si vous êtes sensible, veuillez ne pas lire ce qui suis, je peux vous le garantir, vous n'aimerez vraiment pas. Pour les autres, j'espère qu'elle vous plaira. Bonne lecture.

Il ne me reste plus beaucoup de temps et j'ai décidé de vous raconter mon histoire, elle choquera sûrement beaucoup d'entre vous mais après tout, là où je vais, je me fous de vos critiques... Tout cela c'est passé il y a soixante-huit ans, je n'étais alors qu'un jeune homme pas très recommandable de vint-cinq ans. Voici mon histoire.

Jeudi 12 mars 1952

Je commence ce journal deux jours après que notre avion se soit écrasé à quelques encablures de la plage de cette île que je ne connais pas. On est dans les caraïbes, il fait chaud, humide.

Seul encore valide au moment de l'impact, grâce a mes deux années de service militaires, je n'ai que le temps de détacher les ceintures des deux jeunes femmes, sûrement des étudiantes, qui ne se connaissent pas, du fond de l'avion, attraper la belle bourgeoise hautaine, qui est ma voisine et dans le coltard, puis de remonter tout ce beau monde à la surface, en leur glissant un gilet de sauvetage qui les maintient en flottaison.

Pour les autres, il est trop tard, ceux qui n'ont pas été tués, sont assommés par le choc, ils meurent noyés avant que je n'ai eu le temps d'intervenir. Cela ne me coûte pas, je ne suis pas un gars gentil.

Une fois les jeunes femmes amenées sur la plage, je retourne plusieurs fois dans la carlingue de l'avion, qui n'est qu'à quelques mètres sous l'eau pour ramener tout ce qui peut servir. Entre autre les vivres que l'avion devait livrer à la correspondance. Je prend également ma valise, contenant tous les accessoires que j'ai l'habitude d'emmener lors de mes voyages, y compris un pistolet avec ses munitions. Je dois vous avouer que je ne suis vraiment pas quelqu'un de fréquentable, à l'époque mais je ne rentrerais pas dans les détails.

Je ne sais pas ce qui s'est passé, l'avion à été dérouté dans une tempête terrible, le pilote a luté longtemps, la radio ne répondant plus avant de percuter les flots. À cette époque, il y a peu de moyens de communications, cette compagnie n'est en plus qu'une compagnie à moitié fantôme, comme il en existait beaucoup dans cette région. Servant autant aux divers trafiques de drogue, qu'au transports de passagers.

En fait je me retrouve sur un îlot totalement inconnu, avec trois mouflettes que je connais a peine. Mais je dois dire que toutes sont très bandantes, de là à dire que j'ai choisis les personnes que j'ai sauvé, il n'y a qu'un pas... Que je franchis, j'ai préféré les deux jeunes étudiantes, au couple de retraité. La belle bourgeoise à la jeune handicapée.

Inès ma voisine de siège, doit avoir vingt-cinq ou vingt-six ans, c'est une belle petite blonde, bourgeoise, elle voyage avec sa mère pour aller retrouver son père un homme d'affaire Allemand, elle est assez insupportable, habituée au luxe, elle se plaint sans arrêt de notre condition.

La deuxième a dix-neuf ans, bien foutue, un peu métisse, son père et sa mère sont restés dans l'avion, depuis elle reste prostrée. Je dois la secouer pour la faire manger ou se bouger un peu, son nom doit être Noa ou Moa, elle n' a pas encore ouvert la bouche pour nous le dire.

La dernière Louise est une brunette de dix-huit ans, orpheline qui doit rejoindre un boulot, obtenu comme jeune fille au pair, en Angleterre. Elle voyage seule, elle a l'air perdue, c'est la seule pour l'instant qui ne me quitte pas, effrayée de cet endroit désert où nous vivons depuis deux jours.

Nous avons des vivres, j'ai monté une tente avec des couvertures récupérées dans l'avion, nous mangeons à notre faim, j'ai essayé d'explorer un peu la forêt qui part dans l'Île, mais pour l'instant j'attends surtout un éventuel bateau ou avion qui serait a notre recherche.

Samedi 14 mars 1952.

