Le Club - Partie 06

BÊTA PUBLIQUE

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- Assis -- toi donc, lui ordonna Angel en se redressant.

Il écarta la fellatrice. Cette dernière émit un râle de douleur et elle comprit que c'était l'instrument qu'elle avait inséré dans son orifice anal qui en était la cause. Angel regarda les fichiers qu'elle avait apportés avec elle puis la dévisagea.

- Tu te moques de moi c'est ça?

- Pas du tout, Bredouilla -- t -- elle. J'ai tenu ma promesse, ce sont les dossiers des jeunes filles dont nous sommes responsables...

- Je voulais aussi des compte - rendus concernant des collègues de travail, la coupa -- t -- il. Où sont - ils?

- Non! Pas ça!!!

Il secoua la tête comme s'il était lassé de toujours répéter la même chose puis avec une soudaineté qui la laissa sans réaction, il se leva, combla la distance qui les séparait et la gifla à deux reprises avec une violence telle qu'elle en garda une sensation affreuse de chaleur pendant de très longues minutes. Depuis qu'il l'avait violé sur son lieu de travail, elle savait qu'il était un homme brutal mais ce fut comme une piqure de rappel. Il pouvait lui faire très mal autant physiquement que moralement. Il la saisit par le poignet et le tordit au point de la faire crier.

- Je veux ces dossiers, lui cracha -- t -- il au visage en serrant encore plus fort et soudain, il fut la seule chose au monde qu'elle considéra. Je les veux avant deux jours où je te détruis toi et tous les membres de ta famille sans exception!

- Vous les aurez!!! pleura Christine qui à ce moment --là n'avait qu'une idée en tête lui faire lâcher prise.

Il desserra son emprise mais ne la libéra pas et plongea son regard de prédateur dans le sien et elle comprit alors qu'elle lui donnerait ce qu'il désirait si elle voulait sauver ce qu'elle pouvait encore sauver. Il retrouva alors son sourire, parfaitement conscient d'avoir obtenu le but qu'il recherchait et retourna s'assoir. Il agrippa la femme blonde par les oreilles et l'obligea à reprendre sa fellation. De nouveau, elle poussa un râle de douleur mais elle se plia à sa volonté.

Il ordonna à Laura de lui apporter un verre d'eau. Encore sous le choc, elle but avec plaisir. Il sourit doucement et reprit la parole.

- Même si je suis un peu déçu de ce que tu m'as apporté, je pourrais m'en contenter et tu mérites une récompense. Laura!

Il se tourna vers la jeune fille et lui fit signe d'aller s'assoir prés d'elle. Elle frissonna d'appréhension en sentant de nouveau la présence de cette jeune fille désirable presque nue à ses côtés. Laura se tourna vers Angel, attendant visiblement les consignes. Il se contenta de hocher la tête et elle s'approcha d'elle, elle voulut se reculer mais sa tête commença à lui tourner et elle comprit qu'il l'avait droguée une nouvelle fois. Elle bascula en arrière et se retrouva de fait désemparée. Laura put s'allonger sur elle, son corps jeune et rond se frottant contre le sien sans qu'elle puisse lui résister à cause de la mollesse du divan sur lequel elles se retrouvaient installées. La jeune fille fit glisser ses lèvres sur les siennes, insinuant sa langue dans sa bouche. Quand sa main gauche commença à lui malaxer le sein droit, elle fut de nouveau envahit par cet infernal trouble qu'elle rejetait pourtant de tout son être et ce fut quand sa main droite envahit son intimité qu'elle commença à lui rendre son baiser contre-nature. Ensuite, elle se perdit dans cette étreinte malsaine, ses mains s'aventurèrent au travers du tablier de Laura, jouant sur ses tétons très développés puis elle voulut les goûter avec sa bouche, ressentir le fumet de sa chatte. Elle se sentait comme une chienne en chaleur et le fait que sa partenaire soit une enfant à peine majeure ne lui importait guère ; seules comptaient ses formes et le plaisir qu'elle lui apportait cet instant.

