Un Jeu Qui Tourne Mal

Informations sur Récit
Un fantasme de prostitution qui tourne mal.
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Chapitre 1

Les événements vus par Marc

Je m'appelle marc, j'ai 23 ans et je suis marié avec Julie depuis un an. J'ai rencontré ma femme au lycée, j'avais 17 ans et elle en avait 16 et nous sommes sortis très vite ensemble car nous nous étions tout de suite plût.

Julie est une petite femme 1 mètre 60 pour a peine 48 kg mais elle a un corps de rêve. Elle est fine mais superbement bien proportionnée et même sa petite poitrine est adorable.

Un jour alors que l'on rentrait un vendredi soir de chez des amis, on passa dans un quartier pas trop bien réputé que l'on évitait en temps normal. Dans une rue éclairée et un peu passante, quelques prostituées faisaient le trottoir et je ne pus m'empêcher de dire en plaisantant.

- tu es mille fois plus belle que toutes ces prostituées, sur le trottoir tu deviendrais millionnaire.

-

Julie me regarda bizarrement, ne me répondant pas puis elle fixa les putes.

- Je plaisantais, lui dis-je alors de peur de l'avoir froissée.

- Je sais..... mais ça doit être étrange de se vendre ainsi..

- Oui répondis-je, ne voulant pas la contredire

On ne parla plus jusqu'à la maison et lorsque je garais la voiture en bas de l'immeuble. Elle sortit du véhicule et monta sans un mot.

Apres s'être déshabillés on se coucha rapidement et Julie vient se blottir contre moi. J'étais rassuré car je croyais qu'elle me faisait la tête.

C'est alors qu'elle rompit le silence.

- tu étais sérieux en me disant que j'étais plus belle que toutes ces putes.

- Bien sur,

- En me disant que je serais millionnaire c'est que tu m'avais déjà imaginé habillée comme elles?

- Heu, c'était une blague.

- Non, tu m'avais imaginé comme elles?

- Oui un peu, mais juste pour le coté sexy.

- Ça doit être bizarre de faire le trottoir

- Hé, je répondis, jamais je ne te laisserais faire un truc comme ça.

- Je sais..... mais juste quelques minutes pour voir.

Je restais un moment silencieux.

- Qu'est-ce que tu entends par juste quelques minutes.

- Le faire comme un jeu. M'habiller comme elles et marcher quelques mètres sur le trottoir avec les voitures qui passent, juste pour voir.

- On dirait que c'est un fantasme, tu as envie d'essayer?

- Non, j'en parlais juste comme ça.

Je ne répondis pas puis je finis par lui dire bonne nuit.

Etrangement je dormais très mal cette nuit là, imaginant ma femme très peu vêtue arpenter les trottoirs telle une pute. Je ne voulais pas le reconnaître mais cela m'excitait et je me mis même a avoir une érection qui se calma que très tard dans la nuit.

Au petit matin je lui demandais si elle avait envie de faire les magasins, ce serait notre sortie du samedi matin.

- Si tu veux, me répondit-elle, je voudrais acheter un petit pull.

- Si tu veux on regardera les vêtements sexy.

Elle me regarda bizarrement puis finit par dire

- tu as envie que je m'habille sexy pour toi

- j'en ai toujours envie. Dis-je en rigolant

Elle me sourit puis dit

- on verra, d'abord mon pull.

- Comme tu veux

A dix heures on passa la porte du magasin. Ce dernier était immense et sans réfléchir on alla directement dans le rayon des femmes. Julie ne mit pas longtemps pour trouver un joli petit pull rouge mais elle ne l'essaya pas tout de suite.

Par jeu ou par curiosité on alla dans le rayon sexy et en voyant une mini jupe en cuir rouge, je la lui tendis pour qu'elle l'essaye aussi. Elle hésita à la reposer puis la pris tout de même.

- Il te faut un petit haut avec la jupe, lui dis-je avec un sourire

- Un haut sexy je suppose

- Très sexy

Et avant même qu'elle ne réponde, je lui tendais une brassière assez transparente et qui devait laisser voir le nombril.

- je ne vais tout de même pas porter ça

- juste pour moi

-

Elle me sourit puis me dit l'œil coquin

- même les putes ne sont pas aussi peu vêtues

- tu sera ma pute a moi..

