Le Chevalier Pervers 03

BÊTA PUBLIQUE

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-Normalement, la nonne. Elle est plus expérimentée et elle n'était pas neuve.

Il me fit un signe de la tête. Une mince silhouette trottait dans les sous bois. La femme se heurta au roncier et obliqua vers nous. La couverture avec laquelle elle s'était enroulée s'ouvrit laissant voir un corps mince et une pilosité discrète.

-La servante, commentais-je, et je sautais sur le chemin.

Elle sursauta et eut un geste de recul alors que je me recevais souplement en fléchissant les genoux. Elle me regardait avec désespoir et une peur abjecte.

Je m'approchais d'elle et l'attrapais par le bras, alors que sa pauvre couverture volait. Elle ne protesta pas lorsque je la poussais contre un tronc tombé. Elle frémissait de terreur quand je la plaquais contre le bois pourrissant. Je poussais mon vit à l'aveugle dans son anus. Le diable d'anneau s'était resserré, et j'avais l'impression d'ouvrir le chemin. Ses muqueuses m'ensserraient comme un doux carcan. Elle ne criait pas, se contentant d'émettre un râle rauque à chacune des mes intromissions profondes, acceptant son viol avec résignation.

-Gaston, tu veux profiter? Demandais je.

Il déclina l'invitation, et me dit avec un rire sec qu'il lui ferait sa fête au matin, après son tour de garde

********

L'émissaire des anglais était un gros marchand. Il venait vérifier que les otages étaient en vie. Je le reçus dans le petit bourg qui jouxtait la forêt, ce qui me permettait de poster des archers plein la lisière. La maison ,la masure,devrais je dire, où je recevais le gros était de plus à l'écart du reste du bourg. Les prisonniers, bâillonnés et sous bonne garde, attendaient leur heure dans le sous bois.

Mon interlocuteur posa sa lourde carcasse sur le siège que j'avais fait disposer devant la.petite construction.

-Ainsi, c'est vous, dit-il, en regardant ma bannière et sa chauve-souris.

-Oui. Cette forêt est mienne. Répondis-je.

-Je vais demander quelques examens.

-Vous voulez savoir si lady Anna est toujours apte au mariage.

-Votre réputation vous précède.

Je ris.

-Nécessité fait loi. Et si cette dame avait été seule, votre examen aurait tout son intérêt. Mais je n'ai pas touché au pucelage de la noble lady.

-Je me permets d'insister.

Il parla enfin rançon. Ma foi, si j'avais su qu'un con pouvait valoir tant, j'aurais prié que ni ne me donne que des filles.

Je rejoignis mes hommes, qui attendaient, paisiblement installés sous un gros chêne.

-J'ai l'or, dis je.

Les chevaliers demandèrent à être délivrés derechef.

-Désolé, vous êtes morts. Leur expliquais je. Vous avez été tués lors de la capture de lady Anna.

Ils me regardaient, effarés. Ils expliquèrent provenir de familles fidèles au duc de Bordeaux depuis toujours, et qu'il était certain que le suzerain ne les abandonnerait pas.

-Mais il ne vous a pas oubliés, les rassurais je. Simplement, il songe que lady Anna en a pris pour son grade, et si elle demeure pucelle, l'enculage nuirait à sa réputation. Et donc vous voilà promu au rangs de témoins gênants.

Lors de notre arrivée au camp, l'un des deux jeunes hommes pleurait à chaudes larmes, tandis que l'autre regardait fixement devant lui.

-Voilà, ce que je vous propose, c'est de mourir. Dis-je. Mais juste de mourir au monde. Je vous propose de laisser tomber vos noms, vos couleurs, et vos rangs, et de rejoindre mes troupes. Vous avez jusqu'à demain pour changer de vie. Ou la perdre.

Catherine me regardait avec une étrange lueur dans le regard.

-Vous l'avez rendue?

-Oui, elle crée bien des soucis, d'ailleurs, elle nous laisse les deux spadassins et sa suite. Il y a souvent moins de noblesse dans une culotte de soie que sous une robe de gros coton.