Elle fut tirée de cet état second par une sonnerie.

- Voici nos autres invités, annonça simplement Angel visiblement satisfait. Désolé pour toi Christine mais ta partenaire va avoir affaire ailleurs.

Laura s'arracha à cette lesbienne en furie et réajusta sa tenue. Elle se dirigea vers la porte d'entrée pour y voir apparaître un nouveau visage de femme. Cette fois, elle le reconnut. Il s'agissait d'une amie de sa mère et se demanda si elle allait devoir passer sa soirée à embrasser d'autres femmes. Elle lui ouvrit et attendit à la porte que l'on sonnât. Le temps d'attente ne fut pas aussi long que pour la précédente invitée et elle ouvrit immédiatement. Elle fut soulagée en constatant qu'il s'agissait en fait d'un couple et un peu moins en réalisant l'âge de l'homme qui devait avoir plus de 60 ans. Il devança la femme.

- Laura, dit -- il en la détaillant avec un air concupiscent qui ne cachait rien de ses intentions. Je suis tellement heureux de te rencontrer. Si tu savais depuis quand j'attends.

Elle ne connaissait pas cet homme mais il semblait la connaître. Elle appliqua les consignes imposées par son maître et se montra polie.

- Enchantée, monsieur. Si vous voulez me suivre.

- Mais avec plaisir, répondit le vieillard.

Elle se retourna pour lui indiquer le chemin et à ce moment-là, il posa sa main sur ses fesses nues. Elle sursauta mais elle savait qu'elle ne pouvait pas réagir. Il avait tout les droits et elle aucun. Ils arrivèrent donc dans le salon et elle fut une seconde fois le témoin de la scène grotesque du gros plan du cul de sa mère défoncé par un gode. Le vieillard éclata de rire pendant que la femme qui l'accompagnait manqua s'étouffer.

- Mon cher juge, fit le maître. Quel plaisir de votre présence et en plus vous m'amenez un superbe présent : Théodora Lupa.

Sa mère cessa sa fellation à l'énoncé de ce nom et voulut tourner la tête mais le maître posa ses main sur sa nuque pour bien lui faire comprendre qu'il n'en était pas question et elle rendit les armes pour retourner à son occupation précédente. A ce moment la main du vieillard s'aventura plus en avant dans le sillon de ses fesses et elle se crispa et il se tourna vers elle. Elle trembla en comprenant ce qui l'attendait, elle allait finir au lit avec lui.

- Je sais que vous êtes impatient, mon ami, déclara le maître. Je vous propose donc de profiter d'une des chambres de l'étage.

- Excellent, répondit le vieillard que le maître avait seulement nommé le juge. Je vous laisse Théodora en gage comme prévu.

- Laura, ordonna le maître, conduis notre invité!

Obéissante, elle se tourna et se dirigea vers l'escalier. Elle mena le juge jusqu'à la chambre qui fut naguère la sienne et l'invita à entrer. La juge la détailla avec intérêt et sembla apprécier le décor, particulièrement la caméra. Il se tourna vers elle et l'attira à lui pour l'embrasser. Sentir cette langue de vieillard dans sa bouche lui donna bien plus l'envie de vomir que celle de la femme qu'elle avait dû aller chercher quelques instants auparavant. Déjà sa main avait fait le tour de son corps et défait le nœud de la ceinture de son tablier. Il se frottait contre elle comme un animal et elle sentait la force de son érection. Il lui retira son tablier avant de la faire se coucher sur le dos, jambes écartées. Elle se souvint de l'exploration de son intimité par le maître, une semaine plus tôt mais ne se sentit pas du tout excitée à l'idée de sentir la langue de ce vieillard plonger dans sa fente. Pourtant, il n'en eut cure et il écarta ses grandes lèvres pour plonger sa langue dans son orifice génital puis commença à jouer avec son clitoris. Pour la première fois de sa vie, la langue d'un homme (pas celle d'un adolescent) jouait à lui donner du plaisir. Une vague de plaisir la submergea rapidement contre sa propre volonté et elle se laissa emportée sans aucun remord oubliant la nature de celui qui lui apportait cette extase. Rapidement, le juge retira sa langue de son vagin nimbée d'une mouille abondante, il semblait satisfait.

