Dominant Wife 01

Informations sur Récit
Malgré le titre en Anglais, l'histoire est en Fraçais.
2.1k mots
4.34
12.2k
4

Partie 1 de la série de 4 pièces

Actualisé 06/12/2023
Créé 12/30/2022
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La sonnerie du réveil me tire brutalement de mon sommeil. Il est 7h du matin et nous sommes samedi. J'ai au moins deux heures devant moi avant que ma femme, qui est aussi ma maîtresse, ne se réveille. Elle est sortie hier avec ses copine et n'est pas rentré avant 2h du matin.

Mais il faut sans doute que je vous explique un peu la manière de vivre de notre couple.

Depuis toujours, j'ai eu des fantasmes concernant la domination féminine sans jamais oser en parler à personne. Ma femme, de son côté, à un caractère très fort et a tendance à vouloir tout régenter. C'est sans doute à cause de cette complémentarité que nous nous sommes plu.

J'ai 49 ans, et Hélène, ma femme en a 53 et nous sommes mariés depuis 12 ans. C'est pour tous les deux un second mariage. Elle a une fille de 27 ans qui habite non loin de chez nous.

Comme avec ma première femme, j'ai essayé à plusieurs reprises de pousser Hélène à jouer un sorte de jeu de rôle ou je me comportais comme son humble serviteur lors de nos jeux sexuels. Je lui embrassais les pieds, la léchait jusqu'à lui procurer plusieurs orgasmes sans en avoir moi même. Elle est multi-orgasmique et peut facilement avoir trois ou quatre orgasmes une fois qu'elle est bien excitée. Il lui arrive même parfois d'éjaculer et de m'inonder d'un liquide salée et acidulée.

J'adorais ses séances et en éprouvait une extraordinaire excitation encore accrue par la frustration que je m'imposais. Il m'est même plusieurs fois arrivé d'éprouver une sorte d'orgasme nerveux, une brutale convulsion qui me faisait trembler de tout mon corps et me laissait épuisé et hagard, comme si j'avais jouis violemment alors que je n'avais pas éjaculé.

Elle se laissait faire passivement, et je sentais que, si en elle éprouvait évidement du plaisir physique, elle ne s'impliquait pas vraiment dans ses jeux. Elle ne comprenait pas que je ne veuille pas jouir. J'avais beau essayer de lui expliquer le plaisir 'intellectuel' que ça me procurait, cela lui semblait incompréhensible, un peu pervers.

Même quand nous faisions l'amour de manière plus conventionnel, je passais longtemps en préliminaires pour la faire jouir avant de la prendre. J'avais toujours du mal à me retenir très longtemps et la plupart du temps, j'éjaculais en elle après quelques va-et-vient. Pour tenter de compenser mon incapacité à la faire jouir ainsi, nous avions acheté plusieurs godemichés dont l'un, en silicone couleur chair, imitait à merveille un sexe d'homme, jusqu'au détail des veines qui courait le long du phallus. C'est celui-là qu'elle préférait et que nous utilisions la plupart du temps. Mais je savais, parce qu'on en avait parlé, qu'il lui manquait de se sentir vraiment baisé par un homme. J'avais été voir un sexologue pour essayer de guérir de cette éjaculation précoce mais rien n'y fit.

Bref, si nous nous entendions parfaitement sur tout les domaines de la vie, si j'étais certains que nous nous aimions profondément tous les deux, on ne peut pas dire que notre vie sexuelle soit une vrai réussite.

Et puis il y avait autre chose qui me gênait, Hélène refusait absolument que je la touche sans qu'elle soit passé par la douche. Moi, j'aimais ses odeurs naturelles, l'odeur de sa peau, de sa sueur, de ses sécrétions, de son urine même qu'il m'arrivait de respirer sur l'entrejambe de ses culottes sales et j'aurai aimé en profiter un peu quand nous faisions l'amour, mais il n'y avait rien à faire. Je n'osais pas trop insister, sachant que ça l'aurait gênée et que cela aurait sans doute encore accentué son idée de ma perversité maladive.

Les choses ont changé il y a un an quand Hélène a rencontré Carole. Carole est Américaine et psychologue. Elles se sont rencontré au club de Fitness. Hélène a toujours fait très attention à son corps et force est de constater qu'a plus de cinquante ans, elle en paraît dix de moins., bien qu'elle passe son temps à se plaindre de la légère inflexion de sa poitrine, de ses fesses, soit-disant trop grosse, ou des quelques rides qui apparaissent ça-et-là. J'écoutais en silence ses plaintes quotidiennes alors que je la trouvais moi, plus désirable que jamais. L'instant le plus critique étant toujours quand elle finissait par me lancer.

