Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.
Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.
Cliquez iciDerrière les vitres teintées, Désiré, le haut fonctionnaire, s'adresse à son ami Daniel Guérin :
- Le spectacle est terminé, mais la suite va seulement commencer!
Avant de libérer l'auxiliaire, toujours retenue dans la pièce ayant servi aux contrôle des bagages, le douanier invite celle-ci à signer un document rédigé en béninois : - C'est pour confirmer que la fouille s'est déroulée dans les formes légales.
Sans réfléchir, toujours sous le coup de l'émotion, elle signe avant d'être guidée par l'un des soldats.
- Vous pouvez partir, Madame, la sortie est par là! indique, goguenard, l'agent des douanes.
- Mais... Et mes vêtements?
- Vous les récupérerez bientôt! Suivez le sergent!
Emboîtant le pas au bidasse, la subalterne, toujours nue, suit l'intéressé. Elle n'a jamais été aussi humiliée.
- Me voilà sans habit dans un aéroport! C'est la fin de tout! sanglote-t-elle, au bord de l'évanouissement.
vos textes sont géniaux!
j'espère qu'Aurore va en baver encore plus que dans votre histoire précédente!
Sur le fond, on attend la suite avec impatience. On se doute qu’elle va prendre chère pardon long !! Déjà cela commence bien. Une petite promenade sans rien dans l’aéroport. J’espère qu’elle a signé un document l’obligeant d’être nu un maximum de temps.
Par contre la capitale du Bénin depuis l’indépendance est Porto Novo (300 000h) et non Cotonou, qui est certes la plus grande ville et « capitale » économique à défaut d’en être la vraie capitale.
Bravo et vivement la suite. Ni trop long, ni trop court, on se régale.