- Tu es une vraie petite salope comme Angel me l'avait promis, déclara -- t -- il. Rien à voir avec la petite pétasse qui partage ma vie, ajouta -- t -- il. Nous allons pimenter tout cela.

Il fouilla dans sa poche et sortit une paire de menotte. Elle avait souvent entendu parler de ce genre de jeu mais sans jamais y avoir joué et dans son état d'excitation, elle se sentait prête à céder à tous les caprices de ce vieillard lubrique. Il la fit se tourner et la repoussa vers le montant du lit. Il lui emprisonna les mains entre les cadres de façon à ce qu'elle ne puisse plus bouger et l'obligea à s'avancer. Elle se retrouva alors en position de levrette et il plongea sa main dans sa cavité vaginale qui mouillait toujours aussi abondamment. Elle était si excitée que ce simple geste suffit à la faire réagir. Cependant, il ne s'attarda et, sa grande horreur, il ressortit immédiatement ses doigts trempés pour les plonger dans son anus désormais totalement exposé. Elle comprit alors le but de la manœuvre et elle voulut s'échapper mais elle était prisonnière du montant du lit et il agrippa ses hanches pour la forcer à rester en place. Elle s'était piégée toute seule et elle commença à crier dès qu'elle sentit la pointe de son gland presser sur son orifice anal. Elle n'avait pas réagi lorsqu'elle avait assisté aux deux sodomies subies par sa mère mais à ce moment elle comprit l'enfer qu'elle avait subi et qu'elle subissait toujours. Le juge n'eut aucune pitié, il enfonça son membre dans sa cavité encore vierge avec une fermeté sans faille en profitant de sa position et elle savait qu'il ne cesserait que quand il l'aurait totalement pénétrée. Elle abandonna toute dignité et hurla autant qu'elle le put au fur et à mesure de l'avancée du sexe et elle crut son calvaire terminé quand elle sentit le contact de ses bourses contre ses fesses mais elle se trompait car il commença alors à la pistonner et alors elle atteignit un nouveau degré dans la souffrance. Elle s'accrocha au montant du lit alors qu'il allait et venait (de quelques centimètres seulement mais c'était suffisant pour lui faire vivre un enfer sur terre) en elle. Il s'était affalé dans son dos et lui tripotait ses seins qui allaient et venaient au rythme de la saillie en même temps et elle pouvait sentir son souffle dans son cou. Elle hurla encore plus fort!

Les cris de Laura se répercutèrent dans le salon et les trois femmes présentes se crispèrent.

- Laura est en train de découvrir de nouveaux plaisirs, ricana Angel en attrapant le visage d'Amandine afin de mieux voir les larmes qui en coulaient.

Il l'écarta sans ménagement la faisant se relever. Elle cria de nouveau sous l'effet de la douleur qui émanait de son anus envahi. Il la força à s'assoir et sa douleur fut renforcée. Du regard, il ordonna à Christine d'approcher. Désormais docile, l'éducatrice s'approcha et il fourra sa tête dans la l'intimité de la mère de Laura. Toujours sous le coup de l'excitation produite par la fille et de la drogue, elle ne se fit pas prier pour rendre la monnaie de sa pièce à la mère. Pour Amandine ce fut le début d'une horreur nouvelle, entre douleur dans son anus et plaisir contre nature dans sa chatte. Elle était tellement affaiblie qu'elle n'avait plus la force de résister. Angel put alors se concentrer sur la dernière de ses victimes.

