Dorothée asservie - Partie 01

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Le piège se referme sur une jeune vendeuse.
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Récit n'a pas de balises

Partie 1 de la série de 4 pièces

Actualisé 06/10/2023
Créé 10/11/2020
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Âgée de vingt-huit ans, Dorothée est une jolie femme d'un mètre soixante-cinq. Mince sans être maigre, elle est dotée d'un mignon visage de « petite souris ». De nombreux hommes l'auraient d'ailleurs « croquée » sans hésitation. Des cheveux châtains foncés, des yeux bruns en amande, une bouche en cœur et des lèvres ni trop fines ni trop pulpeuses, de beaux seins ronds affichant un bonnet C, des fesses fermes et des jambes longues et finement sculptées : elle a tout pour plaire.

Après quatre aventures amoureuses qui s'étaient terminées par autant d'échecs (même si elle était restée quatre ans avec son dernier compagnon), elle pense avoir enfin rencontré le grand amour, en la personne de Frédéric, un bel homme d'un an son aîné. Sportif, bien bâti, celui-ci travaille comme responsable du département commercial dans une société spécialisée en leasing de voitures pour les grandes entreprises. Dorothée, elle, preste à mi-temps comme employée d'administration au sein d'un village situé en Champagne-Ardenne. Elle aurait souhaité un horaire complet, afin de commencer à mettre de l'argent de côté en vue de construire la maison de ses rêves avec son amoureux, mais les restrictions budgétaires au sein de la mairie ne lui laissent aucune illusion : elle ne verra jamais son temps de travail augmenter, ni même avoir l'espoir d'une nomination.

Sa vie bascule soudain un samedi soir dans un bar lounge, alors qu'elle prend un verre en compagnie de son chéri. Une voix amicale se fait en effet soudain entendre : - Frédéric, c'est toi?

Celui-ci se retourne et reconnaît un ancien camarade de classe, rencontré durant ses années de lycée. Se prénommant Antoine, il n'est toutefois pas un ami, Frédéric l'ayant toujours trouvé un peu malsain, ou en tout cas relativement sournois.

L'invitant, par politesse, à se joindre à leur table, le couple entame la conversation avec l'intéressé. Au fil de la discussion, il apparaît que le nouveau venu a plutôt bien réussi sa vie professionnelle : ayant hérité de son défunt père de la société familiale, il œuvre dans le secteur agroalimentaire et des machines agricoles. Au sein de cette région rurale, les clients ne manquent pas : marchands de bétail, agriculteurs, etc. D'autant qu'il n'a pas vraiment de concurrent direct dans sa zone.

Seul ombre au tableau, explique-t-il, son récent divorce.

Alors que Dorothée se confie sur sa propre situation professionnelle, Antoine la coupe :

- Si vous voulez, vous pouvez venir travailler dans mon entreprise. Je cherche une vendeuse, la dernière en date m'ayant quitté il y a une semaine en raison d'un déménagement dans une grande ville. L'équipe est petite mais suffisante vu l'éventail de marchandises que nous proposons. Un magasin de vente au détail ou en gros pour les produits agroalimentaires et un « atelier » pour l'exposition des machines agricoles, la vente et la réparation. Mon ouvrier, qui s'occupe de cette partie, s'appelle Kévin et c'est vraiment un chouette gars. Pour le reste (expéditions, livraisons), on fait appel à des sous-traitants. Cela vous dirait de tenter la chose?

Le lundi, après un week-end de réflexion avec son compagnon, Dorothée finit par accepter la proposition, d'autant que le salaire annoncé est plus que correct.

Et un mois plus tard, le temps de prester son préavis, la belle entame sa première journée de travail. Le job est relativement plaisant et facile : servir les clients et, depuis le comptoir, enregistrer les commandes concernant de grandes quantités de marchandises.

L'entreprise est établie en périphérie de la ville de Reims, dans un bourg perdu situé à une trentaine de kilomètres de l'endroit où elle habite. Malgré l'emplacement, le magasin, le plus souvent, ne désemplit, des fermiers de toute la région s'y fournissant. Seuls les mardis et les jeudis sont un peu moins chargés.