Elle ne répondit pas et prit le petit vêtement.

L'heure qui suivit fut un aller et retour vers la cabine d'essayage et Julie, juste pour moi essaya des vêtements de plus en plus sexy. On prit cette séance d'essayage comme un jeu, cherchant à chaque fois le petit bout de tissu de plus en plus coquin.

On finit tout de même par passer en caisse avec le petit pull et pas mal de vêtements importable pour une personne normale sans oublier une petite paire de haut talon à lanière.

Une fois à l'appartement, je lui demandais de me faire un défilé et elle partit dans la salle de bain avec la totalité des vêtements.

Elle resta bien 20 minutes absente et lorsqu'elle apparut je n'en crus pas mes yeux. La créature que j'avais devant moi ne pouvait pas être ma femme.

Perché sur ses hauts talons, elle avait mis sa mini jupe en cuir qui s'arrêtait a raz des fesses et un petit top noir que j'avais trouvais sexy et qui était très décolleté ce qui mettait sa jolie poitrine en valeur. Elle ne portait pas de soutien gorge et ses seins étaient visibles par transparence du tissu. Le top, relativement court, laissait aussi apparaître son nombril.

Elle était magnifique et aussi complètement obscène et rien qu'en l regardant j'eus une érection et une envie de lui sauter dessus.

- et en plus je n'ai pas mis de culotte, dit-elle en rigolant

- tu es prête à faire le tapin.

Elle me regarda bizarrement

- tu veux voir l'effet qu'a ta femme sur les autres hommes?

- là je suis sur que tu leur fera beaucoup d'effet mais tu oserais jamais faire le trottoir comme ça.

- Si je ne connais personne, juste quelques minutes, peut-être....

- que la gueule, lui dis-je en riant

- que la gueule? tu ne me crois pas capable de le faire? je vais te montrer que j'en suis capable.

Je ne savais pas si elle était sérieuse mais mes mots l'avaient vexée

- tu veux qu'on y aille, lui demandais- je

- je vais te montrer que ta femme n'est pas une peureuse, on va y aller.

- au moins dans la voiture, je dis en riant... mais tu ne sors pas de l'immeuble comme ça

Elle réfléchit quelques secondes puis me fixant, elle me dit.

- il n'est pas loin de midi, il y a trop de monde dehors. si je dois m'exposer comme ça je préfèrerais le faire assez loin d'ici et pas en ville vu l'heure.

- Sur un parking?

- Pourquoi pas

- T'as que la gueule lui répétais-je en riant, je sais que tu ne sortiras pas de la voiture.

- Tu l'auras voulu. Je mets une jupe plus longue par-dessus et une petite veste ainsi que d'autre chaussures et je me changerai dans la voiture.

Julie disparut dans le dressing et revint vêtue plus soft un sac en plastique à la main avec ses hauts talons dedans.

- On y va et tu vas voir que je n'ai pas que la gueule, me dit elle en me narguant.

- Ok, on va voir.

On descendit jusqu'à la voiture et une fois à l'intérieur je lui demandais.

- On va ou?

- Pourquoi pas sur un parking d'autoroute.

- Avec tous les camions?

- Si tu as peur pour ta petite femme on stoppe tout, mais ça sera de ta faute.

- Ok, lui dis-je on y va.

Je pris la direction de l'autoroute et nous ne dîmes plus un mot, comme si quelque chose d'important était en train de se jouer.

Au péage, je pris la direction de paris, sachant qu'il y avait une aire de repos avec station service à moins de 10 kilomètres.

Lorsque je vis l'aire de repos, je ne pus m'empêcher de demander à ma femme

- tu es sure de vouloir le faire. On est samedi midi et il y a pas mal de monde.

- Oui, je me promènerai sur l'aire que quelques minutes histoire de gagner mon pari.

- Comme tu veux mais tu n'es pas obligée.

- Si, je veux te montrer que je n'ai pas que la gueule

Mes propos plus tôt avaient du vraiment la vexer car elle voulait aller jusqu'au bout et j'avoue que cela m'excitait un peu.