Elle sembla plonger dans une courte réflexion.

-Karine m'a révélé bien des saloperies. Lady Anna est invertie et l'obligeait à lui lécher le con.

Je levais les yeux sur la rouquine, qui levait sa robe sur ses jambes pâles.

-C'est une belle catin, sans aucun doute. Mais tu en es une autre.

-Je suis la servante d'un chef de guerre. Dit elle avec un sourire vicieux.

Elle dévoilait à présent son triangle de feu, partagé par le trait rosé de sa fente brillante de suc.

Je me rapprochais doucement et me glissais entre ses cuisses ouvertes. Elle me dégrafa les chausses et mon vit lui bondit dans la main. La main était fraîche et fine et contrastait avec ma carnation brune.

Elle me guidait vers son puits d'amour, avec douceur. Je baissais les yeux sur son doux visage et sentis une douce chaleur m'envahir le torse. Je fronçais les sourcils.

-Retournes toi. Ordonnais-je.

Son léger frémissement me remplit d'aise.

Docilement, elle s'inclina sur la table, exposant son anus serré, petit point d'ombre au milieu de ses chairs blêmes. Je plaçais mon chibre contre l'oeillet frémissant. Elle écarta ses deux globes jumeaux du bout de ses doigts fins. L'orifice que je convoitais s'en trouva un peu élargi. Je poussais fermement et le muscle céda et je m'enfoncais en grondant dans son cul. Elle salua ce viol d'un cri de douleur. Je commençais mes aller-retour rapides sans tenir compte de ses cris hystériques.je me libérai sur le bas de son dos. Elle ôta tout à fait sa robe, et se tourna vers moi avec un pâle sourire.

-J'avais peur que le cul de cette Lady vous ait détourné de celui de votre Cath' .

Elle avait le visage dévasté de larmes et grimaçait si elle devait effleurer le plateau de la table. Je me penchais et l'embrassais profondément.

Au coeur de la nuit, je me redressais, tous les sens en éveil. Le craquement se reproduisit. Je me glissais hors de la couverture. Je me glissais dans la nuit, à la suite de l'ombre qui gagnait le bord de la rivière. J' empoignais le col de celui qui se déplaçait le long de la berge de la rivière. Il sursauta et je le plaquais au sol en m'abattant sur ses reins, ce qui lui arracha un cri.

Il était attaché au centre du camp, les bras liés en arrière autour d'un arbre. Il frissonnait, sa nudité offerte aux fraîcheurs de la nuit.

-Votre bêtise est admirable, dis -je, n'avez vous pas songé que ce côté là était également gardé?

Le jeune homme secoua la tête. Il était très jeune, peut-être moins de vingt ans. L'âge de déraison et des emportements le torturait.

-Pourquoi t'es tu enfui?

-Je ne veux pas mourir.

-C'est fait, tu es mort.

Je me sentais las de cette comédie.

-Le duc de Bordeaux l'a décidé, c'est ainsi. Il m'a versé votre rançon précisément pour s'assurer de votre mort. Vous avez été tué à l'ennemi et figurez déjà sur le mur des morts sans sépulture sur le mur de son donjon. Votre famille vous pleurera quelques temps, puis le monde poursuivra sa course, tandis que vous jouirez d'une place de choix à la droite de notre seigneur.

L'autre chevalier avait toujours son regard fixe et droit.. Il ne regardait pas son compagnon d'infortune.

-Comme tu n'as pas encore accepté ton engagement auprès de moi, tu n'as pas trahi. Précisais je. Mais je ne peux tolérer ce genre de chose.

Le fouet siffla et cingla ses jambes sur les cuisses. Je passais mon outil à un compagnon qui fit siffler la lanière jusque sur l'épaule gauche du malheureux qui glapissait de douleur à chaque coup. Au bout de dix coups, il perdit connaissance.

