La petite chienne de Maîtresse P. 01

Informations sur Récit
Un ado indolent et sans ambition se laisse soumettre.
2.2k mots
3.94
10.7k
1

Partie 1 de la série de 18 pièces

Actualisé 06/11/2023
Créé 11/15/2022
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D'ado indolent à petite chienne de Maîtresse Part.1

Je venais d'avoir 18 ans. Je ne savais toujours pas trop quoi faire de ma vie et je passais mes journées à « glandouiller » passant de ma chambre à l'extérieur. Cela avait le don d'agacer ma mère avec laquelle le conflit devenait de plus en plus larvé. Elle parlait même de me mettre à la porte si je ne me prenait pas en main et décidai de faire quelque chose de ma vie.

Ma vie se passait surtout entre jeux vidéo, TV, Internet et notamment une addiction aux sites pornos où je découvrais quantités de pratiques sexuelles très vicieuses dont j'ignorais l'existence. A 18 ans, sortant très peu, je n'avais pas de petite amie. Bourré de testostérone, j'étais tellement excité, notamment par le porno que je consommais à haute dose, que je me masturbais frénétiquement, parfois jusqu'à 8 fois par jour, essayant de cacher ma consommation de mouchoirs en papier...On m'avait qualifié d'indolent. Je ne connaissais pas ce mot et le dictionnaire me donna le sens : « qui évite de faire des efforts ». C'est vrai, cela me correspondait assez bien.

Comme je ne faisais rien de mes journées, ma mère m'avait quand même acheté un abonnement dans un fitness et m'obligeait à m'y rendre 2-3 fois par semaine. Il faut dire que la nature m'avait quand même gâté, avec un beau corps de 178 cm, solidement bâti, et muni d'un beau membre de 5 x 20 cm. C'était le seul truc que je kiffai pour le moment, entretenir mon corps et aller au fitness en journée. Il y avait bien des femmes, mais malheureusement aucune de mon âge et j'étais malgré tout bien trop timide pour tenter de draguer les bourgeoises trentenaires, visiblement bien salopes, venues essayer de faire disparaître des bourrelets naissants.

Bref, ainsi allaient mes journées, sans que je ne voie de porte de sortie. J'allais aussi visiter régulièrement les sites de petites annonces de rencontres sexuelles, espérant y trouver quelque chose, mais rien de très intéressant et souvent aucune réponse à mes tentatives de contact. Jusqu'à ce jour où paru une annonce accrocheuse :

« Belle cougar, particulièrement sexy, mi quarantaine, cherche beau jeune « bull », majeur mais max 20 ans, pour service régulier. Si intéressé n'hésite pas à te manifester».

Il ne me fallut que quelques secondes pour tenter ma chance et répondre, en me décrivant. Malgré tout je n'avais guère d'espoir. Au fil des jours du reste, l'espoir d'une réponse s'amenuisait, me disant que, encore une fois, je resterai sans réponse.

Ce fut le 4ème jour qu'une réponse me parvint :

« Jeune homme, j'ai retenu votre candidature qui m'intéresse. Si mon offre vous convient toujours, je vous demande de vous présenter ce samedi à 14 :45 à l'hôtel « Beau-Rivage » de Lausanne-Ouchy, où vous demanderez « Lady Irina ». Une personne viendra vous chercher et vous accompagnera jusqu'à ma chambre où nous pourrons faire connaissance. Merci de me confirmer votre venue ».

Dans la seconde je lui répondis :

« Chère Madame, d'abord merci pour votre réponse et je me ferai un plaisir de venir vous rencontrer t me présenter à vous ce samedi. En attendant passez une belle fin de semaine. Bien à Vous, JM ».

La réponse ne tarda pas, quelques minutes plus tard mon écran affichait

« Bien, merci, je vous attends samedi ».

Nous étions mercredi, inutile de dire que dès cet instant, je me mis à vivre dans l'attente de ce moment, sans bien sur en parler à personne. Je passai les jours suivants dans un état de totale excitation, cachant mal ma fébrilité. En même temps je me masturbai encore plus les jours suivants, mais la sagesse me commanda de m'abstenir le dernier jour pour arriver chez cette lady totalement rechargé.

Le samedi, je m'habillai de manière classique mais sexy, jeans moulant, tee shirt moulant noir pour mettre en évidence mon corps et mes formes, une paire de jolies bottines à talon plat. Bien parfumé. Je quittais ma mère sans rien lui dire, vers 11 :30, le temps de prendre mon train et d'arriver à l'heure au rendez-vous fixé par la dame. J'arrivai vers 14 :30 dans le hall de l'hôtel. Peu avant l'heure du rendez-vous, je vis sortir de l'ascenseur un jeune garçon de mon âge, plus fluet et l'air plus timide. Il venait visiblement de quitter la dame après son interview.