Sur l'aire, je ne pris pas le parking des voitures ou il y avait pas mal de monde mais je pris celui des camions, un peu à l'écart et où je ne voyais que cinq ou six camions garés. L'endroit paraissait plus calme et cela était mieux pour ma femme si elle sortait dans la tenue qu'elle portait dessous.

Je me garais en toute limite du parking pour ne pas gêner et pour être tranquille. Je regardais Julie qui, sans un mot commença à se changer. Elle dut se contorsionner pour retirer sa jupe qui cachait sa mini en cuir et je ne pus m'empêcher d'admirer a nouveau ses cuisses fines et galbées.

Elle mit pas mal de temps pour changer de chaussures puis finit en enlevant sa veste.

Elle était prête à relever le défi.

- Tu sors de la voiture et tu restes deux ou trois minutes à coté et tu auras gagnée.

Elle me regarde et me sourit

- non, je vais aller jusqu'aux camions là-bas et revenir et là j'aurais gagné.

- Mais? les camions sont au moins à cents mètres et il y en a cinq. C'est trop dangereux.

- Je ne risque rien, on est samedi midi. Et je veux te montrer que ta femme n'est pas une peureuse. Tu veux que je fasse la pute et bien je vais aller jusqu'à ces camions.

Sans plus parler, Julie sortit de la voiture et prit lentement la direction des 38 tonnes. Elle était magnifique dans sa petite mini jupe en cuir et son top noir et de la voir ainsi, telle une putain, prendre la direction des camions, cela m'excita même si j'étais un peu anxieux.

Pourtant je me calais dans le siège de la voiture pour admirer la scène. Derrière les vitres teintées de la voiture et avec le soleil qui se reflétait dessus, je savais que je n'étais pas visible mais c'était pour elle que j'étais inquiet.

Elle devait avoir très peur pourtant elle marchait tranquillement et heureusement à un endroit ou il n'y avait pas de passage de véhicules. En la voyant j'avais une boule au ventre mais je la trouvais tellement magnifique. Apres de longues minutes que je trouvais interminable elle arriva enfin au niveau des camions et de loin je vis qu'elle allait commencer à revenir lorsque une porte d'un des véhicules s'ouvrit et qu'un homme, assez gros, en descendit.

C'était un gros camion américain dont la cabine très profonde devait être aménagée comme un camping car. Il en sortit pas la porte de coté et parut étonné en découvrant mon adorable femme habillée si légèrement et qui exhibait son corps parfait.

Je commençais à paniquer me demandant si je ne devais pas mettre la voiture en marche pour aller la chercher. Et pourtant, en voyant l'homme se dirigeait vers ma femme habillée comme une pute, je fus en même temps très excité.

Je ne sais pas pourquoi, mais ma femme s'était arrêtée et l'homme vint se mettre en face d'elle pour lui parler.

Je ne pouvais pas entendre ce qu'il disait mais je l'imaginais paniquée expliquant à l'homme qu'elle n'était pas une pute.

Ils discutèrent de longues minutes puis d'un coup l'homme reprit la direction de son camion. J'en fus soulagé mais cela ne fut que de courte durée. Ma femme lui emboîta le pas, le suivant vers sa cabine, hésitante mais consentante.

Non, ça ne pouvait pas se passer comme ça, pourquoi elle le suivait. Je me faisais sûrement des idées, il allait lui donner quelque chose et elle allait revenir.

Je crus que mon cœur allait s'arrêter de battre lorsqu'il ouvrit la porte latérale de sa cabine et qu'il se mit sur le coté pour laisser monter ma femme.

Ce n'était pas possible, je vis Julie grimper les petites marches alors que l'homme, pour l'aider, lui mettait la main sur ses fesses. Je crus que j'allais défaillir lorsqu'il rentra dans le camion après elle puis qu'il ferma la porte.

Elle s'était jetée sciemment dans la gueule du loup et je ne savais pas quoi faire. Elle allait se faire baiser comme une vulgaire pute et je restais dans ma voiture, ne sachant comment réagir.

Mais pourquoi avait-elle fait ça? Pourquoi avoir été jusqu'au bout alors qu'elle ne devait que marcher jusqu'aux camions.

J'espérais me tromper et que ma femme allait ressortir mais les minutes commencèrent à s'égrener et la porte restait fermée.