« Tu trouves pas que j'ai de grosses fesses? »

Je ne répondais bien sur jamais par l'affirmative, d'abord parce que cela aurait été évidemment vexant, ensuite parce que j'adorais son fessier, large mais pratiquement dépourvu de cellulite, mais même quand j'affirmais avec conviction le contraire, elle m'engueulait en me disant que je n'étais pas sincère.

Bref, Hélène et Carole devinrent très vite de grandes amies. Et le comportement d'Hélène commença à changer. Cela commença de manière insidieuse

Un soir, nous faisions l'amour. Je l'avais déjà faite jouir à deux reprises, avec ma langue, mes doigts et le godemiché 'flesh-like' et je m'apprêtais a la pénétrer quand elle m'arrêta, la main sur ma poitrine.

« Non, pas ce soir »

Interloqué, je la regardais interrogatif

« Ce soir, tu ne rentres pas dans moi...si tu veux jouir, tu te branles sur mon ventre »

Je me sentais à la fois, surpris, frustré, et brutalement surexcité par sa brutale prise de contrôle. Je commençai docilement à me masturber. C'était la première fois que je faisais ça devant quelqu'un et , même devant ma femme de 10 ans, je me sentais étrangement intimidé en effectuant un acte aussi intime. Dans l'état d'excitation où j'étais, il ne me fallut pourtant pas longtemps pour projeter de longs jets de sperme sur son ventre et jusqu'à sa poitrine. Je récupérai de mon orgasme quand elle m'asséna la première des directives que je n'attendais pas :

« Lèche »

Venant de jouir, je n'avais aucune envie de faire ça et ça me dégoûtait plus que tout, mais elle avait pris en mains les choses pour la première fois sans que je lui dise quoique ce soit et malgré ma répulsion, j'en éprouvais une profonde excitation. Je me penchai et commençai à lécher mon propre sperme. Plus que le goût acre et ammoniacal, c'est la consistance gluante qui me révulsa. Chaque fois que je rentrais la langue dans ma bouche, une partie de ma lapée retombai et il me fallut longtemps pour parvenir à la nettoyer. Je sentais, à ses mouvements,qu'elle se caressait pendant que je la nettoyais servilement. Le seul aspect agréable fut quand je dus lécher ses seins dont les tétons érigés et les aréoles crispées étaient la preuve de sa propre excitation. J'avais le cœur au bord des lèvres quand je ne sentis plus cette saveur grasse sur sa peau et c'est alors que j'entendis le profond soupir et la crispation de tout le corps qu'elle avait quand elle jouissait .

Je me retenais pour ne pas vomir tandis qu'elle reprenait son souffle après son orgasme.

C'était la première fois que j'ingérais du sperme et clairement, ça ne me plaisait pas du tout, mais en même temps, le fait d'être contraint de le faire par ma femme rendait la chose subtilement excitante.

À partir de ce jour, le comportement d'Hélène changea du tout au tout. Elle qui n'avait jamais paru intéressé plus que cela par mon désir de soumission sembla brusquement y trouver un plaisir nouveau et alors qu'avant, c'était toujours moi qui provoquais les séances D/S, elle me surprit en prenant de plus en plus souvent un comportement dominateur lors de nos relations sexuelles. Et je me retrouvais de plus en plus souvent allongé sur le lit pendant qu'elle s'empalait sur mon sexe. J'adorais cette position ou je voyais sa lourde poitrine se balancer au rythme de sa chevauchée. Un autre avantage était que j'avais plus de faciliter à me retenir dans ce rôle passif où je pouvais davantage me concentrer sur mon plaisir. Systématiquement, après que j'ai jouis en elle, elle se plaçait sur ma bouche pour que je la nettoie de ma semence. J'avais toujours horreur des globules épais qui me tombaient dans la bouche, mais je les avalais pourtant docilement avant de lécher dans son vagin et sur ses lèvres les dernières traces de notre plaisir mutuel.

Au fur et à mesure qu'elle prenait confiance en elle, et en son pouvoir sur moi, elle devint plus audacieuse et moins respectueuse de mes propres sensations. Elle abandonna son obsession de la douche et n'hésitât plus à me faire sentir l'odeur musquée et aigrelette de sa chatte en fin de journée et à me faire goûter la saveur salée de sa sueur.

Elle avait même découvert un nouvelle manière de se faire jouir qui aurait été invraisemblable quelque temps auparavant, elle me faisait lui lécher l'anus pendant qu'elle se caressait et je passai de long moment enfouis dans l'odeur acre de sa raie des fesses. Quand elle approchait de l'orgasme, elle insistait pour que je rentre ma langue le plus profondément possible, parfois elle me demandait d'y insérer un doigt.