Cet après midi j'ai fais une connerie, mais en fait je ne regrette rien, même si j'ai outrepassé tous mes tabous.

Inès encore une fois m'a énervé en se plaignant, mais surtout en me jetant a la figure l'assiette de pâtes que j'ai faite. Trop énervé par cette bourgeoise, je lui ai envoyé une gifle qui l'a couchée à terre, la faisant hurler et crier. En tombant, la robe de la belle bourgeoise s'est relevée, me montrant sa culotte de dentelles rose.

Je suis un chaud lapin mais depuis maintenant presque une semaine je n'avais pas baisé, ni sodomisé de femme, ce que je préfère. Je n'ai jamais été attire par le sexe violent, encore moins par le viol. Pas par un quelconque souci moral, je n'ai aucune morale. Juste parce que plutôt beau gosse, je n'ai jamais eus à forcer une femme. Mais cette privation, ainsi que ses magnifique fesses moulées dans cette culotte, me font dresser le sexe presque a m'en faire mal.

La magnifique conne continue à crier et à m'énerver, je suis pris d'un coup d'une folie sexuelle. Je retourne la blonde d'un geste brusque, sans me soucier des autres filles, je tire d'un coup sec sur la culotte. La déchirant, lui arrachant un nouvel hurlement. Sa petite fente ombragé d'un fin duvet blond, m'apparaît alors, continuant a développer mon érection.

- Tu vas gueuler pour quelque chose, cette fois!

Je dis alors, baissant d'un coup mon pantalon et mon slip, dévoilant mon sexe dressé aux deux autres filles terrifiées. Je passe mes genoux entre les cuisses de la fille, la forçant a s'écarter devant moi. Ses cris redoublent mais je m'abats sur elle et d'une main guidant mon sexe entre ses cuisses, je donne un coup de rein en m'affalant sur elle. Je suis surpris en découvrant, qu'à son âge, elle est vierge. Elle m'avouera plus tard être lesbienne.

J'ai déjà dépucelé des filles mais jamais une aussi âgée que Inès. Le sexe de la bourge était hyper serré et sec, mais rien ne peut résister a un sexe dressé et dur, surtout quand il est privé de jouissance depuis plusieurs jours.

Après quelques coups biens ajustés, je sens le vagin s'ouvrir, puis mon sexe pénétrer dans un fourreau serré et chaud.

La fille hurle sans discontinuer pendant que je m'enfonce, déchirant au passage le pucelage, mais aussi son sexe. C'est si bon de sentir ma bite serrée tout le long, que je ne prend aucune précaution, ni n'éprouve de pitié pour ma belle victime.

Depuis plusieurs jours je suis privé de tout et inquiet de notre avenir, mais là je prends mon pied, enfoncé dans un corps de pucelle qui me serre la queue merveilleusement.

Je lime la fille pendant presque dix minutes, savourant l'étroitesse de son vagin. Elle ne crie plus, elle sanglote juste, et je regarde en même temps son visage plein de larmes et le visages de deux autres, qui me regardait violer leur amie, sans vraiment comprendre ce qui se passe, pourquoi je fais cela.

Je sens mon plaisir venir et j'accélère, donnant des coups plus violent, butant au fond du vagin de la femelle. J'envoie tout mon sperme directement a l'entrée de sa petite matrice, lui arrachant des nouveaux cris de douleurs, au rythme de mes coups de reins puissant, pour me vider.

Je me retire, le sexe toujours raide, je regarde entre les jambes de ma victime, je vois le gros trou que j'ai fais au milieu de son vagin, qui se referme doucement, laissant couler un mélange de sperme, de sang de pucelage ainsi que des déchirures que j'ai faites.

- Vas te laver le cul maintenant. Tu arrête de me faire chier, sinon je vais te baiser sans arrêt.

Tout en disant ça je pense déjà que même si elle reste sage et polie, je ne pourrais plus me passer de la baiser. Je sais déjà que je vais le faire à nouveau . Mon sexe encore bandé, exprime déjà qu'il a encore envie de plaisir avant de se reposer.

Je regarde la jolie métisse, je sais maintenant qu'elle se prénomme Noa, elle est prostrée, je lui tends la main.