Plus le temps passait et plus je comprenais que ma femme était en train d'y passer, que le gros routier était en train de souiller son jeune corps. C'était à la fois écœurant de l'imaginer en elle mais sans m'en rendre compte, je trouvais aussi cette idée excitante et je m'étais mis à me caresser.

Quand je regardais pour la vingtième fois ma montre, je me rendis compte que cela faisait déjà vingt minutes que Julie était avec le gros, que cela faisait déjà vingt minutes qu'elle devait se faire baiser par ce porc et pourtant je ne bougeais pas, pire, j'avais commencé a me branler.

C'et alors, que du camion garé juste a coté, un autre routier apparut et qu'il vint frapper a la porte de celui ou se trouvait ma femme. L'homme était beaucoup plus jeune et était plus athlétique. Je me dis que le gros n'allait sûrement pas lui ouvrir vu qu'il était en train de baiser ma femme et je pensais avoir raison car la porte resta fermée.

Le routier frappa une deuxième fois beaucoup plus fort, montrant de la sorte son impatience.

Cette fois mon sang se glaça. La porte du camion s'ouvrit et le gros apparut entièrement nu.

Je crus qu'il allait envoyer balader le jeune mais au contraire il parut content de sa visite et lui serra la main.

Horrifié et sans pour savoir pourquoi excité aussi, je vis le gros disparaître dans la cabine alors que le jeune grimpait a son tour. Ils allaient s'occuper a deux de ma femme, lui faire des choses que jamais je ne lui avait fait et je restais pourtant sans rien faire.

Elle s'était habillée en pute et ces hommes allaient la traiter comme telle.

Ma femme était un petit gabarit et ils allaient sûrement la détruire, la prendre comme jamais elle ne l'avait été.

Ils allaient sûrement la prendre par le cul, chose qu'elle m'avait toujours refusé et peut être même la prendre pas les deux trous.

Ces pensées malsaines me faisaient bander et de savoir ma petite femme entre leurs mains m'excitait comme jamais. Je ne pouvais pourtant pas la laisser ainsi, je l'aimais et de savoir que deux routiers étaient en train de la baiser, devait me faire réagir.

Et pourtant, je ne bougeais pas, essayant d'imaginer ce qu'ils lui faisaient subir.

J'imaginais son superbe corps nu, tripoté dans tous les coins, ses seins malaxés par les grosses mains des routiers.

J'imaginais sa chatte, prise par les deux hommes, son cul, élargit comme jamais.

Je les imaginais la remplir de sperme, la forcer à les sucer alors, et elle, obéissante, qui se pliait a tout leurs désirs et qui les laissait tout lui faire sans rien dire.

Une demi heure devait s'être écoulée depuis que le deuxième routier était rentré dans la cabine lorsque la porte s'ouvrit de nouveau.

Le gros en descendit. Il avait mis un pantalon mais resté torse nu. Il alluma une cigarette alors que le plus jeune était resté dans la cabine, pour continuer sûrement avec ma femme.

Ma femme qui était devenue leur pute, leur vide couille et cela ne me révoltait plus, trouvant cette image de plus en plus excitante.

L'homme prit son temps pour fumer sa cigarette puis l'écrasant, il prit son téléphone et passa un coup de fil qui dura cinq bonnes minutes.

Une fois son coup de téléphone passé, il remonta dans la cabine pour continuer à jouer avec le corps de ma femme. Cela faisait plus d'une heure qu'elle était entre leur main et ils continuaient encore.

Il faut dire que je les comprenais presque. Ma femme avait un corps sublime et ne pas en profiter aurait été sacrilège. J'avais toujours été fier lorsque, en me promenant avec elle, je voyais les hommes se retourner pour la regardait.

Je me rendais compte qu'en fait, je n'étais pas jaloux mais fier en les imaginant l'admirer alors qu'ils la baisaient.

Un nouveau quart d'heure passa et je commençais vraiment à m'inquiéter pour elle.