Théodora était restée droite, totalement pétrifiée devant le spectacle obscène auquel on l'obligeait à assister. Peut -- être s'était -- elle convaincue qu'en se faisant la plus discrète possible, on finirait par l'oublier. Pas de chance, avec Angel cela ne risquait pas d'arriver.

Il s'approcha d'elle et posa ses mains sur le cache cœur qu'elle portait. Il glissa ses mains dans son dos pour défaire les deux pans.

- Vous savez que j'attends ce moment depuis très longtemps Madame Lupa, expliqua -- t --il en dénouant les deux pans. Exactement depuis le jour où j'ai découvert que votre ex-mari avait escroqué mon entreprise.

Il écarta les pans de son cache cœur dévoilant son soutien gorge en satin blanc choisi par le juge.

- Vous saviez que votre bel appartement avait été en partie payé avec mon argent et je ne suis certainement pas un bon samaritain.

Il rabattit le cache cœur en arrière de telle façon que qu'elle se retrouva les bras tirés vers l'arrière et les mains emprisonnées. Il lui retira son soutien gorge et commença à malaxer ses seins en souriant.

- Maintenant, tout va revenir dans l'ordre puisque grâce à vous, je suis devenu un associé incontournable pour monsieur Durant, votre ex-mari, et il va découvrir à quel point je peux être redoutable dans cette position. Quant à vous, vous allez regretter d'avoir profité de cet argent si mal acquis.

- Je ne savais pas, pleurnicha -- t -- elle peut -- être dans l'espoir d'attendrir son tourmenteur.

Mais bien sûr, Angel n'avait cure de ce genre de considérations. Il la poussa en arrière et la fit basculer sur l'un des divans, jambes relevées. Il retroussa sa jupe et lui arracha sa petite culotte. Il marqua un temps d'arrêt pour profiter un instant encore des cris de Laura qui s'éternisaient puis se jeta sur elle. Il la pénétra sans ménagement et se vautra sur elle. Elle se montra d'une docilité impressionnante ce qui montrait que le juge avait déjà bien entamé son dressage. Excité au maximum par le travail d'Amandine et les petits jeux lesbiens de Christine, il ne réussit cependant pas à profiter pleinement de cette femme superbe et il jouit en elle en profitant avec délectation de l'expression de soumission qu'elle affichait.

Il se releva pour constater que les cris de Laura avaient cessé. Quelques instants plus tard, le juge descendit, nu, une expression de joie dessinée sur le visage.

- La petite se repose, déclara -- t -- il. Il faut dire que notre petite séance l'a... surprise.

Ils éclatèrent de rire de concert et reportèrent leur attention sur Christine et Amandine. Totalement désinhibée, l'éducatrice semblait les avoir oubliés. Elle continuait à lécher la chatte de l'ancienne maîtresse des lieux sans se soucier du fait d'exhiber totalement ses parties les plus intimes. D'un geste, Angel invita le juge à profiter de l'aubaine. Encore vert en dépit de son premier round avec la fille Blenon, ce dernier ne se fit pas prier et se plaça immédiatement dans le dos de Christine qui réalisa sa présence bien trop tard. Il se figea entre ses reins lui arrachant un cri de surprise. Elle s'agrippa alors à Amandine alors qu'il la limait en levrette. Angel s'approcha à son tour. Le juge le vit et tira violement Christine par la queue de cheval. Elle s'écarta d'Amandine presque à contre -- cœur et Angel put alors se figer dans la chatte blonde de la femme. Angel ne se lassait pas d'humilier cette bourgeoise fabuleuse et, tout en profitant de son corps, il imaginait déjà les futures sévices qu'il allait lui faire subir. Amandine se retrouvait donc pénétrée par les deux orifices à la fois et elle se remit à crier de plus belle alors qu'Angel prenait son plaisir en elle.

La soirée se termina finalement. Les deux hommes étaient repus et abandonnèrent les quatre femmes totalement épuisées pour aller boire un dernier verre dans la cuisine. Le juge admirait les installations de la nouvelle résidence de son ami. Il appréciait notamment le système vidéo.