Je le laissais là et renvoyais mon monde au lit. Catherine s'était levée en entendant le tumulte mais s'était recouchée pour maintenir la couche chaude. Je tendis la main et suivit la douce rondeur d'une cuisse jusqu'à sentir le poil de sa chatte m'agacer la paume. Je poussais mes dactyles exploration plus avant et sentit du bout des doigts une humidité douce.

Elle soupira et se cambra légèrement sous la caresse. J'approfondissais la caresse en entrant deux doigts dans la caverne de la rouquine et commençais à bouger la main en appuyant sur le petit repli secret de mon pouce . Après quelques instants de ce traitement, elle poussa un bref cri, tandis que ses chairs intimes palpitaient autour de mon index et mon majeur enfouis dans son con.

Je me glissais sur elle et mon sexe trouva naturellement l'orifice convoité. Elle ronronnait comme une chatte caressée au coin du feu. Je commençais des mouvements d'avant en arrière, très doux. Elle me serra dans ses bras et enroula ses jambes autour de mes hanches. Elle haletait de nouveau, avec des petits gémissements de plaisir quand je butais au fond de sa cavité. Elle se tendit de nouveau et me prit l'épaule dans la bouche pour étouffer un hurlement.

Je sortis in extremis et lui arrosais le ventre. Mon sperme était blanc comme sa peau, et elle s'étala le liquide sur l'abdomen et les seins. J'étais basculé sur le côté et l'embrassais avec tendresse.

Elle me rendit mon baiser avec passion.Je plongeais dans un sommeil sans rêve.

Le lendemain matin, le petit jeune ne se réveilla pas. Il avait rendu son âme à dieu en silence, seul dans le froid de la nuit. Je pris ma dague et lui tranchais la tête. J'y ajoutais le coeur dans un tonnelet de vinaigre et pendant que les chiens profitaient du reste, je préparais une lettre pour sa famille.

Je me tournais ensuite vers le chevalier restant.

-Je veux m'appeler Philippe, dit -il.

Je hochais la tête. Il n'était pas question de me quitter. Gonzague lui montra sa marque. Au dessus du sein gauche, une chauve-souris étendait ses ailes noires.

-Tu peux choisir entre l'encre et le feu, dis-je. Gonzague assurera la marque.

Je passais ensuite aux deux femmes qui me regardaient avec angoisse.

-Si vous vous joignez à moi. Votre vie sera sûrement dure, mais vous serez nourries et protégées. Si cela vous rebute, je peux vous trouver un paysan à marier.

Les femmes se joignirent également à nous.

Karine et Marie souffrirent longtemps, sous la pointe de Gonzague, qui traçait leur chauve souris avec soin. Dans le bac à braises, le fer chauffait doucement. Germain donna une longue rasade d'eau de vie à Philippe, puis je pris le fer dont l'extrémité rougeoyait, menaçante. J'affermis ma prise alors que la chaleur irradiait dans mon gant d'arme. Deux hommes bloquèrent notre nouveau compagnon tandis que je pressais le fer sur sa peau. Son cri de douleur fit s'envoler les oiseaux dans l'arbre voisin.

Un onguent apaisant fut posé sur la cicatrice, et il reçut une accolade de ses nouveaux frères. Les femmes sortaient de leur condition de prisonnières, ce qui leur permettrait un certain choix quand à leurs partenaires sexuels, à condition d'en prendre suffisamment pour maintenir une bonne ambiance dans le camp et de ne pas en tirer de revenus, puisqu' elles seraient sur le registre de paye de la Compagnie. À demi solde, bien-sûr.

Le domaine familial ne ressemblait à rien. La maison forte du grand père menaçait ruine. La palissade de bois qui entourait la cour boueuse servait de promenoir à poules. Je poussais la porte d'entrée. La grande table de mon enfance était toujours là, un peu plus vieille, un peu plus sale. Le vieillard qui me regardait semblait figé dans le temps.

-Tu as perdu deux chauve-souris, dit-il en réponse à mon salut.

-L'étendard m'a été donné par le roi. Répondis-je.

Il fronça les sourcils.

-Je viens prendre possession du domaine, dis-je.