Les premières semaines se passent relativement bien, même si, de temps à autre, Antoine ne manque pas de toucher Dorothée. Rien de bien répréhensible : une main sur l'épaule, sur le bas du dos ou sur le bras. Puis, un lundi, Antoine fait venir sa vendeuse dans son bureau : - Vous faites un excellent travail. Mais, comme vous êtes très jolie, ce serait bien que vous vous habilliez plus sexy. Tous mes acheteurs sont des hommes et voir une charmante personne comme vous ne peut que les inciter à revenir. Le sexe masculin est d'une nature assez primaire, vous savez...

C'est tout ce qu'il dit, avant de replonger le nez dans ses papiers administratifs.

Désarçonnée par cette demande, la jeune femme n'ose toutefois pas en parler le soir même à son compagnon, dont elle connaît la jalousie. Or, ils ont besoin de ce travail.

Le lendemain matin, Frédéric à la surprise de voir sa dulcinée sortir de la salle de bains en étant vêtue d'une fine robe d'été. Il est vrai que nous sommes en plein mois de juin.

Vêtue de cette manière, Dorothée apparaît très désirable, même si le vêtement dévoile peu de ses charmes délicats. D'ailleurs, rien ne se passe au travail, son patron l'ignorant quasi durant toute la journée. Le reste de la semaine se déroule sans événement particulier. Antoine a simplement demandé à son employée de rester un peu plus tard le vendredi soir. Un client doit venir chercher plusieurs pièces de matériel et lui remettra, après chargement, une enveloppe d'argent liquide pour le paiement. Elle doit remplacer au pied levé Kévin, tombé malade la veille.

Les choses se déroulent comme prévues. Toutefois, ce que la fille ne sait pas, c'est que toute la scène av été filmée par deux caméras extérieures. Et le client en question est en fait un chauffeur roumain payé par le patron pour jouer ce rôle. Les pièces seront évidemment restituées, en toute discrétion, dans quelques jours. Le patron se réjouit déjà d'être à lundi. Le piège vient de se refermer.

A peine arrivée, la vendeuse, l'enveloppe à la main, est convoquée dans le bureau de son boss :

- Bonjour Dorothée, vous allez bien? Donnez-moi cet argent et regardez-moi ensuite un peu cela! C'est un petit film vidéo très révélateur! Et moi qui avait confiance en vous!

Ce disant, et en présence de Kévin qui se tient debout derrière lui, l'intéressé montre à la jeune femme la scène du vendredi soir, filmée sous deux angles différents.

- Je ne comprends pas, Antoine...

- Mais si vous comprenez! Il est clair que vous me volez du matériel que vous revendez sur le côté! Dommage que l'on ne sache pas identifier la plaque minéralogique du camion piloté par votre complice, le conducteur! Vous savez, celui qui vous a remis de l'argent en liquide. On le voit clairement sur la vidéo! D'ailleurs Kévin, qui était présent, a lui aussi tout vu de la scène. N'est-ce pas?

- Absolument, chef!

- Mais vous êtes fous, tous les deux! s'écrie Dorothée.

- Les images ne mentent pas. Et Kévin, en qui j'ai toute confiance, non plus. Il ne me reste plus qu'à prévenir la police et à déposer plainte pour vol aggravé. On verra comment vous contesterez ces faits indéniables. Votre réputation sera ruinée et vous irez sans doute en prison. Adieu maison, adieu le moindre travail! On n'engage pas une voleuse. Un beau gâchis, vous ne trouvez pas? Je n'aurais jamais cru cela de vous.

- Pourquoi faites-vous cela? murmure l'employée, entre deux sanglots.

La réponse d'Antoine est cinglante : - Parce que depuis le lycée, je n'ai jamais aimé Frédéric. Je le détestais même. Et je le déteste toujours. Un prétentieux tombant les filles. Et j'ai ici l'occasion de me venger un peu, via sa petite amie. C'est aussi simple que cela. Ne vous avais-je pas dit que l'homme avait une nature primaire?

Puis, marquant un temps, il reprend son monologue sous l'œil goguenard de son ouvrier : - Maintenant, je peux oublier toute cette affaire si, à l'avenir, vous vous pliez à certaines de mes exigences. C'est compris où vous voulez découvrir les joies d'une cellule?

- C'est compris, Antoine, répond-elle dans un murmure.

- Appelez-moi désormais Monsieur Florent. Quant à moi, je me permettrai dès à présent de te tutoyer. Voici la première de mes demandes, qui ne souffre d'aucune contestation. Sinon, ce sera la police. Afin de booster nos ventes au magasin, je souhaiterais --ou plutôt j'exige- qu'à partir de demain, tu viennes avec des robes plus courtes. Autrement dit, des mini-jupes. Et que tu arrêtes de porter des soutiens-gorge. Allez, file maintenant, il est temps d'aller travailler, ma chérie!