- Viens ici ma chérie, je vais t'apprendre un nouveau jeu.

Je lui dis ça, tout d'un coup attiré par sa bouche pulpeuse et ses lèvres rouges.

La jeune femme de dix-huit ans, me regarde terrifiée, mais obéit sans même chercher à se dérober. Je l'attire à moi pendant que Inès va du côté de la rivière où nous avons l'habitude d'aller faire nos besoins et se laver. Elle marche en canard, en regardant sa démarche et le balancement de ses fesses, mon sexe reprend le peu de raideur qu'il a perdu en baisant cette bourgeoise.

Je regarde Noa, je lui soulève sa jupe, tout en lui disant :

- Si tu bronches, je te défonce ta gueule de salope!

La jeune fille ne dit rien, hochant juste la tête pour me donner son assentiment. Je baise sa culotte, découvrant une forêt de poils noir. Je mets ma main entre ses cuisses, j'enfonce un doigt dans son vagin, ce qui la fait gémir.

- Je ne vais pas te violer, alors ferme ta gueule!

Je rencontre son hymen, elle aussi est vierge. J'ai de la chance.

- Tu es vierge, c'est bien, tu peux remettre ta culotte.

Je regarde Louise, je lui demande :

- Toi aussi tu es vierge?

- Oui...

- Parfait.

J'ai de la chance, j'aurais voulus le faire exprès que je n'y serais pas arriver. J'ai sauvé trois vierge. Une d'elle à déjà été décapsulé, les deux autres ne vont pas tarder.

Je reviens alors vers Noa. Je caresse les cheveux de l'étudiante, j'appuie sur ses épaules pour qu'elle se mette a genoux. Je suis devant elle le sexe dressé presque à la bonne hauteur.

- Tu vas sucer comme une glace d'accord?

Je lui dis cela tout en empoignant sa tête, j'approche mon gland encore souillé de sperme et de sang, devant sa bouche. Elle recule légèrement la tête effrayée par ce gros gland, mais je maintiens fermement sa tête et dis d'une voix dure et sans faiblir :

- Si tu refuse, je t'enlève ta culotte et je te l'enfonce dans ta petite moule comme ta copine, tu vas voir , petite et mince comme tu es, ça doit faire encore plus mal.

Résignée la petite pute me laisse m'enfoncer dans sa bouche, je sens ses lèvres pulpeuses serrer mon sexe que je fais coulisser. Çà n'est pas vraiment une pipe, la chienne n'y connais rien. Elle ne me suce pas, mais sentir sa langue sous mon sexe et la douceur de sa bouche me font jouir très vite. Je tiens la tête de ma nouvelle pute fermement sur mon sexe, pendant que je lui ordonne :

- Avales tout, sinon je te fous une volée dont tu vas te souvenirs!

J'envoie alors pour la deuxième fois en quelques minutes, plusieurs jets de sperme, mais cette c'est dans la bouche d'une pucelle et non dans sa chatte que je jouis. Je me dis alors que l'attente d'être retrouvés par la civilisation ne sera peut être pas aussi désagréable que ça. Enfin pour moi, parce que pour elles...

La jolie métisse déglutit, avales mon sperme et retourne a sa torpeur, je prends le bas de sa robe pour lui essuyer des gouttes de sperme qui ont coulé sur son menton.

Dimanche 15 Mars.

La nuit est terrifiante par ses bruits d'animaux et d'autres moins identifiables. Les filles dorment serrées contre moi, dans la tente et malgré mon viol, Inès est venue nous rejoindre, comme si il ne s'était rien passé. La magnifique blonde à beau avoir vingt-cinq ans, elle n'a jamais connu le danger, ni la violence. Alors l'expérience d'un crash d'avion sur une île déserte... Elle sait très bien que sans moi, elles sont foutus. Ma bite lui paraît moins dur à supporter que la mort. Quoique...

Bien sur ayant repris mon activité sexuelle, je me réveille avec une érection terrible. Mais cette fois sentant le corps des filles contre moi, je me dis qu'après tout, je ne vois pas pourquoi je me priverai. Je baisse mon pantalon exhibant mon sexe dressé. Noa étant a ma gauche, je la secoue doucement, elle se réveille et me regarde sans comprendre pourquoi.