A 14 :44 précises, je me dirigeai vers le comptoir et m'adressai au réceptionniste, le cœur quand même battant, en essayant d'avoir l'air normal.

-Bonjour Monsieur, j'ai rendez-vous avec Lady Irina à 14 :45.

-Oui on vous a annoncé, j' appelle suite.

Quelques minutes plus tard, un homme dans la quarantaine, l'air sévère d'un majordome, apparut à la sortie de l'ascenseur et se dirigea vers moi.

-Bonjour jeune homme, vous avez rendez-vous avec Lady Irina, suivez-moi svp.

Je le suivi dans l'ascenseur, sans qu'il ne dise plus un seul mot. Arrivés au 5ème, je le suivi jusqu'à une suite. En entrant j'aperçu la créature la plus sexy que j'avais jamais croisée. Elle était assise dans le sofa, jambes croisées, avec un air supérieur. Une sublime blonde, un air de femme russe, habillée et maquillée comme une prostituée de haut vol, toute de cuir vêtue, une mini jupe extrêmement étriquée et moulante, trop courte, croisée sur le devant, attirant le regard entre ses cuisses, ses longues jambes couvertes par une paire de sublimes cuissardes montant jusqu'au haut des cuisses et terminées en bas par des talons aiguille d'au moins 15 cm, laissant apparaître un porte jarretelle à dentelle sur le morceau de peau visible, entre le bas de la mini et le haut des cuissardes, un chemisier blanc ouvert sur une poitrine démentielle, visiblement refaite et siliconée et qui ressemblait à une paire de demi pomelos, soutenue par un bustier cuir qui moulait et serrait ses deux impressionnantes mamelles l'une contre l'autre. Par dessus un petit perfecto en cuir bien serré et court, ultra sexy. Elle portait encore une paire de longs gants en cuir noir, percés au bout et laissant apparaître de faux ongles rouge vifs d'au moins 4 cm, taillés en pointe comme des griffes. Son maquillage était à l'avenant, très marqué, pour lui dessiner un visage parfait, avec de longs faux cils, une vraie peau de pêche, un contour des yeux très noir et un rouge à lèvre rouge vif comme ses ongles.

-Bonjour jeune homme, prenez place et détendez-vous.

-Bonjour Madame, réussi-je à articuler, pratiquement paralysé par cette femme incroyablement sexy.

-Je sais que je vous impressionne, mais détendez-vous, je ne vais pas vous manger. J'aime m'habiller très sexy. Que puis-je vous offrir? Alcool, pas d'alcool? un coca? un whisky?.

-Un Whisky Madame, ça me détendra.

Elle avait un accent russe, effectivement.

Le majordome s'empressa de m'apporter un verre, avec des glaçons qu'il posa sur la table, sans rien dire.

-Merci Julien dit la dame.

-Alors voilà jeune homme, je vais vous expliquer la raison de votre présence ici cet après-midi. Je vais vous le dire sans détours. Je suis une nymphomane, j'ai besoin (c'est un réel besoin) de me satisfaire en moyenne entre 8 et 12 fois par jour, selon mon humeur, sinon je ne suis pas bien. Ça peut même aller jusqu'à 15 parfois. Pendant longtemps j'ai essayé de me donner mon plaisir avec des sextoys, avec un womanizer avec un vibromasseur, mais rien ne remplace une belle bite bien dure, lisse et douce, bien accrochée à un joli corps sportif à 37 degrés, une belle peau, de beaux muscles et qui bouge comme on le lui demande, qui me baise comme mon petit taureau (on appelle ça un bull), endurant, sans rien demander d'autre que de me satisfaire. Alors voilà la raison. A partir de là avez-vous envie de partir ou de rester?

-Je vais rester bien sûr Madame.

-Bien déshabillez-vous complètement jeune homme que je vous examine et en attendant j'ai quelques questions à vous poser. Elle avait une autorité naturelle qui me subjuguait et me laissait sans voix. Une force de persuasion qui faisait que je ne pouvais que lui obéir.

-D'abord quel est votre prénom?

-Michel Madame.

-Bien et que faites-vous dans la vie Michel? Habitez-vous seul? Avez-vous quelqu'un dans votre vie?

-Non Madame, pour le moment je n'ai aucune activité, j'habite avec ma mère, mais ça ne se passe pas très bien. Elle parle même de me jeter à la porte car je ne travaille pas.

-Très bien tout ça. Vous masturbez-vous? combien de fois par jour?

La question bien sur me gênait, mais je n'avais pas trop le choix, je lui répondis timidement et en rougissant encore un peu plus, lui avouant mes pratiques solitaires :

-Oui Madame, plusieurs fois par jour

-Combien, répondez-moi franchement.

5-6-7 fois par jour.

-Parfait, vous êtes endurant ou précoce?