Il se dressa avec lenteur.

-Je ne suis pas mort.

Je ris.

-Pas encore. Mais ta noblesse et ta fierté, si. Et en violant une nonne, tu as barré à tout jamais ton salut éternel.

Il resta interdit devant l'insulte. Comme tous les vieillards, la proximité de la tombe activait sa bigoterie. Je fis entrer sœur Marie, qui pour l'occasion avait revêtu les attributs de sa charge.

Elle le regarda sombrement et hocha la tête .

-Je n'osais y croire. Mais à présent, je me vois obligé de rédiger un courrier pour le tribunal ecclésiastique. En tant que noble, tu ne risques que l'excommunication, mais le domaine me reviendra.

Le vieil homme sembla se dégonfler sous mes yeux. Je l'installais avec sa vieille bonne dans une masure dans la clairière.

Les compagnons prenaient toute la place dans la cour.

Je leur donnais leurs ordres et ils s'egaillèrent dans les sous bois.

Je me rendis à l'auberge du village. Le bourg était sur la route de la foire d'Angerviller, et le tenancier était la personne la plus prospère du village.

J'entrais, accompagné de mon écuyer et de trois spadassins, dont Philippe.

Il se précipita, arborant un sourire servile.

-Noble seigneur, je ne vous avais pas entendu arriver.

Il houspilla sa fille et sa femme pour qu'elles activent le service.

Je bus un gobelet de son vin puis lui fis signe de se joindre à nous.

Il se posa sur un tabouret.

-Tu ne m'as pas reconnu. Dis-je. Je suis Xavier Dendraille.

-Le petit fils de notre seigneur, c'est un honneur.

Je hochais la tête.

-En fait, je suis ton seigneur. Mon grand père à abdiqué ce matin.

Il sourit de ses dents jaunâtres, et me tourna un compliment grotesque.

-C'est pitié que ce grand établissement ne rende que si peu de taxes.

-Avec la guerre, les affaires sont mauvaises, expliqua l'aubergiste.

-Et ton accord avec la bande du furet te procure bien des produits de contrebande. Corrigeais -je.

Il secoua la tête.

-Mais...

La fin de sa phrase se perdit en gargouillis. Philippe lui tenait la glotte serrée.

Dix minutes plus tard, son corps gras pendait à l'entrée du bourg, macabre fruit accroché à une branche de noyer. Sur l'arbre en face, le Furet et ses deux plus proches lieutenant le toisaient de leur yeux vides.

Les autres avaient été massacrés dans leur camp, ils étaient si sûrs de leur impunité qu' ils n'avaient aucune sentinelle. Le butin était mince, ce n'était que du menu fretin.

Dans la salle de l'auberge, la femme et la fille de l'aubergiste étaient alignées avec les quatre femmes récupérées au camp des brigands.

-Vos hommes sont morts. Commençais-je. Ils ont payé le prix de leurs crimes. Vous êtes complices et devriez orner les arbres à leurs côtés.

La femme de l'aubergiste tremblait de peur. C'était une campagnarde qui ressemblait beaucoup à la chère Jeanne. Ses seins opulents montaient et descendaient au rythme de sa respiration affolée.

-Je répugne à pendre un con encore bon à prendre. À poil!

Les catins à brigands glissèrent hors de leurs robes. Elles avaient eu faim et leurs appâts en avait souffert. La grosse mettait plus temps, car elle devait aider sa jouvencelle de fille à enlever ses linges. Je m'approchais de la jeune femme. J'écartais ses mains qu'elle avait posé sur son sexe et son sein, en un dernier effort désespéré pour préserver sa pudeur.

Un cri se fit entendre et je vis du coin de l'oeil une paire de jambes encadrer un cul musclé. Les compagnons ne perdaient pas de temps et les ribaudes satisfaisaient leurs nouveaux maîtres. L'une d'elles, marquée à l'épaule du Lys infamant des putains, branlait deux gars, tandis qu'un troisième lui arrangeait le con.

-Comment te nommes t'on?