Le reste de la journée se déroule de manière habituelle, même si Dorothée a dû mal à se concentrer sur ses tâches. Elle se force à sourire aux clients, même si le cœur n'y est pas, d'autant qu'une sourde angoisse est née en elle quant à la suite des événements.

Le mercredi matin, habillée d'une mini-jupe moulante et d'un chemisier à boutons, elle quitte la maison pour se rendre à l'entreprise. Fort heureusement, comme la plupart des jours de la semaine, Frédéric est déjà parti et doit rentrer en fin de soirée. Il ne verra donc pas la tenue avec laquelle elle s'en va travailler. A peine arrivée au magasin, le patron invite son employée à se rendre dans son bureau, posant son bras sur son épaule, avant de déplacer lentement sa main vers le bas du dos de son employée. Quelques minutes plus tard, quelqu'un vient frapper à la porte.

-- Entre, Kévin, c'est ouvert!

Et l'ouvrier de pénétrer dans la pièce, tout en découvrant le visage de sa collègue rouge comme une tomate.

Antoine prend immédiatement la parole : - Allez, Dorothée, raconte un peu à notre ami ce qui vient de se passer...

- Monsieur... Florent vient de... vérifier si... je portais un soutien-gorge.

- Et comment ai-je vérifier?

La jeune femme ferme les yeux et prend une profonde inspiration. Elle regarde son collègue, un gars d'à peine vingt ans, blond et doté d'une belle carrure. Ses cheveux coupés courts n'embellissent pas un visage peu gracieux, doté d'un long nez et de pommettes saillantes. Même s'il est désormais un homme, quelques traces d'acné parsemant encore sa figure témoignent de sa sortie récente de l'adolescence.

- Vous avez déboutonné mon chemisier, écarté les pans et commencé à palper et tâter mes seins.

- C'est vrai, répond son patron. D'ailleurs, ta fine blouse n'est toujours pas réajustée. Tu veux bien l'ouvrir pour montrer ta jolie poitrine à notre ami Kévin? C'est un ordre, évidemment!

En pleurs, la vendeuse s'exécute, dévoilant ses globes aux yeux concupiscents de l'ouvrier. Et Antoine de poursuivre :

- Qu'ai-je fait après m'être assuré que tu ne portais pas de soutien-gorge?

Après un long silence, la fille laisse échapper dans un murmure : - Vous m'avez fait enlever ma culotte et m'avez dit de ne plus jamais en porter au magasin ni à l'atelier.

- Et qu'ai-je dit d'autre, Dorothée?

- Vous m'avez demandé pour demain de raser tous mes poils pubiens afin d'avoir un sexe ressemblant à celui d'une petite fille.

- C'est bien, tu apprends vite! Tout en parlant, Antoine s'est déplacé derrière son employée, abaissant la fermeture éclair de la mini-jupe. Tandis que celle-ci tombe par terre et que la vendeuse se retrouve totalement nue, il continue son monologue :

- Tu vois, Kévin, c'est la dernière fois que nous voyons notre amie avec son duvet. J'ai horreur d'avoir des cheveux en bouche lorsque je fais un cunnilingus. En outre, quand je baise une fille, j'adore voir où je rentre ma queue. Et toi, tu en penses quoi?

- Tout à fait d'accord avec vous, patron! acquiesce le manutentionnaire.

Posant sa main sur le postérieur de Dorothée, il caresse celui-ci comme si la femme lui appartenait. Avant de donner une claque sur la fesse gauche : - Allez, il est temps de faire bouger ce joli cul. Rhabille-toi et va au comptoir! Les clients n'attendent pas!

L'employée ne revoit pas son patron ni son collègue de toute la journée. Au bord de la crise de nerfs, elle tente de se concentrer sur le service à offrir aux visiteurs en affichant des sourires forcés. Mais des pensées noires ne cessent de la hanter. Elle ne parvient pas, minute après minute, à effacer le spectacle honteux qu'elle a offert à ces deux hommes. Même si elle était contrainte et forcée, elle s'en veut énormément.