Non endurant Madame, j'aime me faire durer, même parfois 20 minutes avant de jouir

-Encore une bonne réponse, regardez-vous du porno?

-Oui Madame, dis-je avec un peu de honte.

- Ça me convient très bien, j'imagine que vous vous excitez beaucoup devant votre écran.

-Oui Madame, dis-je un peu piteusement.

-N'ayez pas honte, c'est très naturel à votre âge, vous avez tellement de testostérone qui circule dans vos veines. Normal de vouloir évacuer cette surcharge. Vous avez l'âge d'être un bon reproducteur, le contraire serait bien étonnant, surtout à voir votre joli gabarit.

J'avais terminé de me déshabiller, posé mes habits sur une chaise à côté. J'étais nu comme un ver devant elle, honteux et cachant avec peine une érection déjà bien présente.

-Enlevez vos mains de votre bite, svp, je veux la voir. Je vois que vous êtes très bien bâti, joli corps, justement assez « bull ». En plus une belle paire de testicules de beau volume et qui pendent bien.

Elle les soupesa, les tâta, le contact de ses mains gantées sur mes boules faisant bien sur beaucoup d'effets.

-Avec une telle paire de burnes, j'imagine que vous produisez de grosses quantités de semence. Approchez que je regarde bien votre membre.

Elle continuait de me parler en s'adressant à moi comme si je n'étais qu'un objet. Je m'approchai jusqu'à 30 cm d'elle. De ses mains elle attrapa ensuite ma bite qu'elle se mit à caresser et griffer de ses ongles avec une infinie subtilité. L'effet ne se fit pas attendre et en quelques secondes elle gonfla et durcit, révélant presque douloureusement mes 5 x 20 cm.

-Ouah, que c'est charmant, la nature vous a joliment équipé fit-elle. Vous vous en servez régulièrement avec les filles?

-Non Madame, malheureusement, je n'ai pas de petite amie en ce moment.

-Et ça vous dirait de vous en servir avec moi?

-La question ne se pose même pas Madame, bien sûr et plutôt 2 fois qu'une. Vous êtes si belle et si attirante.

On va déjà voir ce que vous valez, approchez-vous.

Elle commença à me caresser avec une incroyable habileté. On ne m'avait encore jamais fait ça, ses doigts glissant sur me peau, alternant petites griffures et douces caresses dont l'effet était redoutable.

Je vais vous caresser durant 5 minutes, pour tester votre endurance. Interdit de jouir, résistez bien.

L'instant était en quelque sorte atroce, une véritable torture, tellement elle me donnait envie de jouir. Je résistai au plaisir, comprenant que si je me laissai gagner par cette envie d'orgasme qui me tenaillait, je compromettais toutes mes chances d'être retenu. Après 5 minutes de ce jeu vicieux elle parut très satisfaite.

-Très bien jeune homme, je vois que vous savez être endurant et résister et ça me plaît, votre bite n'a pas molli un seul instant, compliments. Je vous imagine complètement frustré... (elle esquissa un sourire un peu vicieux de satisfaction sadique), mais vous aurez tout loisir de vous terminer en pensant à moi dès votre retour chez vous. Très bien, vous pouvez vous rhabiller, j'ai vu ce que je voulais.

Elle avait un ton très neutre, comme si elle me faisait passer un examen, avec dans sa voix ce petit quelque chose me laissant imaginer que le passage avait quand même été réussi.

Je repassai mes habits, un peu plus détendu qu'en arrivant, terminant également mon verre de Whisky.

-Bien jeune homme, je vais vous laisser partir. Je vous avoue que vous me plaisez, autant physiquement que par votre côté assez docile obéissant que j'adore, mais j'ai d'autres candidats à examiner encore. Je suis une personne de parole et je vous donnerai réponse de ma décision d'ici quelques jours, qu'elle soit négative ou positive. En attendant merci d'être venu et bon retour.

Sans plus rien dire, le majordome me conduisit à la porte. Je me dirigeai vers l'ascenseur en me demandant si j'avais bien vécu cette scène ou si ce n'était qu'un rêve, la bite toujours complètement dure et douloureuse et peinant à dissimuler la bosse qui déformait mon pantalon. Arrivé dans le lobby, je vis un autre jeune homme s'adresser au réceptionniste. La « sélection » continuait visiblement. J'espérai être celui qui serait retenu. En attendant il me fallait trouver les toilettes de l'hôtel pour aller me terminer, ce que je fis dans la minute, déversant dans le papier des torrents de semence. Je rentrai chez moi dans un état un peu second.

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Anonymous
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5 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a plus d’un an

Superbe introduction !!

AurailiensAurailiensil y a plus d’un an

Bon début qui nous laisse dans l'attente d'une suite qu'on espère bien perverse

AnonymousAnonymeil y a plus d’un an

Ça donne envie de connaître la suite

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