Je pousse sur sa tête jusqu'à ce qu'elle arrive à la hauteur de mon sexe, elle voit alors mon engin complètement dressé. Elle essaye un peu de se relever, mais j'appuie et elle comprend qu'encore une fois, elle n'a pas le choix. Je sens mon sexe s'enfoncer dans une grotte chaude, avec cette langue sur laquelle coulisse mon sexe, voluptueusement serré dans cette bouche de jeune femme.

Je n'ai pas à attendre longtemps avant de jouir abondamment dans sa bouche, retenant juste sa tête au moment ou les jets tapent au fond de sa bouche, pour l'empêcher de reculer. Noa se calme et je la laisse remonter contre moi une fois ma jouissance terminée. Je vois qu'elle pleure, je me rends compte que cela en rajoute à mon plaisir.

Inès n'a rien perdu de la pipe de la métisse, elle me regarde d'un regard plutôt haineux, qui ne me gêne pas, je lui souris perversement. Quand a Louise elle dort encore serrées contre moi de l'autre coté.

Lundi 16 Mars.

Encore une fois ce matin, j'utilise la bouche de Noa pour me vider, j'essaie de lui apprendre vraiment à sucer, en lui montrant sur son pouce, mais cette petite pute est vraiment conne et ne comprend rien.

Je me contente de faire aller et venir sa tête sur mon sexe, jusqu'à ce que je sente mon plaisir venir et j'envoie tout mon sperme dans sa bouche, en tenant fermement sa tête, jusqu'à ce qu'elle ai tout avalé. Repus je les laisse tranquilles la journée, trop occupé à nous trouver de quoi manger et à gérer nos survie quotidienne. Pourtant il me manque quelque chose et je commence a regarder Inès avec envie.

Mardi 17 Mars.

Ce matin je me suis réveillé en faisant un rêve érotique, j'ai la queue bandée a l'extrême. Ma main caresse un cul d'enfer, je me rends compte que j'ai passé ma main sous la robe de la magnifique Louise, que c'est ses fesses que je caresse. La brunette, qui est de loin la mieux foutue et la plus belle des trois, ne bouge pas, mais je sens sa respiration saccadée et gênée.

J'hésite à retirer ma main, car la jeune femme m'aide bien, mais la douceur de sa peau est trop agréable, je continuais un moment à caresser ses fesses parfaite, douce et ferme.

Sans aucun scrupule j'attire la tête de Noa qui s'est réveillée, en me sentant bouger, je m'enfonce dans sa bouche non sans continuer à caresser les fesses de la belle Louise, ce qui me décuple l'érection.

Je me surprends plusieurs fois à passer mon doigt sur l'anus hermétique de Louise, pendant que Noa me suce. J'en arrive à me demander ce que ça pourrait donner de sodomiser un trou-du-cul si hermétiquement fermé.

Un ami grand amateur de sexe forcé, m'a dit une fois qu'on peux enculer facilement les filles que l'on viole, même si elles sont très étroite. D'ailleurs, si ça leur fait mal, ce n'en est que encore meilleur. Ça n'est pas dangereux si on fais attention, mais aussi que le grand avantage d'une fille violée, c'est qu'elle n'a pas le choix, et doit obéir aux sévices qu'elle subit.

Au moment où je jouis dans la bouche de Noa, j'essaie vicieusement d'enfoncer mon doigt dans l'anus de Louise, qui se crispe et gémit de douleur, mais sans chercher à se dérober. Mais je dois laisser pour l'instant ce plaisir, en me vidant sans la bouche de la jolie métisse.

Mercredi 18 Mars.

Malgré ma jouissance ce matin dans la bouche de Noa et mes caresses des fesses de Louise, j'ai craqué. La fellation et les attouchements ne sont pas suffisant. Je ne peux me passer d'une bonne chatte serrée. Je décide de remédier à cela.

Au moment où Inès ne s'y attend pas, je l'attrape par le bras, elle a comprend de suite. Elle se met à crier, à pleurer, moi j'ai déjà baissé mon pantalon exhibant mon sexe dressé et impatient. Je la gifle violemment, l'envoyant au sol. Elle se relève rapidement, la joue rougit par ma claque.