Bien que passant par moments des instants difficiles, j'étais ravi de la nouvelle tournure qu'avait pris notre sexualité, et je sentais qu'elle prenait elle-même de plus en plus de plaisir à me faire subir de petites humiliations.

Cette situation paradisiaque dura quelques semaines durant lesquelles elle augmenta petit à petit son pouvoir sur moi. Elle commença à réduire mes orgasmes, m'interdisant de jouir pendant des périodes de plus en plus longue. Bien qu'étant pénible, ces périodes d'abstinence répondaient à mon désir d'être constamment sous son contrôle et il ne me venait pas à l'esprit de tricher en me masturbant derrière son dos. Elle prenait plaisir à jouir sous mes caresses sachant le désir qui me tenaillait et je ne pourrais pas calmer.

Mais bientôt, les choses montèrent encore d'un cran.

D'abord, elle exigea que nous fassions chambre à part. Je déménageai dans la 'chambre d'ami', un petite pièce que nous avions aménagé sommairement pour recevoir ponctuellement des amis de passage, tandis qu'elle conservait notre chambre conjugale avec sa salle de bain attenante.

Ensuite, elle eut envers moi un comportement de plus en plus humiliant.

Un soir, après que je l'eus fait jouir avec mes doigts et ma langue, elle me retourna sue le dos comme elle le faisait souvent et me fixa dans les yeux l'air sérieux.

« Tu vas me pénétrer ce soir pour la dernière fois...et je crois bien que c'est même la dernière fois que tu pénétreras une femme...savoure ton dernier coït »

Se mettant sur moi, elle me fit pénétrer en elle et commença à monter et descendre sur ma verge raide, sans me lâcher des yeux. La friction onctueuse des parois de son vagin fit monter immédiatement mon plaisir, mais son rythme était trop lent pour m'amener à la jouissance. Très vite cela devint presque douloureux d'être ainsi constamment au bord de l'orgasme sans pouvoir y parvenir. J'essayais de remuer pour accélérer la friction, mais elle m'arrêta immédiatement.

« Tsss tsss, tu ne bouges pas et tu me laisses faire »

Cela dura un temps qui me parut infini. J'étais continuellement au bord, sans jamais arriver à l'explosion que j'attendais de toutes les fibres de mon corps. Elle maîtrisait parfaitement ses mouvements pour me maintenir dans cet état 'border-line'. Finalement, elle fit deux ou trois allers-retours plus amples avant de s'asseoir de tout son poids sur mon bassin. Je jouis en elle sans qu'elle fasse un seul geste, sentant les pulsions du sperme qui passait dans ma queue sans autre stimulation que la chaleur humide de son vagin. Ce ne fut pas l'orgasme dont j'avais rêvé, plutôt une sorte de vidange ou je me sentais éjaculer en elle presque sans plaisir, en tous cas pas du tout avec le plaisir que j'espérais depuis plusieurs minutes.

J'avais instinctivement fermé les yeux, en les rouvrant, je la vis me regarder avec un léger sourire sur les lèvres.

« C'était bon »

« Oui...euh enfin, c'était pas ce que j'attendais »

« C'est dommage, c'était la dernière fois »

Sur le coup, je n'ai pas pris ses déclarations au sérieux, pensant que c'était un jeu pervers, mais c'était mal connaître la nature de sa perversité et effectivement, ce fut la dernière fois que j'ai pénétré ma femme...il y a maintenant 2 ans.

Peu après cet événement, elle décida d'augmenter son contrôle sur moi. Elle ne voulait plus que mon abstinence soit le seul fruit de ma volonté et me demanda d'acheter une cage de chasteté. À partir de ce moment-là, mes périodes d'abstinence s'accrurent considérablement. Parallèlement, cette prise de pouvoir semblait avoir décuplé sa libido et je la faisais jouir avec ma langue et mes doigts au moins deux ou trois fois pas semaine. Après avoir vécu 10 ans avec une femme limite frigide, je me retrouvais avec une maîtresse nymphomane et castratrice.

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6 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a 12 mois

Magnifique !

soumidemartisoumidemartiil y a environ 1 an

tout a fait mon genre

AnonymousAnonymeil y a plus d’un an

J'aime beaucoup.

Rudy

Assas78Assas78il y a plus d’un an

Excellent début. Le port de la cage va immédiatement changer le caractère de ce soumis.

J'espère que sa Maîtresse le fera cocu et lui réservera le contenu de sa chatte et de son cul pour lui offrir à son retour

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