- Alors dîtes -- moi, lança Angel. Où en êtes -- vous de votre dernière partie du contrat?

- Cela suit son cours, répondit -- il. Elle sera mon chef d'œuvre croyez -- moi. Et nos amis?

- Ils vont bien. Uron a bien pris possession de l'hôtel de Sabato Orso et il compte en profiter.

Ruiner Sabato Orso, la plus grande fortune de la région avait été le coup de maître du club même si le juge avait trouvé que cela avait été prématuré.

- Quant à Diaz, il compte ouvrir un bar très particulier mais je n'en sais pas plus.

- Je ne doute pas qu'ils nous donnerons de leurs nouvelles quand ils seront prêts. Ils ne voudront pas être en reste pour la grande soirée.

L'horrible soirée s'était enfin terminée. Allongée sur l'un des divans, Amandine reprenait ses esprits. Son anus continuait à lui faire souffrir un martyr mais elle acceptait cette douleur ; elle avait connu pire désormais. Le juge de Saint Servier, celui-là même qui instruisait l'enquête sur les malversations de son mari, et Théodora, son ancienne amie, avaient été les premiers à repartir. La jeune femme qui, à sa grande honte, lui avait donné du plaisir, avait dû attendre encore un certain temps qu'Angel l'autorisât à se rhabiller. Il ne faisait aucun doute qu'elle était, elle aussi, une victime de leur suborneur en dépit du fait qu'elle s'était finalement abandonnée aux horreurs qu'il lui avait imposées. Elle était partie dans la nuit et Amandine pouvait jurer qu'elle était en pleurs. Elle se retrouva seule avec celui qui désormais décidait de son sort.

Une énième fois, il la força à se relever et une nouvelle vague de douleur diffusa en elle. Elle cria encore et il sourit. Il lui tendit de petites clés.

- Vas libérer ta fille, ordonna -- t -- il.

Sans un mot, elle se dirigea vers l'escalier. Chaque pas était un supplice et elle retrouva des reliques de sa dignité d'antan pour serrer les dents et cesser de crier. Elle arriva dans la chambre de sa fille et y entra appréhendant ce qu'elle allait y trouver.

Laura était sur le lit recroquevillée sur -- elle-même, les bras emprisonnés dans les montants par des menottes. Elle pleurait. Dans cette position, on pouvait voir un filet de sperme s'écouler entre ses fesses.

Amandine s'approcha d'elle et posa sa main sur son épaule la faisant sursauter ; ses pleurs redoublèrent. Elle lui murmura des paroles réconfortantes à l'oreille avant de tendre la main vers les menottes pour les défaire. Une fois ses mains libérée, Laura se recroquevilla encore plus pour adopter une position fœtale. Amandine retrouva alors son instinct maternel et mit les bras autour de sa fille. A ce moment, la porte se referma et Amandine comprit alors qu'elles étaient condamnées à partager cette cellule qui ne possédait qu'un seul lit. Elle chassa cette horrible idée pour l'instant pour ne penser qu'à remonter le moral de la seule enfant qui restait encore prés d'elle.

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3 Commentaires
AurailiensAurailiensil y a plus d’un an

Tout ce que j'aime... Cette diversité ne me gêne pas au contraire

AnonymousAnonymeil y a presque 3 ans

Très bien. Peut-être se concentrer sur quelques héroïnes clés

misterbonemisterboneil y a plus de 14 ans
A+, mais difficile à suivre

J'aime beaucoup la série, mais je doit avouer que j,ai un peu de difficulté à suivre l'intrigue parce que les personnages sont un peu trop nombreux. C'est particulièrement le cas dans cet épisode. Pour le reste, c'est excellent. Très scabreux et digne d'un porno Italien.

Comme je crois qu'il y aura encore beaucoup de chapitres à cette saga, je suggère un appendice où on retrouverait une brève description des personnages et de leurs liens.

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