D'autres camions étaient arrivés dans le parking et l'un deux vient se garer juste en face de celui du gros. Quelque minutes après que le camion soit arrivé, la porte latérale du camion ou se trouvait ma femme se rouvrit. Le jeune fut le premier à descendre et tendit les bras pour aider ma femme a descendre les marches. Mon sang se glaça en voyant qu'elle était entièrement nue. Une fois au sol le gros descendit à son tour. Pourquoi Julie était à poil, pourquoi n'avait--elle plus ses vêtements?

Elle était magnifique et depuis ma voiture, je ne pus m'empêcher d'admirer son corps.

Les deux hommes l'encadrèrent, la prenant chacun par un bras et se dirigèrent vers le camion qui venait d'arriver. Elle se laissait faire sans rien dire, comme si elle n'avait plus de force pour réagir.

Elle ne paraissait pas dans son état normal mais je supposais que ce devait être la fatigue.

En les voyant l'emmener vers l'autre camion je me dis qu'ils n'allaient tout de même pas la faire baiser par un autre routier. Pourtant, en la laissant nue, cela ne pouvait être que ça.

Arrivés au camion, ils frappèrent à la portière qui s'ouvrit sur un petit asiatique d'un certain age.

Ce dernier descendit du camion et commença à examiner ma femme ce qui me surpris et m'excita aussi.

Il lui palpa les seins, le ventre, enfila des doigts dans son sexe puis examina ses fesses et ses cuisses qu'il tâtait. Ma femme ne bougeait pas, se laissant tripotée comme une vulgaire marchandise puis je vis que le vieil homme parut content de son examen et qu'il fouilla dans la poche arrière de son jean.

Même si j'étais loin, je ne pouvais pas me tromper. L'asiatique venait de sortir de sa poche une liasse de billets et l'avait tendu au gros qui s'en empara tout content.

Il venait de payer le routier pour baiser ma femme et cela aurait pu me choquer mais je me rappelais qu'ils la prenaient pour une prostituée. Je restais dans ma voiture, curieux de voir ce qui allait arriver, ne me rendant plus vraiment compte que la jolie créature nue qu'était en train de partager ces hommes était ma petite Julie chérie..

Il aidèrent ma femme qui paraissait amorphe à monter dans le camion puis après être ressorti de la cabine, saluèrent le vieux.

Je ne savais plus trop quoi faire puis me je me dis que je pouvais le laisser un peu profiter de son corps. Apres tout il avait payé et..... J'étais monstrueux en pensant ça.

Je me dis que je lui laisserais une trentaine de minutes puis j'irais la chercher.

C'est alors que plusieurs camions vinrent se garer sur le parking et je fus un peu affolé en me rendant compte que les derniers arrivés venaient de se mettre entre moi et le camion ou se trouvait ma femme.

Je ne voyais plus rien mais je n'osai pas bouger la voiture pour avoir une meilleure vue.

J'attendis tout de même 30 minutes puis me décidant, je sortis de ma voiture me dirigeant vers les camions.

En passant le camion qui me cachait la vue mon sang se glaça. Le camion de l'asiatique n'était plus là, il avait disparu et ma femme aussi.

Je compris alors que l'homme n'avait pas payé pour baiser ma femme, il avait payé car il avait acheté ma femme et je restais là sans savoir quoi faire.

Me reprenant, je courus à ma voiture et fonça sur l'autoroute. J'allais essayer de retrouver le camion mais voila, ils se ressemblaient tous.

Jamais je ne retrouvai le camion et jamais je ne revis ma femme. Pour moi les emmerdes allaient vraiment commencées car j'allais avoir énormément de mal à expliquer la disparition de mon épouse.

Chapitre 2

Les événements vus par Julie

Je m'appelle Julie et je suis mariée avec marc depuis 1 an. Je suis assez fière de mon corps et même si je ne suis pas très grande je sais que beaucoup de garçons se retournent à mon passage et je trouve cela plutôt excitant.

Oui mais voilà, je n'ai qu'un amour dans ma vie, c'est mon mari Marc, qui a été le premier et qui sera toujours le seul et l'unique.

Malgré que je l'aime très très fort, il m'a énervée en ne me prenant pas au sérieux et j'avoue que j'ai très peur par ce que je vais faire.

Là, on est dans la voiture et on se dirige vers un parking d'autoroute. Même si je ne suis qu'une fille, je n'aime pas que l'on puisse croire que je suis une peureuse.

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