-Lise, mon seigneur. Répondit la tremblante pucelle.

-Tu es jolie, dis-je en repoussant une mèche de ses cheveux blonds derrière son oreille. Tu seras pour ceux qui pourront payer le prix fort.

Elle me regarda avec effroi.

-Mais pour ce prix-là, il faudra offrir un service impeccable. Lève tes mains au dessus de ta tête.

Elle s'exécuta, et ses seins un peu lourds se dressèrent. Je lui empaumais une mamelle, et caressait le téton qui pointa. Elle étouffa un sanglot.

-À genoux. Ordonnais-je.

Elle se mit à genoux.

-Délacez mes chausses.

Elle tira sur le mauvais noeud et une seconde après, mon pantalon tombait. Je la giflais à la volée. Elle tomba sur le côté. Je remontais mon pantalon et ajoutais, d'une voix de roghomme:

-Votre client veut juste sortir sa bite, pas se retrouver le cul à l'air.

Elle se redressa en balbutiant des excuses.

Cette fois-ci, elle fit ce qu'il faut, et un petit tablier descendit sur mes cuisses, tandis que mon vit dressé se tendait vers sa face.

-Prends les bourses dans ta main et soupèse les.

Elle avait les mains fraîches, mais point trop.

-Bien. À présent, bise le gland et asticote le de ta langue. Allez, remue toi!

Elle s'exécuta, tandis que je la dirigeais dans les détails.

Un cri de truie me fit tourner la tête. Germain venait d'enculer la veuve, et, au bruit, elle n'était pas coutumière du fait.

-Bien, prends le mat dans ta bouche, à présent.

Je m'enfonçais dans une chaude moiteur. Je lui donnais quelques instructions pour agiter sa langue, mais à part les hauts le coeur récurrents, ce n'était pas mal.

Je la relevais ensuite, et la poussais sur la table, allongée sur le dos.

-Ecarte les jambes.

Elle exposa son buisson blond et la blessure rose de sa foune.

Je lui rapprochais la fente du bord et la pris.

-Tu n'es pas pucelle.

Elle se cachait le visage.

-Qui? Demandais-je.

-Mon père, peu après Noël. Répondit elle,dans un torrent de larmes.

Je hochais la tête.

-Il est donc en enfer. Mais cela n'est pas grave. Je suis tout en toi, et ton con me serre bien. Mais tu es sèche et il te faudra apprendre à mouiller sur commande, sinon, les clients vont te navrer le cas. Retourne toi, je te te forme le cul.

Elle me jeta un regard effrayé.

Je me plaçais contre son petit et poussais, mais sacrebleu, ce coquin ne voulait rien savoir. Je lui claquais le cul pour l'attendrir, sans succès. J'appelais sa mère, pour qu'elle m'huile la bite et fourre deux doigts dans ce satané orifice rétif. Lise gémit pitoyablement sous la percée maternelle. Et cette fois-ci, le muscle céda. Je l'embrochais en grognant et elle hurla sa douleur et sa peine. Cette fois-ci, je ne l'épargnais pas. À grands coups de reins, je lui ramonais sa cheminée comme il faut et après que je l'eus arrosée, en sortit un peu sali de merde.

-Leches tes saletés.

La gamine, encore chialeuse, nettoya mon sexe avec soin de sa langue. Je lui tendis un gobelet de vin, qu'elle se rince la bouche.

Après avoir salué Germain qui s'installait dans ses nouveaux murs, je me rendis dans la maison forte.

Jeanne était arrivée. Elle était contente de me retrouver.

-C'est ici notre château? Demanda -t'elle.

-Oui. C'est le domaine Dendraille.

-Votre bravoure est chantée par les troubadours. Le comte en était furieux.

-Je m'en doutais, c'est pour ça que je suis venu directement ici.

-Il m'a donné une lettre.

Le sceau était authentique. Je le brisais et déroulait le parchemin. Je ne pus contenir mon sourire. d'Erval avait tourné casaque, et marchait avec l'anglais.

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