Alors qu'elle va partir, Antoine la somme de venir le lendemain vingt minutes avant l'ouverture officielle du magasin. Elle le rejoindra au bureau, tout comme Kévin devra être arrivé, lui, dix minutes après elle. Le soir, lors du dîner, elle ne peut retenir des haut-le-cœur, qu'elle tente tant bien que mal de masquer à son fiancé. Prétextant une migraine, elle se refuse à lui et monte immédiatement se coucher, non sans avoir avalé une solide de dose de somnifères. Les bras de Morphée finissent par l'enlacer et elle sombre dans un sommeil à la fois profond et peuplé de cauchemars.

Le jeudi tant redouté arrive trop tôt. Comme ordonné, elle se présente à son boulot en avance. Lorsque quelques instants plus tard, son collègue ouvrier pénètre à son tour dans l'office, il découvre un spectacle qu'il n'aurait jamais imaginé. Totalement nue, à genoux, les fesses reposant sur ses mollets, Dorothée est positionnée devant la bite, aux dimensions supérieures à la moyenne, de son boss, qui est vautré dans le canapé servant habituellement à accueillir les bons clients. Celui-ci lui donne une nouvelle injonction : - Explique à Kévin, tel que je te l'ai demandé, ce que tu fais car c'est ce que tu aimes par-dessus, n'est-ce pas?

Et la jeune femme de répondre en hachant ses mots, la voix tremblotante : - Co... Comme je vous le disais... A l'instant... J'a... J'adore sucer des bites... Toutes les bites...

- Et bien, qu'est-ce que tu attends pour continuer?

Frémissante de dégoût, elle se penche néanmoins, ouvre lentement ses lèvres, sort sa langue et entreprend de lécher doucement le gland de son patron, qui commence à gémir et s'exclame :

- Notre salope à la bouche pleine!

L'intéressé montre désormais de sérieux signes d'excitation. Il caresse les cheveux de son employée en grognant et en gémissant de plus belle. Sa queue qui a désormais atteint sa taille optimale luit de la salive que la suceuse dépose dessus à chaque passage. Il se cambre en criant, s'agrippe à la chevelure de la pompeuse pendant que celle-ci, n'ayant pas d'autre choix, continue son œuvre. Antoine aurait bien voulu faire durer son plaisir plus longtemps, mais cela lui devient extrêmement difficile. Séance tenante, lors d'un spasme plus puissant que les autres, il finit par exploser et éjacule massivement dans la bouche de la pauvre Dorothée :

- Avale tout! Ne gâche pas cette précieuse semence! Avale et nettoie bien avec ta langue. Je veux que ma bite soit parfaitement nettoyée! Compris, voleuse?

La vendeuse, la mort dans l'âme, s'exécute sous les yeux moqueurs de Kévin avant d'être brutalement congédiée : - Maintenant que ta première tâche du matin est terminée, il est temps de passer à la seconde. Bouge ton cul et va travailler!

Anéantie, elle s'en va servir les clients tel un zombie. Ses gestes sont mal assurés tant son cerveau brumeux ne cesse, encore et encore, de se remémorer cette horrible chose qu'elle vient d'être obligée de faire. A la fin de la journée, elle est à nouveau convoquée pour le lendemain, à la même heure. Rentrée chez elle, profitant de l'absence de son mari, qui n'est toujours pas revenu de son job, elle s'en va directement coucher, non sans lui avoir laissé un repas à réchauffer. Comme ordonné par son vicieux chef, son sexe est désormais totalement imberbe.

Au réveil, elle se justifie auprès de Frédéric en disant qu'elle l'a fait pour mieux l'exciter...

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5 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a plus de 3 ans
vivement la suite

Moi aussi j'adore ça ! Terriblement excitant et très bonne l'idée de la contraindre de s'expliquer à un autre ...

Vivement la suite ! S.V.P.

Merci.

AnonymousAnonymeil y a plus de 3 ans

Moi aussi j'aime le fait qu'elle doit s'expliquer à une tierce personne.

Plus de soutien gorge, plus de culottes, plus de poils pubiens, seulement des jupes et robes courtes ... Bientôt d'autres contraintes ?

Rudy

AnonymousAnonymeil y a plus de 3 ans

C'est, comme d'habitude, très bien écrit et terriblement excitant

Merci beaucoup

trouchardtrouchardil y a plus de 3 ans

Bon début, vivement la suite ! Merci.

AnonymousAnonymeil y a plus de 3 ans

J'adore ! Très excitant et bonne d'idée de la contraindre d'expliquer à un autre ce qui vient de se passer

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