- Essayes de pas te débattre, sinon ça risque de te faire beaucoup plus mal! La gifle ce n'est qu'un aperçu! Mais je suis sympa, je vais essayer de te lubrifier un peu.

Elle à une réaction de gamine alors qu'elle a vingt-cinq ans.

- Mais j'ai été sage, j'ai rien fait de mal, je vous ai bien parlé...

Et c'est vrai qu'elle a été plutôt conciliante depuis son viol.

- Je sais mais j'ai trop envie, c'est toi la plus vieille, tu es aussi la seule à ne plus être pucelle. Tu dois me soulager, c'est indispensable pour un homme, tu devrais le savoir à ton âge.

Malgré les pleurs et les supplications de la splendide blonde, je la fait s'allonger. Je n'ai pas besoin de lui retirer la culotte, l'ayant déchirée l'autre fois, elle est cul nu sous sa robe depuis. Je mouille plusieurs fois mon doigt en l'enfonçant dans le sexe de la salope, lui arrachant à chaque fois un gémissement de douleur .

- Non, non, pitié...

Elle pleure en me regardant, mais sans oser se défendre, je crois qu'elle voit dans mes yeux qu'elle ne doit vraiment pas le faire.

- Allez tu verras tu vas finir par aimer ça!

Je lui dis cela perversement, sachant très bien que ce ne sera jamais le cas.

Je me couche sur elle, grâce a ma salive et au fait que j'ai déjà pénétré ce vagin de pucelle, je peut m'enfoncer à fond, d'un seul coup, sans trop de mal. Bien sur elle hurle au moment de la pénétration, elle pleure pendant que je la baise de plus en plus vite, mais ce n'est plus les hurlements qu'elle a poussée pendant son premier viol.

C'était une femelle désormais et je suis son mâle. Elle a beau être une riche bourgeoise, pour moi ce n'est qu'un trou à bite. Je commence à la pénétrer en donnant des coups de reins bien appuyés, pour sentir mon sexe coulisser dans ce petit fourreau si jouissif. Cette salope, en plus d'être splendide, est drôlement serrée. Autant que mes premières amantes adolescente, avec qui j'ai couché étant adolescent. Mais avec elles, c'était du consentit, tandis que avec Inès...

Je prends mon temps, en essayant sans conviction d'adoucir son viol, mais je sens son petit vagin, si serré autour de mon sexe, que je ne garde pas longtemps cette résolution. Comprenant que la disproportion doit être très douloureuse, je me mets à la défoncer comme un fou. Rapidement, ses hurlements redeviennent ceux de son dépucelage, ce que j'apprécie grandement. Mais rapidement, je sens mon plaisir venir, aussi j'accélère mon mouvement, pour jouir a grand jets au fond de son petit ventre, en pensant que cette pute est réglée, et que...

L'image me fait presque sourire. J'ai semé des bâtards partout où je suis passé, la contraception n'est pas de mise a cette époque. Avec un plaisir pervers et malsain, j'imagine cette désormais ancienne enfant gâtée avec un gros ventre, ensemencée par un repris de justice sans foi ni loi.

Je me retire du ventre de ma putain, je ne peux m'empêcher de regarder. Je suis toujours stupéfait de la nature si bien faite. Je vois le trou vaginal de ma victime, dilaté par mon gros sexe, se refermer doucement en expulsant une partie du sperme que je lui ai envoyé. Un peu sang se mélange à ma semence, j'ai dut un peu la déchirer en la violant si durement, mais ça, je m'en fou royalement.

Encore une fois j'ai violé Inès devant les deux autres, même si Noa a toujours son visage perdu et inexpressif, Louise me regarde comme subjuguée, mais sans peur. Je lui souris. Décidément, j'apprécie de plus en plus mon séjour sur cette île.

SalomeD
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Anonymous
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2 Commentaires
Alexandre1965Alexandre1965il y a 4 mois

Original et excitant !

AnonymousAnonymeil y a plus de 3 ans
Chienne

Ce serais cool si elles étaient traités comme des chiennes.

Genre avec laisse gamelle et niche .

Et aussi du water bondage.

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